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Court métrage

Un court métrage (avec ou sans trait d'union)[1] est un film qui se définit par sa durée, dont la définition précise dépend des normes reconnues selon les pays ou organisations.

Alors que dans le langage courant, il est souvent compris comme un film de moins de 20 ou 30 minutes[2], la dĂ©finition officielle par le Centre national du cinĂ©ma et de l'image animĂ©e (CNC) en France, ou l'Office fĂ©dĂ©ral de la Culture (OFC) en Suisse est liĂ© Ă  une durĂ©e de moins de 60 minutes[3] - [4].

Le court métrage existe dans la même diversité de formes, de techniques et de genres que le long métrage : documentaire, fiction, film en prise de vues réelles, film d'animation, film expérimental, etc.

La définition d'un court métrage

La limite entre court, moyen et long métrage peut varier selon les définitions :

  • en France, le Centre national du cinĂ©ma et de l'image animĂ©e (CNC) se base sur un dĂ©cret officiel datant de 1964[5], qui dĂ©finit un court mĂ©trage comme un film dont le mĂ©trage n'excède pas 1 600 mètres en format 35 mm (ou la longueur Ă©quivalente dans les autres formats), soit une durĂ©e d'environ 59 min. Dans d'autres pays, la dĂ©finition (durĂ©e) n'est pas forcĂ©ment la mĂŞme.
  • cependant, pour Gilbert Cohen-SĂ©at, « Quel que soit le contenu d'un film — ou sa nature — on appelle « courts mĂ©trages » les films dont la longueur est infĂ©rieure Ă  900 m (moins de 33 min, moins de trois bobines, en 35 mm), et « longs mĂ©trages » les films dĂ©passant 2 400 m (plus de 1 h 28 min, plus de huit bobines) »[6].
  • les films de plus de 30 minutes sont d'ailleurs gĂ©nĂ©ralement appelĂ©s moyens mĂ©trages et ne sont pas toujours acceptĂ©s dans les festivals de courts mĂ©trages ;
  • depuis quelques annĂ©es, on appelle très courts les films dont la durĂ©e n'excède pas trois minutes, titre et gĂ©nĂ©rique non-compris. Un festival est devenu la rĂ©fĂ©rence de ce type de format : le Très Court International Film Festival qui se tient chaque annĂ©e partout dans le monde et simultanĂ©ment, dĂ©but juin ;
  • en anglais, le long mĂ©trage est appelĂ© feature film, et sa durĂ©e est au-dessus de 40 minutes. En dessous de 40 minutes, c'est un court mĂ©trage, appelĂ© featurette film, ou short film, et de moins de trois minutes, un très court, very short film.

Économie du court métrage

Des modes de distribution alternatifs

Peu répandu dans les circuits de distribution classique, le court métrage profite néanmoins d'un intérêt certain dans les festivals spécialisés (sur support argentique ou numérique) ainsi que sur Internet où des sites web lui sont consacrés.

Il faut souligner les efforts du CNC et de certains distributeurs pour promouvoir le court métrage : il est de plus en plus fréquent de voir en salle des programmes constitués uniquement de courts métrages. Sur France 3, l’émission Libre Court est dévolue au court métrage depuis 1992[7] - [8]. Ce format bénéficie également du développement de la télévision par câble et satellite, plusieurs chaînes achetant et diffusant régulièrement des courts métrages. Enfin, le DVD a offert un nouveau support de diffusion à ces films, sous forme de suppléments ou de DVD leur étant exclusivement consacrés.

Par ailleurs, Lowave et Re : Voir éditent également des DVD de courts métrages.

Les Éditions Yellow Now ont publié, en 2004, Une encyclopédie du court métrage français[9].

Bref

Éditée par L’Agence du court métrage, Bref, le magazine du court métrage a été créée en 1989 par François Ode, fondateur et premier délégué général de L’Agence du court métrage[10] - [11]

Développé autour du rédacteur en chef Jacques Kermabon, on y note les signatures de Raphaël Bassan, Michel Chion, Rodolphe Olcèse, Christophe Chauville, Cécile Giraud, Donald James, Sylvie Delpech, Stéphane Kahn, Marc Mercier, Luc Moullet, Michel Roudevitch...

  • Ă€ partir de 2007, chaque numĂ©ro est livrĂ© aux abonnĂ©s, accompagnĂ© d'un DVD contenant les films critiquĂ©s dans le numĂ©ro. Ce DVD est Ă©ditĂ© par les Ă©ditions Chalet pointu.
  • Depuis 2016, Bref a pris la forme d’une revue annuelle de 160 pages associĂ©e Ă  une formule numĂ©rique enrichie, un site oĂą sont Ă©ditĂ©s des contenus rĂ©dactionnels spĂ©cifiques et, pour les abonnĂ©s, des courts mĂ©trages Ă  dĂ©couvrir en ligne, rĂ©gulièrement renouvelĂ©s[11].

Tous les genres du court métrage sont évoqués sous forme de critiques de films liés à l'actualité, de dossiers sur un cinéaste. Des genres tels que le cinéma documentaire, le cinéma expérimental, le cinéma d'animation, l'art vidéo, les films diffusés sur Internet sont suivis de près.

La politique du court métrage en France

  • Jusqu'en 1939, l'industrie du court mĂ©trage est entravĂ©e par deux phĂ©nomènes :
    • l'absence d'aide d'État pour l'Ă©conomie du court mĂ©trage ;
    • les salles de cinĂ©ma pratiquent rĂ©gulièrement le double programme (projection successive de deux longs mĂ©trages) ;
    • par consĂ©quent, les professionnels du court mĂ©trage se regroupent dans des coopĂ©ratives de production et surtout de distribution (par exemple les Artisans d'art du cinĂ©ma).
  • La loi (Loi de rĂ©glementation de l'industrie cinĂ©matographique, confirmĂ©e par la loi du ) constitue une Ă©tape majeure en instaurant une protection du court mĂ©trage :
    • le passage d'un court mĂ©trage devient obligatoire en dĂ©but de sĂ©ance ;
    • 3 % des recettes de la sĂ©ance reviennent au court mĂ©trage.

Cependant, le système ne favorise pas nécessairement l'émergence de courts métrages de qualité. Ceux-ci sont trop fréquemment publicitaires.

  • En 1953, la lĂ©gislation est modifiĂ©e deux fois :
    • le , une loi supprime la rĂ©munĂ©ration automatique du court mĂ©trage au prorata des recettes brutes au profit d'une prime Ă  la qualitĂ©. Ceci Ă  la grande satisfaction des rĂ©alisateurs ;
    • le , un dĂ©cret-loi supprime l'obligation de projeter un court mĂ©trage français avant chaque long mĂ©trage français. Le double programme est donc en thĂ©orie de nouveau autorisĂ©.
    • C'est la douche froide pour le monde du court mĂ©trage qui va se mobiliser au sein du Groupe des trente (Alexandre Astruc, Jacques Baratier, Yannick Bellon, Georges Franju, Paul Grimault, Robert Hessens, Marcel Ichac, Pierre Kast, Roger Leenhardt, Chris Marker, Jacques Demy, Robert MĂ©nĂ©goz, Jean Mitry, Fred Orain, Jean PainlevĂ©, Paul Paviot, Alain Resnais, Georges Rouquier, etc.), dont l'action aura un grand retentissement[12].
  • Les JournĂ©es internationales du film de court-mĂ©trage de Tours (1955-1971), manifestation pionnière du genre en France, va assurer son rayonnement[13]. Le Festival de Tours va Ă©migrer Ă  Grenoble, puis Ă  Lille dans les annĂ©es 1970. Durant les dernières Ă©ditions du Festival de Lille, l'association Sauve qui peut le court mĂ©trage organise des rencontres, souvent nationales, de courts mĂ©trages Ă  Clermont-Ferrand. En 1982, le Festival international du court mĂ©trage de Clermont-Ferrand est crĂ©Ă©, il deviendra la manifestation-phare du genre, tandis que se multiplient les festivals consacrĂ©s aux courts mĂ©trages.

La politique du court métrage en Suisse

  • En Suisse, le court mĂ©trage fait partie de l'encouragement de cinĂ©ma de l'Office fĂ©dĂ©ral de la culture (OFC). Il est d'ailleurs exemptĂ© de l'aide sĂ©lective au dĂ©veloppement et Ă  la postproduction[14].
  • La plupart des fonds rĂ©gionaux dĂ©diĂ©s Ă  l'encouragement du cinĂ©ma soutiennent aussi la production des courts mĂ©trages
  • Depuis 2017, l'association Pro Short s'engage pour amĂ©liorer les conditions de production et de diffusion des courts mĂ©trages[15].

Festivals

En France

  • Le Festival international du court mĂ©trage de Clermont-Ferrand a lieu tous les ans dĂ©but fĂ©vrier par l'association Sauve qui peut le court mĂ©trage[16]. Il s'agit du plus grand festival consacrĂ© au court mĂ©trage au monde en termes d'entrĂ©e (plus de 160,000 en 2017)[17]. C'est le deuxième festival français de cinĂ©ma après Cannes[18]. Le festival est composĂ© de trois compĂ©titions (nationale, internationale et Labo) et propose chaque annĂ©e des rĂ©trospectives thĂ©matiques et pays[16]. En parallèle du Festival est organisĂ© le MarchĂ© du Film Court, qui accueille plus de 3,500 professionnels du monde entier, venus dĂ©fendre la crĂ©ation, la production et la diffusion du format court[17]. Le Festival fĂŞtera en 2018 sa quarantième Ă©dition[19].
  • Ă€ Pantin, Le Festival CĂ´tĂ© court est un festival consacrĂ© aux formes cinĂ©matographiques courtes, crĂ©Ă© en 1992 Ă  l'initiative du dĂ©partement de la Seine-Saint-Denis et de la ville de Pantin. AnimĂ© par l'association CĂ´tĂ© court, que Sylvie Pialat a prĂ©sidĂ©e de 2006 Ă  2015, il est organisĂ© autour de quatre axes : les compĂ©titions (Fiction, Prospective et Art vidĂ©o), la sĂ©lection du Panorama et des Écrans libres (hors compĂ©tition), les artistes invitĂ©s, et les actions de formation et d'Ă©ducation Ă  l'image. La direction artistique de la manifestation est assurĂ©e par Jacky Evrard. Il se spĂ©cialise Ă©galement dans la programmation de courts mĂ©trages documentaires ou de fiction, ainsi que de films expĂ©rimentaux et art vidĂ©o[20].
  • Des festivals, comme celui de Brive[21] ou Hors Pistes au Centre Pompidou, s'attachent Ă  la promotion des « moyens mĂ©trages » (des courts mĂ©trages sont aussi programmĂ©s, ainsi la sĂ©lection peut inclure des films allant de une seconde Ă  59 minutes), mais ce genre n'est pas officiellement admis, il relève donc de la catĂ©gorie des courts mĂ©trages[22].
  • Ă€ Nice, l’Association hĂ©liotrope, organise chaque annĂ©e au mois d'octobre Un festival c’est trop court. Un Ă©vĂ©nement qui rĂ©unit de nombreux programmes compĂ©titifs europĂ©ens autour de courts mĂ©trages[23].
  • Ă€ Brest, depuis 1986, sont projetĂ©s chaque annĂ©e des courts et moyens mĂ©trages, au Festival EuropĂ©en du Film Court de Brest[24]. Pendant une Ă  deux semaines selon les annĂ©es, des Ĺ“uvres europĂ©ennes sont sĂ©lectionnĂ©es, projetĂ©es et rĂ©compensĂ©es. L'association CĂ´te Ouest, fondĂ©e un an plus tard, soutient cette manifestation[24].
  • Ă€ Trouville se passe le festival de rencontre franco-quĂ©bĂ©coise, durant la première semaine de septembre[25].
  • Ă€ Aix-en-Provence en dĂ©cembre, le Festival Tous Courts avec près de 180 films venus des cinq continents, tente de montrer toute la vitalitĂ© de la jeune crĂ©ation[26].
  • Le festival 7ème Art Jeunes Talents (anciennement intitulĂ© Festival Tournez Jeunesse) de Monistrol-sur-loire, qui a lieu la 3eme semaine d’Octobre de chaque annĂ©e, Ă  la particularitĂ© de rĂ©compenser les courts-mĂ©trages rĂ©alisĂ©s par les jeunes de moins de 25 ans[27] - [28] - [29].
  • Ă€ Paris, depuis 2000, le Très Court International Film Festival oĂą 3 000 Ă  3 500 très courts issus du monde entier sont visionnĂ©s chaque annĂ©e ; 150 sont retenus dans les sĂ©lections du festival (CompĂ©tition internationale, Paroles de femmes, DiffĂ©rences, Animation, Familiale, Music'n Dance, Trash'n Glam)[30]. Un jury professionnel rĂ©compense trois films (Grand Prix, OriginalitĂ©, Animation)[31]. Le Festival est diffusĂ© simultanĂ©ment dans une centaine de villes Ă  travers le monde entier et l'ensemble du public est invitĂ© Ă  dĂ©cerner un prix dĂ©voilĂ© quelques jours après la fin du festival[30].
  • Ă€ Lille, l'Association Prix de Court organise depuis 1984 le Festival du CinĂ©ma EuropĂ©en[32]. Sur plus de 3 000 films envoyĂ©s de toute l'Europe, 70 sont sĂ©lectionnĂ©s et diffusĂ©s lors de la semaine du festival. Les prix sont dĂ©cernĂ©s par des jurys de professionnels[32].
  • Ă€ Anglet, depuis 2005, se dĂ©roule chaque annĂ©e, au mois de novembre, le Festival International du court-mĂ©trage d'Anglet (FIFAVA). Il dĂ©cerne six prix. Le grand prix GenĂŞt d'or, le prix du film de fiction, le prix du film d'animation, le prix du film documentaire, le prix de la ville d'Anglet, le prix du public.
  • Ă€ Bordeaux, l'association ExtĂ©rieur Nuit organise en avril le Festival europĂ©en du court mĂ©trage depuis 1997[33]. Au fil des annĂ©es des sĂ©lections classique, animation, junior, senior ou encore talents bordelais se sont succĂ©dĂ© chaque annĂ©e, provenant de toute l'Europe[33]. Ce festival reçoit chaque annĂ©e le soutien de Kedge Business School (anciennement Bem), ainsi que de celui de la Mairie de Bordeaux[33].
  • Ă€ Audincourt, en mai, se dĂ©roule le Bloody Weekend[34]. C'est un Ă©vĂ©nement culturel rĂ©unissant d’un cĂ´tĂ© une compĂ©tition internationale de courts mĂ©trages (fiction et animation) sur le thème du fantastique, science-fiction, horreur[34]. Un jury de professionnels du cinĂ©ma dĂ©cerne quatre prix : grand prix, prix du meilleur scĂ©nario, prix des effets spĂ©ciaux, et meilleur court mĂ©trage d'animation[34].
  • Ă€ AngoulĂŞme, se dĂ©roule depuis 2004 le festival du Film Court d'AngoulĂŞme[35]. Depuis longtemps consacrĂ© aux films d'Ă©tudiants, le festival diffuse maintenant des films indĂ©pendants et les films produits en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine[35]. La manifestation se dĂ©roule en avril[36].

En Belgique

En Belgique, se retrouvent également de nombreux festivals désireux de promouvoir le court métrage.

  • Parmi ceux-ci, le festimages[37], se tenant chaque annĂ©e dans le courant du mois de mars Ă  Charleroi. Il est l'occasion d'une rencontre entre le public et les professionnels du mĂ©tier. Un concours des Ă©coles de cinĂ©ma belges y est organisĂ© afin de mettre en avant de tout jeunes cinĂ©astes. On y retrouve aussi des sĂ©ances pĂ©dagogiques destinĂ©es Ă  sensibiliser les plus jeunes Ă  la culture cinĂ©matographique.
  • Ă€ Bruxelles se dĂ©roulent le « Brussels Short Film Festival » (festival du court mĂ©trage de Bruxelles)[38] et le Polycule[39], le festival du court-mĂ©trage Ă©tudiant oĂą les cinĂ©astes viennent prĂ©senter leur crĂ©ation[39].
  • Namur accueille Ă©galement le festival du court mĂ©trage MĂ©dia 10-10[40].
  • Neufchâteau organise le festival du court mĂ©trage d'animation.
  • La Ville de Seraing organise le festival « CamĂ©ras Citoyennes » via son service audiovisuel Espace Media[41].

Au Québec

Au Québec, chaque année, se tient Regard sur le court métrage au Saguenay, une manifestation compétitive de cinq jours au mois de mars. Dix prix sont remis aux cinéastes internationaux. On y retrouve un des seuls marchés du court métrage de cette ampleur au Québec[42].

Trois-Rivières en Mauricie a son propre festival de courts métrages[43]. Le long week-end du court[44] se déroule normalement vers la fin de l'été et met en lumière les œuvres ayant parus durant la dernière année. L'événement se démarque par ses choix de thématiques champ gauche[45].

Le carrousel international du film de Rimouski possède également un marché de court métrage. Pionnier des festivals de films pour la jeunesse en Amérique du Nord, le Carrousel a réussi à se tailler une place sur la scène nationale et internationale.

En Grèce

En Grèce depuis 1978 existe le festival du court métrage de Dráma[46].

Records

Diffusion sur Internet

Des plateformes de diffusion ont émergé depuis quelques années, offrant à ces films une nouvelle vie après leur exploitation en festival ou leur passage à la télévision. Un autre avantage de la diffusion sur Internet et l'accès à un public mondial grâce à la création de sous-titre par les utilisateurs[63] - [64].

Notes et références

  1. « Court-métrage : Définition Larousse.fr », sur www.larousse.fr (consulté le )
  2. « Court-métrage : Définition simple et facile du dictionnaire », sur www.linternaute.fr (consulté le )
  3. « Glossaire cinéma: Genres de film », sur www.bak.admin.ch (consulté le )
  4. « Tout savoir sur les courts métrages », sur Allociné (consulté le )
  5. Décret numéro 64-459 du 28 mai 1964.
  6. Gilbert Cohen-Séhat, Essai sur les principes d'une philosophie du cinéma. Notions fondamentales et vocabulaire de filmologie., PUF, 1958 (nouvelle édition), collection Bibliothèque de Philosophie Contemporaine, p. 220. Cité dans Le Grand Robert à l'article « métrage ».
  7. Katia Bayer, « Roland Nguyen, responsable du court métrage à France 3 et présentateur de Libre court. », sur Cinergie.be, (consulté le )
  8. « Libre court », sur www.france.tv (consulté le )
  9. « ÉDITIONS YELLOW NOW /// UNE ENCYCLOPÉDIE », sur www.yellownow.be.
  10. http://www.brefmagazine.com/ Bref.
  11. « Présentation de Bref », sur Bref (consulté le )
  12. Frederic Gimello, « Le Groupe des Trente », sur fgimello.free.fr.
  13. .
  14. Office fédéral de la culture OFC, « Encouragement sélectif », sur www.bak.admin.ch (consulté le )
  15. CINEBULLETIN, « Le court-métrage suisse s’organise - CINEBULLETIN », sur cinebulletin.ch (consulté le )
  16. « Qui sommes-nous », sur clermont-filmfest.
  17. « Clermont-Ferrand : 38e édition du festival du court métrage », Les Inrocks,‎ (lire en ligne)
  18. « Le Festival du court métrage peut-il encore progresser ? », sur La Montagne, (consulté en ).
  19. Festival Clermont ferrand fete ses 40 ans sur www.clermont-filmfest.org
  20. « Les Films Courts font grandir le Cinéma », sur cotecourt.org (consulté le ).
  21. « Festival du cinéma de Brive - Rencontres du moyen métrage », sur www.festivalcinemabrive.fr.
  22. « Hors Pistes 2010 », Centre Pompidou.
  23. « Portail Héliotrope », sur www.nicefilmfestival.com.
  24. « Côte Ouest - Festival Européen du Film Court de Brest - Association organisatrice du Festival Européen du Film Court de Brest », .
  25. « Off-Courts Trouville », sur www.off-courts.com.
  26. « Bienvenue au Festival Tous Courts - 35e Festival Tous Courts », sur 35e Festival Tous Courts.
  27. festival tournez jeunesse site officiel sur www.festivaltournezjeunesse.com
  28. festival tournez jeunesse sur www.magazinevideo.com
  29. festival tournez jeunesse sur www.lacommere43.fr
  30. « Très court International Film Festival », sur www.trescourt.com.
  31. « Grand Prix, Originalité, Animation », sur www.trescourt.com.
  32. « Festival du Cinéma Lille », sur eurofilmfest-lille.com.
  33. « DomRaider - Decentralized Blockchain Auctions in Real-Time », sur DomRaider / ICO.
  34. « Festival Bloody Week-end », sur Festival Bloody Week-end.
  35. « Qui sommes-nous », sur filmcourtangouleme.com.
  36. « Film Festivals », sur www.festivalang.com.
  37. « Festimages.be – Festival du court-métrage belge de Charleroi », sur festimages.be.
  38. « Accueil - Brussels Short Film Festival », sur Brussels Short Film Festival.
  39. http://www.polycule.be/.
  40. « Média 10-10 », sur www.media10-10.be.
  41. « EspaceMEDIA », sur YouTube.
  42. http://www.regardsurlecourt.com.
  43. « Cinéma : Un petit détour du côté du court en Mauricie », sur DICI (consulté le )
  44. « Le long week-end du court », sur La Fabrique culturelle (consulté le )
  45. Zone Arts- ICI.Radio-Canada.ca, « Le Long week-end du court de retour à Trois-Rivières », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  46. Drama Festival Grece officiel site internet
  47. Guiness World Records 2007 - Hachette - p. 183 - (ISBN 2012369928).
  48. Page sur le site officiel du Festival de Clermont-Ferrand
  49. SĂ©lection officielle du Aye Aye film festival de Nancy 2007
  50. « Clermont-Ferrand : "Avant que de tout perdre" rafle la mise », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. Karim Ouaret Lapsus film awards & nominations on www.imdb.com
  52. (en) « Amy Jo Johnson », sur amyjojohnson.com (consulté le )
  53. (en) Bent by ammy jo johnson on sherrydanielwordpress.com
  54. (en) Bent by ammy jo johnson on nsi-canada.ca
  55. Fatal Film Karine Lima sur www.imdb.com
  56. Karine Lima Fatal film awards on www.c13production.fr
  57. Karine Lima film Fatal sur www.lykhubs.com
  58. « "Madame est bonne !", un nouveau record français ».
  59. « "Madame est bonne !", 1er court métrage le plus soutenu en France », sur France 3.
  60. VanDerWerff, Todd, « Inside Kung Fury, the 30-minute viral video that hit 10 million views in a weekend », Vox Culture, (consulté le )
  61. « Kung Fury Coming to VOD », Bloody Disgusting, (consulté le )
  62. Priyanka Pant, « 'In A Heartbeat': Over 14 Million Views For This Animated Short Film », sur NDTV, (consulté le )
  63. Diffuser et visualiser des courts métrages.
  64. Diffusion de courts métrages sous titrés.

Voir aussi

Bibliographie

Ouvrages listés par ordre chronologique de leur première publication :

  • François Porcile, DĂ©fense du court mĂ©trage français, Paris, Ă©ditions du cerf, 1965
  • Jacky Evrard, Jacques Kermabon, Une encyclopĂ©die du court mĂ©trage français, Éditions Yellow Now, 2004
  • Jean-Marc Rudnicki, Écrire un court mĂ©trage, Dixit, 2006
  • Thierry MĂ©ranger, Le Court mĂ©trage, Éditions Cahiers du cinĂ©ma, coll. Les petits Cahiers, 2007
  • Chris Patmore, RĂ©aliser son premier court mĂ©trage, Eyrolles, 2009

Articles connexes

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