Charly (métropole de Lyon)
Charly est une commune française située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Charly | |||||
La mairie de Charly. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
Département | Circonscription départementale du Rhône | ||||
MĂ©tropole | MĂ©tropole de Lyon | ||||
Arrondissement | Lyon | ||||
Maire Mandat |
Olivier Araujo 2020-2026 |
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Code postal | 69390 | ||||
Code commune | 69046 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Charlyrot | ||||
Population municipale |
4 585 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 901 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 59″ nord, 4° 47′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 205 m Max. 305 m |
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Superficie | 5,09 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
MĂ©tropolitaines | Lones et Coteaux | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
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Liens | |||||
Site web | mairie-charly.fr | ||||
Ses habitants sont les Charlyrottes et Charlyrots[1].
GĂ©ographie
Situation
La commune de Charly est située sur les collines qui dominent le Rhône, entre les communes d'Irigny et de Vernaison. Le village se trouve en partie sur un petit dénivellement — Charly-le-Bas ou quartier de la Mairie — et sur un tertre — Charly-le-Haut ou quartier de l'Église — où l'on trouve la partie la plus ancienne du village.
Entre les deux, autour d'une école et de constructions récentes bâties depuis le début des années 2000, se trouve l'ancien château.
Communes limitrophes
Saint-Genis-Laval | Irigny | |||
N | ||||
O Charly E | ||||
S | ||||
Vourles | Millery | Vernaison |
Relief
Située à 230 mètres d'altitude, la commune de Charly surplombe le Rhône sur les coteaux des monts du Lyonnais qui vont du sud de Lyon jusqu'à Givors entre Vernaison et Millery.
C'est donc une commune encore assez rurale, malgré la proximité de l'agglomération lyonnaise, dominée par une agriculture d'élevage et surtout l'arboriculture puisqu'elle est un centre de production de la cerise Burlat, originaire de la région.
Voies routières
Compte tenu de la configuration géographique, le flux circulatoire se fait dans le sens nord-sud dans la vallée du Rhône, en suivant le cours du fleuve : sur la rive droite, la route départementale qui passe à Pierre-Bénite, Irigny, Vernaison et Givors et sur la rive gauche l'autoroute A7.
Du côté ouest, la principale voie de circulation reste la route départementale D 42 qui rejoint Tassin-la-Demi-Lune à Givors en passant par Brignais et rejoignant Charly aux Sept chemins sur la commune de Vourles.
Transports en commun
La ligne 78 des TCL relie Charly à Givors d'un côté en passant par Grigny et à la gare d'Oullins dans l'autre sens en passant par Saint-Genis-Laval.
Urbanisme
Typologie
Charly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[5] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (52,2 %), cultures permanentes (41,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le toponyme Charly est un toponyme classique désignant les terres du fisc carolingien.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à la fasce de gueules sommée d'or et chargée d'un château d'argent, maçonné, ouvert et ajouré de sable, terrassé d'argent, ladite fasce accompagnée en chef d'un drapeau d'or, la hampe posée en barre, surmonté de trois fleurs de lis du même rangée en chef. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Histoire
Charly, est l'ancien 'Charleu'.
En 1200, un preux chevalier en ce lieu de quelques foyers, confie ses biens à l'abbé d'Ainay et part pour la quatrième croisade. L'étang de Virieu est déjà cité. En 1225, l'abbé fait construire la petite église romane avec son clocher-porche. En 1322, Guillemet Miriboilli, seigneur de Charleu, fait édifier le château féodal avec douves et pont-levis, le seigneur abbé d’Ainay lui ayant rétrocédé cette juridiction. En 1337, commence la guerre de Cent Ans.
En 1362, avec leur seigneur et des chevaliers rescapés de la bataille de Brignais, les habitants de 'Charleu' résistent dans le château aux Tard-Venus, des bandes de pillards, formées de soldats mercenaires licenciés après le traité de Brétigny. En 1407, la guerre reprend. En 1434 est érigée à Frontigny la Croix Bourguignon où, selon les archives municipales, une bataille se serait déroulée.
Dès 1400 et surtout 1463, encouragés par les ordonnances royales les exemptant de l'impôt « la taille », des bourgeois lyonnais, dont des commerçants italiens, acquièrent des terres, étendent la culture de la vigne, créant de grands « clos », loin de l'église, sur les pentes des collines.
Au début du XVIe siècle, Charli compte environ quatre cents habitants et quatre-vingt-un Lyonnais y ont une propriété. Vingt-cinq maisons sont dotées d'un treuil ou pressoir, parfois d'un four à cuire le pain, vingt-huit ont un puits. Les fonts de la Conche, déjà cités en 1300, de Frontigny, de Saint-Martin et Pelet sont aménagées. Il n'y a pas encore de lavoirs. Des croix ont été érigées aux trèves ; celle de Contantin en 1512 est actuellement dans le jardin près de l'église. (voir photo)
À partir de cette époque et jusqu'au XIXe siècle, les bourgeois venus de Lyon embellissent leur maison des champs dans les clos fermés de murs, aux portails imposants. Ils y construisent souvent une chapelle domestique où ils célèbrent leurs mariages. Celles des Gobins et du fief de la Mûre ont encore de beaux plafonds. Au milieu du XVIe siècle, les guerres de Religion menacent un temps la région. Vers 1545, on construit des tours de guet : celle dite « Gadagne » et celle des Flachères. En 1554, la petite église s'agrandit d'un chœur gothique. Le clocher est construit à la croisée du transept.
Au début du règne de Louis XIII, en 1610 est bâtie la maison forte de Moleyse au hameau de Frontigny qui conserve encore largement son caractère ancien. En 1618, Claude Guigo le Capitaine, châtelain emprisonné plus tard pour dettes, fait édifier le manoir à deux tourelles sur la place de l'église. Sous le règne de Louis XIV, en 1663 est érigée la croix de saint Abdon et saint Sennen, saints priés pour être préservés de la grêle. En 1682, Antoine Serre est seigneur de Charly. Il est un des six membres fondateurs de l'Académie des sciences et belles lettres de Lyon. De forteresse, le vieux château devient une riche et belle demeure à la campagne.
Tout près de là , le banquier marchand Melchior Philibert acquiert le clos de l'Haye en 1691. Il l'agrandit rapidement et le clôt de murs, conserve des vignes, aménage un jardin « à la française » avec allées, points de vue panoramique et adductions d'eau puis fait peindre le vestibule en 1701. En 1690, Jean de Rhodes, médecin, auteur d'ouvrages sur les eaux minérales imitées, a fait construire sa tour-belvédère au sommet de la colline de la Romayère. le belvédère En 1745, il acquiert une grande maison et ses dépendances en face de l'église, qui deviendra la maison curiale jusqu'en 1990.
L'histoire récente est marquée par des accidents climatiques inondations et des coulées de boues en 1983, 1993, 2003 et 2007, tempête et grosses chutes de neige en 1882, qui ont ponctué la vie du village[12].
Politique et administration
Administration territoriale
Après avoir appartenu au département du Rhône, ainsi qu'à la communauté urbaine du Grand Lyon à partir de 1969, Charly fait partie de la métropole de Lyon depuis le [13].
Tendances politiques et résultats
Le maire, élu en 2020 comme divers droite, fait partie des Républicains. Son premier adjoint, Marc Degrange, ancien vice-président de la chambre du commerce de Lyon est battu aux élections Métropolitaine de Lyon de 2020 sous la bannière LR. Son 3e adjoint, Yann Botrel, est membre du comité LR de la 12e circonscription du Rhône. Lors du second tour des élections municipales, la liste d'Olivier Araujo va fusionner avec celle d'un ancien instituteur, Gaëtan Andaloro, sans étiquette politique pour battre la Maire sortante, Corinne Barbasso-Bruas, alors en place depuis quelques semaines seulement, à la suite du décès du maire Claude Vial, en décembre 2019.
Administration municipale
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].
En 2020, la commune comptait 4 585 habitants[Note 3], en augmentation de 3,57 % par rapport Ă 2014 (RhĂ´ne : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Charly est située dans l'académie de Lyon. La commune comprend trois écoles :
- l'école maternelle publique Les Écureuils ;
- l'école élémentaire publique Les Tilleuls avec 185 élèves en 2017-2018 ;
- l'école privée catholique Saint-Charles, dans les murs du château. Elle compte 10 classes, de la PS au CM2. La rentrée 2014 a vu l'ouverture d'une classe « passerelle » de mini-section accueillant des enfants dès 2 ans.
Manifestations culturelles et festivités
Depuis 2014, la ville dispose d’un théâtre de 200 places, le « théâtre Melchior » qui connait un essor après la Covid avec la présence de Clémentine Célarié, Antoine Duléry, Liane Foly, Marianne James ou encore Jonathan Lambert dans deux saisons appelées "Nouveau souffle" et "Grain de folie". Depuis 2022, Yann Botrel, adjoint à la culture, crée le ch’ART’ly, festival du mois de juin avec une quinzaine d'évènements.
Environnement
C'est une des communes les plus vertes de la métropole en superficie de terrains agricoles ou de promenades. L'étang de Virieux, à l'entrée de la ville compte des espèces protégées. La ville dispose d'un centre de botanique, le CRBA, au Domaine Melchior Philibert, dirigé par l'éthnobotaniste Stéphane Crozat. Le Centre de Ressources de Botanique Appliquée dispose d'une banque de semences uniques, un laboratoire de recherches sur les qualités nutritives et peu énergivores de certaines variétés, souvent anciennes et oubliées de fruits et légumes, afin de faire face aux changements climatiques et enjeux de demain.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 50 698 € ce qui plaçait Charly au 257e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[19].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château de Charly est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis l'arrêté du .
La propriété Melchior-Philibert est la plus grande de Charly. Située rue de l'Église, cette vaste résidence datant de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle dispose d'un très grand parc, qui domine la maison de retraite du village. L'association du Théâtre du Sol s'y réunit pour jouer. Plusieurs éléments remarquables y figurent :
- à l'intérieur, des fresques ornent le "vestibule des peintures" qui ont fait l'objet d'un classement spécifique par arrêté du . Ces peintures représentent d'un côté Melchior Philibert et le commerce, de l'autre les grands esprits comme Descartes, Copernic ou Galilée. Sur le plafond, une allégorie de la paix. Elles ont été réalisées par Daniel Sarrabat vers 1700.
- à l'extérieur, il faut retenir le portail d'entrée, les façades et les toitures du bâtiment principal renfermant le salon ;
- dans le parc, le pavillon de la citerne et le mécanisme subsistant ainsi que le puits avec sa pompe. Il renferme aussi des éléments sculptés (cad. D2 431, 696, 698) inscrits eux aussi à l'inventaire depuis un arrêté du ainsi les murs extérieurs fin XVIIe siècle, inscrits par arrêté du .
Le manoir de Foudras est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis l'arrêté du pour sa façade et sa toiture.
L'église du village compte quatre fresques peintes par Jean-Baptiste Frénet de 1851 à 1853. Par ailleurs, des collectifs de victimes demandent à la municipalité le retrait des vitraux réalisés par le prêtre Louis Ribes convaincu de pédophilie. Mais la municipalité s'y oppose toujours en janvier 2023[20].
La tour Renaissance. - Le manoir de Foudras.
Les tours du château. Portique et croix. L'église illustré par Joannès Drevet (1854–1940).
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Frénet (1814-1889), peintre né à Lyon, Frénet est maire de Charly en 1851 et 1852, il réalise quatre fresques dans l'église du XIIIe siècle à cette époque. Il décède à Charly où il avait une maison et y est enterré. Une rue du village porte son nom. Frénet est un élève de Jean-Auguste Ingres et il est l'un des pionniers de la photographie, exposé à Orsay.Autoportrait nu de Frénet à la fin de sa vie
- Pierre Laigle, international français de football, conseiller municipal depuis 2020.
- Yann Botrel, auteur de polars et adjoint au maire depuis 2020[21].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Voir inventaire des risques majeurs sur prim.net
- « Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon », Lyon Capitale, 31 décembre 2014
- « Le maire de Charly, Claude Vial, est décédé », sur leprogres.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- Hugo Frances, Jade Theerlynck avec Laurène Rocheteau, « Affaire du père Ribes :Un an après, les victimes demandent toujours le retrait des vitraux du prêtre à Charly », sur BFM TV, (consulté le )
- Par Cyril Michaud Le 1 avril 2023 à 09h00, « Festival Quais du polar : à Lyon, la fiction rejoint la réalité », sur leparisien.fr, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie