Chavignon
Chavignon est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Chavignon | |||||
L'église Saint-Remi. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Aisne | ||||
Maire Mandat |
Catherine Bournonville 2020-2026 |
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Code postal | 02000 | ||||
Code commune | 02174 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chavignonnais(es) | ||||
Population municipale |
835 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 47″ nord, 3° 31′ 19″ est | ||||
Altitude | 90 m Min. 57 m Max. 195 m |
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Superficie | 11,55 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Laon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fère-en-Tardenois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Chavignon est située entre les villes de Laon et Soissons et est traversé par l'ancienne route nationale 2.
Hameaux et écarts
Près du village, direction Royaucourt-et-Chailvet, se trouve le hameau les Bruyères appartenant à la commune.
Communes limitrophes
Merlieux-et-Fouquerolles | Chaillevois Royaucourt-et-Chailvet |
Urcel | ||
Vaudesson | N | Pargny | ||
O Chavignon E | ||||
S | ||||
Aizy-Jouy | Filain |
Hydrographie
La commune est drainée par plusieurs ruisseaux et est limitée au nord par le canal de l'Oise à l'Aisne et par l'Ailette, affluent de la rive gauche de l'Oise.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Faucoucourt », sur la commune de Folembray, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 777 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Chavignon est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,7 %), forêts (37,3 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
L´existence d'un village sur la rive gauche de l'Ailette au pied du Chemin des Dames est attestée dans les textes dès 858 (Cavinionus, Chavignion en 1310, et Chavignon en 1572). Son étymologie fait l'objet de multiples hypothèses : celle-ci se rattacherait à la présence d´une chaussée gallo-romaine reliant Soissons à Laon qui le traversait ou dériverait du terme signifiant tête de vigne associé au nom du ruisseau prenant naissance au pied de la colline de la Malmaison, le Vignon : Caput Vignonis.
Histoire
Il existait à Chavignon une forteresse au IVe siècle, maintes fois anéantie et reconstruite. Charles le Chauve en fit don à l'abbaye Notre-Dame de Soissons.
Au XIIe siècle, les riches propriétaires de Laon y possédaient des vignobles qui jouirent d'une forte réputation jusqu'au XIXe siècle, période à laquelle le gel, la pluie et le phylloxera eurent raison de la culture vinicole.
- XIXe siècle
Le hameau des Bruyères, bordant Chavignon, possédait au XIXe siècle quatre ou cinq cabanes modestes. La population s'est peu à peu accrue pour atteindre 116 habitants en 1881. Le lavoir, très endommagé en 1914-1918, fut entièrement reconstruit. Le lieu-dit est aujourd’hui constitué d'une seule et unique rue.
Les travaux de la RN 2 (2002-2005) entre Laon et Soissons ont mis au jour deux carrières, dont une allemande, ainsi que plusieurs blockhaus. Mais rapidement remblayés par les services de la DDE, les sites n'ont pu être étudiés.
L'habitat ancien, constitué de 225 maisons au milieu du XIXe siècle, était compact, formant ainsi un tissu urbain continu. Les rues étaient entièrement pavées. Situé dans l'actuelle rue Saint-Pierre, le château était en partie détruit à la période révolutionnaire.
Durant la Guerre franco-allemande de 1870, le village, comme toutes les communes du Chemin des Dames, connut l'occupation prussienne.
- Première Guerre mondiale
Envahi par les Allemands dès le 6 septembre 1914, le secteur connut le calme pendant deux ans et demi, excepté lors de la prise de la creute d'Hurtebise le 25 janvier 1915. Convoitée pour le canal reliant Paris à Bruxelles qui la longe, Chavignon fut soumise à la rigueur de l'occupation : les maisons, transformées en véritables quartiers généraux, étaient numérotées, les rues portant alors des noms germaniques.
C'est au cours de l'offensive d'avril 1917 que les obus français détruisirent en grande partie le village[21] - [22] - [23] - [24] - [25], totalement rasé le 17 octobre 1917[26] - [27] - [28] - [29]. Le 25 octobre, les Français enlevèrent le site, faisant 12 000 prisonniers. Les Allemands en reprirent possession le 27 mai 1918 et les alliés le libérèrent en octobre 1918, achevant de détruire les dernières maisons[30].
Le village été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [31].
- La Reconstruction
En mars 1919, les habitants revenus au village découvrirent un site lunaire. L'emplacement des rues était invisible, mise à part la rue Nationale. La surface détruite fut estimée à 1155 hectares (pour 300 immeubles).
Le maire d'après-guerre, M. Bouteille, se battit pour faire supprimer la zone rouge du territoire de sa commune. La réhabilitation du village s'effectua dès le début des années 1920. Rattachée à la Société coopérative de reconstruction de l'extension laonnoise, Chavignon possédait sa propre coopérative de reconstruction pour les immeubles bâtis appartenant à la commune. Avec la plus grande partie des dons de Haïphong (Viet-Nam) (524 000 francs entre le printemps 1920 et juillet 1927), qui devint sa marraine en octobre 1919, Chavignon racheta les dommages de guerre destinés à la reconstruction de ses bâtiments communaux. La place du Marché fut ainsi baptisée place de Haïphong. La municipalité fit l'acquisition de tout une partie de terrain afin d'y regrouper les bâtiments communaux : auparavant située rue Saint-Pierre, la place bénéficia alors d'un agrandissement. La commune adopta alors un nouveau plan d´alignement et d'aménagement. En 1927, les bâtiments communaux suivants étaient reconstruits : la mairie, l'école, le bureau de poste, la perception, les lavoirs ainsi que 202 bâtiments particuliers et 27 étaient en cours de restauration.
Avant la guerre, les maisons du village étaient toutes accolées, pourvues d'un étage et longues de trois travées. La pierre de taille employée pour le gros-œuvre était de dimension moyenne. Le hameau des Bruyères possédait un tissu urbain plus épars. Lors de la reconstruction, les premières maisons semblent avoir été édifiées route de Soissons dès 1920. L'ensemble des constructions du village ont utilisé les anciennes fondations. Le village de Chavignon semble avoir accueilli les modèles proposés par les divers entrepreneurs : ce fait tend à expliquer la diversité architecturale dont ont fait l'objet les constructions de Chavignon. En effet, deux types d'édifice sont observables : ceux dont l'architecture s'inspire des éléments classiques d'avant-guerre (grâce à l'utilisation de moulures, de baies rectangulaires...) et les autres dont le parti architectural est plus ambitieux (nouveaux matériaux, formes allongées, disposition originale...).
Mises à part au cœur du village, les maisons sont toutes indépendantes, bénéficiant d'un retrait par rapport à la voie de circulation. Les habitations les plus imposantes, formant parfois de grands complexes, sont regroupées dans la rue de Soissons. Certaines caractéristiques sont prépondérantes : l'élévation des murs est constituée d'un blocage de moellons avec pierre de taille aux chaînages harpés et joints apparents, assortis au calcaire de couleur naturel. Sur l'ensemble des villages du Chemin des Dames, la brique n'est jamais autant employée qu'à Chavignon ; elle possède d'ailleurs une couleur spécifique, tirant sur un orangé vif dû à une faible cuisson. Lorsqu'elle ne constitue pas un élément architectonique, son rôle est réduit à la décoration, souvent associée au béton. Des éléments classiques en pierre de taille (porte à entablement mouluré et volutes, lucarnes à fronton triangulaire, corniche moulurée) sont introduits dans les constructions de structures relativement simple dont la façade est le plus souvent en brique. Les façades à pans coupés, mettant en valeur l'élévation principale de l'habitation, constituent un élément architectural souvent observable à Chavignon. Il s'agit d'une caractéristique intéressante, liée au nouveau plan d'alignement mis en place lors de la reconstruction du village.
- Seconde Guerre mondiale
Le village eut à souffrir une fois de plus lors de la Seconde Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Soissons du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Vailly-sur-Aisne[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle a intégré le canton de Fère-en-Tardenois
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Val de l'Aisne, créée fin 1994.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2020, la commune comptait 835 habitants[Note 8], en augmentation de 3,6 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Fort de la Malmaison, construit entre 1878 et 1882 dans le cadre du système Séré de Rivières pour protéger la place de Laon.
- Calvaire de l'Ange gardien, érigé en 1924, grâce à une souscription publique, conçu par Jean Topin, originaire de Vorges et ancien élève de la Villa Medicis à Rome, et réalisé par l'entrepreneur Bardin. Cette croix monumentale est dédiée aux 35 000 morts dans le camp ennemi et aux 15 000 prisonniers qu'engendra l'attaque du fort de la Malmaison sous le commandement de Pétain le 16 avril 1917. Il marque l'entrée occidentale du Chemin des Dames.
- Église Saint-Rémi
Personnalités liées à la commune
Yves Daudigny, homme politique français, membre du Parti socialiste, y est né en 1947.
Héraldique
Blason | D'or à la tour d'argent posée sur une nuée de sinople en arc de cercle, accompagnée en chef de deux grenades du même, enflammées d'argent, et en pointe d'une crosse contournée d'argent mouvant de la pointe[39].
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Détails | Adopté par la municipalité. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Chavignon sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Chavignon (02174) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- Le patrimoine de la commune sur le site de l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Hauts-de-France
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NE, Soissons [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Faucoucourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chavignon et Folembray », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Faucoucourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chavignon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Panorama du village - Au 1er plan, pont sur l'Aisne détruit », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines et auto-mitrailleuse de D.C.A. », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Lisières du village, cimetière militaire français (tombes des soldats du 355e RI tués à l'attaque du village », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Panorama du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : L'entrée du village, maisons détruites », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines - La Grand'rue », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Le terrain conquis ; lieu-dit « Le Bournier » », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 3 décembre 1920, p. 19715.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « À Chavignon et dans l’Aisne, les trois temps de Daniel Gard : Daniel Gard a éteint tous ses engagements, professionnels et politique. Il n'est pas mécontent de s'éloigner progressivement de la lumière publique pour retrouver la chaleur familiale », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Catherine Bournonville élue maire de Chavignon : Chavignon Catherine Bournonville succède à Daniel Gard comme maire de la commune. Première adjointe, c’est elle qui assurait l'intérim à la tête du conseil municipal », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales. A Chavignon, Catherine Bournonville se succède à elle-même », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « 02174 Chavignon (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).