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Ensuès-la-Redonne

Ensuès-la-Redonne [ɑ̃sɥɛs la ʁədɔn] est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ensuès-la-Redonne
Ensuès-la-Redonne
Panorama de La Redonne.
Blason de Ensuès-la-Redonne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Istres
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Michel Illac
2020-2026
Code postal 13820
Code commune 13033
Démographie
Gentilé Ensuénens
Population
municipale
5 739 hab. (2020 en augmentation de 5,28 % par rapport à 2014)
Densité 222 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 21″ nord, 5° 12′ 15″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 238 m
Superficie 25,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ensuès-la-Redonne
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marignane
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Ensuès-la-Redonne
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Ensuès-la-Redonne
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Ensuès-la-Redonne
Liens
Site web http://www.mairie-ensues.fr

    Géographie

    Situation

    Ensuès-la-Redonne appartient au canton de Châteauneuf-Côte-Bleue et à l'arrondissement d'Istres. Il se situe à 17,9 km de Marseille, à 4,4 km de Carry-le-Rouet et à 25,4 km[1] d'Istres.

    Le village est construit dans une cuvette et séparé de la côte par le plateau de Graffiane.

    Sur le littoral de la Côte Bleue, plusieurs calanques, ports, criques ou abris se situent sur le territoire d'Ensuès-la-Redonne : la madrague de Gignac, la Redonne (et son port), les Figuières, les calanques du Petit Méjean et du Grand Méjean, etc. Une grande partie des terrains de la commune sont protégés par le Conservatoire du littoral, 80 % étant recouverts de garrigues[2].

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    Le village est longé par la route départementale 5, qui permet de joindre Marseille par le Rove et l'Estaque à l'est, Carry-le-Rouet et l'autoroute A55 à l'ouest.

    Les calanques ne sont accessibles en voiture que par un embranchement de cette route, qui descend par le vallon de la Graffiane puis se faufile entre les reliefs rocheux de la côte.

    La gare de La Redonne-Ensuès, qui domine la calanque de la Redonne, permet de rejoindre la Marseille-Saint-Charles en 25 minutes en moyenne (15 liaisons par jour en semaine), tout en profitant du spectacle de la Côte Bleue.

    Climat

    Ensuès-la-Redonne possède un climat méditerranéen : les hivers y sont doux, les étés chauds, les précipitations relativement peu abondantes et l'ensoleillement très important. Le vent qui domine est le mistral ; néanmoins, la proximité de la mer provoque occasionnellement la venue d'une couverture nuageuse et d'entrées maritimes.

    Le tableau ci-dessous indique les relevés de températures et de précipitations effectués par la station Météo-France de Marignane pour la période 1971-2000 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 11,2 12,6 15,3 17,7 22,2 26,1 29,5 29,2 25,3 20,3 14,7 12,0 19,7
    Températures moyennes (°C) 7,1 8,3 10,7 13,1 17,4 21,1 24,1 24,0 20,4 16,0 10,8 8,1 15.1
    Températures minimales (°C) 3,0 3,9 6,0 8,5 12,6 16,0 18,7 18,7 15,5 11,6 6,8 4,1 10,5
    Précipitations (hauteur en mm) 54 44 40 58 41 25 13 31 61 85 51 52 554,5
    Source: Météo France / Station de Marignane

    Urbanisme

    Typologie

    Ensuès-la-Redonne est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ensuès-la-Redonne, une unité urbaine monocommunale[6] de 5 739 habitants en 2020, constituant une ville isolée[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (63,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (12,9 %), zones urbanisées (12,2 %), forêts (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %), terres arables (0,2 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Histoire

    Toponymie

    Comme dans grand nombre de cas, plusieurs suppositions existent quant au nom actuel d'Ensuès-la-Redonne. Le toponyme Ensuès pourrait être inspiré :

    • du latin solium, « petite baignoire » ;
    • du celtique sego, « citadelle » ;
    • du vieux provençal essueio signifiant « mare à fumier » ou « fosse à chaux ».

    En provençal le nom moderne est Ensuè[16] - [17].

    La Redonne est la francisation du provençal la Redouno[18] - [19], soit "la Ronde", caractérisant soit la forme ancienne de la calanque[20] soit celle de la petite colline qui la surplombe et que l'on retrouve dans la Calanque du Puy. Puy, püech etc. désignant des hauteurs.

    La madrague, madrago en provençal[21], désigne le dispositif de pêche côtier au thon. Celui-ci circulait dans la Méditerranée toujours dans le même sens, proche des côtes et était intercepté par des filets partant de la côte vers la mer.

    Méjean, valméjeanne : préfixe mé- = mauvais

    caucarrières : préfixe ligure kal/gal/kar/kra désignant la pierre, comme à Carry

    Antiquité

    Des sépultures sous tuiles ont été découvertes sur le territoire d'Ensuès-la-Redonne ainsi que des amphores[22]. Un petit dolmen a également été découvert plus récemment dans le vallon de Saint-Antoine. Quoique connu depuis longtemps par les habitants de la calanque, ce dernier n'avait jamais été recensé officiellement. Il porte désormais le nom de son inventeur : Gérard Chevé.

    XVe siècle : le hameau

    Les premières apparitions du nom Ensuès se trouvent dans des écrits relatifs au rattachement de la Provence au Royaume de France sous Louis XI de France aux alentours de 1481[23]. Le village semblait alors occupé périodiquement par des bergers. C'est seulement en 1540 que le nom d'Ensuès apparaît dans la liste des paroisses dépendant du diocèse d'Aix-en-Provence[24].

    On constate peu d'évolution au niveau du peuplement d'Ensuès-la-Redonne pendant plus de quatre siècles : 100 à 400 habitants y vivent.

    Leurs moyens de subsistance ainsi que leur économie sont fondés sur les atouts méditerranéens : le climat permet la culture de l'olivier et de la vigne ainsi que l'élevage de chèvres et de porcs et la proximité de la mer rend possible le développement de la pêche.

    Une administration compliquée

    Le hameau est en effet administrativement scindé en deux parties : alors que l'ouest est rattaché Chateauneuf-les-Martigues, l'est dépend de Gignac-la-Nerthe (jusqu'en 1835, date où Le Rove acquiert le statut de commune et prend en charge Ensuès-la-Redonne).

    À la suite des difficultés de gestion occasionnées par cette dichotomie, l'accession d'Ensuès au rang de commune à part entière est demandée dès 1850.

    Parallèlement, l'école tenue par des religieuses devient laïque en 1893 ; néanmoins, elles conservent l'éducation des filles. Elles sont congédiées en 1905. C'est en 1907 que sont créées deux écoles : une destinée aux filles, l'autre aux garçons[25].

    16 mai 1933 : le village accède au statut de commune

    Par décret du 16 mai 1933, la commune d'Ensuès-la-Redonne voit officiellement le jour. Les premières élections ont lieu en juin 1933 et Auguste Gouiran devient le premier maire du village. Le bâtiment abritant actuellement la Poste accueillit alors conjointement la mairie et le service des postes dès 1936.

    En 1953 sont réunies l'école des filles et celle des garçons[26].

    Héraldique

    Armes d'Ensuès-la-Redonne

    Blasonnement :

    D'azur au dauphin couché d'argent surmonté d'une étoile des Baux, de même au chef d'or à quatre pals de gueules.

    Les armes d'Ensuès-la-Redonne furent créés par Étienne Imbert en 1933[27].

    Le « dauphin » signale la proximité de la mer. « L'étoile des Baux » fait référence à la fondation du village par des habitants de Chateauneuf-les-Martigues (qui dépendait alors du comté des Baux). Quant au « chef d'or à quatre pals de gueules », il correspond aux armes de la Provence.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1933 1945 Augustin Gouiran
    1945 1947 Auguste Lafon
    1947 1953 Augustin Gouiran
    1953 1979 Adrien Ricaud
    1979 mars 2001 André Vardaro SE
    mars 2001 mars 2008 Marc Bernard PS
    mars 2008 en cours Michel Illac DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1936. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 5 739 habitants[Note 3], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    5034367041 0411 1921 6992 2043 0294 544
    2006 2011 2016 2020 - - - - -
    5 0965 2545 4835 739-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 26,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 775 hommes pour 2 752 femmes, soit un taux de 50,21 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,76 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,6
    5,2
    75-89 ans
    7,0
    17,5
    60-74 ans
    16,9
    24,6
    45-59 ans
    24,7
    18,4
    30-44 ans
    19,8
    16,3
    15-29 ans
    14,1
    17,8
    0-14 ans
    16,9
    Pyramide des âges du département des Bouches-du-Rhône en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,8
    7,3
    75-89 ans
    9,6
    16
    60-74 ans
    16,9
    19,8
    45-59 ans
    19,7
    18,8
    30-44 ans
    18,5
    18,6
    15-29 ans
    16,9
    18,8
    0-14 ans
    16,6

    Manifestations culturelles et festivités

    • Au mois de janvier a lieu tous les ans la fête de la Saint-Maur.

    Personnalités liées à la commune

    En 1927 l'écrivain Blaise Cendrars a vécu plusieurs mois à La Redonne, dont il était tombé follement amoureux.

    L'acteur français Édouard Baer possède aujourd'hui une résidence à Ensuès.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La calanque de l'Escalayole, entre la madrague de Gignac et la calanque des Eaux-salées.
    • L'église Saint-Maur d'Ensuès-la-Redonne d'Ensuès a été construite de 1836 à 1839. C'est en 1854 qu'est érigé son clocher[25]. Hors les offices religieux réguliers, elle accueille de temps à autre des concerts (polyphonies corses en janvier 2005 par exemple[34]).
    • La madrague de Gignac (appelée de Ginas au XVIIe siècle[35]), petit port voisin de la Redonne, bien abrité, entouré de villas. Comme les calanques voisines, l'accès y est réglementé pendant les périodes de grande fréquentation. Elle est le point de départ d'un sentier de promenade vers la calanque des eaux-salées et Carry-le-Rouet.
    • Les grottes marines de Méjean sont accessibles par un sentier pédestre qui suit la côte depuis la Redonne.
    • Les espaces de garrigue entourant la commune sont protégés par le Conservatoire du littoral.
    • Le film La Villa de Robert Guédiguian y a été tourné[36].
    • Une partie du film Azuro de Matthieu Rozé a été tournée dans la madrague de Gignac.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Domiville Calcul de distances à vol d'oiseau
    2. Provenceweb Ensuès-la-Redonne sur Provenceweb
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Ensuès-la-Redonne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Le Trésor du Félibrige, Frédéric Mistral, tome 1 p. 939, édidions CPM 1979
    17. Sang et or, Rémi Venture, p. 114, Obersavtoire de la langue et de la culture provençales, 2014
    18. Le Trésor du Félibrige, Frédéric Mistral, tome 2 p. 731, édition CPM 1979
    19. Dictionnaire français-provençal Jules Coupier, p. 1251, collectif Prouvènço 2009
    20. http://www.parcmarincotebleue.fr/Page%20actualite/2013/Compte%20rendu%20Ensu%E8s.pdf
    21. Le Trésor du Félibrige, Frédéric Mistral, tome 2 p. 243
    22. « QUID »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)Ensuès-la-Redonne sur le Quid
    23. A.D.I.E.R, Association de Défense des Intérêts d'Ensuès-la-Redonne Historique du village
    24. Ensues.com Diapositives sur l'histoire d'Ensuès-la-Redonne : "La Renaissance"
    25. Ensues.com Diapositives sur l'histoire d'Ensuès-la-Redonne : "Les grands conflits"
    26. Ensues.com Diapositives sur l'histoire d'Ensuès-la-Redonne : "Une commune à part entière"
    27. Origines du blason d'Ensuès-la-Redonne et Armoiries des communes de Marseille Provence Métropole Ouest
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ensuès-la-Redonne (13033) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Bouches-du-Rhône (13) », (consulté le ).
    34. Barbara Furtuna Polyphonies corses
    35. Page personnelle sur la commune et ses alentours La madrague de Gignac
    36. (en) La Villa, IMDb. Consulté le 3 mai 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Denis Berthelot & Jérôme Dubois, « Quand le rapport à la mer organise les inégalités résidentielles (Ensuès-la-Redonne, Côte Bleue, Bouches-du-Rhône) », chap. 2 de Inégalités écologiques, territoires littoraux & développement durable, sous la direction de Philippe Deboudt, Presses Universitaires du Septentrion, 2018, pp. 133–156 (OpenEditions - en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

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