Accueil🇫🇷Chercher

Châteauvillain

Châteauvillain [ʃatovilɛ̃] est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Châteauvillain
Châteauvillain
Gravure de Châteauvillain en 1838.
Blason de Châteauvillain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
Intercommunalité Communauté de communes des Trois Forêts
(siège)
Maire
Mandat
Marie-Claude Lavocat
2020-2026
Code postal 52120
Code commune 52114
Démographie
Gentilé Castelvillanois
Population
municipale
1 573 hab. (2020 en diminution de 2,84 % par rapport à 2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 06″ nord, 4° 54′ 55″ est
Altitude Min. 213 m
Max. 359 m
Superficie 106,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chaumont
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteauvillain
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Châteauvillain
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Châteauvillain
Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Marne
Châteauvillain
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Châteauvillain
Liens
Site web mairiechateauvillain-hautemarne.fr
    Le parc aux daims
    De l'eau...
    Victimes des nazis

    Ses habitants sont appelés les Castelvillanois.

    Géographie

    Localisation

    Au sein du Parc national de forêts, Châteauvillain est située à 20 km à l'ouest de Chaumont, préfecture de la Haute-Marne.

    Chef-lieu de canton de la Haute-Marne au centre du triangle formé par les villes de Châtillon-sur-Seine, Bar-sur-Aube et Chaumont, Châteauvillain compte 1 733 habitants avec le hameau de Montribourg et les communes associées de Créancey, Marmesse et Essey-les-Ponts. Sa superficie est de 7 942 ha dont 5 032 ha de forêts.

    Le canton confine ainsi aux départements de la Côte d'Or et de l'Aube, il est en Champagne, mais à la limite de la Bourgogne, pour une population de près de 5 000 habitants.

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauvillain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chaumont, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,8 %), terres arables (35,8 %), prairies (3,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), zones urbanisées (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Anciennes mentions : Castrum Villani (vers 1172)[8], Castrum Villanum (1213)[8], Chastiavilain (1251)[8], Chastiavillain (1254)[8], Chatelvillaim (1257)[8], Chatelvilain (1258)[8], Chatiauvilain (1259)[8], Chatiauvilein (1265)[8], Chastelvilain (1269)[8], Chastel Vilein (1276-1278)[8], Chateauvillain (1371)[8], Chastelvillain (1434)[8], Château Vilain (XVIIIe siècle)[8], Château-Villain (1769)[8].

    Selon Ernest Nègre, il s'agit du terme d'oïl château suivi du nom de personne Villain[9].

    Histoire

    Carte postale de la gare vers 1910.

    Ancien village fortifié à proximité de Chaumont, Châteauvillain s’est installé autour d'un castrum antique, le Castrum Villanum, poste fortifié au XIe siècle. L'histoire de cette ville est également liée à la Maison de Châtillon[10]. Il est fait mention de la construction d'un château par Hugues III de Broyes, seigneur de Broyes et de Châteauvillain, en 1160, auquel succedera son fils cadet Simon le Jeune. Un donjon et une enceinte enfermant le château furent donc édifiés en 1160, autour du quartier des Crées. Encore aujourd’hui, les ruelles étroites des Crées rappellent l’ambiance de l’ancien centre commerçant.

    En 1286, Jehan l'Aveugle, compagnon d'armes de Saint Louis dans la croisade, accordait une charte à la ville dont il était le seigneur.

    En 1620, le comté de Châteauvillain est acheté par Nicolas de L'Hospital, marquis de Vitry et d'Arc. En 1699, le comté de Châteauvillain est acheté, en même temps que le marquisat d'Arc par Louis de Bourbon, comte de Toulouse ; il comportait les seigneuries de Latrecey, de Montribourg, de Valbrunat, de Cour-l'Évêque, de Giey-sur-Aujon, de la Maison-Renaud, de Bois-Saint-Georges, de Marme, de Blessonville, de Coupesey, et de Laferté-sur-Aube. L'ensemble formé du comté de Châteauvillain (auquel est annexée la seigneurie d'Épillan) et du marquisat d'Arc (auquel sont annexés les baronnies de Créancey et de Courcelles (? - ou plutôt Courcelles[11]), ainsi que les seigneuries de Ternat et d'Eriseul) est érigé en duché-pairie en 1703. Le duché passe ensuite à son fils, le duc de Penthièvre, puis en 1769 à Louise de Bourbon (1753-1821) qui épouse Philippe, duc d'Orléans, et après la Révolution à leur fils le futur roi Louis-Philippe.

    La principale curiosité de Châteauvillain se trouve dans le parc aux Daims, de plus de 270 hectares : créé en 1655 par le seigneur François-Marie qui fit élever un mur de six kilomètres en pierre pour pouvoir s’adonner à sa passion de la chasse.

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms de Commune-sur-Aujon et de Ville-sur-Aujon[12]. Alors qu’ils sont prévus dans chaque commune par la loi du 21 mars 1793, le comité de surveillance de Ville-sur-Aujon ne se crée que le 17 octobre, après la loi du 17 septembre qui précise leur organisation. Ses pouvoirs sont renforcés par la loi du 14 frimaire an II, qui lui attribue la surveillance de l’application des lois en concurrence avec les municipalités. Il se borne toutefois comme la plupart des comités communaux à surveiller les étrangers et désarmer les suspects[13].

    Dans la nuit du 8 au 9 décembre, durant la guerre franco-prussienne de 1870, quatre compagnies du 56e régiment provisoire et une section d'artilleurs, de la garnison de Langres, entreprennent un coup de main contre la garnison de Châteauvillain (lire Siège de Langres).

    Située sur la ligne de Bricon à Châtillon-sur-Seine, la gare de Châteauvillain a reçu des voyageurs de 1866 à 1939. La ligne est maintenue uniquement depuis la gare de Veuxhaulles vers Bricon pour le fret. Un projet de train touristique conduit par l'association Rail 52 devrait se concrétiser de Veuxhaulles à Châteauvillain en 2023.

    Politique et administration

    En 1972, Châteauvillain absorbe Créancey, Essey-les-Ponts et Marmesse.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 André Thiebaut
    mars 2008 En cours Marie-Claude Lavocat DVD Conseillère départementale
    Présidente de la Communauté de Communes

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].

    En 2020, la commune comptait 1 573 habitants[Note 4], en diminution de 2,84 % par rapport à 2014 (Haute-Marne : −4,91 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7251 8411 7971 7441 9712 1002 0682 1102 077
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8291 7841 7741 5521 5211 5111 4461 3841 279
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2571 2321 1611 0611 0621 0081 0541 1681 328
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1621 2421 5961 7071 7601 7101 6541 6461 641
    2017 2020 - - - - - - -
    1 5841 573-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Événements

    • Salon des Plaisirs de la Chasse et de la Nature. Cette manifestation attire environ 30 000 visiteurs. Elle présente des activités liées à la chasse, à la pêche et aux loisirs de la nature : les vastes forêts domaniales d'Arc-en-Barrois et de Châteauvillain sont réputées pour la chasse au gros gibier. Cette manifestation a lieu chaque année le dernier week-end d'août.
    • Jeu de piste humoristique et gratuit chaque été du 1er juillet au 31 août. Le jeu est différent chaque année, il est conçu pour tous de 7 à 77 ans ! Chaque année, plus de 4 000 personnes participent[18].

    Économie

    La commune héberge sur le territoire d'Essey-les-Ponts un parc éolien développé par la société InnoVent qui compte notamment 3 éoliennes à structure partiellement en bois[19].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château par François Alexandre Pernot.

    Chateauvillain a reçu le label « Petite cité de caractère Â» le 6 décembre 2012.

    • Fortifiée aux XIIe et XIVe siècles, Châteauvillain possède encore une vingtaine de tours (il en existait une soixantaine). La ville s'est construite au XIIe siècle autour d'un imposant donjon de 45 mètres de haut doté de murs de 5 mètres d'épaisseur. Un premier château médiéval fortifié date de cette époque. Un second château a été construit dans la cour du château médiéval en 1627 par Nicolas de L'Hospital duc de Vitry (capitaine des gardes de Louis XIII). Ce château a été partiellement détruit au XIXe siècle pour tracer la rue principale actuelle de la ville en 1835. Le donjon a également disparu à cette époque. La ville conserve toutefois des vestiges du château qui font l'objet d'une protection aux Monuments historique. Le colombier de la ferme seigneuriale est également visible avec reste également aussi visible comptant pas moins de 3 000 boulins.
    • La porte Madame était une des trois portes de la ville au XIIe et au XIVe. Elle est la seule restée en l'état. Elle permet aujourd’hui l'accès au Parc aux Daims.
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption : elle a été reconstruite de 1770 à 1784 à l'initiative du duc de Penthièvre, seigneur de Châteauvillain. Sa façade est classée et attribuée à Soufflot. Elle fut rebâtie en 1874 par l'entrepreneur Beauvallet, de Lanty sur des plans de l'architecte départemental Arsène Descaves [20].
    • La Chapelle de la Trinité
    • L'hôtel de ville de Châteauvillain date de l'Ancien Régime, sa façade est l'Å“uvre de François-Nicolas Lancret de 1780 à 1784 à qui l'on doit l'hôtel de ville de Chaumont. La façade de l'hôtel de ville de Chateauvillain est classée.
    • Le petit musée de la ville est installé dans la tour de l’Auditoire. Il permet de découvrir, entre autres, la salle des maquettes des châteaux de la ville.
    • Halles du XIXe siècle.
    • Deux lavoirs du XVIIIe siècle dont l'un à parquets flottants unique en France.
    • La maison de la Prévôté, rue du Duc-de-Vitry, a été achevée en 1645. Située au pied de l'ancien château, elle conserve son authenticité. La façade avec ses gargouilles monumentales et sa porte d'entrée à arc brisé sont particulièrement remarquables. L'ensemble, y compris le jardin et les murs d'enceinte, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH) depuis 2003.
    • Le parc aux Daims : ouvert toute l'année gratuitement au public, ce parc de 272 ha est aussi le lieu où l'on peut croiser une centaine de daims qui vivent en harmonie avec la nature.
    • Châteauvillain compte aussi km de ruelles et de chemins de ronde.
    • La ville se trouve sur le tracé de la via Francigena

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Châteauvillain

    Les armes de Châteauvillain se blasonnent ainsi :

    De gueules semé de billettes d'or au lion du même brochant sur le tout.

    Diverses vues de Châteauvillain

    • Tour Saint-Marc
      Tour Saint-Marc
    • L'Aujon
      L'Aujon
    • Parc Aux Daims
      Parc Aux Daims
    • Centre Ville
      Centre Ville
    • L'Aujon
      L'Aujon
    • Tour d'Anus
      Tour d'Anus
    • L'Aujon
      L'Aujon
    • Porte-Madame
      Porte-Madame
    • L'Aujon
      L'Aujon
    • Lavoir à parquets flottants
      Lavoir à parquets flottants

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne. Dictionnaire géographique, statistique, historique et biographique de ce département, Chaumont, 1858.
    • Stéphane Bern, Le village préféré des français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 249 p. (ISBN 978-2-226-25920-2)
      Ce livre est tiré de l'émission Le village préféré des Français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Châteauvillain, pages 128 à 131** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Alphonse Roserot, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Marne, Paris, Imprimerie nationale, 1903.
    9. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 3, Droz, 1998.
    10. André Du Chesne, « Histoire généalogique de la Maison de Chastillon sur Marne », sur Google Play, cramoisy 1621.
    11. localisation d'une baronnie selon Éric Thiou, Dictionnaire des Titres..., 2003, p 102.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Châteauvillain », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    13. Jacques Bernet, « Les fonds des comités de surveillance en 1793-an III », Rives nord-méditerranéennes [En ligne], 18 | 2004, mis en ligne le 12 décembre 2006. p. 2 et 7
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. « Chateauvillain.com », sur chateauvillain.com (consulté le ).
    19. Félix Gouty, « L'éolien innove pour améliorer son bilan environnemental », sur actu-environnement.com, (consulté le ).
    20. http://www2.cr-champagne-ardenne.fr/edifices_religieux_52/IA52000734.html
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.