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Colleville

Colleville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Colleville
Colleville
Mairie de Colleville.
Blason de Colleville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté d'agglomération Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Thierry Duprey
2020-2026
Code postal 76400
Code commune 76183
DĂ©mographie
Gentilé Collevillais, Collevillaises
Population
municipale
765 hab. (2020 en augmentation de 0,39 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 104 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 44â€Č 59″ nord, 0° 27â€Č 08″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 124 m
Superficie 7,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction FĂ©camp
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FĂ©camp
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Colleville
Liens
Site web http://www.colleville.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Entrée de Colleville.

    Par la route, Colleville est Ă  km de FĂ©camp et Ă  70 km de Rouen.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par le fleuve cÎtier la Valmont et ses étangs.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 828 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  67 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Colleville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de FĂ©camp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (65,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (35 %), prairies (27,2 %), forĂȘts (27,2 %), zones urbanisĂ©es (7,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,6 %), eaux continentales[Note 8] (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Colevilla en 1198 ; Colevilla vers 1240 ; Manerium de Colevilla en 1222 ; Collevilla en 1337 ; Coleville en 1319 et en 1431 (Longnon) ; Capella Sanctorum Vulfranni et Egidii in ecclesia de Colleville en 1502 ; Saint Martin de Colleville en 1713[21] ; Seigneurie et Chùtellenie de Colleville en 1784[22] ; Colleville en 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini)[23].

    Histoire

    Une villa gallo-romaine, comprenant un hypocauste à canaux rayonnants, et tubuli intra-muraux, poteries d'Arezzo, a été retrouvée entre la Valmont et le CD 150 par le docteur Solignac, un archéologue fécampois, dans les années 1970[24].

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siÚcle, Colleville est un bourg situé sur la Valmont.

    Vattechrit était à cette époque une paroisse indépendante.

    Le village a été rattaché à Colleville en 1823.

    Les hameaux de Hougerville et de La Peruque existent encore de nos jours.

    Quatre moulins à eau, représentés par une roue dentée sur la carte, fonctionnaient à cette époque sur la Valmont.

    Une gare de Colleville - Sainte-HélÚne a été mise en service à la fin du XIXe siÚcle sur la ligne de Dieppe à Fécamp.Son activité a perduré pour les besoins de la sucrerie de Colleville, et l'infrastructure a été depuis transformée en voie verte[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 mai 2020[26] Michel Renault
    mai 2020[27] - [28] novembre 2020[29] Denis HĂ©bert Cadre bancaire
    DĂ©missionnaire
    novembre 2020[30] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Thierry Duprey Inspecteur salubrité à la ville de Fécamp

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].

    En 2020, la commune comptait 765 habitants[Note 9], en augmentation de 0,39 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    300274235267440463413434462
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    474422463486544525522473467
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    409508479462498528501532521
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    488490492594671703699676729
    2014 2019 2020 - - - - - -
    762763765------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'Ă©cole maternelle.

    L'Ă©cole communale de Colleville dispose de deux infrastructures distinctes :

    • rue de l'Église : classe maternelle ;
    • impasse de l'École : primaire.

    En 2019, l'Ă©cole compte quatre classes et accueille 93 Ă©lĂšves[35].

    Équipements consacrĂ©s Ă  la culture

    Abritée dans l'espace culturel Paul-Delahaye, sis au 855, rue de la Sucrerie (carrefour de la mairie), la médiathÚque municipale de Colleville est ouverte à tous.

    La commune est équipée de trois salles de réunions : Le foyer Kohli, petite salle destinée à la vie associative locale, la salle de la gare, rénovée depuis peu.

    Manifestations culturelles et festivités

    Outre la prise en charge du centre aĂ©rĂ©, le comitĂ© des fĂȘtes est particuliĂšrement actif dans les domaines des loisirs, de la culture et des activitĂ©s physiques.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin a Ă©tĂ© construite de 1860 Ă  1862. L'ancienne Ă©glise du XIe siĂšcle a Ă©tĂ© construite dans un vallon prĂšs de la riviĂšre oĂč l'on peut encore voir ses fondations.
    • Le chĂąteau d'Hougerville. Il fut construit Ă  la fin du XVIe siĂšcle par Nicolas Le Vanier[36]. Longtemps centre actif protestant, le marquis de Lamberville, sous la RĂ©volution en fit un centre de la chouannerie rĂ©gionale[36]. Ce dernier le vendit en 1846 Ă  M. Auguste Le Ber[36].
    • Le monument aux morts.
    • Une sucrerie, qui a fonctionnĂ© un siĂšcle environ et a fermĂ© en 2003, et qui est Ă  l'abandon. Elle employait autrefois entre 80 et 130 personnes[37].
    • La commune est propriĂ©taire d'une statuette nommĂ©e « la vierge d'ivoire » dĂ©posĂ©e au conservatoire des musĂ©es Ă  Caen.
    • L'ancienne gare et la vĂ©loroute du lin, voie verte[38].
    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'ancienne gare.
      L'ancienne gare.
    • La vĂ©loroute du lin.
      La véloroute du lin.

    Personnalités liées à la commune

    Colleville dans les arts

    HĂ©raldique

    Blason de Colleville Blason
    Coupé au 1er de gueules aux deux léopards d'or posés en fasce, au 2e de sinople à une représentation du territoire de la commune d'or, à un listel d'argent chargé de l'inscription « COLLEVILLE » en lettres capitales de sable brochant sur la partition[40].
    DĂ©tails
    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
    Blason officiel, adopté le 17 décembre 2008

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Dr_Robert_Solignac1972">Dr Robert Solignac, « La villa gallo-romaine du ”Petit moulin” Ă  Colleville (76) », Forum, nos 1972-2,‎ , p. 35-55.
    • Dr_Robert_Solignac1973">Dr Robert Solignac, « La villa gallo-romaine du ”Petit moulin” Ă  Colleville (76) », Forum, nos 1973-3,‎ , p. 21-34.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Colleville », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Colleville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Colleville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Archives de Seine-Maritime G 3267, 9492, 9493, 737.
    22. Archives de Seine-Maritime 7 H.
    23. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 253.
    24. « Gravinum - Grainville-la-teinturiere / Fécamp - Colleville / Canouville », sur http://lettres.ac-rouen.fr (consulté le ).
    25. Yves Duboys-Fresney, « Le chemin de fer à Fécamp et dans les environs », Fécamp (consulté le ).
    26. « Colleville. Michel Renault quitte la maison commune : Le maire, collevillais de naissance, restera bien sĂ»r toujours proche des habitants, devenus des fidĂšles amis depuis sa premiĂšre Ă©lection en 1971 », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. Matthias ChaventrĂ©, « Municipales 2020. Denis HĂ©bert veut « poursuivre sur les fondations existantes » Ă  Colleville, prĂšs de FĂ©camp : Avec « Demain, ensemble pour Colleville », Denis HĂ©bert souhaite succĂ©der Ă  Michel Renault, maire pendant quarante-neuf ans », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Élu depuis vingt-cinq ans, au cours de deux mandats Ă  Angerville-la-Martel et autant Ă  Colleville, Denis HĂ©bert, actuel premier adjoint, a 57 ans. Cadre bancaire, ce « Collevillais d’origine » a Ă©tĂ© Ă  plusieurs reprises responsable d’associations ».
    28. « Municipales 2020. Denis HĂ©bert, 57 ans, Ă©lu nouveau maire de Colleville : Lors de la sĂ©ance d’investiture, le nouveau maire de Colleville, Denis HĂ©bert, a reçu les fĂ©licitations de Michel Renault », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Denis HĂ©bert, 57 ans, a Ă©tĂ© Ă©lu maire avec quinze voix ».
    29. « PrĂšs de FĂ©camp, la dĂ©mission du maire de Colleville, Denis HĂ©bert : Il Ă©tait maire de Colleville depuis juin dernier. Denis HĂ©bert renonce Ă  sa responsabilitĂ© Ă  la tĂȘte de ce village situĂ© prĂšs de FĂ©camp. Son successeur sera dĂ©signĂ© vendredi 6 novembre 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Cinq mois aprĂšs son Ă©lection, Denis HĂ©bert, le maire de Colleville, a annoncĂ© sa dĂ©mission pour raisons personnelles. Celle-ci a Ă©tĂ© acceptĂ©e par le prĂ©fet ».
    30. Matthias ChaventrĂ©, « À Colleville, prĂšs de FĂ©camp, un second nouveau maire : « Je n’ai pas voulu aller plus loin » : AprĂšs prĂšs de cinquante ans de rĂšgne de Michel Renault jusqu’en mai, le village connaĂźt son second nouvel Ă©dile en six mois. Thierry Duprey succĂšde Ă  Denis HĂ©bert qui explique les raisons de son dĂ©part », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Thierry Duprey Ă©tait l’unique candidat au poste. Cet habitant de Colleville depuis 1988 entend continuer Ă  appliquer la profession de foi qui avait fait remporter Ă  sa liste l’ensemble des siĂšges au conseil municipal dĂšs le premier tour ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Colleville : un tissu Ă©conomique consĂ©quent : Les projets pour l’annĂ©e 2019 ont Ă©tĂ© listĂ©s et commentĂ©s lors de la cĂ©rĂ©monie des vƓux du maire Ă  la population », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des chĂąteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du ChĂȘne, coll. « ChĂąteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 228.
    37. Sylvie Gesquiere, « Colleville : une Ă©cole de conduite sur le site de l’ancienne sucrerie : Une Ă©cole de conduite s’est installĂ©e sur le site industriel de Colleville, oĂč les betteraves Ă©taient autrefois stockĂ©es et transformĂ©es en sucre. L’immense parking est idĂ©al pour apprendre les premiĂšres manƓuvres », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    38. « La Véloroute du Lin - CÎte d'Albùtre », Les balades à vélo en Seine-Maritime, sur https://www.seine-maritime-tourisme.com (consulté le ).
    39. Nicolas Larchet, « Retour chez les sucriers de Colleville (1/2) : une plongĂ©e dans la restructuration de l’industrie sucriĂšre », Transhumances, (consultĂ© le ).
    40. http://www.colleville.fr/
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