Boulc
Boulc est une commune rurale française de montagne, située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Boulc | |||||
Bergerie Ă Bonneval. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Olivier Tourreng 2020-2026 |
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Code postal | 26410 | ||||
Code commune | 26055 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Boulcois, Boulcoises | ||||
Population municipale |
156 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 2,7 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 38′ 55″ nord, 5° 34′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 623 m Max. 1 854 m |
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Superficie | 57,35 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Boulcois et les Boulcoises.
GĂ©ographie
Localisation
Boulc est un village du haut-diois qui fait partie du Massif des Alpes.
La commune est située à 24 km au sud-est de Die et à environ 5 km du parc naturel régional du Vercors.
Châtillon-en-Diois | Treschenu-Creyers Glandage |
Glandage Saint-Julien-en-BeauchĂŞne (Hautes-Alpes) |
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Menglon Miscon |
N | Saint-Julien-en-BeauchĂŞne (Hautes-Alpes) Montbrand (Hautes-Alpes) | ||
O Boulc E | ||||
S | ||||
Lesches-en-Diois | Val-Maravel | Montbrand (Hautes-Alpes) |
Relief et géologie
Sites particuliers :
- Le col Miscon se situe Ă environ 2 km de la mairie.
Hydrographie
La commune est arrosée par :
- le Boulc, un torrent qui commence au hameau des Souvestrières (commune de Boulc) et se jette dans les Gas après quatre kilomètres de parcours. En 1891, il avait une largeur moyenne de 20 mètres, une pente de 244 mètres, un débit ordinaire de 3 m3, extraordinaire de 180 m3[1].
- la rivière Le Bès,
- les ruisseaux des Boidans, de Vauniérette, de Merlet, de Charau, du Vabre et des Charroutoux.
Urbanisme
Typologie
Boulc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (81,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), prairies (4,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Elle est composée de trois hameaux : Bonneval, Boulc et Ravel-et-Ferriers[8].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[9] :
- Alex
- Ancien Moulin de Ravel
- Bonneval
- Carabassou
- Château de Saurionne
- Église du Coteau
- Ferme du Col
- Ferme du Gâtier
- la Combe
- le Bois Noir
- le DĂ©sert
- le Moulin
- les Avondons
- les Ferriers
- les Rabeyrious
- les Sauvages
- les Tatins
- le Vabre
- Miaux
- Mondorès
- Pré Martal
- Ravel
- Soubreroche
- Souvestrière
- Terre Rouge
- Ville Basse
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- Allex est un hameau attesté sur la commune de Bonneval en 1891. Il était dénommé les Allés en 1821 (Noms des communes et hameaux de la Drôme)[10].
Risques naturels et technologiques
La commune est classée zone de sismicité 2 et est sur une zone de risques de mouvements de terrains.
Toponymie
Attestations
- 1200 : Bulcum (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 315)[1].
- 1206 : Bolc (cartulaire de Durbon, 311)[1].
- 1214 : mention du mandement : mandamentum de Bulco (cartulaire de Durbon, 300). Il ne comprenait vraisemblablement que la commune de ce nom.
- 1266 : castrum de Bulgo (inventaire de Baux, 513)[1].
- 1294 : Bucum (inventaire de Baux, 734)[1].
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Bulco (pouillé de Die)[1].
- 1509 : mention de l'église du prieuré : ecclesia Sancti Martini de Bulco (visites épiscopales)[1].
- 1549 : Boc (archives de la DrĂ´me, E 1450)[1].
- 1551 : Bouc (archives de la DrĂ´me, E 759)[1].
- 1793 : Boule.
- 1891 : Boulc, commune du canton de Châtillon-en-Diois[1].
Le 1er janvier 1974, la commune adopte le nom de Boulc-Bonneval Ă la suite de sa fusion avec la commune de Bonneval-en-Diois[11].
Le 1er janvier 1975, elle prend son nom actuel de Boulc après sa fusion avec la commune de Ravel-et-Ferriers[11].
Étymologie
Le toponyme dériverait d'un mot pré-indo-européen *bol ayant le sens général de « hauteur »[12].
Histoire
Préhistoire
la Tune de la Varaime est une grotte utilisée par les bergers de 4000 à 800 avant notre ère. Elle possède des peintures rupestres linéaires (Monument historique classé depuis 1990)[13] - [14].
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie[1] :
- Au point de vue féodal, Boulc était un fief des évêques de Die.
- Possession des Isoard d'Aix.
- 1246 : la terre passe (par mariage) aux princes d'Orange de la maison de Baux.
- Vers 1266 : elle est cédée aux Montauban.
- XVIIe siècle : vendue aux Engilboud.
- 1690 : passe (par mariage) aux Bardonenche.
- 1750 : vendue aux Philibert de Perdeyer, derniers seigneurs.
Avant 1790, Boulc était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Martin, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (dépendant de celui de Guignaise - voir Châtillon-en-Diois) lui fut uni dans la seconde moitié du XVIIe siècle. La cure était de la collation de l'évêque diocésain et les dîmes appartenaient, partie au prieur de Guignaise et partie au commandeur de Valdrôme[1].
Bonneval
Attestations :
- 1206 : Bonna Vallis (cartulaire de Durbon)[15].
- 1246 : castrum de Bonavalle (inventaire de Baux, 323)[15].
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Bonnevallis (pouillé de Die)[15].
- 1509 : mention de l'Ă©glise Notre-Dame : ecclesia Beate Marie Bonnevallis (visites Ă©piscopales)[15].
- 1516 : mention du prieuré : prioratus Bonnae Vallis (rôle de décimes)[15].
- 1576 : Boneval (rôle de décimes)[15].
- 1891 : Bonneval, commune du canton de Châtillon-en-Diois[15].
- Avant 1974 : Bonneval-en-Diois[11].
- 1974-1975 : le toponyme fait partie de celui de la nouvelle commune de Boulc-Bonneval[11].
- Avant 2020 : les cartes IGN mentionnent le hameau sous les noms de Bonneval en Diois et Bonneval[9].
La seigneurie[15] :
- Au point de vue féodal, Bonneval était un fief des évêques de Die.
- La terre (ou seigneurie) est premièrement possédé par les Artaud.
- Elle passe aux Rosans.
- 1520 : elle passe (par mariage) aux Autane.
- 1540 : la moitié de Bonneval est vendue aux Agoult.
- 1730 : la part des Agoult passe aux Deshières.
- Milieu XVIIIe siècle: la part restante des Autane est vendue aux Gilbert de Jansac.
Avant 1790, Bonneval était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église, dédiée à Notre-Dame, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation d'Aurillac) connu dès 1330, uni à la cure dans le cours du XVIIIe siècle, et dont le titulaire avait les dîmes du lieu, à la charge d'une rente au prieur de Guignaise[15].
En 1790, la commune de Bonneval est comprise dans le canton de Lus-la-Croix-Haute. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Châtillon-en-Diois[15].
Les Ferriers
Ravel
Attestations :
- 1224 : castrum de Revello (cartulaire de Die, 69)[17].
- 1230 : Revel (cartulaire de Durbon)[17].
- 1449 : mention du prieuré : prioratus de Ravello (pouillé hist.)[17].
- 1509 : mention de l'Ă©glise Saint-Blaise : ecclesia Sancti Blasii Ravelli (visites Ă©piscopales)[17].
- 1891 : Ravel, commune du canton de Châtillon-en-Diois[17].
- Avant 1975 : le toponyme est inclus dans le nom de la nouvelle commune de Ravel-et-Ferriers[11].
- Avant 2020 : la carte IGN mentionnent le hameau sous le nom Ravel[9].
La seigneurie[17] :
- Au point de vue féodal, Ravel était une terre (ou seigneurie) du fief de l'église épiscopale de Die.
- Premièrement possédée par les Artaud d'Aix.
- La terre passe aux BĂ©renger-Morges.
- Elle est vendue aux Perrinet.
- 1648 : vendue aux Agoult.
- Vers 1714 : passe (par mariage) aux Philibert de Perdeyer, derniers seigneurs.
Avant 1790, Ravel était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, dédiée à saint Blaise, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (de la dépendance du prieuré de Rompon en Vivarais) qui fut uni à la cure vers la fin du XVIe siècle. Antérieurement à cette union, le service paroissial se faisait dans une autre église dédiée à saint Véran[17].
En 1790, la commune de Ravel est comprise dans le canton de Lus-la-Croix-Haute. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Châtillon-en-Diois[17].
De la RĂ©volution Ă 1974-1975
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Lus-la-Croix-Haute. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Châtillon-en-Diois[1].
De 1974-1975 Ă nos jours
Le 1er janvier 1974, la commune adopte le nom de Boulc-Bonneval Ă la suite de sa fusion avec la commune de Bonneval-en-Diois[11].
Le 1er janvier 1975, elle prend son nom actuel de Boulc après sa fusion avec Ravel-et-Ferriers[11].
1994 (janvier) : à la suite de l'effondrement de la route en corniche, un tunnel a été construit dans la falaise de Soubreroche[18].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2020, la commune comptait 156 habitants[Note 2], en augmentation de 24,8 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- FĂŞte (Ă Boulc) : dernier dimanche de mai[8].
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Grotte bergerie de la Tune de la Varaime (cf. plus haut : Histoire).
- Église Saint-Martin (à Boulc)[8].
- Chapelle ruinée (à Boulc)[8].
- Ruines de l'Ă©glise du Coteau[24].
- Chapelle restaurée (à Bonneval)[8].
- Chapelle (aux Tatins)[8].
- Temple protestant (ancienne église) : fresques du XVIIIe siècle (à Ravel)[8].
HĂ©raldique, logotype et devise
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Boulc possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Boulc sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 45 (Boulc).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Boulc.
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Allex).
- « Mairie de Boulc et sa commune (26410) », sur Annuaire-Mairie (consulté le ).
- Pierre Palengat, La Drôme insolite : d'Aix-en-Diois à Volvent : les 370 communes du département : La Drôme historique, monumentale, anecdotique, légendaire, statistique, culturelle, E & R, , p. 75.
- Notice no PA00117107, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Hameau, L'art schématique linéaire du Sud-Est de la France : La Tune de la Varaime (Boulc-en-Diois, Drôme), Bulletin de la Société préhistorique française, 1992, volume 89, no 8, pp. 247-255, lire en ligne sur Persée.fr.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 43 (Bonneval).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 143 (Les Ferriers).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 296 (Ravel).
- Marc PIVOIS, « Boulc voit le bout du tunnel. Coupé du monde, le village s'est battu pour que l'on creuse la montagne. », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MDP90053243 sur la base Base MĂ©diateK des rapports de restauration.