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Silvarouvres

Silvarouvres est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Silvarouvres
Silvarouvres
Sur une carte postale ancienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes des Trois ForĂȘts
Maire
Mandat
GĂ©rard Klein (d)
2020-2026
Code postal 52120
Code commune 52474
DĂ©mographie
Population
municipale
34 hab. (2020 en diminution de 15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 03â€Č 41″ nord, 4° 47â€Č 11″ est
Superficie 19,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂąteauvillain
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Silvarouvres
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Silvarouvres
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Silvarouvres
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Silvarouvres

    GĂ©ographie

    Urbanisme

    Typologie

    Silvarouvres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (57 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (48,1 %), forĂȘts (43 %), prairies (8,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Deux auteurs estiment que le passage de sopino Ă  silve provient d'une attraction du second terme

    "silva" , au Moyen Age : un endroit plus ou moins densément boisé

    le nom rappelle son origine forestiĂšre ou simplement un arbre en particulier, le chĂȘne jadis objet d’un culte ou d’une vĂ©nĂ©ration quelconque

    Supinum Robur Sopinum Robur ,

    Le Rouvre couché

    Bulletin de la Commission historique et archéologique Commission historique et archéologique de la Mayenne · 1914
    877 Cerecius , sive Sopino Robore

    Le domaine de Cerecius sous le Rouvre couché

    DiplĂŽme de Charles le Chauve Archives de l'Empire: Inventaires et documents 1866
    1076 Silva rubra– Roberatra Chronicon Lingon, ad an 1076, AP acta SS Ibid
    1149 Silvanrroura Charte d’Henri 1r seigneur de Bar-sur-Aube et La FertĂ©
    1179 Silvenrovra Recueil des chartes de l'abbaye de Clairvaux au XII siĂšcle 2004
    vers 1200 Silvainrovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1200 Sivonrovra Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1200 Sivain Rovre

    1201 Sivenrovara

    Documents relatifs au comté de Champagne et de Brie: 1172-1361
    1222 Suvinruere Toponymie générale de la France Ernest NÚgre · 1990
    1228 Syvanrovre Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux .Louis Richard, Alain Catherinet · 2004
    1232 et 1243 Suvinruere , Sirenrole Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1241 Syvanrovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1243 Suvinruere Toponymie générale de la France Ernest NÚgre · 1990
    1245 Suvenrosa Toponymie générale de la France Ernest NÚgre · 1990
    1251 Syvanrouvre Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux .Louis Richard, Alain Catherinet · 2004
    1255 Sivanrovra Recueil des historiens de la France: Pouillés Académie des inscriptions & belles-lettres (France) · 1904
    1255 Sivonrovra Pouillés de la province de Lyon Auguste Longnon · 1904
    1261 Sivanovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1274 –1275 Sinvanrolle Collection de documents inĂ©dits sur l'histoire de France 1903
    1275 Silve en Rouvre, Histoire des ducs et des comtes de Champagne depuis le VIe siÚcle jusqu'à la fin du XIe Henri d' Arbois de Jubainville · 1860
    1278 Silve en Rovre Documents relatifs au comté de Champagne et de Brie, 1172-1361. Les fiefs / publiés par Auguste Longnon,... 1901-1914
    1296 Syvenrouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    XIVe s Syvanrouvra Pouillés de la Province de Lyon - Volume 1 - 1904
    1416 Sivanrouvra Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1540 Civenrouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
    1603 Silvarouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1914
    1656 -1679 Silvaurouvre Nouvel atlas, tres-exact et fort commode pour toutes sortes de personnes 1720
    1700 Civarolles Les Loix municipales et coutumes générales du bailliage de Chaumont-en-Bassigny Jean Gousset · 1722
    1722 Civanrouvre Les Loix municipales et coutumes générales du bailliage de Chaumont-en-Bassigny Jean Gousset · 1722
    19e s Sylvarouvres Bulletin des lois de la Republique Francaise

    1844, entre autres

    À partir de 1875 environ 1886

    Silvarouvres

    “Le” Diocùse de Langres

    histoire et statistique · Volume 3


    Selon Émile Jolibois, historien et archiviste français, aucune charte ne fait mention avant le XIIe siĂšcle du village qui n’a pris naissance que vers le milieu du XIe siĂšcle avec la fondation du prieurĂ© par la comte du Barsuraubois, Simon de Valois. Ce qui prouve que le territoire n’avait pas d’église avant cette fondation, les corps des martyrs ayant Ă©tĂ© transportĂ© Ă  Sexfontaines.

    En 1875, l’AbbĂ© Charles Roussel, en son temps curĂ© d’OziĂšres et ancien missionnaire Ă©crit « Silvarouvres, dit aussi jadis Silvarolla, Silvarouvra, Silva Rubra, Supinum Robur, Sopinuim Robur Attraction du mot silvestre en ancien français ; le -s a Ă©tĂ© ajoutĂ© tardivement et n'a pas de sens. Du latin supinum- tournĂ© vers le haut, penchĂ©, renversĂ©-et robur chĂȘne rouvre- ; mots Ă  mots, la ForĂȘt de ChĂȘnes Rouges , ressortait de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Champagne, Ă  l’élection de Bar-sur-Aube, au bailliage de la prĂ©vĂŽtĂ© de Chaumont. La seigneurie, ancienne dĂ©pendance de la chĂątellenie de LafertĂ©, fut rĂ©unie dans la suite au duchĂ©-pairie de Chateauvillain. On ignore Ă  quelle Ă©poque ce village prit naissance. Il paraĂźt certain que ce village n’existait pas au VIIe, Ă  l’époque oĂč, vers l’an 630, les saints FĂ©lix, Augebert, furent massacrĂ©s par dans la forĂȘt du mĂȘme lieu. Cette forĂȘt, rougie par leur sang paraĂźt avoir donnĂ© son nom au village. Ou selon une autre Ă©tymologie qui n’est pas moins naturelle, le mot de Silvarouvres vient de Silva Robur, mot Ă  mot, Boisrouvre la forĂȘt de chĂȘnes ». Le rouvre, robur en latin, est en effet une espĂšce de chĂȘne noueux et fort.

    Un auteur rĂ©cent, Henry d’Arbois de Jubainville pense que le village existait dĂ©jĂ  au IXe siĂšcle et qu’un diplĂŽme de Charles le Chauve en l’an 877 le dĂ©signe en ces termes : « in pago Barinse, super fluvium Alba, id est villĂ  quae vocatur Cerecius sive Sopino Robore - dans le pays Barrois, sous la forĂȘt de rouvre se trouve Ă  proximitĂ© de l’Aube un village –dans le sens de domaine - du nom de Cerecius ». Ainsi au IXe siĂšcle, Silvarouvres Ă©tait connu sous le vocable originel de Cerecius ; le vocable primitif reproduisait sans doute le gentilice romain de Ceretius ou Ceraecius. On remarquera par ailleurs dans le vocable de Cerecius la racine latine cerreus ou cerrus « chĂȘne » . Pour L Richard, le passage de cerecius Ă  robore n’est du qu’à une traduction ou plutĂŽt une prĂ©cision relative au site, le rouvre Ă©tant une variĂ©tĂ© de chĂȘne. Dans un dĂ©partement largement enforestĂ© comme l’a toujours Ă©tĂ© la Haute-Marne, c’est une hypothĂšse qui n’a rien, en dĂ©finitive pour nous surprendre. Transmis sur plusieurs gĂ©nĂ©rations, pour l’abbĂ© Henry « le territoire Ă©tait aussi dotĂ© d’un nom vulgaire Sopino Robore, Ă  l’ablatif dĂ©clinable en latin ancien Ă  savoir Supinum Robur. Robur, probablement parce que c’était une forteresse, Supinum certainement parce qu’elle Ă©tait assise sur le penchant d’un coteau comme l’est encore aujourd’hui le village. Les alĂ©as de la langues feront plus tard de cette locution Cyvan-Rouvre, dont la premiĂšre lettre de Rouvre est quelques en majuscule, jamais celle de cyvan sans doute parce ce dernier mot est un adjectif. Quant aux modifications successive, il n’y a pas lieu d’en chercher une explication , pas plus que le « s » qui a Ă©tĂ© rajouter tardivement ».

    Pour se prĂ©munir des invasions normandes dans les derniĂšres dĂ©cennies du Xe siĂšcle ou les premiĂšres du XIe siĂšcle des mottes castrales s'Ă©levĂšrent un peu partout, un souvenir que l’on retrouve au sein du village Ă  travers le toponyme de la Motte : rapide Ă  construire selon un modĂšle transposable partout et s’insĂ©rant dans un systĂšme de dĂ©fense du pays barrois. En l’an 889, les Normands pĂ©nĂ©trĂšrent en Champagne, ravageant Bar-sur-Aube, ruinant ses fortifications et mettant tout sur leur passage Ă  feu et Ă  sang[8] - [9] - [10].

    Histoire

    Découvertes archéologiques :

    NĂ©olithique : Ă  Silvarouvres, les NĂ©olithiques laisseront le souvenir de leur prĂ©sence « "des silex taillĂ©s dont de nombreux silex cachalonnĂ©s - usĂ©s- sont assez abondants sur ce territoire. On y a retrouvĂ© de nombreuses piĂšces d’industrie nĂ©olithique : des racloirs, des grattoirs, des perçoirs, des poinçons, des haches, des pointes de flĂšches, des lames de tranchets et de ciseaux ainsi qu’un certain nombre de dĂ©bris de poteries Ă  craquelure bleuĂątres ou noires de factures gallo-romaines. A Valdan ancienne institutrice de Silvarouvres, campagnes de fouilles annĂ©es 20 ». Une industrie lithique rattachĂ©e jusque dans les annĂ©es 50 au Robenhausien (entre 3300 et 1800 av. J.-C.), oĂč seuls tranchets et ciseaux peuvent ĂȘtre rattachĂ©s au ChassĂ©en mĂ©ridionale implantĂ© dans le sud du dĂ©partement. Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie de Haute Marne[11],


    PrieurĂ© Saint FĂ©lix, Prioratus Sancti Felicis - PrieurĂ© Saint FĂ©lix  DĂ©diĂ© Ă  Sts FĂ©lix et Augebert,  Sylva rubra Roboretra - La forĂȘt rouge Mont - Saint - Oyant , dans la forĂȘt de Silvarouvre . Un prieurĂ© de Saint - Claude y fut Ă©galement restaurĂ© par Simon de Valois qui le donna au prieurĂ© de Ste Germaine

    AppelĂ©s par Simon de Valois, comte de Bar sur Aube,  les moines bĂ©nĂ©dictins s’installĂšrent au sein du PrieurĂ© Saint FĂ©lix fondĂ© en l’an 1076 avec l’accord de Reynard, 52e Ă©vĂȘque de Langres, en faveur du monastĂšre Saint-Oyend-de-Joux du Jura. Traditionnellement c’est au jeune comte de Valois, que l’on attribue l’initiative et le mĂ©rite de ce rayonnement, sa retraite dans le monastĂšre jurassien s’étant accompagnĂ©e de nombreuses de donations.

               Acte fĂ©odal et religieux, le fondation du monastĂšre St FĂ©lix prĂ©cĂ©da d’un an l’entrĂ©e en religion de Simon de Valois. Et l’an 1076, Thibaud (2)  avec l’agrĂ©ment d’AdĂšle son Ă©pouse , et Ă  la demande de son beau frĂšre  Simon, confirmera Ă  l’abbaye par une charte  non seulement les donations du comte de CrĂ©py mais aussi celles faites par les autres membres de la famille :   « *Moi, comte Thibaud, accĂ©dant Ă  la demande du comte Simon, je confirme au bien heureux Oyend de Joux, la perpĂ©tuelle et tranquille possession de tout ce que le comte Nocher, le comte Raoul, le comte Simon ou les autres personnes de la mĂȘme famille ont donnĂ© ou pourraient lui donner dans la terre de Bar sur Aube ; je me dĂ©siste de tout droit sur ces biens, ainsi que mon Ă©pouse et mes fils » .

    (2)  Histoire de l'abbaye et de la terre de Saint-Claude, Paul Benoit · 1890 [12] - [13] - [14]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1983 décembre 2002 Guy Maitrot FN[15]
    décembre 2002 mars 2008 Dominique Maitrot Apparentée au maire précédent
    mars 2008 Mars 2014 Yves Mehl
    mars 2014 En cours GĂ©rard Klein (d) Voir avec Reasonator UDI[16]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[18].

    En 2020, la commune comptait 34 habitants[Note 2], en diminution de 15 % par rapport à 2014 (Haute-Marne : −4,91 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    339347367350390393390399414
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    357340354279271272238203194
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    177200146146147139126116128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    11310456696154494947
    2015 2020 - - - - - - -
    3834-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    8. Charles François Roussel, Le DiocÚse de Langres histoire et statistique, vol. 2 (=https://www.google.fr/books/edition/La_dioc%C3%A8se_de_Langres/aRrCMwd0h0cC?hl=fr&gbpv=0 AccÚs libre)
    9. Catholic Church. C.O., Officia propria, « Office de Saint Saturnin » AccÚs libre
    10. Louis Richard et Alain Catherinet, Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux habités anciens et modernes de Haute-Marne, D. Guéniot,
    11. Melle Valdan, Notes sur les vestiges Gaulois et Gallo Romain, Melle Valdan ancienne institutrice au village, société d'archéologie et d'histoire de Chaumont,
    12. P Benßt, « Histoire de l'Abbaye et des terres de Saint Claude »
    13. P Benoit, « Histoire de l'abbaye et des terres de Saint Claude Volume 2 1982 »
    14. Sur les chemins de la perfection moines et chanoines dans le diocÚse de Besançon vers 1060-1220, Publications de l'Université de Saint-Etienne
    15. Annuaire des Mairies de Haute Marne (52), 152 p. (ISBN 978-2-35258-152-9, lire en ligne).
    16. « Jean-Christophe Lagarde et prÚs de 600 élus soutiennent Alain Juppé - UDI », sur UDI, (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Liens externes

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