ChĂȘne d'Allouville
Le chĂȘne d'Allouville est un chĂȘne pĂ©donculĂ© situĂ© au centre du village d'Allouville-Bellefosse, juste face au clocher-porche de l'Ă©glise Saint-Quentin, dans le pays de Caux, en Seine-Maritime. Son Ăąge exact n'est pas connu : estimĂ© au XIXe siĂšcle ĂągĂ© de 800 ans, une estimation ultĂ©rieure lui en attribue 1 200. Il est rĂ©putĂ© comme Ă©tant le plus vieux chĂȘne en France[1].
ChĂȘne d'Allouville | |||
Le chĂȘne d'Allouville | |||
GĂ©ographie | |||
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Pays | France | ||
RĂ©gion | Normandie | ||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||
Commune | Allouville-Bellefosse | ||
CoordonnĂ©es gĂ©ographiques | 49° 35âČ 47âł N, 0° 40âČ 35âł E | ||
Caractéristiques | |||
EspĂšce | ChĂȘne pĂ©donculĂ© | ||
Hauteur | 11 mĂštres | ||
Circonférence maximale | 9.95 | ||
Ăge | plus de 1200 ans | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
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Le ChĂȘne dâAllouville *
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Domaine | Pratiques rituelles |
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Lieu d'inventaire | Allouville-Bellefosse Seine-Maritime France Haute-Normandie |
* Descriptif officiel MinistĂšre de la Culture (France) | |
Sa hauteur est de 18 m et sa circonférence atteint les 15 m à 1 m du sol[2]. Localisé à proximité immédiate du clocher de l'église du village, il abrite en son sein deux minuscules chapelles et draine chaque année quelque 30 000[3] à 60 000 visiteurs[4].
Le chĂȘne d'Allouville est inscrit Ă l'inventaire du patrimoine culturel immatĂ©riel en France depuis 2009[5].
Histoire
Selon la lĂ©gende, le chĂȘne a Ă©tĂ© plantĂ© en 911 pour la naissance de la Normandie mais les scientifiques pensent de nos jours que le chĂȘne serait datĂ© du IXe siĂšcle. Probablement contemporain de Charlemagne, le chĂȘne d'Allouville a pu voir dĂ©filer les troupes de Guillaume le ConquĂ©rant en marche vers l'Angleterre qui, selon la tradition, a fait halte Ă son pied[6] - [7].
En vieillissant, l'arbre s'est creusé de l'intérieur, offrant en ses entrailles le petit mÚtre carré nécessaire pour une vie d'ascÚte.
Les premiĂšres mentions Ă©crites datent de 1696. Cette annĂ©e-lĂ , l'abbĂ© Jacques Delalande du DĂ©troit, fief de l'Ăźle de RĂ©, le curĂ© de la paroisse, glisse une image de la vierge dans la fissure de l'arbre, dans le contexte de la guerre qui touche le pays de Caux, dĂ©die alors cet arbre Ă Notre-Dame de la Paix. L'arbre se creuse de plus en plus, et la largeur de la fissure est alors de 22 centimĂštres. Le pĂšre Du Cerceau Ă©crit en 1710 une ode dans laquelle « il se souvient qu'il aurait pu ĂȘtre ermite et se voyait apporter chapon et champagne par les braves paroissiens. »
Jadis entourĂ© d'autres arbres, le chĂȘne a Ă©chappĂ© Ă plusieurs reprises Ă la destruction, notamment en 1793, pendant la Terreur. Selon un rĂ©cit local transmis oralement jusqu'Ă son recueil en 1914 par l'abbĂ© Fontaine[8], une foule rĂ©volutionnaire en liesse voulut incendier ce symbole d'un pouvoir clĂ©rical honni[1] - [6]. L'arbre fut sauvĂ© par le maĂźtre d'Ă©cole du village, Jean-Baptiste Bonheure, qui y apposa l'Ă©criteau « temple de la Raison » Ă la place de l'ancien qui le condamnait[6] - [9] - [10] - [11].
AprĂšs ces Ă©vĂ©nements, il suffira au chĂȘne d'une cinquantaine d'annĂ©es pour redorer son blason aux yeux des plus hautes instances du pouvoir laĂŻc en place. Une statue de la Vierge en bois dorĂ© est notamment offerte au chĂȘne par l'impĂ©ratrice EugĂ©nie, Ă©pouse de NapolĂ©on III, et se trouve aujourd'hui dans la sacristie de l'Ă©glise Saint-Quentin [6]. La chapelle, ainsi que la chambre qui la surmonte et l'escalier qui y conduit, vieillissent sous l'action du temps. En 1853, l'abbĂ© Cholet profite d'une visite du prĂ©fet de la Seine-InfĂ©rieure pour lui demander de classer le chĂȘne comme monument historique et restaurer le lambris de la chapelle[7]. Le baron Le Roy offre 1 200 francs pour la restauration du chĂȘne. L'abbĂ© Robert, alors directeur au sĂ©minaire d'Yvetot, se charge de conduire le travail de restauration, qu'il fait exĂ©cuter par M. Martin, sculpteur de Caudebec. L'Ćuvre est accomplie dans le style du XVIIe siĂšcle. Une fois achevĂ©, Mgr Blanquart de Bailleul, archevĂȘque de Rouen, bĂ©nit l'autel neuf et y cĂ©lĂšbre une messe le [12] - [7] - [N 1].
Au XIXe siĂšcle, le chĂȘne d'Allouville-Bellefosse devient officiellement une curiositĂ© et il fait l'objet de soins attentifs de la part des villageois. Ils tapissent l'intĂ©rieur des chapelles de lambris, recouvrent son tronc d'un manteau d'Ă©cailles de bois et amĂ©nagent un vĂ©ritable escalier dotĂ© d'une balustrade pour en faciliter l'accĂšs.
En 1912, il est frappĂ© par la foudre qui l'ampute de moitiĂ© ; il est depuis sans cesse auscultĂ©, soignĂ© et consolidĂ©. GrĂące Ă Henri Gadeau de Kerville, le site naturel est classĂ© par un arrĂȘtĂ© du [13].
En 1988, une structure mĂ©tallique est installĂ©e pour soutenir l'arbre qui menace de s'abattre[14]. Deux ans plus tard, le chĂȘne est restaurĂ© Ă cause de son Ă©tat de santĂ© et des dĂ©gradations dues au tourisme. « Dans les annĂ©es 1988-1993, un homme assez extraordinaire, Robert Bourdu, eut un coup de cĆur pour ce vĂ©gĂ©tal, qui avec ses 1 200 ans, prĂ©sentait des signes de faiblesse de structure et de vigueur. La relation quâil a eue avec cet arbre lui a permis de fĂ©dĂ©rer autour de lui une commission dâĂ©lus, de professionnels et dâhabitants qui ont mis tout en Ćuvre pour assurer Ă ce sujet historique une durĂ©e de vie supplĂ©mentaire. Il fallait trouver un financement important, obtenir l'acceptation dâinvestissement et de techniques nouvelles pour cet arbre vĂ©nĂ©rable ; il rĂ©ussit Ă mettre en Ćuvre les travaux de sauvegarde. Les travaux furent longs et les directives strictes, afin dâĂ©viter au mieux toute atteinte au vĂ©gĂ©tal : protĂ©ger les racines, limiter le tassement du sol, Ă©viter toutes blessures et protĂ©ger le reste de bois encore sain des actions des pathogĂšnes. »[15]
En 2007, une reprise des escaliers, le rĂ©amĂ©nagement des abords pour Ă©viter le piĂ©tinement et amĂ©liorer les conditions de sĂ©curitĂ© ont Ă©tĂ© effectuĂ©s. En 2008, les planches de bois et les graviers qui entourent le chĂȘne ont Ă©tĂ© changĂ©s et un espace a Ă©tĂ© spĂ©cialement amĂ©nagĂ© aux alentours pour faciliter la visite des touristes[16].
Les chapelles
Chapelle de la Vierge
L'abbĂ© Jacques Delalande du DĂ©troit, alors curĂ© d'Allouville Ă la fin du XVIIe siĂšcle, recouvre avec de l'essente toutes les crevasses du chĂȘne. Il construit, avec du bardeau, un petit clocher surmontĂ© d'une croix de fer qui s'Ă©lĂšve au-dessus du feuillage. Ce clocher, qui figure sur la gravure d'Eustache-Hyacinthe Langlois, ne subsiste plus aujourd'hui. Dans la partie intĂ©rieure du tronc, il glisse dans le creux de l'arbre une image de la vierge et invite les paroissiens Ă venir prier pour la paix et dĂ©dia l'arbre Ă Notre-Dame-de-la-Paix, comme il est encore possible de le lire sur la porte de la cellule : « ĂrigĂ©e par M. l'abbĂ© du DĂ©troit, curĂ© d'Allouville, en l'annĂ©e 1696 »[17].
L'oratoire champĂȘtre, long de 1,75 m, large de 1,17 m, mesure 2,28 m de hauteur. Il a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© au dĂ©but du XIXe siĂšcle, parquetĂ© comme un salon et on peut apercevoir au fond un autel de bois Ă©clairĂ© par deux chandeliers et une lampe suspendue au plancher. Les images de sainte Marie, de saint Joseph et de saint François-RĂ©gis ont Ă©tĂ© tapissĂ©es sur les murs. La porte a Ă©tĂ© grillagĂ©e pour empĂȘcher l'entrĂ©e au sanctuaire sans en cacher la vue[17].
Cellule ermitale
L'abbĂ© Jacques Delalande du DĂ©troit, avait reçu le PĂšre Du Cerceau alors professeur Ă Rouen. Ce dernier a Ă©crit en 1710 (plusieurs annĂ©es aprĂšs le dĂ©cĂšs de l'abbĂ© Jacques Delalande) une ode dans laquelle il aurait espĂ©rĂ© ĂȘtre un ermite mais ne se souvenait mĂȘme pas dans quel arbre « Le chĂȘne ou l'Ă©pine » ? , et imaginait dans cette Ćuvre se faire livrer chapon et champagne par ces braves gens attristĂ©s de son sort⊠Cette Ćuvre est enregistrĂ©e aux archives de Lyon[18] - [N 2].
Nous croyons inutile de la reproduire ici, quand
surtout nous en avons une autre Ă offrir au
lecteur, qui est l'Ćuvre d'un de nos concitoyens ,
M"*, d'Yvetot, et qui, selon nous, est bien supérieure
à celle de l'abbé Ducerceau. Voici cette «
piĂšce :
LE CHĂNE ET L'IF.
Dans les champs fortunes de ma belle patrie ,
PrÚs d'un temple sacré de l'antique Neustric ,
Est un chĂȘne si vieux que les plus vieux corbeaux
N'ont pas la moindre souvenance
De s'ĂȘtre reposĂ©s, aux jours de leur enfance,
Sous le naissant abri de ses jeunes rameaux.
De ce roi des forĂȘts la cime verdoyante
Semble, en s'élançant vers les cieux ,
Ătre une mĂ©daille vivante
De l'antiquité de ces lieux.
labie. On accédait dans cette salle par un escalier en bois.
Le feuillage du hĂȘtre formait un dĂŽme immense pouvant abriter
soixante Ă quatre-vingts personnes. Ces merveilles de la nature,
que le respectable Du Détroit croyait léguer aux ùges futurs ,
ont disparu.
Son tronc plein de vigueur, Ă©norme pyramide ,
Enceint trois fois neuf pieds dans son vaste contour ;
Il a vu comme une eau rapide
Vingt-huit siĂšcles entiers s'Ă©couler tour-Ă -tour ;
Le givre des hivers, les vents ni les orages ,
N'ont pu porter atteinte à sa mùle beauté ;
Et l'auguste vieillard, sur le débris des Ages.
S'élÚve triomphant comme l'éternité.
Dans ses flancs une main pieuse
Ăleva jadis un autel ;
Et, tous les ans, dans un jour solennel ,
Il entend retentir sa voûte harmonieuse
Des louanges de l'Ăternel.
Aussi le mattre du tonnerre
Le protĂšge en secret contre la faulx du temps ,
Et cet arbre chéri des cieux et de la terre
Doit braver Ă jamais le courroux des autans.
Le sommet de sa tige, ombragé de feuillage ,
Se termine par une croix ,
Et ressemble au clocher d'un antique ermitage
Qui s'Ă©lĂšve du sein des bois.
PrĂšs de ce chĂȘne vĂ©nĂ©rable
Autrefois, empruntant son abri secourable[18]...
Biologie
Le chĂȘne pĂ©donculĂ© (Quercus robur L. = Q. pedunculata Ehrh.) est un arbre Ă feuillage caduc des rĂ©gions tempĂ©rĂ©es de l'hĂ©misphĂšre nord, appartenant Ă la famille des FagacĂ©es. Il est trĂšs commun dans les plaines de France, sauf dans la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne et en Corse. Ses diffĂ©rents noms viennent du latin robur « fort » et pedunculatus « pĂ©donculĂ© », car le fruit est portĂ© par un long pĂ©doncule. C'est un grand arbre de 25 Ă 35 mĂštres de haut. Son feuillage est caducifoliĂ©. Il a une longĂ©vitĂ© de 500 Ă 1 000 ans[19]. C'est une espĂšce monoĂŻque et postpionniĂšre. L'Ă©corce est lisse chez les jeunes arbres puis devient trĂšs profondĂ©ment crevassĂ©e avec des gerçures horizontales.
Il possÚde des bourgeons ovoïdes, ses feuilles sont alternes avec un trÚs court pétiole et des oreillettes. Les lobes sont peu marqués (ondulés)[20]. Les glands qu'il donne mesurent de 1 à 5 centimÚtres et sont portés par un long pédoncule (de 2 à 10 cm)[19].
La hauteur du chĂȘne d'Allouville-Belfosse, comparativement Ă sa grosseur, est relativement faible. Son tronc, qui est totalement creux, prĂ©sente Ă peu prĂšs, depuis le sol jusqu'au sommet, c'est-Ă -dire jusqu'Ă l'endroit oĂč il semble avoir Ă©tĂ© rompu, la forme d'un cĂŽne. Il est toujours actif et produit feuillage et glands[20].
RĂ©fĂ©rences au chĂȘne
Le chĂȘne est au centre du film Le ChĂȘne d'Allouville (aussi connu sous le titre Ils sont fous ces Normands) comĂ©die rĂ©alisĂ©e par Serge PĂ©nard en 1981 avec Jean Lefebvre, Bernard Menez et Henri Guybet. Il raconte les efforts des villageois pour sauver leur arbre, menacĂ© par un projet d'Ă©largissement soutenu par le dĂ©putĂ© et le maire de la commune[21] - [22].
Autres chĂȘnes
Depuis 1981, le chĂȘne-chapelle dâAllouville-Bellefosse est jumelĂ© avec le Gros-ChĂȘne de Liernu[23].
Il existe d'autres chĂȘnes abritant des chapelles en France dont Saint-Sulpice-le-Verdon en VendĂ©e. Ă Villedieu-la-BlouĂšre en Maine-et-Loire, une chapelle a Ă©tĂ© construite sur un chĂȘne que le tronc traverse.
Galerie
Notes et références
Notes
- Ă trois reprises, M. Cholet a publiĂ© une notice biographique sur ce vĂ©gĂ©tal fameux et, chaque fois, il a augmentĂ© son Ćuvre de nouveaux documents. La premiĂšre Ă©dition parut en 1843 et Ă©tait intitulĂ©e : « Le ChĂȘne-Chapelle, vĂ©gĂ©tal remarquable et peut-ĂȘtre le plus vieux et le plus gros de tous les chĂȘnes qui se trouvent en Europe, dans le cimetiĂšre d'Allouville-Bellefosse, prĂšs d'Yvetot (Seine-InfĂ©rieure) », in-8 de 23 p. avec une planche « Paris, Bailly, 1843 ». La seconde Ă©dition parut en 1856, et elle comptait 64 pages du mĂȘme format. La troisiĂšme Ă©dition a Ă©tĂ© publiĂ©e en 1863. Elle fut imprimĂ©e Ă Bolbec, chez Valin, imprimeur des PĂšres Franciscains. Cette notice est double et elle est ainsi intitulĂ©e : « Notice sur le ChĂȘne-Chapelle d'Allouville-Bellefosse, suivie d'une notice historique sur Pierre Belain d'Esnambuc, fondateur de la puissance française aux Antilles ». La partie concernant le chĂȘne-chapelle compte 80 pages in-8. Celle qui regarde d'Esnambuc en compte 70.
- IndĂ©pendamment du gros chĂȘne, il existait jadis, au fond du presbytĂšre d'Allouville, un hĂȘtre et une Ă©pine d'une grosseur colossale, que le vandalisme de 1793 n'a pas Ă©pargnĂ©s. Cette Ă©pine supportait une espĂšce de rotonde Ă fenĂȘtres et planchĂ©iĂše, oĂč une douzaine de personnes pouvaient se mettre Ă table. On accĂ©dait dans cette salle par un escalier en bois. Le feuillage du hĂȘtre formait un dĂŽme immense pouvant abriter soixante Ă quatre-vingts personnes. Ces merveilles de la nature, que le respectable Du DĂ©troit croyait lĂ©guer aux Ăąges futurs, ont disparu.
Références
- « Le chĂȘne d'Allouville » [archive du ], sur www.univ-lehavre.fr.
- Jacques Ragot, Guide de la nature en pays de Caux : flore, faune, gĂ©ologie, Ăditions des Falaises, , (ISBN 978-2-84811-035-6), p. 166.
- http://www.paris-normandie.fr.
- Les arbres remarquables Jeroen Pater Ăditions du Rouergue .
- Leborgne 2009.
- « Allouville-Bellefosse : Le chĂȘne millĂ©naire » [archive du ], sur allouvillebellefosse.free.fr.
- Gustave Gouellain, Jean Benoßt Désiré Cochet, Revue de la Normandie, Impr. E. Cagniard, 1867, p. 564.
- Leborgne 2009, p. 8.
- Confédération nationale des Groupes folkloriques français, Folklore de France (no 251-262), (lire en ligne), p. 44.
- Mythologie française : Bulletin de la Société de mythologie française (no 222-225), (lire en ligne), p. 6.
- Leborgne 2009, p. 8-9.
- Les Ăglises du l'arrondissement d'Yvetot, 2e Ă©dition, T. n, p. 382.
- http://krapoarboricole.unblog.fr .
- Jacques Ragot, Guide de la nature en pays de Caux : flore, faune, gĂ©ologie, Ăditions des Falaises, , (ISBN 978-2-84811-035-6), p. 167.
- Source : La Feuille d'A.R.B.R.E.S., bulletin trimestriel de l'association A.R.B.R.E.S., no 93, .
- Paris Normandie, .
- Gustave Gouellain, Jean Benoßt Désiré Cochet, Revue de la Normandie, Impr. E. Cagniard, 1867, p. 565.
- Gustave Gouellain, Jean Benoßt Désiré Cochet, Revue de la Normandie, Impr. E. Cagniard, 1867, p. 566.
- Anne Bary-Lenger, Les chĂȘnes pĂ©donculĂ© et sessile en France et en Belgique, Bruxelles, 1993, (ISBN 2-87114-095-2), p. 124.
- Jacques Ragot, Guide de la nature en pays de Caux : flore, faune, gĂ©ologie, Ăditions des Falaises, , (ISBN 978-2-84811-035-6), p. 168.
- https://www.imdb.com .
- http://www.cinemotions.com .
- www.chenemillenairedeliernu.be .
Voir aussi
Bibliographie
- Yann Leborgne, « Allouville-Bellefosse », dans Fiches d'inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France, , 26 p. (lire en ligne [PDF])
- Jacques Ragot, Monique Ragot, Guide de la nature en pays de Caux, Ă©ditions des falaises, FĂ©camp, 2005 (ISBN 2-84811-035-X)
- Anne Bary-Lenger, Le chĂȘne. Les chĂȘnes pĂ©donculĂ© et sessile en France et en Belgique., Bruxelles, 1993 (ISBN 2-87114-095-2)
- Marquis, Notice sur le ChĂȘne-Chapelle d'Allouville dans le pays de Caux, in-12 de 7 p., Rouen, 1822.
- Id., Précis analyt. des Trav. de l'Acad. do Rouen, 1822, p. 40-46.
- Id., Archives de la Normandie, 1.1", p. 83-84 et pi.
- Dubreuil, Quelques Notes sur l'accroissement des arbres exogÚnes, in-4°, Caen, 1847.
- Id., MĂ©m. de l'Institut des Provinces, 1.i", in-4", Caen, 1847.
- De Glanville, Promenade archéol. de Rouen à Fécamp , p. 80-83.
- Les Ăglises de l'arrond. d'Yvetot, I1" 6dit., t. 11, p. 384-88 ; 2' Ă©dit., t. n, p. 379-83.
- L'abbĂ© Cholet, Le ChĂȘne-Chapelle, etc., dans les cimetiĂšres d'Allouville-Bellefosse, in-12 de 24 pages, Paris, Bailly, 1810. Plusieurs fois rĂ©imprimĂ©.
- Gustave Gouellain, Jean Benoßt Désiré Cochet, Revue de la Normandie, Impr. E. Cagniard, 1867.
Liens externes
- Ressources relatives Ă la religion :
- Ressource relative Ă l'architecture :
- MinistÚre de la Culture et de la Communication - Patrimoine culturel immatériel