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Gerbépal

GerbĂ©pal ([ ʒeʁbepal], en vosgien de la montagne [ ʒɛʁbɛpo]) est une commune du Nord-Est de la France, dans le dĂ©partement des Vosges et le canton de Corcieux, en rĂ©gion Grand Est.

Gerbépal
Gerbépal
Panorama en direction de Corcieux.
Blason de Gerbépal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Bernard Thomas
2020-2026
Code postal 88430
Code commune 88198
DĂ©mographie
Gentilé Forfelets, Forfelaises
Population
municipale
580 hab. (2020 en augmentation de 0,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 09â€Č 03″ nord, 6° 55â€Č 22″ est
Altitude 630 m
Min. 583 m
Max. 1 083 m
Superficie 19,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction GĂ©rardmer
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de GĂ©rardmer
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Gerbépal
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Gerbépal
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Gerbépal
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Gerbépal
Liens
Site web www.ville-gerbepal.fr

    GĂ©ographie

    Vue historique
    (carte postale Adolphe Weick.)

    Le village s'Ă©tend sur km le long du CD8, Ă  12 km de GĂ©rardmer et 17 de Saint-DiĂ©-des-Vosges, entre le col du Plafond (620 m) et le col de MartimprĂ© (798 m). Son relief global est inclinĂ© vers le nord - nord-ouest, allant de 1 083 m Ă  la Croix Hanzo Ă  583 m lorsque le NeunĂ©, affluent de la Vologne, rejoint Corcieux.

    Les glaciers de calotte qui ont façonné les hautes vallées par leur masse et les basses vallées surtout par leurs volumineuses eaux de fonte saisonniÚres ont laissé quelques dépressions plus ou moins aplanies, parfois occupées par des tourbiÚres et deux petits étangs au lieudit Martimpré.

    C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Neune, le ruisseau de la Goulle, le ruisseau le Rayrand, le ruisseau de Lenvergoutte, le ruisseau de Martimpre, le ruisseau des Bouleaux et le ruisseau le Lourdon[2] - [Carte 1].

    Le NeunĂ©, d'une longueur totale de 24,5 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Vologne en limite de Laveline-devant-BruyĂšres, Herpelmont, BeaumĂ©nil et Champ-le-Duc, aprĂšs avoir traversĂ© sept communes[3].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Gerbépal.

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Gerbépal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de GĂ©rardmer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (60,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,4 %), prairies (23,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,3 %), terres arables (1,8 %), zones urbanisĂ©es (1,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Girbespath en 1152, Gerbepals en 1378, Gerbelpaul au XVIe siÚcle[11].

    Il s'agit d’un type de formation toponymique mĂ©diĂ©vale frĂ©quente dans la rĂ©gion et dans le Nord de la France, composĂ©e d’un anthroponyme (le plus souvent d’origine germanique) + un appellatif toponymique roman ou germanique romanisĂ©. Ainsi trouve-t-on dans la rĂ©gion MartimprĂ©, GĂ©rardmer, Habeaurupt, etc.

    Le premier Ă©lĂ©ment Girbes-, Gerbe- s’analyse comme le nom d’homme germanique Gerbertus[12] qui a donnĂ© le prĂ©nom et le nom de famille Gerbert. La nature du second Ă©lĂ©ment -path, -pals est plus complexe. Ernest NĂšgre suppose une cacographie pour -pach (T et C Ă©tant par ailleurs souvent confondu dans la documentation ancienne), variante de Bach « ruisseau » de *bakiz, par ailleurs trĂšs bien reprĂ©sentĂ© dans la toponymie de la France du nord (cf. -bet, -baix, -bais, -bez, etc.)[13]. Le L final est dĂ» Ă  l'adjonction du suffixe diminutif germanique -le, variante de -lein cf. allemand BĂ€chlein « ru, petit ruisseau », d'oĂč *-pachle, francisĂ© en -pasle > -pals > -pal.

    MĂȘme phĂ©nomĂšne pour Rehaupal qui n'est attestĂ© qu’au XIVe siĂšcle sous la forme Raihaupaulz qui pourrait reprĂ©senter un anthroponyme germanique en -bald pris absolument. Il est possible qu’une influence rĂ©ciproque explique l'analogie des deux terminaisons -pal.

    Le gentilé de Forfelet est partagé par les habitants de Corcieux, les limites de communes ayant été trÚs mouvantes au fil des siÚcles.

    Histoire

    Gerbépal dépendait anciennement des mairies de Corcieux et de Vichibure et faisait partie de la seigneurie de Martimprey. Il est parlé de la seigneurie de Gerbepaux dans un titre de 1663. Par une sentence du , l'official de Toul désunit Gerbépal de Corcieux, et l'érigea en titre de cure et de bénéfice perpétuel. D'aprÚs un ancien titre, l'église de Gerbépal existait déjà comme chapelle vers le milieu du XVIe siÚcle. C'est sur le territoire de cette commune qu'était situé le chùteau de Martinpré qui appartenait à la famille du En. En 1790, le territoire actuel était partagé entre les municipalités de Vichibure et de Martimpré. En 1792, le hameau de Vichibure fut inclus dans la commune de Corcieux et la commune de Gerbépal fut créée, englobant Martimpré[14].

    La commune était plus peuplée qu'aujourd'hui, dépassant le millier d'habitants au cours du XIXe siÚcle.

    La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[15].

    Le , une tornade de type EF2 a sévi sur la commune[16].

    Le fief de Martimprey

    L'ancien chĂąteau et la chapelle
    (carte postale Adolphe Weick.)
    Territoire de la prévÎté de BruyÚres dans le duché de Lorraine.
    Localisation de la commune de Gerbépal et de l'ancienne seigneurie de Martimprey.
    Ferme fortifiée, dit chùteau de Romécourt, résidence de la branche de Martimprey de Romécourt.

    La seigneurie de Martimprey remonte au XVe siĂšcle[17]. Le territoire de la seigneurie de Martimprey est situĂ© dans une rĂ©gion de moyenne montagne trĂšs boisĂ©e. Il s’étend du col du Plafond (620 m) au nord au col de MartimprĂ© (798 m) au sud, du col d’Osseux (829 m) Ă  l’est au Mont Plaisir (725 m) Ă  l’ouest. Son point culminant est la croix Hanzo Ă  1 086 m d’altitude. Les chaumes d’origine anthropique sont situĂ©es sur le flanc oriental du vallon resserrĂ© et elles servent de pĂąturages et d’estives pour les innombrables Ă©carts et fermes acensĂ©es de la seigneurie : le Haut des FrĂȘts (901 m), le prĂ© Petit Jean (924 m) et les Grandes Gouttes (773 m).

    GerbĂ©pal (636 m) est le chef-lieu communal dont dĂ©pendent de multiples hameaux et Ă©carts. Parmi les hameaux, on compte celui de MartimprĂ© dĂ©composĂ©e en trois parties : MartimprĂ©-la-Plaine, MartimprĂ©-la-Basse et MartimprĂ©-le-Haut. Le chĂąteau, la fonderie, la chapelle seigneuriale et les dĂ©pendances des seigneurs de Martimprey se trouvaient Ă  MartimprĂ©-le-Haut juste en dessous du col. Le minerai de la fonderie situĂ©e au sommet de la montagne qui sĂ©pare GerbĂ©pal de GĂ©rardmer Ă©tait extrait en face au Haut des Frets et aux abords du lac de Longemer[18].

    La seigneurie est traversĂ©e par de nombreux petits cours d’eau qui alimentaient de nombreuses scieries, notamment pendant les hautes eaux. Le NarouĂ«l, le ruisseau de Lenvergoutte et le Ravrand sont des affluents de la Goutte qui se jette dans le NeunĂ©. Topographiquement, la seigneurie est tournĂ©e vers Corcieux et BruyĂšres par la vallĂ©e du NeunĂ©. En descendant les cols, l’accĂšs se fait vers Saint-DiĂ©-des-Vosges via la vallĂ©e de la Meurthe ou vers Xonrupt-Longemer en rejoignant le Saut des Cuves de la Vologne. La seigneurie se situait dans la prĂ©vĂŽtĂ©, puis le bailliage de BruyĂšres.

    Au spirituel, GerbĂ©pal dĂ©pendait de la cure de Corcieux et de la PrincipautĂ© ecclĂ©siastique de l'insigne Ă©glise collĂ©giale de Saint-Pierre[19]. Par la suite, GerbĂ©pal reçut l’autorisation de se dĂ©sunir de la cure de Corcieux le [20], mais le chapitre des chanoinesses de Remiremont conserva son droit de collation Ă  la cure de GerbĂ©pal[19]. Les cures de Corcieux et GerbĂ©pal dĂ©pendaient de l’évĂȘchĂ© de Toul[20] qui relevait de l’archevĂȘque mĂ©tropolitain de TrĂšves, aujourd’hui en Allemagne.

    Le hameau de MartimprĂ© caractĂ©risĂ© par une forte dispersion en trois Ă©carts distincts, dont celui oĂč fut Ă©rigĂ© le chĂąteau seigneurial, appartient aujourd’hui encore Ă  la commune de GerbĂ©pal dont le blason communal a repris les armes des Martimprey en l'accompagnant en chef d’une gerbe de blĂ© d’or.

    Les seigneurs de Martimprey possĂ©daient Ă©galement en tant que coseigneurs le village de Cornimont et son annexe Xoulces, quelques fermes et granges dans la commune de GĂ©rardmer et la moitiĂ© du lac de Retournemer[19]. Initialement, les localitĂ©s lorraines actuelles du Val d'Ajol, de Cornimont et de Xoulces appartenaient Ă  la seigneurie de Fougerolles dans la baronnie de Faucogney et donc au comtĂ© de Bourgogne. Elles sont des terres de sursĂ©ance entre la Lorraine et la Bourgogne[21] - [22]. Les Martimprey en sont devenus copropriĂ©taires. Au Xe siĂšcle, Cornimont appartenait en effet Ă  Hugues de Faucogney, fils cadet du vicomte de Vesoul, Gislebert de Faucogney, relevant de la seigneurie de Fougerolles. Puis elle passa Ă  la maison d’Inteville, qui en partageait la propriĂ©tĂ© avec les seigneurs de Fontaine et Fougerolles jusqu’en 1580. AprĂšs cette date, Xoulces et Cornimont tombĂšrent sous la vassalitĂ© des seigneurs de Martimprey pour la part que possĂ©dait le seigneur d’Inteville. En 1792, la localitĂ© appartenait encore Ă  la princesse Lislebonne, descendante de Martimprey, qui payait encore redevance aux seigneurs de Fontaine, Fougerolles et de ChĂąteau-Lambert[23].

    Le chĂąteau fut dĂ©truit pendant la guerre de Trente Ans en 1635[19] par les troupes protestantes, dites suĂ©doises, alliĂ©es du royaume de France contre les troupes impĂ©riales catholiques. Un nouveau chĂąteau fut reconstruit aprĂšs la fin des conflits ; il subsiste jusqu’en 1835. Il change de propriĂ©taire en l’an II[19].

    La chapelle Sainte-Anne de MartimprĂ© fut construite en 1606 aux abords du chĂąteau. Le , l'Ă©vĂȘchĂ© de tutelle autorise les baptĂȘmes dans la chapelle Sainte-Anne; auparavant, les cĂ©rĂ©monies de baptĂȘme, mariage et d'enterrement avaient lieu quelques kilomĂštres plus bas en l'Ă©glise paroissiale de GerbĂ©pal[24]. Elle existe encore aujourd’hui et elle dĂ©pend de la paroisse Notre-Dame-de-Corcieux[25] ; un pĂšlerinage s'y tient chaque annĂ©e fin juillet[26].

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

    • total des produits de fonctionnement : 435 000 â‚Ź, soit 742 â‚Ź par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 331 000 â‚Ź, soit 564 â‚Ź par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 187 000 â‚Ź, soit 318 â‚Ź par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 194 000 â‚Ź, soit 330 â‚Ź par habitant ;
    • endettement : 275 000 â‚Ź, soit 470 â‚Ź par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 20,32 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s bĂąties : 13,36 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 23,00 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 38,75 % ;
    • cotisation fonciĂšre des entreprises : 19,10 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1967 André Gros
    1967 1977 Pierre Thomas
    1977 1983 Pierre Hestin
    1983 1989 Bernard Bertrand
    mars 1989 2004 Philippe Simonet (1925-2007) Ancien proviseur
    Démissionnaire pour raisons de santé
    2004 En cours
    (au 18 février 2015)
    Bernard Thomas Responsable d'atelier

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 580 habitants[Note 3], en augmentation de 0,17 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    8187559471 1191 3541 3701 4151 3771 361
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 3891 4201 4341 3701 3031 1941 0681 006963
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    910814718695651547547467449
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020 -
    380436483503537567586580-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un circuit de karting y est installé (Manacha Kart[32]).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Sainte-Anne Ă  MartimprĂ©, construite en 1606, inscrite au titre des Monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [33].
    • Église Saint-Jean-Baptiste, fin XVIIe, remaniĂ©e.
    • Chapelle Saint-Marc.
    • La Croix de BĂ©mont[34].
    • Monuments commĂ©moratifs[35] - [36]. Il est dĂ©corĂ© avec la statue du Poilu victorieux, un des motifs les plus rĂ©pandus.
    • Patrimoine rural. Le patrimoine rural de la commune a fait l’objet d’une enquĂȘte thĂ©matique rĂ©gionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) par le service rĂ©gional de l’inventaire[37] - [38].
    • Scieries hydrauliques Ă  cadre[39].
    • L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.
      L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.
    • Crucifix.
      Crucifix.
    • La chapelle Sainte-Anne.
      La chapelle Sainte-Anne.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Gerbépal dans les arts

    GerbĂ©pal est citĂ©e dans le poĂšme d’Aragon, Le conscrit des cent villages, Ă©crit comme acte de RĂ©sistance intellectuelle de maniĂšre clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[40].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D’azur Ă  la fasce d’or chargĂ©e de trois Ă©toiles de gueules, accompagnĂ©e, en chef, d’une gerbe de blĂ© aussi d’or.
    Commentaires : ce sont les armes de la famille de Martimprey, seigneur du lieu, auxquelles on a ajouté une gerbe de blé, armes parlantes, pour rappeler le nom de la commune.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Gerbépal » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    2. « Fiche communale de Gerbépal », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
    3. Sandre, « le ruisseau le Neune »
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gérardmer », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    11. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    12. Ernest NĂšgre, Op. cit.
    13. Ibidem.
    14. Charles Charton, Le département des Vosges: statistique historique et administrative, Volume 2, Peiffer, 1845, pages 239-240.
    15. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    16. « Tornade EF2 à Gerbépal (Vosges) le 13 mai 2015 », Keraunos
    17. Jack Chollet (préf. Jean-Paul Rothiot), Ces bons Messieurs de Martimprey : Les francs-maçons de BruyÚres de 1768 à la Révolution, Haroué, Gérard louis, , 201 p. (ISBN 978-2-35763-127-4), « Nicolas Joseph de Martimprey, emblÚme de sa famille : « Le franc-maçon philosophe » », p. 40.
    18. Chollet 2018, p. 51.
    19. Léon Louis et Paul Chevreux, Département des Vosges : Dictionnaire des communes, hameaux, écarts, fermes, t. I, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », (réimpr. 2004), 884 p. (ISBN 2-87760-644-9 et 978-2877606448), p. 317-319.
    20. Benoit de Toul, Pouillé ecclésiastique et civil du diocÚse de Toul, L. et E. Rolin, , p. 163, réimprimé par Henri Lepage, Publication de la société d'archéologie lorraine, Nancy, WIENER AINE, FILS, coll. « recueil de documents sur l'histoire de Lorraine », .
    21. Charles Charton, Le département des Vosges : statistique historique et administrative, Peiffer, (lire en ligne), p. 524.
    22. C. Huguenin, « Annales de la SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation du dĂ©partement des Vosges », Annales de SEDV, SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation du dĂ©partement des Vosges, vol. 34-35,‎ , p. 70.
    23. FĂ©dĂ©ration des sociĂ©tĂ©s d'histoire et d'archĂ©ologie d'Alsace, Revue d’Alsace, vol. 23, (lire en ligne), p. 268.
    24. Chollet 2018, p. 39-58.
    25. « Chapelle Sainte Anne de Martimpré », sur DiocÚse de Saint-Dié, .
    26. Vosges Matin, « GerbĂ©pal PĂšlerinage : Les fidĂšles honorent Sainte-Anne Ă  MartimprĂ© », Vosges Matin,‎ .
    27. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur Internet Archive).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Karting au Manacha Kart à Gerbépal, Vosges. », sur Manacha Kart, parc de loisirs à Gerbépal (consulté le ).
    33. « Chapelle Sainte-Anne de Martimpré », notice no PA00107329, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    34. la Croix de BĂ©mont
    35. Monument aux morts
    36. Monuments commémoratifs : Monument aux Morts 1914-1918, Monument aux Morts 1939-1945, StÚle ou plaque, église - Plaque commémorative 1914-1918
    37. « Ferme du 18e s. ? », notice no IA88000058, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    38. « Maison ; Ferme », notice no IA88000057, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    39. Les scieries hydrauliques Ă  cadre du canton de Corcieux
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    41. « Biographie de EugÚne Barthélémy Joseph Morel, Semaine religieuse du diocÚse de Saint-Dié », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

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