Bourg-Bruche
Bourg-Bruche est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Bourg-Bruche | |
L'étang et la nouvelle école en bois derrière l'église Saint-Pierre. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Molsheim |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de la Bruche |
Maire Mandat |
Marc Dellenbach 2020-2026 |
Code postal | 67420 |
Code commune | 67059 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Bourg-Bruchois [1] |
Population municipale |
382 hab. (2020 ) |
Densité | 25 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 21′ 24″ nord, 7° 08′ 19″ est |
Altitude | Min. 448 m Max. 825 m |
Superficie | 15,02 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Mutzig |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | bourg-bruche.valleedelabruche.fr |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
La commune se trouve dans la haute vallée de la Bruche, à une altitude de 495 m et le village est à 3,5 km de Saales. Le territoire communal s'étend sur 1 502 ha. Si l'habitat permanent est situé pour la plus grande majorité des maisons entre 490 mètres et 560 mètres d'altitude, l'espace communal s'échelonne entre 450 et 839 mètres d'altitude. Le point le plus bas est en limite de Saulxures et de Colroy-la-Roche dans la vallée de la Bruche, en contrebas des Grandes Haies et du hameau des Charasses sous le Petit Alhan. Le point le plus haut est le Rocher des Enfants, lequel, en prolongement de la montagne de Solamont, surplombe Bourg à l'ouest[2].
Outre la route nationale RD 1420, de Saint-Dié à Strasbourg filant vers le nord, la départementale D 50 rejoint le val de Villé par le col de Steige, retrouvant le vieil axe antique de la voie des Saulniers.
La commune est née de l'union de deux communautés, situées de part et d'autre de la rivière Bruche : Bourg au nord-ouest du centre actuel, Bruche dans le vallon et à l'occident.
GĂ©ographie
Bourg occupe l'extrémité du plateau sablonneux de Saales. Au pied du Solamont, à proximité de replats où la tradition situait la première fixation paysanne par des restes de huttes, maisons et ossements, avait été érigé divers castels. Le dernier château, connu après rénovation sous le nom germanique de Neuenburg en 1263, abrite depuis un siècle une agglomération comportant forges et fonderies de minerais de fer[3]. Il s'agit d'abord d'un verrou défensif pour entraver la remontée du val de Bruche, praticable par de mauvais chemins et surtout un site d'observation et de protection de la très fréquentée voie des Saulniers entre Val de Villé et Saint-Blaise.
Bruche est une communauté liée au péage ou point de contrôle du pont sur la Bruche ainsi qu'à des habitats mieux protégés en amont du ruisseau Lévreuil. Le premier nom connu de ce petit village alsacien est Bruck, c'est-à -dire le pont. Comme les habitants des montagnes parlent un dialecte parent de l'ancien français, l'évolution phonétique a rapproché et confondu le nom de la rivière et du village-pont. L'église Saint-Pierre primitive était d'ailleurs près de ce pont de pierre.
Bourg-Bruche est inventorié dans les notices de l'époque moderne comme un village de l'ancienne province d'Alsace. Ce qui n'empêche pas son appartenance à la subdélégation de Saint-Dié qui s'étend jusqu'à Thanvillé et Saint-Hippolyte, comme son inclusion dans le district de Saint-Dié et le canton de Saâles qui sont formés dans le département des Vosges créé en 1790.
Urbanisme
Typologie
Bourg-Bruche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,6 %), prairies (32,1 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Bourg-Bruche est un nom composé désignant les deux agglomérations situées sur les hauteurs de part et d'autre de la rivière Bruche. Ces deux agglomérations ont été liées par la présence de l'église, originellement à Bruche (aux Hauts de Bruche), paroisse la plus proche pour les habitants du Bourg. C'est probablement la proximité géographique et la présence d'un lieu de culte pour les deux agglomérations qui explique leur désignation commune. Dans les registres paroissiaux de la fin du XVIIIe siècle, la commune est ainsi désignée fréquemment sous le nom de Bruches et Bourg[11]. La forme actuelle Bourg-Bruche, germanisée sous la forme Burg-Breusch durant le Reichsland (1871-1918) puis durant l'occupation nazie (1940-1944), semble n'apparaître qu'au début du XIXe siècle. On trouve ainsi cette forme dans le cadastre napoléonien publié en 1837[12].
Le nom du Bourg apparaît pour la première fois au XIIIe siècle dans la Chronique de Richer de Senones (1263)[13] - [14] sous le nom de Neufchateau. Il est traduit fréquemment dans les sources germanophones sous le nom de Newenburg[15], Burg ou même Neuburg. Le nom actuel provient de la contraction du nom en Burg, probablement transformé en Bourg par la population francophone dès son origine. Ce toponyme désigne l'existence d'une fortification probablement à l'origine de l'agglomération. L'histoire de ce château est totalement inconnue, seuls les assemblages toponymiques et la précision de la première mention permettent de l'attester avec certitude.
Histoire
La première mention du village, Bruxa, qui s'apparente au nom gaulois de la rivière Bruche, Bruxu, Buscu ou Bruscu daterait de 661. Au haut Moyen Âge, une communauté près de la Bruche aurait existé.
Au XIIIe siècle, Saâles et l'actuel Bourg-Bruche forment une seule paroisse. La communauté chrétienne s'est scindée de plus en plus à partir du siècle suivant, cette séparation a été attisée par la séparation accrue entre Alsace et duché de Lorraine. Rappelons que Saâles et Bourg-Bruche étaient de population et de langue lorraine bien que faisant partie dès le début du XIIIe siècle de la seigneurie de Villé.
En 1634, le village, comme l'ensemble du bailliage de Villé, est versé par la couronne suédoise à la famille de Veldenz (Ban de la Roche - La Petite Pierre), laquelle en devient provisoirement propriétaire.
L'industrie du fer est attestée autrefois à Bourg car les mines de fer, liées au fossé géologique de Saâles, sont toutes proches.
Communauté anabaptiste
Presque imperceptiblement à partir de 1650 et de façon croissante jusque 1780, des mennonites d'origine suisse et de langue allemande s’installent sous les hauteurs des environs du Climont, et particulier sur les terres du Hang et du Levreuil[16]. Mais c'est surtout après 1750 que les grandes familles anabaptistes affluent, leurs fils sobres et robustes sont recrutés comme travailleurs des verreries. La verrerie du Hang, construite en 1723, est exploitée jusqu’en 1770. Après 1750, elle exporte en Lorraine et en Alsace des verres de toutes sortes ainsi que des gobelets gravés. Une part de ces productions se retrouve sur les foires et les marchés de montagne, en particulier ceux de Saales. Les activités forestières liées à l'industrie verrière déclinent ensuite, les verreries de cristal se sont déplacées dans le secteur de Baccarat vers 1790, cherchant à bénéficier du flottage à bûches perdues sur la Meurthe.
En parallèle de cette participation à l'industrie, les mennonites, qui ne se mélangent pas à la population du lieu, préservent leur dialecte germanique et obéissent à de strictes observances religieuses et matrimoniales, investissent de plus en plus dans l'élevage. Les éleveurs de bétail et fabricants de fromages construisent de grosses fermes monoblocs, qui sont abandonnées après les exodes de années 1890 et 1910. Au cours des années 1920 et 1930, beaucoup de bâtisses abandonnées parfois depuis plus d'une décennie disparaissent du paysage, laissant çà et là un tas de pierres informe et des orties.
La communauté mennonite de Bourg-Bruche, paradoxalement à l'écart du centre de la commune, devient rapidement l’une des plus importantes d’Alsace. Elle laisse un cimetière à Levreuil. Les anciens construisent une maison de culte, où ils s'assemblent pour lire la bible. Ces admirateurs du sermon sur la montagne afin de rompre leur isolement se rapprochent des autres groupes chrétiens de leur foi et cela pendant plus d'un siècle : un évêque anabaptiste nommé Boeler habite encore Salm en 1893.
Bourg-Bruche en 1845
Dans la statistique des Vosges, Bourg-Bruche est mentionné sur la route départementale no 15, dite de Saint-Dié à Strasbourg. Le village est à 4 km de Saâles, à 24 km de Saint-Dié et 65 km d'Épinal.
Parmi les écarts peuplés, on relève
- les hameaux de l'amont, le Hang et le moulin de la Bruche.
- les terres de censes d'autrefois dénommées les Charasses, Counotte.
- les fermes : Chalmeuche, l'Evreuil, la Fraise, le Grand Roué, Lardoise
- les moulins : le Grabe, le Paire
Sa population s'élève à 1 397 habitants[17].
Le service des impôts recense 228 maisons et 284 ménages. Une école commune aux deux sexes regroupe 165 élèves.
Les champs labourés en saisons s'étendent sur 634 ha et produisent essentiellement seigle, avoine et pommes de terre. Les bois croissent sur 416 ha. Prés et prairies fournissent le fourrage à environ 250 vaches occupent 276 ha alors que les jardins, vergers, chènevières aux abords des maisons cumulent une douzaine d'ha[18].
L'industrie est présente avec des tissages à bras - plus de 300 ouvriers à domicile-, trois moulins à grains, de nombreuses scieries (trois au Vieux Moulin, une au Paire,une à Grand Roué même avant 1845), une tuilerie (près du lieu-dit Chalmeuche), une huilerie (au Vieux Moulin) et même une tannerie avant 1845.
Cent vingt-deux électeurs censitaires participent à l'élection des douze conseillers municipaux. Le maire Drouant, est assisté de l'adjoint Dollé. Les lettres du service postal passent par le bureau de Saint-Dié.
La réfection du centre initiée en 1845/1846
La route de Saint-Dié à Schirmeck a été conçue à la manière française, c'est-à -dire avec un tracé géométrique suivant les fonds de vallées. Lancée en 1772, elle devient dès la Révolution fort peu praticable car la maintenance exigeante est négligée et surtout certains tronçons n'ont jamais été terminés avant 1790.
La voie des Saulniers, en grande partie délabrée car délaissée en chemins secondaires, reste bien utile. Dès la Restauration, les lacunes routières sont béantes, et en particulier il manque crucialement à la route française la partie de Fouday à Schirmeck. Ainsi, pour gagner la Haute vallée de la Bruche, Senones conserve l'hégémonie de la principauté de Salm-Salm : on peut gagner facilement par diverses routes et chemins aisés Saales, Saulxures, Plaine, La Broque et même Schirmeck par Grandfontaine. Sans précipitation et avec méthode, les autorités des Ponts et chaussées réalisent l'équipement au cours des années 1830.
Bourg-Bruche décide de construire un nouveau centre administratif et religieux en 1845, pour s'adapter à la nouvelle route. Il comporte :
- une mairie-Ă©cole ;
- une église Saint-Pierre reconstruite le long du nouveau tracé de la route de Schirmeck à Saâles. Elle comporte des verrières de sainte Odile et sainte Richarde ;
- un presbytère.
Enfin, de nouvelles auberges de voyageurs sont inaugurées.
Entre 1855 et 1857, l'école de Bourg est construite sur les plans de l'architecte déodatien A. Bruyant pour enlever le surplus d'élèves à la mairie-école. Alors qu'une grande partie de ce centre a été détruite lors des combats de 1914, notamment la mairie-école, l'école du Bourg intacte, mais désaffectée du fait de la pénurie d'élèves est transformée en 1934 en salle de cinéma et de théâtre. Elle est ensuite convertie en foyer rural.
HĂ©raldique
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Les armes de Bourg-Bruche se blasonnent ainsi : |
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Urbanisme
Typologie
Bourg-Bruche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,6 %), prairies (32,1 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Bruxa (661), NĂĽwenburg (1303), Niuwenburg (1310), Nuwenburg (1468), Bourg (1793), Bourg-Brusque (1801), Bourg-Bruche (1801),
Breuscheburg ou Burg-Breusch en allemand.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2020, la commune comptait 382 habitants[Note 2], en diminution de 17,14 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
DĂ©mographie historique
La belle reprise du début du siècle après la saignée de la Révolution et des guerres d'Empire arrive en butée dès la fin des années 1830. Une première vidange causée par la viabilité des routes apparaît au cours des années 1840. Après une reprise, l'attrait facilité par le chemin de fer des villes lumières au début du Second Empire provoque la seconde, accélérant le vieillissement de la population.
À partir de 1880, la population diminue constamment : l'exode rural, la politique douanière franco-allemande et bien plus tard les difficultés de l’industrie textile accentuent la décroissance.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2020, la commune comptait 382 habitants[Note 2], en diminution de 17,14 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Un lent déclin démographique
En 1894, une scierie et une vingtaine d'ouvriers regroupé par un grand tissage, construit en amont du centre et appartenant la société Veuve Mansching, appelée par la municipalité pour donner du labeur à ses derniers ouvriers textiles, représentent le secteur de la transformation industrielle.
Lieux et monuments
- Le Climont, en particulier son sommet culminant à 965 mètres d'altitude, n'appartient pas au territoire de Bourg-Bruche, mais à celui d'Urbeis. La Bruche qui s'écoule vers l'ouest dans le vallon en forme d'assiette du Hang, mais aussi le Giessen vers l'est et une branche de Fave vers sud y prennent leur source, c’est un des châteaux d’eau de la région. Notons que les sources de la Bruche sur le versant ouest du Climont sont précisément à quelques mètres au-dessus de la limite communale entre Urbeis et Bourg-Bruche, à 670 mètres d'altitude, donc sur le territoire d'Urbeis.
- Site de l’ancienne église Saint-Pierre du XIIIe siècle, l’église Saint-Pierre
Église Saint-Pierre. Vue intérieure de la nef vers le chœur. Vue intérieure de la nef vers l'orgue.
- La chapelle de la Vierge est construite à l’endroit où la Sainte Vierge serait apparue.
- La clairière du Hang, site historique mennonite.
- Les nombreuses fontaines…
- La gare desservie par le TER Alsace.
- La première gare construite dans les années 1890. La ligne de ce petit tortillard de fond de vallée étaient desservie par la compagnie Elsass-Lothringen. Bâtiment détruit en 2016.
Mairie-école, route de la Salcée. Presbytère (XIXe), 2 route de la Salcée. Ferme et café du Climont, 8 Les-Paires. Bûcher pour les feux de la Saint-Jean.
Personnalités liées à la commune
- Charles Drouant, fondateur du « Café Drouant » à Paris.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
- L'altitude mentionnée sur ce rocher partagé avec Saâles est de 836 mètres.
- Après le XIIIe siècle, ce Burg est ensuite connu en vieux français : Neubourg, Neufchâteau.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Registres paroissiaux de Bourg-Bruche », sur https://archives.bas-rhin.fr
- Cadastre napoléonien, Archives départementales du Bas-Rhin (3P119),
- « Chronique de Richer sur Blamont.info », sur blamont.info, (consulté le )
- Richer de Senones, La Chronique de Richer, Moine de l’Abbaye de Senones - XIIIe siècle, Edhisto, 153 p.
- François-Joseph Fuchs, « Une usine de raffinage de cuivre dans la Vallée de la Bruche (Alsace) au XVIe siècle », Festschrift für Hermann Heimpel, zum 70. Geburtstag am 19. September 1971,‎ , p. 729-740
- On admet aussi les graphies Han, Ham et L'Evreuil en français.
- . Parmi les treize communes du canton de Saâles, c'est la troisième par la population, derrière Plaine avec 1 939 habitants et Lusse avec 1 526 habitants. Elle devance faiblement Ranrupt (1 368 hab.) et Saâles (1 361 hab.).
- On peut comparer ces données avec les statistiques agricoles de 1982 : pour une surface agricole utile de 268 ha, 253 ha sont gérés en herbes et les exploitations s'occupent d'élevage bovin. La forêt dépasse 757 ha, dont 410 ha à usage commerciale.
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
- [PDF] Liste des maires au sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi
Bibliographie
- « Bourg-Bruche », in La Haute vallée de la Bruche, Patrimoine d’Alsace, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2005, p. 97-99 (ISBN 978-2-914528-13-9)
- Bourg-Bruche (Bas Rhin 67059) tables de mariage 1793-1862 : listes alphabétiques, époux et épouses, Cercle Généalogique d'Alsace. Section Île-de-France, Paris, 2000, 69 p.
- « Commerces d'autrefois à Bourg Bruche », in L'Essor, 2003, no 200, p. 16-19
- Pie Meyer-Siat, « L'orgue Rinckenbach de Bourg-Bruche », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Molsheim et environs, 1984, p. 17-18
- André Nussbaumer, « À l'occasion du 40e anniversaire de la chapelle mennonite de Bourg-Bruche », in Souvenance anabaptiste, 1992, no 11, p. 19-21
- Jean-Marc Thiébaut, « Bourg-Bruche : les sapins dans leur jardin », in Saisons d'Alsace, 2009, no 42, p. 60-63
- Michèle Wolf, Situation linguistique en 1992 de l'Assemblée mennonite de Bourg-Bruche, Universitaet, Essen, 1992, 36 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Bourg-Bruche sur le site de l'Institut géographique national