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Coisy

Coisy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Coisy
Coisy
Église, les baies du côté sud.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC du Territoire Nord Picardie
Maire
Mandat
Claude Deflesselle
2020-2026
Code postal 80260
Code commune 80202
Démographie
Gentilé Coisyssiens
Population
municipale
378 hab. (2020 en augmentation de 19,62 % par rapport à 2014)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 38″ nord, 2° 19′ 42″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 129 m
Superficie 6,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-2
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Coisy
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Coisy
Liens
Site web https://www.coisymairie.fr/

    Géographie

    Description

    Coisy est un village picard de l'Amiénois / vallée de l'Hallue situé à km au nord d'Amiens, 22 km au sud de Doullens et à 24 km à l'ouest d'Albert.

    Le territoire est limité à l'est par la RD 11, qui relie Amiens à Arras, et est aisément accessible depuis la RN 25 (Amiens - Doullens)

    En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 23 (Doullens - Beauquesne - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[1].

    Le territoire, au nord, comprend 380 ha formant un dépôt argileux épais de 3 à 7 mètres, reposant sur une couche de terre glaise qui contient de gros cailloux de couleur brune ou noirâtre. Au-dessous de cette glaise, paraît la couche de craie blanche, compacte, homogène, parsemée de nœuds avec des silex horizontaux en rognons et en plaques. À l'est, au sud et au sud-ouest, sur une étendue de 192 ha, la craie blanche proprement dite constitue les versants des collines qui ondulent cette partie du territoire[2].

    Les eaux du territoire descendant vers la Somme, les vallons qu'elles ont creusés ont leur direction générale au sud ; ces dépressions sont assez nombreuses et assez profondes pour que le relief du sol de chaque côté du village soit accidenté et présente l'apparence de collines alternant avec des vallons[2].

    Communes limitrophes

    La commune de Coisy est limitée au nord par Villers-Bocage, au sud-est par Rainneville, à l'est par Cardonnette, au sud par Poulainville et au sud-ouest par Bertangles[3].

    Hydrographie

    Toute la région crayeuse de l'est-sud-ouest est essentiellement perméable ; le plateau argileux nord, l'est beaucoup moins, mais suffisamment pour absorber les eaux pluviales. Il n'y a pas de sources sur les versants et la nappe phréatique alimentait à la fin du XIXe siècle celles qui se trouvent sur la rive droite de la Somme[2]..

    Dans le village, il y avait à cette époque des puits communaux (90 mètres) qui ne tarissaient jamais, et quatre mares publiques alimentées par les eaux pluviales ; ces dernières demeuraient sèches pendant l'été[2]. L'une de ces mares subsiste au XIXe siècle. Empoissonnée par hasard, on y trouve désormais carpes, poissons rouges et blancs, ainsi que Notonectes (punaises aquatiques), des gallinules poules d’eau, grenouilles vertes, Piéride du chou (papillon), canards colvert, Calopteryx virgo (libellules), Vulcains (papillon)... La flore est notamment constituée de d’Iris pseudacorus, Acer pseudoplatanoides, Epilobium hirsutum, Ranunculus acris, Cirsium arvense, Salix alba, Plantago lanceolata, Urtica dioica, Sambucus nigra, Cornus sanguinea[4]...

    Urbanisme

    Typologie

    Coisy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,9 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (0,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 150, alors qu'il était de 120 en 2014 et de 113 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Coisy en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,8 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Coisy en 2019.
    Typologie Coisy[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 93 83,2 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 8,3 9,7
    Logements vacants (en %) 6,3 8,5 8,2

    Toponymie

    Le plus ancien document qui fasse mention de Coisy est une charte de Thierry, évêque d'Amiens, de l'année 1156 sous la forme Choisi ; puis sous les formes Chosi en 1246 ; Coisi en 1246 ; Coisy en 1300 ; Choisy en 1579 ; Quoissy en 1634 ; Coissy en 1707 ; Quoisy en 1710 ; Coizy en 1730 ; Croissy en 1764 ; Quoisi en 1787[12].

    Histoire

    Deux haches en silex, l'une taillée et l'autre polie, sont les seuls objets de l'époque celtique trouvés sur le territoire.

    La période gallo-romaine est matérialisée par la voie romaine d'Amiens à Arras, et par celle de Corbie à Picquigny, dite « chemin de Périot », qui est une voie secondaire.

    Au hameau de Flesseroles (cité en 1156), se trouvait un prieuré relevant de l'abbaye d'Anchin.

    En 1570, à la suite de l'interdiction de faire des « prêches » de l'église réformée dans la ville d'Amiens, les assemblées protestantes se tiennent « hors les murs ». En 1581 et 1583, elles sont même interdites à Allonville et Picquigny[13]. À cette époque, des assemblées du culte protestant se tiennent à Coisy. Comme dans d'autres villages du secteur, un temple réformé est édifié à partir des années 1830[14].

    Les caractéristiques topographiques de la commune et sa proximité de l'agglomération d'Amiens ont amené la R.T.F. (Radiodiffusion-Télévision Française) à choisir Coisy à la fin des années 50 pour y installer un émetteur provisoire de télévision de faible puissance [15]. Il desservait Amiens et ses environs jusqu'à l'achèvement et la mise en service du grand centre émetteur régional de Bouvigny-Boyeffles (Pas-de-Calais) en 1960.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

    Elle faisait partie du canton de Villers-Bocage[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Amiens-2

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    Coisy était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie, dont Coisy est désormais membre.

    Toutefois, la commune souhaite dès 2019 quitter le Territoire Nord Picardie pour rejoindre la communauté d'agglomération Amiens Métropole[17] - [18]. En 2022, le conseil communautaire du Territoire Nord Picardie refuse ce transfert[19].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977[18] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    M. Claude Deflesselle MoDem[20] Professeur de collège retraité
    Président de la CC Bocage Hallue (2008 → 2016)
    Vice-président de la CC du Territoire Nord Picardie (2017 → 2020[21])
    Réélu pour le mandat 2020-2026[22] - [23]

    Équipements et services publics

    Une salle polyvalente a été aménagée en 2022 dans l'ancienne école communale, désaffectée depuis une dizaine d'années et agrandie et rénovée à cette occasion[18].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Rainneville dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré qui se trouve à Raineville[18].

    Le village accueille depuis la rentrée 2015 une école Montessori qui, en 2018, scolarise 26 enfants âgés de 2 ans et demi à 12 ans[24]

    Justice, sécurité, secours et défense

    Un dispositif de vidéosurveillance l'espace public a été installé en 2021[18].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

    En 2020, la commune comptait 378 habitants[Note 3], en augmentation de 19,62 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    392320491500542583586601573
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    533485454394364341340308284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    273248235226206201190181196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    183196175184226246279288310
    2018 2020 - - - - - - -
    348378-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle dédiée à la Vierge :
      À l'entrée du village, en venant de Bertangles, elle est également de style néo-gothique et renferme trois personnages sculptés en ronde-bosse[28].
    Entrée principale de l'ancien château de Coisy.
    • L'ancien château, probablement édifié par la famille de Saveuse, au début du XVIIe siècle.
    L'ensemble comportait un corps de bâtiment principal orienté nord-sud et flanqué à chacune de ses ailes de deux pavillons symétriquement répartis de part et d'autre ; l'ensemble présentant, vu en plan, la forme d'un H. La façade et les pavillons du côté ouest étaient en pierre de taille, alors que les pavillons et la façade est étaient en brique. Au centre de chacune des façades, on accédait au rez-de-chaussée par un escalier en grès.
    Sur la façade est, la cour était desservie par trois grandes ouvertures, dont la principale ouvrait vers l'église et le village. Un corps de garde se dressait près de cette entrée ; de l'autre côté se dressait un bâtiment commun à usage du personnel, à des écuries et des remises.
    Ce château a été démoli et remplacé par un simple pavillon. Du château originel, il ne subsiste que les deux piliers encadrant l'entrée principale, la porte piétonne et des éléments du mur d'enceinte[29].
    • La mairie, aménagée dans l'ancien presbytère. Le ,jardin du curé est aménagé comme parc de jeux d'enfants. L'ancienne mairie-école construite en 1884 est désormais un logement communal[18]

    Personnalités liées à la commune

    • Charles de Gontaut-Biron, maréchal, y séjourne en 1597, avec ses troupes, pour participer avec Henri IV au siège d'Amiens occupée par les Espagnols.
    • Manon Lescaut, héroïne du roman de l'abbé Antoine François Prévost d'Exiles, serait originaire de Coisy. Cette origine hypothétique, fondée sur l'existence de son patronyme à Coisy à la fin du XVIIe siècle et sur le trajet du coche d'Arras, l'amenant à Amiens, a été considérée comme suffisamment probante pour amener la municipalité à donner le nom de Manon-Lescaut à une rue de Coisy.
    Anciens seigneurs
    • Arnoult de Coisi, chevalier, mort avant 1182, frère de :
      • Jean de Choisi, époux de Flandrine.
    Famille de Chatillon
    • Jacques de Chatillon-Dampierre, amiral de France, né vers 1365, mort à Azincourt le 25 octobre 1415, épouse Jeanne de la Rivière, fille de Bureau de La Rivière,
      • Valeran Chatillon-Dampierre, décédé en 1473, époux de Jehanne de Saveuse, fille de Bon de Saveuse.
    Famille de Saveuse
    • Louis de Saveuse, seigneur de Lozinghem et de Coisy,
      • Josse de Saveuse, seigneur de Bougainville, Cardonnette et Coisy en 1607, 1er capitaine au régiment de Picardie en 1579, époux de Suzanne d'Acheux,
        • Antoine de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1622,
          • François de Saveuse, chevalier, seigneur de Coisy en 1652,
            • Louise Charlotte de Saveuse, née en 1665, épouse Philippe de Montmorency en 1694.
    Famille de Vaudémont
    • Marie-Joseph de Lorraine-ElbÅ“uf, prince de Vaudémont, colonel d'un régiment de dragons en 1785, épouse Louise de Montmorency, devenant ainsi seigneur de Coisy. Ayant émigré, ses 216 hectares 89 ares de terres et de bois de la seigneurie, sont vendus comme biens nationaux[30].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • François Ansart Églises néo-gothiques du canton de Villers-Bocage in Histoire et Traditions du pays des coudriers, n° 16, p. 20 à 25.

    Liens externes

    • « Coisy », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Monographie communale de 1899, par M. Ségard. Archives départementales de la Somme : 4° 100
    3. carte Cassini
    4. Philippe Lacoche, « Les trois carpes de Coisy : Après la mare hydrocarbure Super U, le Marquis est allé pêcher dans celle, bucolique, de Coisy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 248 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    13. Archives municipales d'Amiens BB. 46, ff.40-40v, 25 juin 1583
    14. Bertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement de 2007, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 105.
    15. Hebdomadaire Télé 59 du 17 au 25 juillet 1959 : "Caractéristiques techniques des émetteurs TV"
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Benoit Delespierre, « Des tickets de sortie particulièrement salés pour les communes qui divorcent : Les communautés de communes Territoire Nord Picardie (CCTNP) et Nièvre et Somme (CCNS) réclament plus d’un million d’euros aux sept communes qui les ont quittées pour rejoindre Amiens Métropole. La préfète est appelée à trancher », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. Benoit Delespierre, « Une salle polyvalente à la place de l’ancienne école de Coisy : L’ancienne école a été agrandie et transformée en salle polyvalente. Un équipement supplémentaire pour cette petite commune rurale située aux portes d’Amiens et qui demande à rejoindre Amiens Métropole sans trop y croire », Le Courrier picard,‎ .
    19. Benoit Delespierre, « Coisy n’a pas son bon de sortie vers Amiens-Métropole : « Si on veut retenir Coisy, c’est qu’on l’aime beaucoup », ont expliqué les élus du Territoire Nord-Picardie au maire de Coisy. Ce dernier va demander à la préfète de trancher. Jacques Masset (de dos), maire de Rainneville a rappelé qu’il avait voulu quitter la CCTNP. Aujourd’hui premier vice-président, il est le premier à vouloir y rester », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Extrait de la fiche de M. Claude Deflesselle », sur http://www.lesbiographies.com, (consulté le ).
    21. Benoit Delespierre, « Le Territoire Nord-Picardie entre difficultés reconnues et euphorie proclamée : Lors des vœux, le premier vice-président Claude Deflesselles a souligné « trois années difficiles ». « Mais passionnantes », a répondu le président Laurent Somon qui a également dénoncé « la surmédiatisation du malheur », proclamé « l’euphorisme » et terminé en... chantant « La Ballade des gens heureux » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. Éric Turpin, « Portrait de maire : à Coisy, le maire se représente faute de candidats : A 72 ans, Claude Deflesselle brigue un 8e mandat aux élections municipales à Coisy dans la Somme. Dans ce village de 350 habitants proche d'Amiens, le maire sortant n'a pas trouvé de successeur. Mais son enthousiasme reste intact », France Bleu Picardie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'ancien professeur de collège est devenu maire pour la première fois en 1977. Il avait alors 29 ans. Et le village ne comptait que 180 habitants ».
    23. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    24. Thierry Griois, « L’école Montessori de Coisy a doublé ses effectifs : L’établissement, situé au nord d’Amiens, accueille, pour sa troisième rentrée scolaire, vingt-six élèves contre treize précédemment. Et réfléchit à la création d’un collège », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 186 (ASIN B000WR15W8).
    29. Le château de Coisy, par Pierre Duseval. Revue N°31 "Histoire et Traditions du pays des coudriers"
    30. Seigneurs de Coisy, par Ulysse Pérodeau, Revue N° 36 "Histoire et Traditions du pays des coudriers" pages 40 à 45
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