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Cernay-lès-Reims

Cernay-lès-Reims est une commune française située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Cernay-lès-Reims
Cernay-lès-Reims
La place avec la mairie, un jour de braderie.
Blason de Cernay-lès-Reims
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité CU du Grand Reims
Maire
Mandat
Patrick Bedek
2020-2026
Code postal 51420
Code commune 51105
Démographie
Population
municipale
1 449 hab. (2020 en augmentation de 9,28 % par rapport à 2014)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 51″ nord, 4° 06′ 14″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 217 m
Superficie 16,49 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Reims-8
Législatives 4e circonscription de la Marne
Localisation
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Cernay-lès-Reims
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Cernay-lès-Reims
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Cernay-lès-Reims
Liens
Site web www.cernay-les-reims.fr

    Géographie

    Situation

    Cernay vue du ciel. Au loin, Reims.

    Le village de Cernay-lès-Reims (1 400 habitants en 2011) exprime par son nom sa proximité avec l'agglomération de Reims (200 000 habitants environ). km seulement le séparent du centre de la métropole régionale, cependant, le village a conservé tout son caractère agricole et viticole, sans activités péri-urbaines. Il est inséré dans le flanc sud-ouest du Mont de Berru (267 m), d'où peut-être son nom (Sarnacum, village du versant selon Charles Bosteaux).

    Autour de l'agglomération rémoise, 140 communes constituent avec la ville-centre un bassin agricole et viticole (le Pays rémois est l'une des 432 régions agricoles françaises), un bassin d'emplois et d'activités économiques diversifiées ainsi que des ensembles résidentiels urbains, péri-urbains et ruraux. Depuis 1988, le SIEPRUR (Syndicat intercommunal d’études et de programmation de la région urbaine de Reims) donne un cadre à ces terroirs diversifiés ayant un centre d'attractivité commun à tous les villages constituants : Reims. Le sous-ensemble majeur et urbain de ce territoire du Pays Rémois, c'est l'agglomération, ou Reims Métropole, comptant 215 000 habitants.

    Mais le plus grand espace, rural essentiellement, de ce Pays Rémois, s'étendant entre Saint-Souplet-sur-Py à l'est et Fismes à l'ouest, compte moins de 75 000 habitants est un paysage modelé par l'agriculture (et ici, la viticulture aussi) et parsemé de villages et clochers d'églises de loin en loin. Cernay-lès-Reims se situe exactement à la charnière entre l'espace urbain et le grand espace rural périphérique ; il est à l'image du village français typiquement rural.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Cernay-lès-Reims
    Witry-lès-Reims
    Reims Cernay-lès-Reims Berru
    Saint-Léonard Nogent-l'Abbesse, Puisieulx

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de transport à la demande TAD Est du réseau de transports en commun de l'agglomération CITURA qui la relie directement à Reims.

    Géologie

    À l’ère tertiaire, le bassin rémois était sous une mer dont émergeait le Mont de Berru. Une partie du terroir de Cernay était en bord de mer, comme l'attestent les sables et leurs fossiles en sortie nord du village.

    La craie est en abondance sur tout le terroir du village (à 50 cm de profondeur environ), ce qui caractérise les bassins sédimentaires de l'ère secondaire. Le paléontologue Victor Lemoine, au XIXe siècle, identifia sur le terroir des os de gastornis, l'un des plus grands oiseaux ayant existé sur terre, au début de l'ère tertiaire (il mesurait deux fois la taille d'un homme, lequel n'existait pas encore à cette époque).

    Urbanisme

    Typologie

    Cernay-lès-Reims est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), forêts (9,7 %), cultures permanentes (6,1 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Au XIIIe siècle Sarneio et les villageois étaient les Sarnaisisens.

    Le village portait autrefois le nom de Cernai

    Histoire

    En remontant dans l'histoire, il semble difficile d'identifier ce qui a prévalu d'abord pour donner consistance au village : les activités agricoles ou l'adossement à la toute proche ville de Reims, qui émerge vers les années 50 apr. J.-C.

    Selon Charles Bosteaux, Cernay apparaît pour la première fois dans des écrits au XIIe siècle[8] ; il évoque des traces d'habitat beaucoup plus anciennes autour du Mont de Berru (grottes du Néolithique). On peut penser que le village existe sous son nom bien avant les écrits du XIIe siècle mentionnés par Ch. Bosteaux depuis la publication par J. Diblick de son livre Comment lire une cathédrale en 1998 : commentant les sculptures du transept Nord de la cathédrale de Reims consacrées au baptême de Clovis, il précise qu'« un tonneau du vin de Cernay » figurant sur ce transept est apporté pour ce baptême. Au Ve siècle, Cernay existe donc déjà.

    Cela semble confirmé par l'étymologie du village qui appartient à tout un groupe de Cernay, communs au nord de la Loire. Le nom semble procéder d'un primitif *(I)sarnako, nom celtique (gaulois) signifiant « endroit où il y a du fer » sur isarno « fer » et suffixe localisant *-āko (latinisé -acum). le village est mentionné sous la forme latinisée Sarnacum en 1103[9].

    Pendant la guerre de Cent Ans, les habitants se réfugient plusieurs fois derrière les murailles de Reims, lors du siège de Reims seize habitants sont recensés dans le registre des étrangers reçus à Reims. Les Anglais ravagent la campagne et établirent un camp au nord de la ville.

    Les principaux seigneurs de la ville étaient le chapitre Notre-Dame et les templiers de Reims.

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les troupes allemandes stationnaient en la commune du 4 septembre 1870 au 21 juillet 1871.

    • Cernay-lès-Reims au tout début du XXe siècle
    • La mairie
      La mairie
    • La rue Victor-Hugo
      La rue Victor-Hugo
    • La rue Chanzy et son établissement Goulet-Turpin.
      La rue Chanzy et son établissement Goulet-Turpin.
    • La rue Chanzy - route de Berru
      La rue Chanzy - route de Berru
    • Rue Gambetta
      Rue Gambetta
    Première Guerre mondiale

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[10] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [11].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Reims du département de la Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Beine-Nauroy[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Reims-8

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Marne.

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la communauté de communes du Mont de Berru, est devenue membre depuis le 1er janvier 2013 de la communauté d'agglomération de Reims Métropole.

    En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du 15 décembre 2011[13] - [14], la communauté de communes de Taissy a fusionné avec l'ancienne Communauté d'agglomération Reims Métropole pour former le la nouvelle communauté d'agglomération de Reims Métropole à laquelle se sont jointes les communes de Champigny, Sillery et Cernay-lès-Reims[15].

    Le , cette communauté d'agglomération a fusionné avec d'autres intercommunalités pour former une communauté urbaine qui a conservé la dénomination de Grand Reims et dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er février 1790 10 octobre 1791 Jean Pérard Démissionnaire
    10 octobre 1791 mai 1793 Laurent Guérin
    mai 1793 15 brumaire An IV Éloi Collet
    15 brumaire An IV 11 germinal An IV Jean-Baptiste Pérard-Bègue
    Les données manquantes sont à compléter.
    8 octobre 1874 16 mai 1875 M. Berthel
    Les données manquantes sont à compléter.
    8 octobre 1876 pendant 30 ans Pierre Charles Bosteaux[Note 3]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1946 1965 Paul Pérard
    1995 2008 Claude Cucurulo
    2008[16] En cours
    (au 11 juillet 2020)
    Patrick Bedek SE[17] puis UDI Vice-président de la CU Grand Reims (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[18] - [19]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

    En 2020, la commune comptait 1 449 habitants[Note 4], en augmentation de 9,28 % par rapport à 2014 (Marne : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900807785778861833830861918
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    881856816764757732705700686
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    655639644271485513525577634
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6849471 0021 1601 1521 2101 3071 3211 279
    2017 2020 - - - - - - -
    1 4261 449-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Principaux services

    * Une médiathèque ouvre le à côté de la mairie, le projet avait débuté en 2007.
    • Une épicerie et une résidence pour personnes âgées sont en construction dans l'ancien château.
    [réf. nécessaire]

    Économie

    Le versant ouest du Mont de Berru.

    Le vignoble des versants du Mont de Berru est en appellation champagne. La coopérative vinicole de Nogent-Cernay, à Nogent-l'Abbesse, pressure et vinifie une grande partie de ces raisins de cépage pinot meunier et chardonnay. Les surfaces de vignes avoisinent à Cernay 80 hectares ce qui équivaut à la production annuelle de quelque 750 000 bouteilles (variable selon le niveau d'appellation fixé chaque année par l'interprofession du Champagne, variable aussi en cas de gel ou de grêle...).

    Les grandes cultures, très hautement mécanisées, sont l'autre grande activité économique à Cernay. Il s'y ajoute quelques services ou commerces de proximité, la très faible distance entre Cernay et Reims en limitant certainement les assises et la diversification.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin date des XIIe et XIIIe siècles, de transition roman/gothique. Des remaniements postérieurs ont eu lieu aux XIVe et XVe siècles. Elle est détruite en grande partie en 1914-1915 ; sa reconstruction est achevée en 1957. Une Vierge à l'Enfant (sculpture en marbre d'époque gothique) originaire de cette église se trouve aujourd'hui au musée des Cloîtres à New York. Le baptistère semble très curieux. On trouve des escargots, symboles d'éternité, en chapiteaux de certaines colonnes. L'église est classée monument historique le 25 octobre 1911[23].
    • La mairie est construite en 1881. Brûlée le 24 septembre 1914, elle est reconstruite en 1926.
    • La salle des fêtes et le monument aux morts sont d'époque et de style Art déco (années 1930).
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'église.
      L'église.
    • Vierge à l'Enfant.
      Vierge à l'Enfant.
    • La mare de Cernay.
      La mare de Cernay.
    • Vue de Cernay et Reims par la peintre Chauvet.
      Vue de Cernay et Reims par la peintre Chauvet.

    Personnalités liées à la commune

    • Clovis, dont le baptême à Reims en 496 ou 498 a été célébré puis fêté en faisant venir un tonneau du vin de Cernay. Une sculpture sur le transept Nord de la cathédrale de Reims a immortalisé cette scène et le tonneau.
    • Jean-Baptiste Colbert et Jean-Baptiste Drouet d'Erlon ; durant leur prime jeunesse, ces Rémois devenus célèbres étaient en nourrice à Cernay-lès-Reims, « parce que l'air y était bon » selon Ch. Bosteaux.

    Héraldique

    Blason de Cernay-lès-Reims

    Coupé en chevron : au premier d'azur à la double burèle potencée et contre-potencée d'or, au second de sinople à la pointe ondée cousue d'azur chargée d'une pointe d'or, rejoignant la pointe de la ligne de partition, accompagnée, à dextre, d'un cep de vigne et, à senestre, d'une gerbe de blé, le tout du même.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Bosteaux[24], Histoire de Cernay-lès-Reims, 1889 ; réédition, ResUniversis, Paris, 1989.
    • Jean Diblick, Comment lire une Cathédrale : Reims, 1998.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Cernay-lès-Reims », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 34 SE, Reims [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Il était membre de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences, fondateur de la Société archéologique Champenoise, membre de l'Académie nationale de Reims et auteur d'une histoire de Cernay les Reims publiée en 1889.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. bulle de Adrien IV du 19 octobre 1154 confirmant les privilèges et immunités donnés par le comte Hugues à l'abbaye st-Remi de Reims.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, .
    10. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    11. Journal officiel du 3 octobre 1920, p. 14741.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. « Jamais plus sans ma communauté de communes : La France et ses 36 000 communes pèsent à elles seules 37,5% du nombre de collectivités territoriales de premier niveau (les communes) de l'Union européenne ! Avec 1 600 habitants par commune en moyenne, la France est dernière de ce classement européen, à égalité avec la République tchèque, très loin de 36 000 habitants par commune aux Pays Bas ou au Portugal, des 17 400 en Belgique, des 10 300 en Slovénie, des 7 100 en Italie ou des 5 900 en Allemagne », L'hebdo du vendredi, (lire en ligne).
    14. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    15. « Arrêté préfectoral du 23 août 2012 portant création du nouvel établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté d’Agglomération « Reims Métropole » et de la communauté de communes de Taissy et du rattachement des communes de Sillery, Champigny et Cernay-les-Reims », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 9, , p. 31-34 (lire en ligne [PDF]).
    16. [xls]« Liste des maires de la Marne au 1er août 2008 », sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
    17. Damien Le-Thanh, « Cantonales 2011 / Patrick Bedek convoite le canton de Beine-Nauroy », L'Union, (lire en ligne).
    18. « Patrick Bédek candidat aux municipales à Cernay-lès-Reims en vue d’un 3e mandat : Il est maire depuis 2008 et espère bien l’être encore une fois, pour six ans, à partir de mars prochain. Patrick Bédek, maire sortant de Cernay-lès-Reims, brigue un 3e (et dernier) mandat », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Municipales 2020 : Patrick Bédek réélu maire de Cernay-les-Reims », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. « Église à Cernay-lès-Reims », notice no PA00078607, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. Ancien Maire de la ville
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