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Châteauneuf-les-Martigues

Châteauneuf-les-Martigues est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Châteauneuf-les-Martigues
Châteauneuf-les-Martigues
Châteauneuf-les-Martigues vue de la Vierge noire.
Blason de Châteauneuf-les-Martigues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Bouches-du-RhĂ´ne
Arrondissement Istres
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Roland Mouren
2020-2026
Code postal 13220
Code commune 13026
DĂ©mographie
Gentilé Châteaunevaise, Châteaunevais
Population
municipale
17 809 hab. (2020 en augmentation de 25,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 563 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 23′ 02″ nord, 5° 09′ 54″ est
Altitude 40 m
Min. 0 m
Max. 203 m
Superficie 31,65 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Marignane
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Châteauneuf-les-Martigues
Liens
Site web www.chateauneuf-les-martigues.fr

    Ses habitants sont appelés les Châteaunevais.

    GĂ©ographie

    Situation

    Châteauneuf-les-Martigues se situe au sud du département, sur la côte sud de l'étang de Berre.

    Plan de situation de la commune de Châteauneuf-les-Martigues.

    Climat

    Aucune donnée propre à la commune. Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations relevées par MétéoFrance à la station de Marignane sur la période 1981-2010 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 19,9 22,4 25,4 29,6 34,9 39,6 39,7 39,2 34,3 30,4 25,2 20,3 20,2
    Températures moyennes (°C) 7,4 8,1 11 13,9 18 21,9 24,8 24,4 20,6 16,7 11,2 8 15.5
    Températures minimales (°C) -12,4 -16,8 -10 -2,4 0 5,4 7,8 8,1 1 -2,2 -5,8 -12,8 10,8
    Précipitations (hauteur en mm) 48 31,4 30,4 54 41,1 24,5 9,2 31 77,1 67,2 55,7 45,8 515,4
    Source: Météo France[1] / Station de Marignane

    GĂ©ologie, relief

    Cavités connues sur la commune

    Le trou Fifou no 1 est situé au sud de l'échangeur de la Mède E, dans le front de taille d' une carrière désaffectée, à 10 m. de hauteur dans l'angle E de la carrière. La cavité s'ouvre avec une lucarne donnant sur un puits incliné de m ; elle se termine par un court boyau colmaté de sable[2].

    Le trou Fifou no 2 est situĂ© sur une petite ligne de crĂŞte environ 200 m au sud-sud-ouest du pont de l'Ă©changeur de la Mède-E. Son ouverture Ă©troite collecte une rigole creusĂ©e dans la dalle rocheuse. C'est une ancienne conduite forcĂ©e, en partie obstruĂ©e par les apports extĂ©rieurs[2].

    La baume du Figuier est situĂ©e Ă  200 m au sud de l'A55, et Ă  une centaine de mètres Ă  l'ouest du dernier rĂ©servoir d'eau, et de l'abri prĂ©historique de Châteauneuf. Cette conduite forcĂ©e de m de diamètre et de 55 m de long, se termine avec un colmatage de pierres. L'amont de la cavitĂ© se prolonge en extĂ©rieur par un petit canyon[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauneuf-les-Martigues est une commune urbaine[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[6] et 1 618 479 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (38 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (40,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (19,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), zones urbanisées (12,1 %), eaux maritimes (11,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,1 %), mines, décharges et chantiers (8,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,9 %), zones humides intérieures (1,9 %), prairies (1,4 %), cultures permanentes (0,9 %), terres arables (0,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Histoire

    Préhistoire et protohistoire

    Dès le VIIe millénaire av. J.-C., des hommes de la période du Mésolithique s’étaient installés dans les abris sous roche et notamment celui aujourd'hui dénommé le Grand Abri de la Font-aux-Pigeons[16] (Mésolithique tardif - ~6460–6200 cal BC - et culture cardiale - ~5260–4860 cal BC -, la rupture dans la séquence stratigraphique étant due à l'érosion vers le milieu du VIe millénaire[17]), découvert en 1899[18] - [19].

    La grotte Sicard, une grotte sépulcrale, date de la culture cardiale (Néolithique ancien)[20] - [19].

    La commune possède également plusieurs sites protohistoriques, ainsi le site du Fortin-du-Saut (campaniforme[21]), celui du Camp de Laure (sur Le Rove[22] ; perduration du campaniforme rhodano-provençal[23]) et l'oppidum des Fourques (IIIe et IIe siècles av. J.-C.)[19] - [24] - [25] - [26].

    Moyen-Ă‚ge

    À l’époque féodale, Châteauneuf est connu par son château, le Castrum Novum, mentionné dès le XIe siècle. Le village s'est développé à son pied. Son nom occitan, Castèunòu dau Martegue, rappelle son appartenance à la catégorie des Castelnaus médiévaux.

    Propriété des comtes des Baux à la fin du XIIIe siècle, la terre et seigneurie de Châteauneuf-les-Martigues passa à la Reine Jeanne, comtesse de Provence, en 1373, à Charles d’Anjou en 1452, à François de Luxembourg en 1481.

    Temps modernes

    Au XVIIIe siècle, les derniers seigneurs de Châteauneuf appartenaient à la famille de Seytres-Vaucluse-Caumont.

    XXe siècle

    L’ingénieur marseillais Henri Fabre a réalisé le 28 mars 1910 le premier vol en hydravion : 6 kilomètres au-dessus l’étang de Berre entre La Mède et Martigues[27].

    Politique et administration

    L'hĂ´tel de ville.

    Tendances politiques et résultats

    La commune, traditionnellement située à gauche, a élu en 2014 un maire de droite, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale. La liste « divers droite » de Roland Mouren a obtenu la majorité absolue dès le premier tour, tandis que la liste du maire sortant, Vincent Burroni, député PS, soutenue par le PCF et EELV, ne recueillait que 35 % des voix[28].

    La ville est sujette, depuis les années 1990, à une poussée du vote Front National analogue à celle des communes voisines. Ainsi à l'élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen arrivait en tête au 1er tour avec 41,12 % des voix, remportant la commune au second tour avec 59 % des voix[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1900 1904 Adrien Morin
    1904 1906 Victor Camoin
    1906 1912 CĂ©lestin Gamaud
    1912 1927 Germain Clairin
    1927 1929 Sylvain Guichet
    1929 1933 Jean Gidde
    1933
    (démission)
    Albert Laget[30] SFIO Boucher
    1940[31]
    (révocation)
    Armand Audibert[32] SFIO Entrepreneur
    1940 1944 Victor Aubert
    1944 1970 Armand Audibert[32] SFIO Entrepreneur
    Conseiller général de l'ancien canton de Martigues (1951 → 1970)

    (démission)
    Henri d'Attilio[33] PS Cadre retraité de l'Aérospatiale
    Député de la 12e circonscription des Bouches-du-Rhône (1988 → 1998)
    Sénateur des Bouches-du-Rhône (1998 → 2004)
    Conseiller général du canton de Châteauneuf-Côte-Bleue (1992 → 2004)
    Vincent Burroni PS Chimiste
    Député de la 12e circonscription des Bouches-du-Rhône (1998 → 2002 puis 2012 → 2017)
    Conseiller général du canton de Châteauneuf-Côte-Bleue (2004 → 2012)
    En cours Roland Mouren LR Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.[34]

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[35].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 17 809 habitants[Note 4], en augmentation de 25,89 % par rapport Ă  2014 (Bouches-du-RhĂ´ne : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5715274834777149579919841 033
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1501 2201 2271 2411 2051 0131 0841 1001 125
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0731 1641 4881 3711 5231 6032 3252 5363 611
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 8226 7818 60010 17310 91111 37511 82912 26616 349
    2020 - - - - - - - -
    17 809--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • « Festival sous les pins » (musique, voix et humour), chaque annĂ©e en juillet depuis 28 ans. En 2014, Roland Magdane, Michel Jonasz, Pascal Obispo, entre autres[39].
    • Le cross des gazelles : un cross organisĂ© tous les ans, au mois d'octobre, pour les jeunes scolarisĂ©s en Ă©lĂ©mentaire et en grande section de maternelle.
    • Le week-end du sport en famille, au centre Ă©questre du JaĂŻ, en liaison avec le comitĂ© dĂ©partemental olympique sportif des Bouches-du-RhĂ´ne.
    • Expo-concours « Arts en fĂŞte », en octobre, ouverte Ă  toutes les techniques artistiques.
    • Americain Fair : Festival de la culture amĂ©ricaine qui est organisĂ© chaque annĂ©e au mois de juin.
    • Festival des Food Trucks.

    Économie

    La raffinerie de pétrole de la Mède est à cheval sur les communes de Martigues et de Châteauneuf. De la Mède une liaison ferroviaire est assurée sur voie départementale par la Régie départementale des transports des Bouches-du-Rhône (RDT 13) vers la gare de Pas-des-Lanciers, à l'est de Marignane, où s'effectue la jonction avec le réseau ferroviaire national. Chateauneuf-les-Martigues est une petite ville mais très dynamique pour ces diverses commerces. L'economie est bien maintenue dans la cité.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Sur la commune se trouve l'abri-sous-roche de la Font-des-Pigeons, site occupĂ© depuis le MĂ©solithique (6000 av. J.-C.) jusqu'Ă  l'âge du bronze (v. 1800 av. J.-C.), et Ă©ponyme d'un faciès culturel de la prĂ©histoire appelĂ© le Castelnovien. L'association qui gère le site a crĂ©Ă© un musĂ©e dans l'ancienne demeure des Seytres-Caumont[40].
    • La moitiĂ© ouest de l'Ă©tang de Bolmon et du lido du JaĂŻ se trouvent sur la commune, sĂ©parĂ©s du reste du territoire par le canal de Marseille au RhĂ´ne. Le site du Bolmon et du JaĂŻ est protĂ©gĂ© par le Conservatoire du littoral et le Syndicat intercommunal du Bolmon et du JaĂŻ (SIBOJAI) depuis 20 ans. Il inclut les marais situĂ©s au sud du canal, et notamment la rĂ©serve ornithologique de Barlatier[41].
    • Monument commĂ©moratif en l'honneur de Henri Fabre, qui fit voler le premier hydravion au monde.
    • PĂ´le culturel Jean-Claude-Izzo.
    L'Ă©glise Sainte-CĂ©cile.
    • La chapelle Sainte-CĂ©cile est le plus ancien Ă©difice religieux du territoire de la commune. Probablement construite sur l’emplacement d’un monument paĂŻen, elle remonterait au VIIIe siècle.
    • L’église paroissiale Sainte-CĂ©cile, de style nĂ©o-gothique, consacrĂ©e en 1853. Campanile en fer forgĂ© ; Ă  l’intĂ©rieur une chaire en bois sculptĂ©, deux tableaux : martyre de saint Denis (anonyme, XVIIIe siècle), sainte CĂ©cile musicienne.
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l’Étang, Ă  la Mède, moderne.
    • La statue de la Vierge Noire, sur son promontoire (table d'orientation).
    • Les « Trois frères », groupe de rochers Ă©mergeant de l’eau de l’étang de Berre, près de l’anse de La Mède.
    • Les vallons du Saut et le Valtrède, dans la chaĂ®ne de la Nerthe, au sud de la commune. Paysages calcaires prĂ©sentant des curiositĂ©s (grotte, parois rocheuses, roche percĂ©e, aiguilles), mais aussi des traces de l’activitĂ© agricole, sylvestre et pastorale passĂ©e.
    • Au-dessus de l'actuelle commune de Châteauneuf-les-Martigues se trouve une grande roche calcaire formĂ©e au crĂ©tacĂ© infĂ©rieur (146 ma Ă  100 ma de notre ère) de 100 mètres de long et de 17 mètres de haut. Cette roche abritait entre 6500 et 2500 avant notre ère (Castelnovien) les premiers habitants de la commune. Ce site est le plus ancien du pourtour de l'Ă©tang de Berre, il a Ă©tĂ© dĂ©couvert en 1899 par J. Repelin (gĂ©ologue). Les peuples vivaient de la chasse des animaux ainsi que de la pĂŞche et des rĂ©coltes de fruits[42]. Les archĂ©ologues ont effectuĂ© de nombreuses fouilles. Parmi les vestiges, ont Ă©tĂ© trouvĂ©s des restes d'outils de pĂŞche (notamment les restes carbonisĂ©s de nasse). Il y a peu de restes d'outils en os car ceux-ci sont rares Ă  cette Ă©poque, ce sont principalement les pierres qui sont utilisĂ©es [43].

    Personnalités liées à la commune

    • Rostaing de Sabran, viguier de Marseille de 1323 Ă  1324, fut seigneur de Châteauneuf[44].
    • Henri Fabre, ingĂ©nieur français, inventeur de l'hydravion.
    La gare de la Mède.

    HĂ©raldique

    Armes de Châteauneuf-les-Martigues

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    « D'azur, à un château d'argent, fermé et maçonné de sable, flanqué à dextre d'une grosse tour quarrée aussi d'argent, maçonnée de sable, sur une terrasse d'argent. »

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « meteofrance.com/climat/france/… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    2. « Cavités dans les Bouches-du-Rhône », sur cdsc13.fr, Comité départemental de canyonisme et spéléologie des Bouches du Rhône (consulté le ).
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « Le Mésolithique : les derniers chasseurs cueilleurs », sur castrum-vetus.fr (consulté le ).
    17. [Binder et al. 2017] (en) Didier Binder, Janet Battentier, Claire Delhon et Ingrid Sénépart, « In pursuit of a missing transition: the Mesolithic and Neolithic radiocarbon chronology at La Font-aux-Pigeons rockshelter », Antiquity, vol. 91, no 357,‎ , p. 605-620 (lire en ligne [PDF] sur pdfs.semanticscholar.org, consulté le ).
    18. « L'association Castrum-Vetus », sur castrum-vetus.fr (consulté le ).
    19. « Châteauneuf-les-Martigues », Photothèque Archéologie, sur patrimages.culture.gouv.fr (consulté le ).
    20. [Beyneix 1997] Alain Beyneix, « Les sépultures cardiales et épicardiales de France méridionale », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 94, no 2,‎ , p. 191-197 (lire en ligne [sur persee]), p. 194.
    21. [Furestier et al. 2007] Robin Furestier, Jessie Cauliez, Nathalie Lazard, Olivier Lemercier, Muriel Pellissier et Jean Courtin, « 1974-2004 : le site du Fortin-du-Saut (Châteauneuf-les-Martigues, Bouches-du-Rhône) et le Campaniforme 30 ans après », dans J. Evin (dir.), Un siècle de construction du discours scientifique en Préhistoire (Compte-rendu du Congrès du centenaire), (www.academia.edu/download/32485119/Furestier_et_al._2007.pdf [PDF] sur academia.edu), p. 21-25.
    22. « Camp de Laure, carte IGN interactive » sur Géoportail.
    23. [Gasco 2001] Jean Gasco, « La datation absolue de la Protohistoire du XXIIe au VIIIe siècle avant notre ère dans le sud de la France », Documents d'archéologie méridionale, no 24,‎ (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ), paragr. 24.
    24. « Les Fourques, carte IGN interactive » sur Géoportail.
    25. [Chausserie-Laprée & Rétif 2002] Jean Chausserie-Laprée et Michel Rétif, « Villa et vicus sur le territoire de Martigues durant le Haut Empire », Revue archéologique de Narbonnaise, no 35,‎ , p. 163-194 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 165.
    26. « L'âge des métaux - Le Fortin-du-Saut, le Camp de Laure, l'oppidum des Fourques », sur castrum-vetus.fr (consulté le ).
    27. « Site de l'office de tourisme de Châteauneuf], rubrique Histoire » (consulté le ).
    28. . Didier Gidde divers a obtenu 11,26% des voix.Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du Ministère del'intérieur
    29. « Châteauneuf-les-Martigues (13220) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le )
    30. Notice LAGET Albert [LAGET Joseph, Sylvain, Albert], version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
    31. Révoqué par le gouvernement de Vichy.
    32. Notice AUDIBERT Armand par Antoine Olivesi, version mise en ligne le 10 octobre 2008, dernière modification le 10 octobre 2008
    33. Notice D'ATTILIO Henri par Jean-Claude Lahaxe, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 9 novembre 2015
    34. Guide du patrimoine, p. 17, sur le site de Châteauneuf-les-Martigues
    35. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Châteauneuf-les-Martigues, consultée le 27 octobre 2017
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Festival sous les pins sur le site de la commune
    40. Site de l'association des amis de Castrum-Vetus
    41. Site du SIBOJAI
    42. ToomaĂŻ Boucherat, Le grand abri : la vie d'un clan il y a 9000 ans en Basse-Provence, Chateauneuf les Martigues, Actilia Multimedia, , 57 p. (ISBN 978-2-915097-29-0), La Font des Pigeons
    43. ToomaĂŻ Boucherat, Le grand abris, Font aux pigeons, actilia multimedia, , !57 (ISBN 978-2-915097-29-0), p. 10 Ă  12
    44. Ruffi, Marseille, p. 220

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