Corcieux
Corcieux ([kɔʁsjø] , en vosgien de la montagne [kɔʁsyː]) est une commune du nord-est de la France, chef-lieu de canton du département des Vosges dans l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges, en région Grand Est.
Corcieux | |
Rue de l'Hôtel de Ville. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat |
Christian Caël 2020-2026 |
Code postal | 88430 |
Code commune | 88115 |
Démographie | |
Gentilé | Forfelet / Forfelaise |
Population municipale |
1 500 hab. (2020 ) |
Densité | 86 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 10′ 23″ nord, 6° 52′ 49″ est |
Altitude | 550 m Min. 503 m Max. 730 m |
Superficie | 17,4 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Gérardmer |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | corcieux.fr |
Ses habitants sont appelés les Forfelets.
Géographie
Situation
Corcieux est située dans la vallée du Neuné, petit affluent droit de la Vologne, à 550 m d'altitude. La commune est distante de 18 km de Saint-Dié-des-Vosges, de 15 km de Bruyères et de 15 km de Gérardmer. Le lieu est un plateau peu accidenté, en forme de large cuvette dont les altitudes restent comprises entre 503 et 730 m.
Le village a une structure étoilée, de nombreuses routes partant du centre pour desservir les divers hameaux : Bellegoutte, Rambaville, Rennegoutte, Ruxurieux, Vichibure... La gare de Corcieux-Vanémont, à 3 km du centre, se trouve sur le territoire de la commune de La Houssière.
C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges. La cité a reçu les labels Station Verte et "Patrimoine du XXe siècle".
Communes limitrophes
Géologie
Il semble acquis qu'un lac occupait cette cuvette au sortir de l'ère glaciaire, c'est-à-dire il y a moins de 10 000 ans ; certains endroits sont encore marécageux. Le glacier de calotte dans ses ultimes oscillations, retraits de déglaciation ou avancées de glaciation, a laissé des matériaux à la fois fins et mal classés, qui n'ont pas été repris par l'érosion, sauf en marge du plateau[2]. Les géologues les décrivaient autrefois sous la dénomination de diluvium et atterrissement de granit et de roche ancienne.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Neune, le ruisseau de la Goulle, le ruisseau le Bheumey, le ruisseau le Rayrand, le ruisseau le Xave, le ruisseau de Ruxurieux et le ruisseau des Bouleaux[3] - [Carte 1].
Le Neuné, d'une longueur totale de 24,5 km, prend sa source dans la commune de Gerbépal et se jette dans la Vologne en limite de Laveline-devant-Bruyères, Herpelmont, Beauménil et Champ-le-Duc, après avoir traversé sept communes[4].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Corcieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,4 %), forêts (24,6 %), terres arables (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), zones urbanisées (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1070 sous la forme Corrocello. Il est attesté ensuite sous les formes Courressuel, Colrezue, Corressue, Correceul[12] ou Correçoul dès 1246. Coursieulx s'impose sous des graphies diverses du XIVe siècle au XVIIIe siècle[12].
Auguste Longnon, Albert Dauzat et Ernest Nègre n'ont pas traité ce toponyme dans leurs ouvrages respectifs, cela signifie sans doute qu'ils le considèrent comme obscur.
Histoire
Il s'agit déjà d'un gros bourg en 1246. Le doyenné de Corcieux, selon la statistique des Vosges publiée par Charton en 1837, comprend les villages de Corcieux, Bellegoutte, Les Cours, Mariemont, La Nolneuve, Thiriville, La Houssière et La Côte. Il était sous la juridiction du duc de Lorraine et de l’église impériale des chanoinesses de Remiremont. Le duc était seul haut-justicier. L'administration ducale contrôle efficacement les impôts. En 1312, les bans de Corcieux et d'Anould, le château de Spitzemberg et ses dépendances, sont confiés en douaire à Isabelle d'Autriche.
Au spirituel, la paroisse Sainte Vierge d'Assomption fondée au XIIIe siècle dépend du chapitre de Remiremont. Au XVe siècle, les Dames de Remiremont ont la moitié de la collation principale de la cure qui dépend toutefois directement de l'autorité papale. L'autre moitié de la collation, composée de grosse dîme et de menue dîme, selon Dom Augustin Calmet, restait à la cure, faisant du curé en titre un personnage estimé s'il résidait à demeure. Nous connaissons Laurent Pillardius ou Pillard, à la fois chanoine de Saint-Dié et curé de Corcieux, décédé en 1549. Les vitraux de l'église de Corcieux montre l'auteur de la Rusticiade, ce long poème à la gloire du Duc Antoine pendant la guerre des Paysans en Allemagne. Ce poète et fin lettré ne semble pas avoir résidé vraiment à demeure, si on n'excepte quelques courtes résidences. Il devait être plus souvent à Toul.
Le curé, ou par défaut le prêtre officiant et résident médiéval, a droit au bouvrot qui consiste en deux ou trois fauchés de prés, sept jours de terre (culture) par la corvée. Le lendemain de Noël, le patron ou fermier du moulin du ban de Corcieux doit livrer un pain le lendemain de Noël. Le marguillier ou matricularius, soit le préposé au rôle ou registre (matricula) de la fabrique, doit lui fournir 28 livres de beurre, 2 chapons, 2 pains blancs et 2 pintes de vin. En retour de sa livraison, le curé en fonction l'invite à dîner.
La grande paroisse de Corcieux comporte aussi la chapelle de Gerbépal qui desservait l'arrière contrée montagneuse. Plus tard, après l'érection des églises de Gerbépal puis de Gérardmer, elle a pour annexe les églises de Gérardmer et de Gerbépal, et les chapelles de La Houssière et de Martinprey. La communauté de Gerpébal comporte 40 censes ou fermes, 8 à 10 hameaux, si on inclut Martimpré. Les habitants de Gérardmer, appartenant au ban de Gerpébal et à la paroisse annexe de Gerbépal, devaient fournir chaque année en nature à la cure de Corcieux 40 livres de beurre et 12 fromages, pour bénéficier des services spirituelles du presbytère de Corcieux. Ce n'est que le qu'ils s'affranchissent du droit de porter leurs morts au cimetière de l'église de Gerbépal. Pour la construction de la chapelle mortuaire et du cimetière gérômois, le curé de Corcieux qui doit aussi fournir le vicaire résident reçoit en dédommagement une redevance annuelle de 100 livres de fromages et de 60 livres de beurre, à charge pour lui de défrayer les deux marguilliers et le cheval effectuant la transport.
Corcieux possède aussi une maison seigneuriale qui apparaît comme un modeste château. Il est tenu par monsieur de Fléville au milieu du XVIIIe siècle. Les familles nobles présentes dans les registres paroissiaux sont depuis 1649 les :
- Roger de Fleville
- Martimprey
- Heawal
- Bildstein
- Magnières
De 1790 à l’an IX, Corcieux est chef-lieu d'un canton inclus dans le district de Bruyères. Le canton de Corcieux est ensuite rattaché à l'arrondissement de Saint-Dié. Les fromagers de Corcieux étaient bien connus dès la fin du XVIIIe siècle sur le marché de Saint-Dié.
Un camp militaire provisoire, constitué de baraques en planches, est établi en 1888 sur le territoire de la commune à la Croix-Florence. Il est agrandi en 1903 et reçoit des troupes d'infanterie et d'artillerie. Un manège y est installé jusqu'en 1912. Sur la partie nord de la commune, entre la gare et le village, un terrain d'aviation est installé durant la guerre de 1914-1918. Du au ce terrain accueille une escadrille d'observation (l’escadrille «C 47») à laquelle est affecté, du au , l'aviateur René Fonck surnommé «l'as des as»[13]
- Les casernes.
- Entrée des baraquements.
- Arrivée des réservistes.
Dès le , les maquisards de Corcieux[14] se lancent à l'attaque de l'occupant : ils sont les seuls des Vosges à répondre à l'appel de la BBC[15]. Quelques centaines d'hommes contre l'armée allemande, le combat inégal se termine par l'exécution des résistants : 70 personnes sont fusillées et 104 déportées. Malgré son échec prévisible, le baroud du maquis de Corcieux aura atteint un but : créer dans les Vosges un abcès de fixation des troupes occupantes durant les premiers jours du débarquement de Normandie.
L'Association du souvenir des événements du maquis de Corcieux (ASEMC) entretien et développe la mémoire de ces événements par des commémorations et la réalisation de "chemins de mémoire"[16]
Le , reculant après la bataille de Bruyères, les Allemands chassent la population vers la montagne sous un froid glacial et anéantissent le village au lance-flamme. Là encore, le bilan est très lourd : 37 victimes, 86 prisonniers, plus de 200 déportés. 82 bâtiments sont détruits entièrement, 12 gravement endommagés et une centaine plus légèrement[17]. Au titre de sa résistance à l'occupant et des souffrances endurées par sa population, la commune est décorée le de la croix de guerre 1939-1945 avec palmes de bronze[18].
La reconstruction de la cité s'effectue avec l'appui de l'American Aid to France, de la mairie du 8e arrondissement de Paris et des communes de Bourbon-l'Archambault (Allier), d'Auxonne (Côte-d'Or) et de La Neuveville (Suisse) sous la direction de l'architecte urbaniste parisien François-Boleslas de Jankowski. L'inauguration de la cité reconstruite a lieu le .
Politique et administration
Budget et fiscalité 2015
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :
- total des produits de fonctionnement : 2 022 000 €, soit 1 209 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 387 000 €, soit 830 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 983 000 €, soit 588 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 961 000 €, soit 575 € par habitant.
- endettement : 386 000 €, soit 231 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 24,15 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,10 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,63 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 15,57 %.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2020, la commune comptait 1 500 habitants[Note 2], en diminution de 3,85 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
Une fois toutes les trois semaines, des séances de cinéma sont proposées par l'association CLE (Corcieux Loisirs Entente) en partenariat avec le CRAVLOR. Des films classés "Art et Essai" (en version originale sous-titrée) sont présentés. Désirant ouvrir la culture cinématographique au plus grand nombre et offrir un large choix de films, cette action va dans le sens de la diversité culturelle.
En 2001, la commune a ouvert le service Animation-Jeunesse. Depuis cette date, un accueil de loisirs périscolaire, des accueils de loisirs (centre aéré) et diverses animations sont proposés à la population.
Sports
- Les associations présentes sur la commune:
- Association des Myrtilles de Corcieux[24] (club de basket-ball).
- Judo-Club
- Foot Corcieux-Granges
- USFEN (Education Nationale)
- Les Gais Godillots (association de marche)
- Le CAPS
- L'UNSS
- Corcieux Loisirs Entente (cinéma, accueil de Loisirs, danse, yoga, scrabble...)
Économie
Depuis 1931, la principale entreprise de la commune est la fromagerie Marcillat, qui produit principalement du brie et compte plus de 400 salariés.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame de l'Assomption, incendiée par l'occupant dans la nuit du 14 au , a été reconstruite en 1955. Seules la tour-porche et la tour d'escalier ont pu être conservées. Un orgue a été construit en 1958 par Jacquot-Lavergne[25] - [26]. La cloche, de 1731, est classée au titre des objets mobiliers[27].
- Monument aux morts[28].
- Les féculeries et scieries hydrauliques[29].
Personnalités liées à la commune
- Nicolas-Constant Cadé (1846-1887) né à Corcieux, sculpteur et professeur à l'école des Beaux-Arts de Besançon ;
- Victor Dreyer (1866-1944), franciscain né à Rosheim (Bas-Rhin) dans une famille optant pour la France en 1871, prélat catholique comme vicaire apostolique en Afrique du Nord et représentant du Saint-Siège en Orient), évêque titulaire d'Orthosias (1923) et archevêque titulaire d'Adulis (1928) ;
- Norman Prince (1887-1916), aviateur américain et fondateur de l'escadrille La Fayette, mortellement blessé à Corcieux lors d'un atterrissage ;
- René Fonck (1894-1953), pilote de chasse surnommé "l'as des as" de la Grande Guerre, né dans la commune proche de Saulcy-sur-Meurthe, il connut sa première affectation à l'escadrille d'observation C47, composée d'appareils Caudron et sise dans la commune de Corcieux ;
- Édouard François Garcin, pilote de l'escadrille AR 14 dont la tombe se trouve dans le cimetière de la commune[30] ;
- Jean Poirot (1914-1981), médecin, résistant du maquis de Corcieux, maire de la commune de 1945 à 48 et de 1971 à 1972 et conseiller général du département des Vosges[31] ;
- Georges Valance, né en 1942 à Corcieux, a été un journaliste parisien, renommé en économie. En retraite et toujours attaché à Corcieux, il demeure un essayiste et un historien spécialisé. Les ouvrages publiés chez Flammarion de ce fin lettré, ancien élève du lycée Louis-le-Grand et étudiant à la Sorbonne sont des biographies sur le baron Haussmann, sur Thiers, bourgeois révolutionnaire, mais aussi développent la thématique économique : La Légende du Franc, de 1360 à demain ou encore géopolitique : Le Phénix français, France-Allemagne, le retour de Bismarck ;
- Henri-Charles Claudel (1879-1957), industriel et inventeur à l'origine de plusieurs perfectionnements du carburateur[32] ;
- Pierre Féve, directeur d'école, ethnologue[33] ;
- Raoul Husson (1901-1967), chercheur spécialiste de la phonation et essayiste, directeur de recherches au C.N.R.S.[34] ;
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à la tour d'or maçonnée ajourée et ouverte de sable, accompagnée en chef d'un alérion d'argent et de deux clefs en sautoir de même.
Commentaires : Corcieux était propriété indivise entre le duc de Lorraine et le chapitre de Remiremont. Ainsi, on retrouve en chef l'alérion d'argent de la Lorraine et les clefs d'argent en sautoir du chapitre de Remiremont. La tour indique que le fief de La Tour - dite de Fléville - se trouvait à Corcieux. L'or de la tour et les gueules de l'écu reprennent les couleurs lorraines. |
Pour approfondir
Bibliographie
- A. Moulin, Des défricheurs aux bâtisseurs : Corcieux, Épinal, Saint-Print,
- Henri Moulin, Corcieux, ville martyre, Corcieux, Comité d'entraide,
- Jean-Yves Henry (rédacteur), Corcieux un bourg reconstruit, Lyon, Lieux-Dits, coll. « Images du patrimoine » (no 299), , 80 p. (ISBN 978-2-36219-140-4)
- Dodin, R., 1980. La Résistance dans le département des Vosges. Éditions du sapin d’or.
- Moulin, A., Moulin, H., 1986. Feuer. FeniXX.
- Thomas, M., 2018. L’enfant du siècle se souvient: Mémoires. Fleurus.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme
- Site de l'école élémentaire
- Corcieux sur le site de l'Institut géographique national
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Archives communales de Corcieux (1520-1900)
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Dame Agaisse de Corcieux
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Corcieux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
Références
- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- André Nordon, « Morphologie glaciaire du Bassin de la Haute-Meurthe », Annales de géographie, vol. 37, no 210, , p. 538–543 (DOI 10.3406/geo.1928.9514, lire en ligne, consulté le )
- « Fiche communale de Corcieux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- Sandre, « le ruisseau le Neune »
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Yves Henry (rédacteur), Corcieux, un bourg reconstruit, Lyon, Lieux-Dits, coll. « Images du patrimoine » (no 299), , 80 p. (ISBN 978-2-36219-140-4), p. 7.
- René Fonck, l'histoire d'une cigogne par Gérard Fonck
- L'histoire du Maquis de Corcieux
- André Moulin, Feuer, FNI, , 298 p. (ISBN 978-2-402-08635-6)
- « Deux chemins de mémoire seront terminés et inaugurés cette année. », sur Vosges Matin,
- Marcel Thomas, L'enfant du siècle se souvient. Mémoires., Fleureus, , 420 p. (ISBN 978-2-317-01847-3)
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur Internet Archive).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site du club de basket
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 204 à 206.
- Orgue de l'église
- Notice no PM88001117, base Palissy, ministère français de la Culturecloche de l'église
- Synthèse des relevés - Corcieux
- Inventaire des féculeries de la montagne vosgienne et scieries hydrauliques à cadre du canton de Corcieux
- Escadrille formée le 18 décembre 1914 sur avions Dorand DO 1
- Albert Ronsin (dir.), « Poirot (Jean) », dans Les Vosgiens célèbres : dictionnaire biographique illustré, Vagney, Gérard Louis, (ISBN 2-907016-09-1, lire en ligne), p. 298-299.
- « Biographie de Henri-Charles Claudel », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
- « Biographie de Pierre Féve », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
- « Biographie de Raoul Husson », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).