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Estrun

Estrun [etʁœ̃] est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Estrun
Estrun
Blason de Estrun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Jean-Luc Fasciaux
2020-2026
Code postal 59295
Code commune 59219
Démographie
Gentilé Estrunois
Population
municipale
718 hab. (2020 en augmentation de 1,13 % par rapport à 2014)
Densité 255 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 14′ 55″ nord, 3° 17′ 42″ est
Altitude 52 m
Min. 34 m
Max. 72 m
Superficie 2,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cambrai
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
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Estrun
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Estrun
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Estrun

    Géographie

    Localisation

    Estrun se situe au confluent de l'Escaut et de la Sensée au lieu-dit Le bassin rond.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    A 10 km de Cambrai et 15 km de Valenciennes, Estrun est facilement accessible par l'autoroute A2 proche.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 684 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Estrun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,2 %), zones urbanisées (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones humides intérieures (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le village est mentionné au long des IXe au XIVe siècles sous les noms Strum et Stroms (881), Estrung (1122), Strunium (1142), Estreun (1349). Boniface[21] rappelle qu'il existe à Estrun les restes d'un campement romain dit « camp de César », de même qu'on trouve à Étrun dans le Pas-de-Calais les vestiges d'un camp romain également surnommé « camp de César ». Il voit dans le nom la même origine que pour Estourmel : forteresse, campement militaire. Mannier[22] voit plutôt l'origine du nom dans les mots germaniques strom, stroma ou stroem (rivière, cours d'eau) (stroom en flamand), le village étant situé sur les bords de l'Escaut. Mais selon Mannier le nom pourrait encore venir des mots germaniques stre et hem (« route » et « habitation »), comme pour Étrœungt dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe, située sur la voie romaine de Bavay à Reims.

    La bulle du pape Innocent II, du 21 décembre 1142, confirme l'appartenance de la seigneurie d'Estrun, comprenant les propriétés, les terres, les prés et les ruisseaux, à l'église métropolitaine de Cambrai.

    L'orthographe du nom varie entre Etrun (1793, 1801) et Estrun (1801, et depuis le 13 juin 1994)[23].

    Histoire

    Moyen Âge

    Sur ce lieu, en 881, le jeune roi de France Louis III contrôle l'avancée des Normands en faisant construire un château[24] - [25]

    À la suite du siège d'Arras, le diocèse d'Arras est détaché de l'archidiocèse de Cambrai en 1093. Deux évêques se retrouvent responsables de Cambrai Manassès, de 1093 à 1103 transféré par Pascal II à Soissons et Walcher ou Gaucher ou Gautier, de 1093 à 1106 promu à l'évêché par l'empereur Henri IV, il s'y maintint contre Manassès, bien que déposé par le pape au concile de Clermont en novembre 1095. Walcher se réfugie à Estrun dans un château qu'il avait fait construire[26].

    Renaissance

    Marie de Médicis, veuve de Henri IV, mère de Louis XIII et régente du royaume tente d'exiger du Roi la disgrâce de Richelieu, elle tente d'obtenir le renvoi du ministre. Après la fameuse Journée des Dupes, le , Richelieu reste le principal ministre et Marie de Médicis est contrainte de se réconcilier avec lui.

    Elle décide finalement de se retirer de la cour. Le roi la jugeant trop intrigante, parvint à la faire partir au château de Compiègne. De là, elle réussit à s'enfuir à Bruxelles en 1631, où elle compte plaider sa cause.

    Le 18 juillet 1631, elle sort de Compiègne vers son exil de Bruxelles et s'arrête le lendemain à Estrun où elle eut la protection du marquis de Crèvecœur[27] - [28], Henri-Marie Gouffier (1619-1640) son filleul [29] et gouverneur d'Avesnes-sur-Helpe où elle arrive le 20 juillet 1631[30].

    Période révolutionnaire

    Adam Philippe de Custine dit général moustaches

    Compris entre l'Escaut et la Sensée, Estrun est un lieu stratégique, dominant les inondations défensives qui sont tendues entre Cambrai, Bouchain et Valenciennes. Ainsi, le village est-il occupé par les troupes françaises en 1793 sous le commandement du général Adam Philippe de Custine[31], puis par les Autrichiens et les Anglais durant le siège de Valenciennes.

    Période moderne

    L'intense navigation sur l'Escaut et la Sensée avant la Première Guerre mondiale permet le développement de la cité, en particulier au niveau du Bassin Rond[32], où les mariniers se retrouvent et font leurs achats[33].

    Cette activité ayant disparu, Estrun développe des activités nautiques et touristiques.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[34].

    Tendances politiques et résultats

    Le vote à Estrun favorise clairement les partis de droite.

    Au premier tour de l'élection présidentielle de 2012, les quatre candidats arrivés en tête à Estrun sont Marine Le Pen (FN, 27,18 %), Nicolas Sarkozy (UMP, 25,49 %), François Hollande (PS, 21 %) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche, 11,65 %) avec un taux de participation de 86,96 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 57 % des voix et un taux de participation de 84,89 %.

    Au second tour de l'élection législative de 2012, 55,72 % des électeurs d'Estrun ont voté pour François-Xavier Villain (UDI), contre 44,28 % pour Martine Filleul (PS).

    Au second tour de l'élection présidentielle de 2007, 59,94 % des électeurs ont voté pour Nicolas Sarkozy (UMP), et 40,06 % pour Ségolène Royal (PS).

    Au second tour de l'élection présidentielle de 2002, 98,79 % des électeurs ont voté pour Jacques Chirac (RPR), 1,21 % pour Jean-Marie Le Pen (Front National).

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Eugène Caude[35].

    Maire en 1807 : Tetart[36].

    Avant 1983 : Stéphane Duhoux (PCF)

    Titulaires de la fonction de maire d’Estrun
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Stéphane Duhoux (d)
    ( - )
    Parti communiste français
    Jean-Marie Mettier (d)25 ans divers droite
    Jean-Luc Fasciaux (d)[37]
    (né le )
    En cours15 ans et 4 mois indépendant

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

    En 2020, la commune comptait 718 habitants[Note 7], en augmentation de 1,13 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    432424577539554557579615599
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    574582625636642627657614618
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    643668674588588600581586646
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    578502460464441421446447621
    2014 2019 2020 - - - - - -
    710712718------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 352 hommes pour 359 femmes, soit un taux de 50,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,1
    3,4
    75-89 ans
    4,4
    11,9
    60-74 ans
    13,6
    22,7
    45-59 ans
    18,3
    24,1
    30-44 ans
    24,4
    13,4
    15-29 ans
    13,6
    24,4
    0-14 ans
    24,4
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    le bassin rond.

    Oppidum

    L' Oppidum d'Estrun, dénommé localement « Camp César » est protégé en tant que monument historique : inscription le 11 avril 1980[43]. Le site gallo-romain fut réutilisé du IXe au XVIIIe siècle. Il a une forme rectangulaire de 560 m x 230 m et une superficie de 13 ha. A l'est, une falaise crayeuse surplombe l'Escaut. Le rempart est précédé d'un fossé à fond plat de 16 m de large et profond de 1,75 m[44].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes d'Estrun se blasonnent ainsi :"D'or à trois lions d'azur, au chef de gueules chargé d'une Notre-Dame-de-Grâce de carnation à mi-corps, tenant à senestre l'Enfant Jésus, et vêtue de gueules et d'azur" .

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Estrun et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Estrun et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Boniface 1866, p. 123.
    22. Mannier 1861, p. 279.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France: COA - H, volume 2 - édité en 1804 par Baudouin ; Laporte, - archive de la bibliothèque de l'État de Bavière - A lire
    25. Hippolyte-Romain-Joseph Duthillœul, Petites histoires des pays de Flandre et d'Artois, Foucart, 1835 - Archive de l'université de Gand -A lire
    26. Hippolyte-Romain-Joseph Duthillœul, Petites histoires des pays de Flandre et d'Artois, Foucart, 1835 - Archive de l'université de Gand - A lire
    27. Jean-Baptiste Honore Raymond Capefigue, Richelieu, Mazarin, la fronde, et le règne de Louis XIV, volume 5, Dufey, 1835 Alire
    28. Paul Guynemer, L'isolement de Marie de Médicis au château de Compiègne en 1631, son évasion : d'après des manuscrits inédits, Progrès de l'Oise (Compiègne), 1911 A lire
    29. Badier, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume ... On a joint ... le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice de..., Édité chez la veuve Duchesne... et l'auteur, 1774 - archive de l'université de Gand A lire
    30. Richard de Bury,Richard Girard de Bury, Histoire de la vie de Louis XIII, roi de France et de Navarre, volume 2, Saillant, 1768 A lire
    31. Dictionnaire de la conversation et de la lecture, volume 10, Belin-Mandar, 1833 - A lire
    32. Joseph Dutens, Histoire de la navigation intérieure de la France: avec une exposition des canaux à entreprendre pour en compléter le système..., A. Sautelet et Cie, 1829 -A lire
    33. Edme Théodore Bourg Saint-Edme - Itinéraire des bateaux à vapeur de Paris au Havre, avec une description statistique et historique des bords de la Seine: suivi d'un guide du voyageur, précédé d'une notice historique sur le chemin de fer de Paris à Saint-Germain..., E. Bourdin, 1812 - archive de la New York Public Library A lire
    34. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    35. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
    36. « Annuaire statistique département du nord année 1807 », p. 130-131.
    37. « Jean-Luc Fasciaux a été réélu maire à l’unanimité à Estrun », La Voix du Nord,  : « À l’unanimité, Jean-Luc Fasciaux a été réélu maire. »
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrun (59219) », (consulté le ).
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    43. Notice no PA00107520, base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. https://www.persee.fr/doc/rnord_0035-2624_1973_num_55_216_3165
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