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Esclavelles

Esclavelles est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Esclavelles
Esclavelles
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Communauté Bray-Eawy
Maire
Mandat
Denis Gueville
2020-2026
Code postal 76270
Code commune 76244
DĂ©mographie
Gentilé Esclavellais, Esclavellaises
Population
municipale
385 hab. (2020 en augmentation de 2,39 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 42â€Č 28″ nord, 1° 23â€Č 21″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 236 m
Superficie 9,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de NeufchĂątel-en-Bray
LĂ©gislatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Esclavelles

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le village : Ă  droite l'Ă©glise & Ă  gauche la mairie

    La commune est un village rural situĂ© au carrefour de l'ancienne RN 28 et du tracĂ© initial de la RN 15 (actuelles RD 928 et RD 915), et jouxtant la ForĂȘt d'Eawy.

    Le village se trouve Ă  33 km au sud-est de Dieppe, Ă  38 km au nord-est de Rouen et Ă  60 km au nord-ouest de Beauvais.

    Elle dispose d'un accĂšs sur l'Autoroute A28.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par plusieurs ruisseaux, dont le Radegueule et le Vingtlaine, affluents de la Béthune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 875 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  38 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Esclavelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (99 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (99 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (59,3 %), terres arables (39,7 %), forĂȘts (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Hameaux et Ă©carts

    La commune compte de nombreux hameaux ou écarts : Les Hayons, Les Défens, la Folie, le mont Edeline, La Loquette, Beauséjour, Radegueule, le Mont Rémont, Rochard

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Esclaveles entre 1017 et 1021, Sclavellis vers 1065[21] - [22], Esclavelles en 1400 et 1402 (Arch. S.-M. tab. Rouen reg. 9 f. 21)[23].

    Du gallo-roman sclavu « slave » (latin médiéval Sclavus « slave », moyen français Sclave « Slave »); ce nom évoquerait un établissement de Slaves de l'époque du Bas-Empire romain[22]. Cependant, selon Albert Delahaye, il s'agirait d'une confusion avec les Slavi désignant un peuple germanique mentionné par Aimoin de Fleury[24], mais mal documenté.

    Histoire

    Carte postale du village (oblitération de 1906).

    On a retrouvĂ© un dĂ©pĂŽt de monnaies en or qui fut vendu vers 1803, ainsi que des antiquitĂ©s et mĂ©dailles romaines trouvĂ©es en grand nombro au harneau de Morimont et conservĂ©es au musĂ©e de NeufchĂątel, avec entre autres un vase en terre noire contenant trois cent quatre-vingts monnaies d'Antonin, de Faustine, de Marc-AurĂšle, de Trajan, d'Adrien, de Commode et de Septime-SĂ©vĂšre, dĂ©couvert en 1835, et quatre cent trente-huit monnaies de bronze du Haut-Empire renfermĂ©es dans un vase, dĂ©couvertes la mĂȘme annĂ©e dans un ancien chemin dĂ©nommĂ© rue aux vaches entre le plateau des Hayons et la route de Dieppe. Un grand nombre de tuiles Ă  rebord antiques ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es en 1853 prĂšs de la nationale 28[25] - [26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Neufchùtel-en-Bray[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui n'est plus qu'une circonscription électorale et dont la commune est fait toujours partie, est modifié, passant de 23 à 70 communes.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Pays Neufchùtelois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1998 et qui succédait à l'ancien SIVOM de Neufchùtel, constitué le 26 octobre 1977.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopĂ©ration intercommunale prĂ©vu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], celle-ci a fusionnĂ© avec la communautĂ© de communes de Saint-SaĂ«ns-Porte de Bray et huit communes issues de la communautĂ© de communes du Bosc d'Eawy pour former le la communautĂ© Bray-Eawy, dont est dĂ©sormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1816 Pierre-Étienne-Georges Patry[29]
    1902 Le Blond
    maire en 1941[30] Henri Carpentier
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1974 Camille Joly
    avant 1981 ? Lucien Trousse
    mars 2001 mars 2014 RĂ©my Caillet
    mars 2014 juin 2019[31] André Vieuxbled Décédé en fonction
    septembre 2019[32] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Denis Gueville RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[33]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 385 habitants[Note 8], en augmentation de 2,39 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    621619687603606580580556535
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    536536501484463460415462455
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    443433407372401419479446388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    430390348363328308355369373
    2018 2020 - - - - - - -
    377385-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Petite enfance

    La Maison d’assistantes maternelles (MAM) associative Baby Safaris a ouvert en fĂ©vrier 2021[37]

    Culture locale et patrimoine

    Plaque placée à l'entrée du porche de l'église.

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame.
    • Des circuits de randonnĂ©e ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s dans la commune.
    • Paysage de la commune
      Paysage de la commune
    • Maison ancienne.
      Maison ancienne.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • balisage de chemins de randonnĂ©e.
      balisage de chemins de randonnée.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre-Étienne-Georges Patry (30 avril ou 1er mai 1743 - Paris, 8 juillet 1820), auteur de La crĂ©ation d'Éve, conte moral et historique (Didot l'aĂźnĂ©, Paris, 1806), y vĂ©cut dans son domaine du Mont-Édeline. Il fut maire de la commune jusque juin 1816[29] - [38].
    • Bernard Oli Ziguinchor Casamance, soldat au 53e rĂ©giment d'infanterie coloniale sĂ©nĂ©galaise (RICMS), Mort pour la France, et un autre soldat sĂ©nĂ©galais restĂ© inconnu, exĂ©cutĂ©s en juillet 1940 au dĂ©but de l'occupation Nazie par une unitĂ© d'aviation allemande en cantonnement aux Hayons, parce qu'africains. La commune leur a donnĂ© en 1941 une sĂ©pulture dĂ©cente dans le cimetiĂšre communal, et une plaque honore dĂ©sormais leur mĂ©moire devant le monument aux morts[30].
    • Paul Lesueur, Jean Auriol, Christian Barrais, Louis Fromager et Maurice Maugis, rĂ©sistants fusillĂ©s par les Allemands le , deux jours avant la libĂ©ration du pays de Bray par les soldats canadiens[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Esclavelles », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Esclavelles et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Esclavelles et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p 139.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150 passage=73)
    23. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 346.
    24. Albert Delahaye, « Les rÚgles de la toponymie, La Germania est la Flandre française, La Frisia et la Saxonia, Les Dani de Normandie », sur http://archief.semafoor.info/DocumentHandler.ashx?Dir=Other_PDF&File=WKIIFR, (consulté le ), p. 196 - Note 267-1.
    25. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen,, Paris, Imprimerie nationale, , 652 p. (lire en ligne), p. 236-237, lire en ligne sur Gallica.
    26. « ArchĂ©ologie (supplĂ©ment) », L'Écho du monde savant, no 67,‎ , p. 321 (lire en ligne, consultĂ© le ); lire en ligne sur Gallica.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    29. Louis Bergeron et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire: notices de biographie sociale, CNRS Éditions, 1993, p.71-72
    30. « DaniĂšle Capot ressuscite le souvenir de deux tirailleurs sĂ©nĂ©galais enterrĂ©s Ă  Esclavelles : DaniĂšle Capot vient de rĂ©diger un article sur l'histoire de deux tirailleurs sĂ©nĂ©galais enterrĂ©s Ă  Esclavelles. Ils ont Ă©tĂ© tuĂ©s en 1940. A l'approche du 8 mai, le Souvenir français exhume cette histoire », Le RĂ©veil, no 3657,‎ , p. 9 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. « AndrĂ© Vieuxbled, maire d'Esclavelles, est dĂ©cĂ©dĂ© : Maire d'Esclavelles, AndrĂ© Vieuxbled, est dĂ©cĂ©dĂ© vendredi 21 juin 2019, Ă  l'Ăąge de 72 ans, des suites d'une maladie », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle - Oise - Somme, no 3612,‎ , p. 11 (lire en ligne, consultĂ© le ) « Elu conseiller municipal il y a 25 ans, AndrĂ© Vieuxbled avait ensuite occupĂ© le poste de premier adjoint pendant 2 mandats. Il Ă©tait maire depuis 2014 ».
    32. « Esclavelles : Denis Gueville a Ă©tĂ© Ă©lu maire le 12 septembre 2019 : Le nom du successeur du dĂ©funt maire d'Esclavelles AndrĂ© Vieuxbled, prĂšs de NeufchĂątel-en-Bray, est dĂ©sormais connu. Il s'agit de l'ancien premier adjoint, Denis Gueville », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Denis Gueville, 1er adjoint et maire par intĂ©rim depuis le dĂ©cĂšs d’AndrĂ© Vieuxbled, Ă©tait le seul candidat au poste de maire. Il a Ă©tĂ© Ă©lu avec 10 voix. Delphine Angreville a obtenu une voix ».
    33. « Á Esclavelles, Denis GuĂ©ville a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire : Denis GuĂ©ville a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire d'Esclavelles en dĂ©but de semaine. Il est entourĂ© de deux adjoints : Jean-Marc ClĂ©ment et Vincent Trousse », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Denis GuĂ©ville qui avait succĂ©dĂ© Ă  AndrĂ© Vieuxbled dĂ©cĂ©dĂ© en juin 2019, s’est reprĂ©sentĂ© en tant que maire ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « PrĂšs de NeufchĂątel-en-Bray : lancĂ© il y a peu, Baby Safaris accueille les enfants jusqu'Ă  3 ans : MalgrĂ© quelques problĂšmes avant d'ouvrir leur Maison d'assistantes maternelles, Axelle et CĂ©line n'ont rien lĂąchĂ©. Leur association Baby Safaris pouvait alors ĂȘtre crĂ©Ă©e », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    38. Félix Clérembray, Pocholle, troisiÚme sous-préfet de Neufchùtel-en-Bray, Patry, maire d'Esclavelles, et le préfet Beugnot, épisodes de l'affaire Cadoudal : extraits documentés d'une biographie manuscrite de Pocholle, Rouen, Lestringant, , 30 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
    39. « Esclavelles: recueillement devant la stĂšle des fusillĂ©s », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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