Accueil🇫🇷Chercher

Cavalerie au temps de la Rome antique

La cavalerie dans la Rome antique ne constituait pas, à l'origine, une arme indépendante au sein de l'armée romaine : chaque légion avait sa cavalerie organique (300 cavaliers, organisés en dix escadrons commandés chacun par un décurion).

« Combat de Romains et de Gaulois » Évariste-Vital Luminais.

À l'instar des Grecs qui développèrent leur cavalerie au contact des Perses[note 1], c'est essentiellement au contact de ses adversaires — Numides, Celtes, Germains, Parthes, Sassanides et Huns — que Rome entreprend progressivement la mise sur pied d'unités de cavalerie — souvent d'ailleurs par le biais de recrutement de mercenaires issus des peuples soumis (equites singulares) — qui ne resteront cependant que des « auxiliaires » de la légion d'infanterie, clé de voûte de la tactique militaire romaine[1].

La cavalerie romaine : equites romani et mercenaires

  • (en) Cette section est partiellement issue de l’article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « Roman cavalry » (voir la liste des auteurs)

Époque royale (753 av. J.-C.(?) - 509 av. J.-C.)

Selon l'histoire mythique de Rome, Romulus leva une garde personnelle, les Celeres, que Tite-Live donne pour une unitĂ© de cavalerie, chacune des trois tribus fondatrices fournissant une centuria de 100 hommes. Cette unitĂ© aurait vu ses effectifs doublĂ©s sous le règne de Tarquin l'Ancien (616-578 av. J.C.)[2]. Selon cet auteur, Servius Tullius leva par la suite douze centuriae supplĂ©mentaires de cavalerie[3] mais cette affirmation est sujette Ă  caution puisqu'une telle mesure aurait portĂ© les effectifs de la cavalerie romaine Ă  1 800 hommes, aux cĂ´tĂ©s des 8 000 fantassins, chiffre très improbable compte tenu du fait que la cavalerie reprĂ©sentait en gĂ©nĂ©ral quelque 8 % des effectifs de l'armĂ©e, la cavalerie alignant deux lĂ©gions fortes de 300 hommes aux dĂ©buts de la RĂ©publique[4].

Dès la fondation de la cité-état, l'organisation de l'armée romaine — armée de milice citoyenne où le commandement est exercé par des cadres politiques qui ne sont pas des militaires professionnels mais des notables, les maîtres de cavalerie — reflète celle de la société civile et politique. Le citoyen-soldat devant supporter le coût financier de son équipement et des campagnes, la cavalerie est dès lors recrutée parmi les classes aisées de la société : elle était donc levée parmi les 18 centuries que Servius Tullius avait placées en dehors des classes pour les attribuer aux familles nobles et dont six appartenaient aux gentes (curies). Mais le déclin historique de cette caste fit qu'à la fin de la République, il ne restait plus que cinquante maisons capables de faire remonter leur filiation aux origines historiques de Rome et qu'elle dut être revitalisée par l'assimilation des « parvenus » [5].

Époque républicaine (509 av. J.-C. - 44 av. J.-C.)

Carte de la bataille de la Trébie. Comme il était de pratique classique au cours de l'Antiquité, la cavalerie est déployée sur les ailes des armées en présence en vue d'une attaque de l'adversaire dans ses flancs et sur ses arrières.

L'utilisation magistrale de sa cavalerie par Hannibal dans les batailles de Trébie et Cannae fit prendre conscience à Rome, au prix de deux cuisantes défaites, de la valeur tactique de la cavalerie. Cependant, à l'époque de ces guerres puniques, la noblesse ne conservait plus assez de subsistance pour fournir la cavalerie de la légion et l'on dut recourir à des réformes sociales et à d'autres moyens — recours massif au mercenariat et au recrutement étranger — pour assurer ce recrutement[6]. La République ne viendra ainsi finalement à bout de Carthage que grâce notamment à la défection à son camp d'une partie de la cavalerie numide conduite par Massinissa (Bataille de Zama).

Une rĂ©forme censitaire ouvrira ensuite l'ordre Ă©questre Ă  une nouvelle « aristocratie d'argent Â», les publicains, ces bouleversements socio-politiques entraĂ®nant des consĂ©quences dans l'armĂ©e et amenant mĂŞme finalement l'un de ses membres, Caius Marius, Ă  sa tĂŞte[7]. Sous son Ă©gide, la cavalerie sera dĂ©tachĂ©e de la lĂ©gion et rĂ©unie en unitĂ©s autonomes dĂ©ployĂ©es aux extrĂ©mitĂ©s de la ligne de bataille. Chaque aile ainsi constituĂ©e Ă©tait placĂ©e sous le commandement d'un prĂ©fet et toute la cavalerie Ă©tait placĂ©e sous l'autoritĂ© d'un gĂ©nĂ©ral particulier.

L'Empire (27 av. J.-C.- 476 ap. J.-C.)

Reconstitution d'un cavalier romain au Musée du Valkhof à Nimègue (Pays-Bas).

Manquant de manière rĂ©currente de moyens humains nationaux, la cavalerie romaine se retrouva, Ă  certaines pĂ©riodes de l'Empire, entièrement composĂ©e par recrutement mercenaire Ă©tranger : CĂ©sar eut des cavaliers hispaniques, thraces, numides et mĂŞme gaulois et germains, les uns formĂ©s et manĹ“uvrant Ă  la romaine, d'autres « auxiliaires irrĂ©guliers Â» conservant leurs tactiques de combat propres. Sous Hadrien, l'empire se dota d'une cavalerie lourde de fĂ©dĂ©rĂ©s cataphractaires sur le modèle de celle des Alains[8].

Au fil des ans et du dĂ©clin de la lĂ©gion de milice nationale, la cavalerie vit ses effectifs considĂ©rablement accrus, la « rĂ©gulière Â» reprĂ©sentant Ă  elle seule l'Ă©quivalent du sixième de l'effectif de l'infanterie, Ă  laquelle venaient s'ajouter les auxiliaires[9]. Sous DioclĂ©tien, cette proportion avait Ă©tĂ© portĂ©e Ă  un tiers, la cavalerie comptant quelque 160 000 hommes. Mais en dĂ©pit de ces dĂ©veloppements quantitatifs et malgrĂ© la dĂ©cadence de la lĂ©gion, la cavalerie restera toujours pour Rome une arme « auxiliaire Â», cantonnĂ©e dans des missions de dĂ©tail marginales comme la surveillance des frontières et les gĂ©nĂ©raux romains ne parvinrent jamais Ă  dĂ©velopper des tactiques offensives ou dĂ©fensives — choc, enveloppement, exploitation, … — intĂ©grant pleinement cet outil militaire. Ils se rĂ©vĂ©lèrent Ă©galement incapables de dĂ©velopper des tactiques inter-armes combinant et exploitant les qualitĂ©s manĹ“uvrières, offensives ou dĂ©fensives propres de l'infanterie et de la cavalerie — Ă  l'opposĂ© de ce que firent Grecs et MacĂ©doniens avec XĂ©nophon et Alexandre le Grand[note 1].

Les adversaires de Rome : de la conquĂŞte du Latium aux grandes invasions

Articles détaillés : Guerres de la Rome antique

Guerres du Latium

Brides de tête étrusques conservées au British Museum.
Type de cavalerie numide.
Type de cavalier celte.
Représentation monumentale d'un cataphractaire sassanide.
Image classique des invasions hunniques en Europe.

Le Latium est habité depuis le IIe millénaire par les Latins qui subissent la domination étrusque. Pour lutter contre celle-ci, ils formèrent la Ligue latine, qui comprenait une trentaine de cités, dont Albe, cité antique rivale de Rome au VIIe siècle av. J.-C., qui sera finalement vaincue par cette dernière après le combat des Horaces et des Curiaces. Au IVe siècle av. J.-C., tout le Latium tomba sous la domination de Rome et ses habitants devinrent des citoyens romains.

Carthage

« Annibal dut à ses Numides ses principales victoires. Scipion, ayant conquis l'Espagne et fait alliance avec Masinissa, ôta aux Carthaginois cette supériorité. Ce fut la cavalerie numide qui gagna la bataille de Zama, et finit la guerre. »

— Montesquieu, Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence[10].

Face aux méthodes de combat statiques encore fortement marquées par l'héritage phalangique des légions de la République romaine, la cavalerie — d'origines numide et ibérique — d’Hannibal fut l'élément déterminant des victoires carthaginoises pendant la deuxième guerre punique.

Guerres orientales : Parthes et Sassanides

  • Parthes.

L'une des plus importantes défaites militaires subies par Rome survint à l'issue de la bataille de Carrhes qui, en 53 av. J.C., opposa Crassus au général parthe Suréna dont l'armée était essentiellement composée de cavalerie lourde et d'archers montés. Utilisant une version améliorée des tactiques de combat des Scythes, les Parthes combinèrent adroitement charge et enveloppement, les lanciers lourds appuyant les archers qui eux-mêmes, en harcelant les Romains en combat tournoyant, désorganisèrent les formations légionnaires en permettant ainsi à la cavalerie lourde de porter le coup décisif par le choc de sa charge[11].

  • Sassanides.

« Successeurs immédiats des Parthes, les Sassanides, cavaliers-archers, ont atteint, à la fin de l'Antiquité, la perfection de l'équitation sans étriers. »

— Denis Bogros, Des hommes, des chevaux, des équitations. Petite histoire des équitations pour aider à comprendre l'Équitation (1989)

Vainqueurs des redoutables Parthes Ă  la Bataille de Firuzabad en 224 et eux-mĂŞmes lĂ©gataires de l'hĂ©ritage militaire achĂ©mide, les Sassanides rĂ©gnèrent sur le dernier grand empire du « Croissant fertile Â» avant la conquĂŞte islamo-arabe du VIIe siècle et Ă  son apogĂ©e, cet empire n'eut d'Ă©gal contemporain que ceux de Rome et de Byzance dans le monde de l'AntiquitĂ© tardive.

Les Sassanides eurent une influence prépondérante sur la pensée et la technologie militaires de leur époque et même au-delà puisque leurs organisation, tactique et armement de cavalerie marquèrent le développement de celles et celui-ci dans la cavalerie du monde occidental médiéval. Dans l'armée sassanide, la cavalerie lourde constituait en effet l'élément le plus important et ses tactiques et méthodes de combat furent adoptées par les Romains et plus tard par la chevalerie européenne et les Turcs ottomans, les cavaliers lourds sassanides n'étant finalement vaincus que par la cavalerie légère mercenaire de Byzance — croisade d’Héraclius — et celle des Arabes musulmans rompus aux tactiques de combat tournoyant de harcèlement de la razzia, proches de celles des peuples cavaliers qui importèrent le cheval dans cette région du monde[12].

Grandes invasions : Germains et Huns

  • Les invasions germaniques.

Amorcées dès le Bronze final, les invasions germaniques en direction de l'Europe de l'Ouest et de la Méditerranée atteignirent leur point culminant aux IIIe et IVe siècles, entraînant la chute de l'Empire romain d'Occident au Ve siècle apr. J.-C.

  • Les Huns.

Les chevaux de guerre au temps de la Rome antique

Comme l'Ă©crit Denis Bogros dans son ouvrage « Des hommes, des chevaux, des Ă©quitations Â»[note 2] Ă  propos des races Ă©quines dans la sphère mĂ©diterranĂ©enne antique, « les anciens disposaient pour leur remonte des races suivantes : des chevaux de Sicile rapides et au pied sĂ»r. Des chevaux du PĂ©loponnèse rĂ©putĂ©s pour leur Ă©lĂ©gance. De ceux de Thessalie grands et gĂ©nĂ©reux. Des chevaux de Thrace rapides, rĂ©sistants, fiers d’allure. De ceux d'Afrique dociles, endurants et rapides. De ceux d’Iran de haute taille, rapides, fougueux et manquant d'endurance. De ceux d’Espagne petits, rapides et peu rĂ©sistants et, enfin, de ceux des confins danubiens petits et rĂ©sistants. Ainsi donc, n'ayant que peu de chevaux chez eux, ils allaient les choisir de la façon la plus Ă©clectique autour de la MĂ©diterranĂ©e, de la mer Noire et de la mer Caspienne, suivant leurs qualitĂ©s. Ces variĂ©tĂ©s de chevaux Ă©taient les produits des populations Ă©quines venues par vagues successives d'Asie et peut-ĂŞtre d'Afrique Â»[13]. Ă€ ces races originelles viendra encore s'ajouter plus tard le poney celte — equus celticus.

Équipement et armement des cavaliers

La cavalerie romaine

  • (en) Cette section est partiellement issue de l’article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « Roman cavalry » (voir la liste des auteurs)

Selon l'historien grec Polybe, dont les « Histoires Â», Ă©crites vers 140 av.J.C., sont les plus substantielles chroniques anciennes de la RĂ©publique qui aient Ă©tĂ© sauvegardĂ©es, le cavalier romain n'Ă©tait Ă  l'origine pas cuirassĂ© mais vĂŞtu d'une simple tunique et Ă©quipĂ© d'une lance lĂ©gère et d'un bouclier en peau de bĹ“uf de piètre qualitĂ© qui se dĂ©tĂ©riorait rapidement dans l'action[14].

Représentation de la cavalerie romaine sur la colonne Trajan.

Les représentations picturales de l'équipement de la cavalerie républicaine sont rares et laissent de nombreuses incertitudes quant à l'apparence du cavalier romain. Les premières représentations existantes se retrouvent sur quelques pièces de monnaie datant de l'époque de la deuxième guerre punique (218-201 av. J.-C.). Sur l'une d'entre elles, le cavalier porte une variante du casque corinthien et semble porter des cnémides sur les jambes. Son armure est cachée par son petit bouclier rond (parma equestris). Il s'agissait probablement d'une cuirasse en bronze, comme représentée sur une pièce de monnaie de 197 av. J.-C. montrant un cavalier romain en équipement (casque et cuirasse) de style composite hellénistique. Mais la cavalerie romaine avait peut-être déjà adopté la cotte de mailles (lorica hamata) des Celtes, réputés l'avoir utilisée dès 300 av. J.-C.. La cotte de mailles a certainement été adoptée vers 150 av. J.-C., puisque Polybe affirme que la classe équestre était tenue de se doter d'une cuirasse en cotte de mailles et que le monument érigé à Delphes par Lucius Aemilius Paullus Macedonicus pour commémorer sa victoire à la bataille de Pydna (168 av. J.-C.) représente des cavaliers romains portant cet équipement[15] - [16]. Toutefois, une pièce de monnaie de 136 av. J.-C. et un bas-relief de Lacus Curtius contemporain montrent des cavaliers en cuirasses de bronze composites.

Il existe Ă©galement des zones d'incertitudes quant Ă  l'usage du bouclier — qui ne fut, en gĂ©nĂ©ral, pas utilisĂ© par la cavalerie grecque avant les environs de 250 av. J.-C. — ou de celui des lances longues, qui normalement empĂŞchait celui du bouclier puisqu'elles devaient le plus souvent ĂŞtre tenues Ă  deux mains) — ou courtes, la Doru mentionnĂ©e par Polybe[17] - [18]. La plupart des reprĂ©sentations montrent des cavaliers Ă©quipĂ©s du petit bouclier parma equestris mais le monument d'Ahenobarbus datant de 122 av. J.-C. et la pièce de montre de 136 av. J.-C. prĂ©sentent des cavaliers sans bouclier. Sidnell suggère que, puisque les « chevaliers Â» devaient fournir leur propre Ă©quipement, ils pouvaient avoir choisi leur propre combinaison de protections et d'armes — par exemple la lance longue sans bouclier ou la lance courte avec celui-ci[16] — mais les preuves sont trop rares que pour tirer des conclusions dĂ©finitives.

Bien qu'il n'y ait aucune preuve picturale, il est établi à partir de sources littéraires que les equites portaient l'épée, probablement le même gladii hispanienses (glaive espagnol) que celui utilisé par l'infanterie[19] ou la longue spatha. Le monument Ahenobarbus montre également un cavalier avec un poignard ( pugio ). Il n'y a aucune preuve que la cavalerie romaine utilisait arcs et flèches et les Romains n'alignèrent pas d'archers montés avant leur rencontre avec les Parthes au cours du dernier siècle avant l'ère chrétienne.

Sous Hadrien, l'Empire arma sa cavalerie lourde cataphractaire en clibanarii, portant une cuirasse d’écailles complĂ©tĂ©e par des protections de bras et de jambes composĂ©es de segments de cylindre emboĂ®tĂ©s les uns dans les autres (Ă©quipement d'origine parthe Ă©galement utilisĂ© par les gladiateurs) et coiffĂ©s d'un « casque Ă  visage Â» dont le timbre Ă©tait monopièce[20].

Ces casques sont également utilisés lors des entraînements et tournois, les Hippika gymnasia[21].

  • Cavalier rĂ©publicain - Bas-relief de Lacus Curtius.
    Cavalier républicain - Bas-relief de Lacus Curtius.
  • Cavalier romain en cotte de mailles. DĂ©tail du Tropaeum Traiani.
    Cavalier romain en cotte de mailles. DĂ©tail du Tropaeum Traiani.
  • Masque de cavalier romain.
    Masque de cavalier romain.
  • Reconstitution d'un « casque Ă  masque Â». MusĂ©e du Valkhof (Nimègue).
    Reconstitution d'un « casque Ă  masque Â». MusĂ©e du Valkhof (Nimègue).

Empire romain d'Orient

Dès la fin du IIIe siècle, l'empire est séparé en deux parties et il est définitivement divisé en l'an 395, à la mort de Théodose Ier. Si l'Empire romain d'Occident disparaît en 476, l'Empire romain d'Orient subsiste jusqu'en 1453, date de la chute de Constantinople aux mains des Ottomans.

Notes et références

Notes

Références

  1. Denis Bogros : Des hommes, des chevaux, des équitations. Petite histoire des équitations pour aider à comprendre l'Équitation, Chap. III : L'équitation des peuples sédentaires dans l'Antiquité in Bibliographie.
  2. Tite-Live I.36
  3. Tite-Live I.43
  4. Statistiques fondées sur les chiffres donnés par Polybe, II.24
  5. Bruno Jean-Baptiste Joseph Renard : Histoire politique et militaire de la Belgique .. (voir Bibliographie), Tome Premier, Chapitre II : Organisation militaire des Romains, p. 302 et suiv. et Émile Wanty : L'art de la guerre, Tome 1 p. 38 à 87 pour cette section.
  6. Renard, op. cité.
  7. Encyclopedia Britannica 1911 en ligne: Equites
  8. Voir notamment : Karen R. Dixon & Pat Southern, The Roman cavalry: from the first to the third century, B.T. Batsford 1992 (ISBN 0713463961) (ISBN 0415170397) pour cette section.
  9. B.J Renard : Op. cité, p. 330-340
  10. Wikiquote
  11. Persée : Les cavaliers parthes. Aspects de la structure sociale de la Parthie
  12. Voir Kaveh Farrokh et Angus McBride, Sassanian Elite Cavalry AD 224–642 Osprey Publishing, série Elite no 110 (2005) pour cette section.
  13. Chap. III L'équitation des peuples sédentaires dans l'Antiquité.
  14. Polybius I.
  15. Polybe VI.23
  16. Sidnell (2006) 161
  17. Sidnell (2006) 160
  18. Polybe VI.25
  19. Sidnell (1995)161
  20. Karen R. Dixon & Pat Southern : The Roman cavalry: from the first to the third century, Op. cité.
  21. (en) Southern, Pat. The Roman army: a social and institutional history, p. 338. ABC-CLIO, 2006. (ISBN 978-1-85109-730-2)

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Représentation d'un cavalier romain par le sculpteur Andrea Briosco (1470-1532).

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.