Fors (Deux-Sèvres)
Fors est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont les Forsitains.
Fors | |||||
![]() La façade occidentale de l'église Notre-Dame. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Niort | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Niortais | ||||
Maire Mandat |
M. Alain Canteau 2020-2026 |
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Code postal | 79230 | ||||
Code commune | 79125 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 824 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 97 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 14′ 14″ nord, 0° 24′ 29″ ouest | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 66 m |
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Superficie | 18,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Niort (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Frontenay-Rohan-Rohan | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
![](https://img.franco.wiki/i/GareFors08062016_04.jpg.webp)
Fors est située à 12 km au sud de Niort, la préfecture des Deux-Sèvres.
L'habitat y est principalement concentré autour de deux pôles : le village de Fors proprement dit, et le hameau des Sanguinières au nord-ouest. Le reste du territoire communal est essentiellement composé de parcelles agricoles.
L'autoroute A10 traverse l'ouest de la commune sans la desservir ; les routes qui desservent Fors relèvent des voiries départementale et communale. Une halte SNCF sur la ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean assure une desserte ferroviaire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvoir-sur-Ni », sur la commune de Beauvoir-sur-Niort, mise en service en 1973[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 861,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Fors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
![Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.](https://img.franco.wiki/i/79125-Fors-Sols.png.webp)
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), prairies (10 %), zones urbanisées (8,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Fors est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2010[22] - [20].
![](https://img.franco.wiki/i/79125-Fors-argile.jpg.webp)
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Histoire
Le nom du village est le même depuis 1243, les origines seraient gallo-romaines (ex-foris : « en dehors » de la cité). À cette époque, il y a 11 métairies qui forment des petits quartiers (la Nouzière, la Chamerie). Il y a une forteresse depuis 1099.
Il y a principalement trois familles qui ont régné sur Fors :
- Les VIVONNE : jusqu’en 1494.
- Les POUSSARD : 1494-1663.
Anne Poussard était la première maîtresse de François Ier. Il édifia un château magnifique pour elle, en lieu et place de la forteresse. Taille du château : 30 m de long sur 30 m de large, une façade de 10 m de haut. (Environ la moitié d’un petit terrain de foot). À sa mort, Jean son fils sera seigneur de Fors. Charles, le petit-fils de François Ier, sera vice-amiral des côtes de Normandie (il meurt à 80 ans en 1584).
Entre 1663 et 1686, il y a une procédure judiciaire pour connaître le droit du sang sur le château.
- Les MABOUL : (1686-1776)
Les premiers de la famille a régner sur Fors sont Anne Catheu (morte à 91 ans) et Louis Maboul 2e du nom. Jacques Maboul, le frère de Louis, est nommé évêque d’Arles en 1708, et fit l’oraison de Louis XIV en 1715. Louis François Maboul, fils de Anne Catheu sera maître des requêtes en 1728 à Versailles, à la cour du roi. À cette époque, il y a 37 métairies à Fors. Donc, en 1686, Louis 2e du nom hérite du château, il y fera des travaux jusqu’en 1716. Il conserve l’architecture principale et ajoute des toits en ardoise (en mansardes), une grande avenue de 1 km de long, 2 cours. Il achète une trentaine de villas autour du château qu’il fait détruire pour faire des avenues de marronniers. Le périmètre de château allait jusqu’à l’actuelle église. Louis meurt en 1721.
![](https://img.franco.wiki/i/FR_79_Fors_-_Ruine_du_ch%C3%A2teau.jpg.webp)
En 1725, Anne Marie Louise Maboul, fille de Louis, épouse Jean Emmanuel de Crussol. Après la mort du dernier Crussol, au début du XVIIIe siècle, le château est entre deux lignées. Il revient à Philippe Xavier de la Rochebrochard. En 1815, il y a un retour des Bourbons à la chute de Napoléon Ier. Par peur de devoir rendre le château, il préfère le détruire. Les ruines seront achetées par M. Arnault, qui les cédera à M. Robelin en 1884. Celui-ci se servira des ruines pour construire sa maison (en face de l’actuelle mairie). D’ailleurs, plusieurs maisons ont été faites avec les pierres du château à cet endroit. Le reste sera pillé (ex de la maison de Prahecq avec la salamandre du château).
Politique et administration
![](https://img.franco.wiki/i/FR_79_Fors_-_Mairie.jpg.webp)
Population et société
Démographie
À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Fors, cela correspond à 2008, 2013, 2018[27], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le champ de foire :il a toujours existé depuis Saint Louis au XIIIe siècle. Il donnait lieu à au moins deux foires par an jusqu’au début du XXe siècle.
- La mairie : en 1855, il y a l’achat d’une maison qui servira d’école et de mairie (en face du bureau de tabac). En 1923, la mairie achète la maison en face de chez Robelin, qui sera l’actuelle mairie et qui servira toujours d’école.
- Ancien bar, maison avec sol en terre, l’ancienne poste et le presbytère.
- Le presbytère : construit en 1860, il servira de logement et de bureau administratif au curé.
- Fromagerie HETEL : Créé en 1947 à la place de l’ancienne distillerie par M. Lestel et Mme Spangenberg.
- L’église Notre-Dame date du XIIe siècle et dépendait de l’abbé de Bourges. Elle fut détruite pendant la guerre des religions (fin du XVIe siècle) puis restaurée. Les deux travées de la nef ont été inscrit au titre des monuments historique en 1989[30].
- La cloche : Cette vieille cloche avait été fondue le 23 mai 1881 au Mans, son poids était de 206 kilos. Les parrains et marraines, dont les noms se retrouvent gravés sur le métal, sont en général les donateurs des cloches. Sur cette cloche, le fondeur BOLLEE avait inscrit dans le métal : J’ai été bénite en 1881, M. Morisset étant alors curé de FORS. ADELINE est mon nom, j’ai eu pour parrain M. Charles ARNAUD propriétaire à la Chauvinière et ma marraine a été Adeline ARNAUD née BRAULT.
Cette cloche sera refondue en 2011, avec la volonté de conserver l’histoire du patrimoine et donc de se rapprocher au plus près de la copie de la cloche de 1881. Le tout pour un montant de 11 299,12 € TTC. Les mêmes inscriptions y figurent avec simplement l'ajout de : Refondue en l’an 2011 par Bollée fondeur à ORLEANS. La bénédiction de cette nouvelle cloche se fera en l’église Notre Dame de Fors le 23 octobre 2011. - Les fresques à l’intérieur de l’église seront découvertes en 1923.
- L’école : Les premières traces d’école date de la fin du XVIIIe siècle, où elle était faite par le concierge régisseur du château, Geoffroy dit le bBoîteux-Grenotton.
- Une statue de la Vierge à l'Enfant, au bord de la Route de Prahecq.
- Plusieurs puits.
- Quelques ruines du château, encore visibles.
- L'église Notre-Dame.
- La statue de la Vierge à l'Enfant.
- Le puits de la Route des Sanguinières.
Personnalités liées à la commune
![](https://img.franco.wiki/i/FR_79_Fors_-_St%C3%A8le_%C3%A0_Gr%C3%A9gory_Jaillet_et_Jean-Louis_Fourdan.jpg.webp)
- Joseph-Charles Lefèbvre, Cardinal-archevêque de Bourges (né à Tourcoing en 1892 et décédé à Bourges en 1973), il y vécut ses années de jeunesse et d'adolescence. Sa famille s'était installée à Fors pour y exploiter une distillerie.
- Catherine Doribeau, née dans la commune de Fors le 11 décembre 1650, fille de Michel Doribeau et Anthoinette Olivier[31], est l'une des « Filles du Roy » envoyées en Nouvelle-France au XVIIe siècle pour s'y marier et y fonder une famille. Embarquée le 15 mai 1669 sur le navire Le-Saint-Jean-Baptiste au port de la Rochelle, elle débarque dans la ville de Québec le 30 juin 1669. Elle épouse Jacques Genest (Genais), soldat de Carignan, sur l'Ile-d'Orléans avec qui elle aura huit enfants[32]. Elle décède le 10 décembre 1706 à Saint-Jean-de-l'Île-d'Orléans, Canada, à l'âge de 55 ans.
- Jean-Louis Fourdan, enseigne de vaisseau de première classe de la Marine Nationale, et son élève Grégory Jaillet, tués le dans la collision et l'écrasement de leurs avions Epsilon près de Fors, alors qu'ils étaient en session d'entraînement[33]. Une stèle commémorative a été posée près du lieu de leur écrasement.
Héraldique
![]() |
Blason | D'azur au chevron d'or accompagné de trois besants, celui de la pointe soutenu d'un croissant, le tout du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Articles connexes
- Liste des communes des Deux-Sèvres
- Histoire de la Gare de FORS : Gare de Fors
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Beauvoir-sur-Ni - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fors et Beauvoir-sur-Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Fors et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
- « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Archives départementales des Deux-Sèvres - Registres paroissiaux et d'état civil - FORS - Baptêmes, Mariages, Sépultures : 1624-1663 (vue 10)
- Landry, Les Filles du Roi au XVIIe siècle, édition 2013 p.98
- « Mémorial des officiers de marine », sur memorial-aen.fr (consulté le ).