Accueil🇫🇷Chercher

Couturelle

Couturelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Couturelle
Couturelle
La mairie.
Blason de Couturelle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Hugues Legoux
2020-2026
Code postal 62158
Code commune 62253
Démographie
Gentilé Couturellois
Population
municipale
74 hab. (2020 en diminution de 7,5 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 12′ 33″ nord, 2° 30′ 03″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 171 m
Superficie 2,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Couturelle
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Couturelle
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Couturelle
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Couturelle

    Ses habitants sont appelés les Couturellois.

    La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à 24 km au sud-ouest de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement).

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes, dont deux dans le département de la Somme :

    Communes limitrophes de Couturelle
    Coullemont
    Humbercourt
    (Somme)
    Couturelle Saulty
    Lucheux
    (Somme)

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique semi continental de type 2 »[Note 1] , selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 890 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,6 j

    Paysages

    La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [2].

    Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[3].

    Urbanisme

    Une entrée de la commune.

    Typologie

    Couturelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), forêts (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 23, D 23E et D 25[11].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à 24 km, au sud-ouest, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[12].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Couturella en 1242 (cart. de Marœuil, f° 96 r°), Le Coturele en 1299 (abb. de Saint-Vaast), Le Couturelle en 1374 (chap. d’Arr., c. Sim-Va), Cousturella au XIVe siècle (le Cart. de l’év. d’Arr., p. 129), Le Coustre lès Rebreuves en 1431 (ch. d’Art.)[13], Couturelle depuis 1793 et 1801[14].

    Diminutif du mot couture qui se retrouve fréquemment dans la toponymie ; il désignait, au Moyen Âge, parmi toutes les terres de la localité ou du domaine seigneurial, celles qui étaient mises en culture directement par le seigneur ou ses régisseurs.

    Histoire

    Avant la Révolution française, Couturelle était le siège d'une seigneurie. Par lettres données à Versailles en , la terre de Couturelle, unie au fief de Maingoval (Mingoval?), est érigée en marquisat, donnant droit à son propriétaire au titre de marquis[15].

    Seigneurs de Couturelle

    La famille Baudart a longtemps possédé la terre de Couturelle. Elle était déjà ancienne en 1589 et avait donné des preuves de son zèle à ses souverains. Elle a contracté des alliances honorables[15].

    • Vincent Baudart de Couturelle, vit au XVIe siècle. Il est capitaine en chef de la ville de Nieppe (ou Dieppe) et conserve cette place au roi Henri IV.
    • David Baudart, fils de Vincent, épouse une demoiselle de Vignon Douvencourt. Deux de ses fils servent le roi. L'un, capitaine de cavalerie avec commission de colonel et fait chevalier de Saint Louis est tué au service de son souverain. L'autre se marie avec la fille du comte Du Bus, est mayeur d'Arras, député de la noblesse pour les États d'Artois, et a en 1759 six de ses petits-fils au service.
    • Joseph Baudart, fils de David, est créé chevalier héréditaire en .
    • Charles Joseph François Baudart, chevalier, seigneur de Couturelle, Maingoval, député de la noblesse aux États d'Artois, chef de sa famille, bénéficie en de lettres données à Versailles lui conférant le titre de marquis. Il reçoit en même temps confirmation du titre de chevalier héréditaire accordé en .
    • Gérard Joseph Baudart épouse une dame Desmaretz d'une ancienne maison du Cambrésis. Trois de ses fils ont mérité d'appartenir à l'ordre de Saint Louis. De plus, leur naissance et la gloire recueillie aux combats leur permettent de faire des alliances distinguées. L'aîné, capitaine au régiment d'Aunis, actuellement Languedoc, commence à servir en 1730 en Corse. Il fait la campagne de Courtrai en 1744, celle d'Allemagne en 1745-1746, après les sièges de Mons, Charleroi, le siège de Namur. Il participe à la bataille de Rocourt, puis au Piémont à l'affaire de LÅ“sserette où il est dangereusement blessé, ce qui lui vaut une gratification du roi. Il a épousé une de Vignacourt, petite-nièce du grand-maître de l'ordre de Malte (Ordre de Saint-Jean de Jérusalem). Le second, appelé Le Chevalier de Couturel, major au régiment de Rohan-Rochefort, participe à la bataille d'Étringue où il est blessé, aux batailles de Tournai, Rocourt, Lanfeld. Il se distingue au siège de Berg-op-Zoom où il commande sous les ordres du colonel le jour de l'assaut de la ville et s'empare avec son régiment de la porte par où l'ennemi se retire. Il commande en qualité d'aide-major, chargé du détail de l'armée, à l'attaque du fort Philippe à Minorque. Cela lui vaut une pension. Il prend alliance avec une demoiselle Duglas, sÅ“ur de l'ancien colonel du régiment du Languedoc, brigadier du roi. Le troisième sert depuis 1741. Il est capitaine au régiment de Belsunce de 1745 jusqu'en 1748. Il participe à la dernière campagne militaire et assiste à un grand nombre de sièges et de batailles. Il se marie avec la fille du baron d'Oudenhove, appartenant à une des plus anciennes maisons du Brabant[15].

    Le château classique de Couturelle, dans la rue principale, bâti au XVIIIe siècle, jouxte l'église en brique.

    Pendant la Première Guerre mondiale, le cantonnent à Bavincourt et Couturelle des troupes en provenance de la Marne, transportées en camion depuis Longueau[16]. Le 11 mai , les troupes quittent Couturelle et gagnent Fosseux et Hauteville[17].

    Le 29 mai, arrivent de nouveaux soldats d'autres régiments qui, relevés du front vont passer 15 jours sur place, pour reconstituer leurs forces (notamment, intégration des renforts à la suite des pertes subies[18].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1926, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[14].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014[19] René Tempez DVD Agriculteur retraité
    2014[20] - [21]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[22] - [23]
    En cours
    (au 9 février 2022)
    Hugues Legoux Chauffeur routier retraité

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[24].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Couturellois[25].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 74 habitants[Note 6], en diminution de 7,5 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    218209222225207213191157203
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    172197171196189157160168151
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    134154150155139131129144143
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    130126108102106879394100
    2015 2020 - - - - - - -
    7074-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 35 hommes pour 33 femmes, soit un taux de 51,47 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    5,3
    75-89 ans
    16,7
    31,6
    60-74 ans
    25,0
    21,1
    45-59 ans
    25,0
    7,9
    30-44 ans
    16,7
    23,7
    15-29 ans
    5,6
    10,5
    0-14 ans
    11,1
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Thomas-de-Cantorbéry.
    • Le château de Couturelle, détruit par un incendie dans la nuit du 27 au [31]. Il avait été construit en 1702 pour Gérard Joseph Boudart, chevalier, seigneur de Couturelle et Warlincour. L'édifice est intégralement reconstruit avec des extérieurs à l'identique et des intérieurs prévus pour l'organisation de réceptions et de séminaires. Le nouveau château de Couturelle est inauguré le [32].
    • La commune n'a pas de monument aux morts mais une plaque commémorative située dans l'église rappelle les noms des soldats tombés lors de la Première Guerre mondiale. Dans le cimetière communal, se trouvent les tombes de quatre soldats de la 55e division (West Lancashire) britannique tombés en 1916, ainsi que celles de trois soldats français[33].

    Héraldique

    [[|]]
    Blason de Blason
    D'azur au croissant d'or accompagné de trois coquilles d'argent[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat semi-continental de type 2 fait transition entre les climats de montagne et, au nord, le type 3, au sud-ouest, le type 4, au sud-est, le type 8. Il regroupe les périphéries montagnardes et s'étend sur de vastes secteurs en Bourgogne, Lorraine et Alsace où les températures sont moins froides qu'en montagne (elles sont cependant, à altitude égale, plus froides que partout ailleurs), les précipitations légèrement plus faibles et moins fréquentes, mais la variabilité climatique sur la normale 1971-2000 tout aussi élevée. Le faible rapport entre les précipitations d’automne et d’été est une autre caractéristique de ce type(Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    12. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    13. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 89-90, lire en ligne.
    16. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11e brigade : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 82, lire en ligne.
    17. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 11e brigade : J.M.O. 26 septembre 1914-26 mai 1915, p. 83, lire en ligne.
    18. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    19. Claudie Deschamps (CLP), « Bilan du maire à Couturelle : aménagement de deux parkings et travaux à achever à l’église : René Tempez, agriculteur à la retraite, termine son quatrième mandat de maire. Natif du village, il a été élu conseiller dès 197, puis maire en 1989. Après 42 ans au service de sa commune, il souhaite maintenant « laisser la place aux jeunes » et ne se représentera pas aux prochaines élections. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    21. Claudie Deschamps (CLP), « Couturelle : après l’incendie du château, la défense incendie est devenue une priorité pour le maire : Hugues Legoux, 66 ans, chauffeur routier à la retraite, est au service des Couturellois depuis 1977. Il entame son septième mandat au conseil municipal. Il a été élu maire en avril dernier », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    24. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    25. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couturelle (62253) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    31. Sophie Diers, « Deux semaines avant sa vente, le château ravagé par les flammes », L'Abeille de la Ternoise, no 8473,‎ , p. 4.
    32. « Sur l’autel de ses cendres, le château devient un haut lieu de réception », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    33. « monument aux morts de Couturelle », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    34. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.