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Facteur de compressibilité

En physique, et plus particuliĂšrement en thermodynamique, le facteur de compressibilitĂ© dĂ©signe le rapport du volume molaire d'un mĂ©lange ou d'un corps pur rĂ©el, liquide ou gazeux, au volume molaire du gaz parfait correspondant aux mĂȘmes pression, tempĂ©rature et composition.

Facteur de compressibilité
Unités SI Sans dimension
Nature Grandeur scalaire intensive
Symbole usuel
Lien Ă  d'autres grandeurs

Pour un gaz parfait, le facteur de compressibilité vaut 1, quelles que soient la nature du gaz et les conditions de pression, température, composition. Pour un fluide réel, le facteur de compressibilité est généralement compris entre 0,2 et 1,2, il dépend de la nature du fluide et des conditions opératoires.

Le facteur de compressibilité est une variable utilisée notamment dans les équations d'état telles que les équations d'état cubiques ou l'équation du viriel.

DĂ©finition

Le facteur de compressibilité, noté [1], est défini par :

Facteur de compressibilité :

avec :

Le facteur de compressibilité est une grandeur intensive adimensionnelle.

Le facteur de compressibilitĂ© est une fonction de la pression, du volume, de la tempĂ©rature et de la composition. Ces diverses variables sont elles-mĂȘmes liĂ©es par l'Ă©quation d'Ă©tat du fluide : ou . Le facteur de compressibilitĂ© peut donc s'exprimer soit comme une fonction de la pression, de la tempĂ©rature et de la composition , soit comme une fonction du volume, de la tempĂ©rature et de la composition .

Selon la loi des gaz parfaits , avec le volume du gaz parfait aux mĂȘmes pression, tempĂ©rature et composition que le fluide rĂ©el. En posant le volume molaire du gaz parfait correspondant au fluide rĂ©el, on obtient une autre dĂ©finition du facteur de compressibilitĂ© :

Facteur de compressibilité :

Pour un gaz parfait, on a donc quelles que soient la nature du gaz et les conditions de pression, température, composition.

Valeur pour un fluide réel

Diagramme d'Amagat

Figure 1 - Isothermes expérimentales de diverses espÚces chimiques dans un diagramme d'Amagat.
Figure 2 - Isothermes de l'équation d'état de van der Waals dans un diagramme d'Amagat. Facteur de compressibilité Z en fonction de la pression réduite.
En violet : isotherme de Boyle-Mariotte ; en tirets noirs : droite des gaz parfaits ; en rouge : isotherme critique.

Pour un gaz parfait, le facteur de compressibilité vaut donc 1 quels que soient le gaz (corps pur ou mélange), la pression, la température et la composition. Si l'on trace dans un diagramme le facteur de compressibilité en fonction de la pression, on obtient une unique droite horizontale.

Pour un fluide réel, mélange ou corps pur, le facteur de compressibilité varie généralement entre 0,2 et 1,2 selon la nature du fluide et les conditions opératoires. Pour tracer dans un diagramme le facteur de compressibilité d'un fluide réel en fonction de la pression, on fixe la température et la composition pour obtenir une courbe isotherme. La variation de la température permet d'obtenir un faisceau de courbes isothermes. La figure 1 montre les isothermes obtenues expérimentalement pour diverses espÚces chimiques et tracées dans un diagramme d'Amagat. La figure 2 montre dans un diagramme d'Amagat l'évolution isotherme du facteur de compressibilité d'un gaz suivant l'équation d'état de van der Waals, qui représente qualitativement[2] le comportement d'un gaz réel. On constate :
1- qu'à basse pression ou à haute température le facteur de compressibilité d'un fluide réel tend vers 1 : le comportement d'un fluide réel tend vers celui d'un gaz parfait ;
2- qu'Ă  pression constante :

  • aux basses pressions le facteur de compressibilitĂ© augmente avec la tempĂ©rature ;
  • aux hautes pressions le facteur de compressibilitĂ© diminue avec une augmentation de tempĂ©rature ;

3- qu'à température constante :

  • le facteur de compressibilitĂ© est dĂ©croissant aux basses pressions et croissant aux hautes pressions ;
  • au-delĂ  d'une certaine tempĂ©rature le facteur de compressibilitĂ© est strictement croissant.

Au point critique, le facteur de compressibilité d'un gaz de van der Waals vaut quel que soit le corps, ce qui n'est pas réaliste. En rÚgle générale, le facteur de compressibilité critique d'un corps réel vaut de 0,2 à 0,3[3]. On a par exemple respectivement pour l'hydrogÚne, l'éthane, l'ammoniac et l'eau : , , , .

Par définition, un gaz parfait est un gaz dans lequel des particules ponctuelles n'ont aucune interaction entre elles, si ce n'est des chocs élastiques. Autrement dit, dans un gaz parfait les particules n'ont aucune interaction à distance entre elles, contrairement aux fluides réels dans lesquels les particules interagissent à distance par les forces de van der Waals. Ainsi :

  • si , le volume du fluide rĂ©el est infĂ©rieur Ă  celui du gaz parfait correspondant, les forces d'attraction entre particules l'emportent sur les forces de rĂ©pulsion ;
  • si , le volume du fluide rĂ©el est supĂ©rieur Ă  celui du gaz parfait correspondant, les forces de rĂ©pulsion entre particules l'emportent sur les forces d'attraction ;
  • si , le fluide se comporte comme un gaz parfait, les forces d'attraction et de rĂ©pulsion entre particules s'annulent mutuellement.

Variation avec la pression, courbe de Boyle-Mariotte

Figure 3 - Isothermes de l'équation d'état de van der Waals dans un diagramme d'Amagat. Produit de la pression réduite par le volume réduit en fonction de la pression réduite.
En marron : courbe de Boyle-Mariotte ; en violet : isotherme de Boyle-Mariotte ; en rouge : isotherme critique.

En dérivant le facteur de compressibilité par rapport à la pression, à température et quantité de matiÚre constantes :

en introduisant le coefficient de compressibilité isotherme et en remarquant que pour un gaz parfait , on obtient :

Variation isotherme :

Il s'agit de la pente des isothermes tracées dans le diagramme d'Amagat ci-dessus :

  • lorsque cette pente est nĂ©gative, le fluide est plus compressible que le gaz parfait correspondant : ; lors d'une compression les forces d'attraction entre molĂ©cules l'emportent sur les forces de rĂ©pulsion et favorisent la compression ; ceci s'observe dans les gaz Ă  basse pression ;
  • inversement, lorsque cette pente est positive, le fluide est moins compressible que le gaz parfait correspondant : ; lors d'une compression les forces de rĂ©pulsion entre molĂ©cules l'emportent sur les forces d'attraction et s'opposent Ă  la compression ; ceci s'observe dans les gaz Ă  haute pression et les liquides ;
  • lorsque cette pente est nulle, le fluide a la mĂȘme compressibilitĂ© que le gaz parfait correspondant : ; les forces d'attraction et de rĂ©pulsion entre molĂ©cules se compensent lors de la compression ; dans le diagramme d'Amagat, les points correspondants sont les points auxquels la tangente Ă  l'isotherme est une droite horizontale.

Pour un gaz parfait, selon la loi de Boyle-Mariotte, à température et quantité de matiÚre constantes, , soit . Pour un fluide réel, le lieu des points des isothermes du diagramme d'Amagat de tangente horizontale (appelés points de Boyle-Mariotte) est appelé courbe de Boyle-Mariotte[4]. En effet, en tout point de tangente horizontale dans le diagramme d'Amagat, équivaut à .

Il existe une température, appelée température de Boyle-Mariotte, au-delà de laquelle les isothermes dans le diagramme d'Amagat n'ont plus de point de tangente horizontale et sont strictement croissantes. L'isotherme correspondante est appelée isotherme de Boyle-Mariotte. La courbe et l'isotherme de Boyle-Mariotte sont représentées sur la figure 3 pour un gaz de van der Waals.

Variation avec le volume

En utilisant la relation :

on obtient :

Variation isotherme :

avec :

  • le module d'Ă©lasticitĂ© isostatique du corps rĂ©el ;
  • le module d'Ă©lasticitĂ© isostatique du gaz parfait.

Variation avec la température

En dérivant le facteur de compressibilité par rapport à la température, à pression et quantité de matiÚre constantes :

en introduisant le coefficient de dilatation isobare et en remarquant que pour un gaz parfait , on obtient :

Variation isobare :

Ainsi :

  • si , alors est croissant avec la tempĂ©rature Ă  pression constante, ce qui est le cas des gaz Ă  basse pression ;
  • si , alors est dĂ©croissant avec une tempĂ©rature croissante Ă  pression constante, ce qui est le cas des gaz Ă  haute pression ;
  • si , alors , Ă©quivalant Ă  : en ces points le gaz suit la loi de Charles des gaz parfaits.

En dérivant le facteur de compressibilité par rapport à la température, à volume et quantité de matiÚre constants :

en introduisant le coefficient de compression isochore et en remarquant que pour un gaz parfait , on obtient :

Variation isochore :

Ainsi :

  • si , alors est croissant avec la tempĂ©rature Ă  volume constant ;
  • si , alors est dĂ©croissant avec une tempĂ©rature croissante Ă  volume constant ;
  • si , alors , Ă©quivalant Ă  : en ces points le gaz suit la loi de Gay-Lussac des gaz parfaits.

Variation avec la composition

Soit un mélange de quantité de matiÚre globale avec la quantité du constituant .

En dérivant le facteur de compressibilité par rapport à la quantité de matiÚre globale à pression, température et fractions molaires des constituants constantes :

en introduisant le volume molaire et en remarquant que celui-ci ne dépend que de la pression, de la température et des fractions molaires, mais pas de la quantité de matiÚre globale, soit et , on obtient :

Variation selon la quantité de matiÚre totale :

Le facteur de compressibilité étant une grandeur intensive, il ne dépend pas de la quantité globale de matiÚre du mélange.

En dérivant le facteur de compressibilité par rapport à la quantité de l'un des constituants du mélange, à pression, température et quantités des autres constituants constantes :

en introduisant le volume molaire partiel du constituant et le volume molaire du mélange réel, on obtient :

Variation selon la quantité d'un constituant :

Ainsi :

  • si , alors est croissant avec la quantitĂ© de croissante Ă  pression et tempĂ©rature constantes ;
  • si , alors est dĂ©croissant avec la quantitĂ© de croissante Ă  pression et tempĂ©rature constantes ;
  • si , alors : en ces points le gaz suit la loi d'Avogadro des gaz parfaits, pour lesquels .

Utilisation

Calcul de la masse volumique

Si l'on connait le facteur de compressibilité d'un corps (tabulé dans la littérature, voir par exemple la table donnée pour l'air plus bas), le volume molaire de ce corps (pur ou mélange, liquide ou gaz) se calcule selon :

Puisque la masse volumique se calcule selon :

avec la masse molaire du corps, on a :

Masse volumique :

oĂč est la masse volumique du gaz parfait correspondant au corps rĂ©el (mĂȘmes pression, tempĂ©rature et composition).

Unités
Selon le SystĂšme international d'unitĂ©s la pression est exprimĂ©e en Pa et la tempĂ©rature en K. La masse molaire est gĂ©nĂ©ralement exprimĂ©e en g/mol (ou kg/kmol). La masse volumique calculĂ©e selon la formule ci-dessus est ainsi obtenue en g/m3 et doit ĂȘtre divisĂ©e par 1000 pour obtenir des kg/m3.

Équations d'Ă©tat

Le facteur de compressibilité est souvent utilisé comme variable dans les équations d'état[5], par exemple dans les diverses formes d'équation du viriel :

ou dans les Ă©quations d'Ă©tat cubiques, comme celles de van der Waals et de Redlich-Kwong :

ou encore dans les Ă©quations de Benedict–Webb–Rubin et de Lee-Kesler.

La loi des gaz parfaits revient Ă  .

Coefficient de fugacité

Le coefficient de fugacitĂ© est dĂ©fini par le rapport de la fugacitĂ© d'un corps , pur ou dans un mĂ©lange, Ă  la pression partielle de ce corps dans le mĂ©lange, soit avec la fraction molaire du corps : . La pression partielle du corps est la fugacitĂ© de ce corps dans le mĂ©lange de gaz parfaits de mĂȘmes pression, tempĂ©rature et composition que le mĂ©lange rĂ©el. Pour un corps , pur ou dans un mĂ©lange, le coefficient de fugacitĂ© peut se calculer :

  • avec une Ă©quation d'Ă©tat dans laquelle le volume est exprimĂ© explicitement en fonction de la pression , de la tempĂ©rature et de la composition (nombre de moles de chacun des constituants du mĂ©lange), , comme l'une des formes de l'Ă©quation du viriel, selon :
  • avec une Ă©quation d'Ă©tat dans laquelle la pression est exprimĂ©e explicitement en fonction du volume , de la tempĂ©rature et de la composition (nombre de moles de chacun des constituants du mĂ©lange), , telle que les Ă©quations d'Ă©tat cubiques, selon :

avec :

  • la dĂ©rivĂ©e partielle du facteur de compressibilitĂ© par rapport Ă  la quantitĂ© du corps , Ă  pression, tempĂ©rature et quantitĂ©s des corps autres que constants ;
  • la dĂ©rivĂ©e partielle du facteur de compressibilitĂ© par rapport Ă  la quantitĂ© du corps , Ă  volume, tempĂ©rature et quantitĂ©s des corps autres que constants ;
  • le nombre de moles du corps dans le mĂ©lange ;
  • la quantitĂ© de matiĂšre totale (nombre de moles total) dans le mĂ©lange.

Pour un gaz parfait , d'oĂč et .

Grandeurs résiduelles

Une grandeur rĂ©siduelle exprime l'Ă©cart entre une propriĂ©tĂ© extensive d'un fluide rĂ©el et la mĂȘme propriĂ©tĂ© d'un gaz parfait dans les mĂȘmes conditions de pression, tempĂ©rature et composition que le fluide rĂ©el : . Pour un corps pur ou un mĂ©lange, les grandeurs rĂ©siduelles peuvent se calculer :

  • avec une Ă©quation d'Ă©tat dans laquelle le volume est exprimĂ© explicitement en fonction de la pression , de la tempĂ©rature et de la composition (nombre de moles de chacun des constituants du mĂ©lange), , comme l'une des formes de l'Ă©quation du viriel, selon :
  • avec une Ă©quation d'Ă©tat dans laquelle la pression est exprimĂ©e explicitement en fonction du volume , de la tempĂ©rature et de la composition (nombre de moles de chacun des constituants du mĂ©lange), , telle que les Ă©quations d'Ă©tat cubiques, selon :

avec :

  • la dĂ©rivĂ©e partielle du facteur de compressibilitĂ© par rapport Ă  la tempĂ©rature du mĂ©lange, Ă  pression et quantitĂ©s de tous les constituants du mĂ©lange constantes ;
  • la dĂ©rivĂ©e partielle du facteur de compressibilitĂ© par rapport Ă  la tempĂ©rature du mĂ©lange, Ă  volume et quantitĂ©s de tous les constituants du mĂ©lange constants.

Pour un gaz parfait , toutes les grandeurs résiduelles sont nulles.

Facteur de compressibilité de l'air

Le tableau suivant[6] donne le facteur de compressibilité de l'air en fonction de la pression et de la température.

Facteur de compressibilité de l'air (valeurs expérimentales)
Pression absolue (bar)
Température (K) 1 5 10 20 40 60 80 100 150 200 250 300 400 500
75 0,0052 0,0260 0,0519 0,1036 0,2063 0,3082 0,4094 0,5099 0,7581 1,0125
80 0,0250 0,0499 0,0995 0,1981 0,2958 0,3927 0,4887 0,7258 0,9588 1,1931 1,4139
90 0,9764 0,0236 0,0453 0,0940 0,1866 0,2781 0,3686 0,4681 0,6779 0,8929 1,1098 1,3110 1,7161 2,1105
100 0,9797 0,8872 0,0453 0,0900 0,1782 0,2635 0,3498 0,4337 0,6386 0,8377 1,0395 1,2227 1,5937 1,9536
120 0,9880 0,9373 0,8860 0,6730 0,1778 0,2557 0,3371 0,4132 0,5964 0,7720 0,9530 1,1076 1,5091 1,7366
140 0,9927 0,9614 0,9205 0,8297 0,5856 0,3313 0,3737 0,4340 0,5909 0,7699 0,9114 1,0393 1,3202 1,5903
160 0,9951 0,9748 0,9489 0,8954 0,7803 0,6603 0,5696 0,5489 0,6340 0,7564 0,8840 1,0105 1,2585 1,4970
180 0,9967 0,9832 0,9660 0,9314 0,8625 0,7977 0,7432 0,7084 0,7180 0,7986 0,9000 1,0068 1,2232 1,4361
200 0,9978 0,9886 0,9767 0,9539 0,9100 0,8701 0,8374 0,8142 0,8061 0,8549 0,9311 1,0185 1,2054 1,3944
250 0,9992 0,9957 0,9911 0,9822 0,9671 0,9549 0,9463 0,9411 0,9450 0,9713 1,0152 1,0702 1,1990 1,3392
300 0,9999 0,9987 0,9974 0,9950 0,9917 0,9901 0,9903 0,9930 1,0074 1,0326 1,0669 1,1089 1,2073 1,3163
350 1,0000 1,0002 1,0004 1,0014 1,0038 1,0075 1,0121 1,0183 1,0377 1,0635 1,0947 1,1303 1,2116 1,3015
400 1,0002 1,0012 1,0025 1,0046 1,0100 1,0159 1,0229 1,0312 1,0533 1,0795 1,1087 1,1411 1,2117 1,2890
450 1,0003 1,0016 1,0034 1,0063 1,0133 1,0210 1,0287 1,0374 1,0614 1,0913 1,1183 1,1463 1,2090 1,2778
500 1,0003 1,0020 1,0034 1,0074 1,0151 1,0234 1,0323 1,0410 1,0650 1,0913 1,1183 1,1463 1,2051 1,2667
600 1,0004 1,0022 1,0039 1,0081 1,0164 1,0253 1,0340 1,0434 1,0678 1,0920 1,1172 1,1427 1,1947 1,2475
800 1,0004 1,0020 1,0038 1,0077 1,0157 1,0240 1,0321 1,0408 1,0621 1,0844 1,1061 1,1283 1,1720 1,2150
1000 1,0004 1,0018 1,0037 1,0068 1,0142 1,0215 1,0290 1,0365 1,0556 1,0744 1,0948 1,1131 1,1515 1,1889

Ces valeurs sont représentées sur les graphes suivants.

  • Facteur de compressibilitĂ© de l'air en fonction de la pression.
  • Isothermes entre 75 et 200 K
    Isothermes entre 75 et 200 K
  • Isothermes entre 250 et 1000 K
    Isothermes entre 250 et 1000 K

Voir aussi

Notes et références

  1. Green Book (IUPAC), Quantities, Units and Symbols in Physical Chemistry, page 57, Ă©dition 2007.
  2. On note l'important décalage, par exemple, entre les isothermes critiques () de la figure 1, qui représente des valeurs expérimentales pour diverses espÚces chimiques, et de la figure 2, qui représente les isothermes obtenues avec l'équation d'état de van der Waals : les valeurs expérimentales descendent jusqu'à environ , les valeurs calculées jusqu'à environ .
  3. Bernard Le Neindre, Constantes physiques des fluides purs : mĂ©thodes d’estimation, vol. K 692, Ă©d. Techniques de l'IngĂ©nieur, (lire en ligne), p. 16.
  4. Thermodynamique et énergétique, Volume 1, Lucien Borel, Daniel Favrat, Presses Polytechniques et Universitaires Romandes, 2005, (ISBN 2-88074-545-4), p. 264.
  5. Jacques Schwartzentruber, École nationale supĂ©rieure des mines d'Albi-Carmaux, « Quelques Ă©quations d'Ă©tat usuelles », sur nte.mines-albi.fr, (consultĂ© le ).
  6. Perry's chemical engineers' handbook, MCGraw-Hill, , 6e Ă©d. (ISBN 0-07-049479-7) page 3-162.

Bibliographie

  • Jean Vidal, Thermodynamique : application au gĂ©nie chimique et Ă  l'industrie pĂ©troliĂšre, Paris, Éditions Technip, coll. « Publications de l'Institut français du pĂ©trole. », , 500 p. (ISBN 978-2-7108-0715-5, OCLC 300489419, lire en ligne).
  • Christophe Coquelet et Dominique Richon, PropriĂ©tĂ©s thermodynamiques : DĂ©termination pour les fluides purs, vol. BE 8030, Techniques de l'ingĂ©nieur, coll. « base documentaire Thermodynamique et Ă©nergĂ©tique, pack Physique Ă©nergĂ©tique, univers : Énergies », , p. 1-8.
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  • Roland Solimando, Louis Schuffenecker et Jean-NoĂ«l Jaubert, PropriĂ©tĂ©s thermodynamiques du corps pur, Techniques de l'ingĂ©nieur (no AF 050), (lire en ligne), p. 8.

Articles connexes

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