Accueil🇫🇷Chercher

Val-Maravel

Val-Maravel est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Val-Maravel
Val-Maravel
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Charles Meyssonnier
2020-2026
Code postal 26310
Code commune 26136
DĂ©mographie
Gentilé Maravelois
Population
municipale
51 hab. (2020 en diminution de 5,56 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,4 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 35′ 33″ nord, 5° 34′ 14″ est
Altitude Min. 776 m
Max. 1 690 m
Superficie 21,6 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Val-Maravel
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Val-Maravel
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
Voir sur la carte topographique de la DrĂ´me
Val-Maravel
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Val-Maravel
    Val-Maravel depuis La Bâtie-Crémezin

    Val-Maravel est une commune récente. Elle est composée des anciennes communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Val-Maravel est située à l'est de Luc-en-Diois.

    Relief et géologie

    Située aux confins du Haut-Diois, limitrophe des Hautes-Alpes, Val-Maravel est une commune de moyenne montagne.

    Elle est sĂ©parĂ©e des communes de Boulc (au nord), Lesches-en-Diois (Ă  l'ouest), Beaurières (au sud) et La Haute-Beaume (Ă  l'est) par des montagnes dĂ©passant 1 300 m.

    Sites particuliers :

    • La commune culmine au mont Luzet (1 692 m) d'oĂą l'on a une vue panoramique sur le DĂ©voluy, le massif de Glandasse, le mont Aiguille et la vallĂ©e du BuĂ«ch.
    • La montagne Chauvet (1 617 m)[1].
    • Le Serre de Rigaud (1 574 m)[1].
    • La montagne du Puy (1 550 m)[1].
    • La montagne Pierre Blanche (1 430 m)[1].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par :

    • le ravin Aiguebelle est attestĂ© en 1891 sur la commune du Pilhon. C'est un affluent de la rivière Maravel[2].
    • le Ravin de Combe Noire, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
    • le Ravin de LabĂ©ouroux, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
    • le Ravin de la Condamine, affluent du ruisseau le Maravel[3] ;
    • le Ruisseau de Poutillière et le Ruisseau des Ayes dont les sources sont sur la commune. Ils se rĂ©unissent pour former le ruisseau le Maravel[3].
    • le ruisseau du Pra-Soubeyran, Ă  la Bâtie-CrĂ©mezin, affluent de l'Aiguebelle

    Voies de communication et transports

    Le seul accès routier asphalté est celui percé par l'écoulement du Maravel, au sud-ouest : une gorge de quinze mètres entre deux rochers verticaux. La pierre en rive droite a été percée pour permettre le passage d'une route départementale. Historiquement, cette route a été créée pendant les travaux du chemin de fer à la toute fin du XIXe siècle.

    Il existe également comme accès:

    • un accès depuis Beaurières passant par la hameau de La Vière qui est l'ancienne route d'accès Ă  Fourcinet. Cette route est le prolongement de la rue qui passe devant l'Ă©glise de Beaurières. Carrossable en tout-terrain jusqu'Ă  il y a quelques annĂ©es, ce passage a Ă©tĂ© interrompu par des travaux privĂ©s.
    • un accès chemin de terre depuis Lesches-en-Diois qui arrive aux Marins, vers le haut de Fourcinet. Cet accès est accessible en vĂ©hicule tout terrain.
    • un accès chemin de terre entre Le Pilhon et Bonneval (vallĂ©e de Boulc), Ă©galement accessible en vĂ©hicule tout-terrain.

    Enfin, il faut signaler qu'il existait autrefois une liaison pédestre entre La Bâtie-Crémezin et Montbrand dans les Hautes-Alpes, aujourd'hui disparue : les pèlerins allant de Turin à Saint-Jacques de Compostelle y passaient au Moyen Âge (par le Col Domenge) et il est probable qu'Hannibal utilisa ce passage[Note 1] avec ses éléphants vers 217 av.JC

    La variante officielle du GR.91 passe au Pilhon et conduit au Col de Cabre. Il existe un gîte d'étape au Pilhon et un gîte à la Bâtie-Crémezin

    La gare SNCF la plus proche est celle de Luc-en-Diois (halte des trains sur la ligne de Valence Ă  ) mais il faut aller Ă  Die, ou Ă  Aspres-sur-BuĂ«ch (36 km dans les Hautes-Alpes), pour trouver une desserte rĂ©gulière.

    Il existe une borne de recharge pour véhicule électrique privée (domestique UE et type 1), accessible à La Bâtie-Crémezin[4]

    Urbanisme

    Typologie

    Val-Maravel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,7 %), prairies (12,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La commune compte trois villages principaux (Fourcinet, environ 840 m d'altitude), la Bâtie CrĂ©mezin (860 m) et le Pilhon (1 050 m).

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN).

    • Fourcinet
    • la Bâtie CrĂ©mezin
    • la Grange
    • la Vière
    • la Viste
    • le Fournat
    • le Pilhon
    • les Forestiers
    • les Marins
    • les Sartrous
    • le Villard
    • Pierre Brune
    • Viel
    • Vière

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

    • Allemagne est un quartier attestĂ© en 1891 (commune de Fourcinet). Il Ă©tait dĂ©nommĂ© la Basse et Haute-Allemagne au XVIIIe siècle (Carte de Cassini)[11].

    Toponymie

    Fourcinet

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • 1378 : Forcinetum (cartulaire de MontĂ©limar, 72).
    • 1509 : mention de l'Ă©glise Notre-Dame : ecclesia Beate Marie de Forcineto (visites Ă©piscopales).
    • 1891 : Fourcinet, commune du canton de Luc-en-Diois.

    La Bâtie Crémezin

    • 1540 : La Bastie Cremase (inventaire de la chambre des comptes)[13].
    • 1706 : La Bâtie Cremesin (dĂ©nombrement du royaume)[13].
    • XVIIIe siècle : La Bâtie Cramois (Carte de Cassini)[13].
    • 1891 : La Bâtie-Cramezin, commune du canton de Luc-en-Diois[13].
    • 1992 : La Bâtie-CrĂ©mezin[1].
    • Avant 2020 : La Bâtie CrĂ©mezin[3].

    Le Pilhon

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

    • 1140 : Alpillo (cartulaire de Durbon).
    • 1166 : mention du mandement : mandamentum de Alpilione (cartulaire de Durbon).
    • 1246 : Al Pillon (cartulaire de LĂ©oncel, 146).
    • 1247 : Al Pillo (cartulaire de LĂ©oncel, 152).
    • 1293 : de Alpillone (cartulaire de Die, 129).
    • 1299 : de Alpilione (de Coston, Étym. de la DrĂ´me, 213).
    • 1330 : Arpillio (inventaire de la chambre des comptes).
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Alpilhone (pouillĂ© de Die).
    • 1429 : castrum de Upilhono (archives de la DrĂ´me, E 4100).
    • 1450 : mention de la paroisse : cura de Alpilhone (Rev. de l'Ă©vĂŞchĂ© de Die).
    • 1509 : mention de l'Ă©glise paroissiale Saint-Claude : ecclesia parrochialis Sancti Claudii de Opillone (visites Ă©piscopales).
    • 1517 : mention de la paroisse : ecclesia de Alpilhonne (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • XVIIe siècle : Arpillon (inventaire de la chambre des comptes).
    • 1891 : Le Pilhon, commune du canton de Luc-en-Diois.
    • Avant 2020 : Le Pilhon[3].

    Val-Maravel

    • 1973 : Val-Maravel.

    Étymologie

    Fourcinet
    La Bâtie-Crémezin

    La Bâtie-Crémezin vient du vieux français : une Bâtie (en occitan, on dirait une bastide) est une ferme fortifiée établie sur des essarts et Crémezin vient de Cramoisin qui veut dire brulée.

    La Bâtie-Crémezin était à l'origine une des trois fermes-chapelles qui alimentaient le Prieuré de Beaurières (les deux autres étant La Bâtie-des-Fonds (aux sources de la Drôme) et Saint-Pierre (à Beaumont-en-Diois). Ces établissements bénédictins figurent à l'inventaire d'Aurillac de 955.

    Le Pilhon
    Val-Maravel

    La nouvelle commune a pris le nom de la vallée de son principal ruisseau.

    Histoire

    Fourcinet

    La seigneurie[12] :

    • Au point de vue fĂ©odal, Fourcinet Ă©tait un fief de la baronnie de la Val-de-Thorane (voir Les Tours, commune de Beaurières).
    • 1464 : la terre est confisquĂ©e Ă  Guillaume, bâtard de Poitiers, par le roi Louis XI et donnĂ©e Ă  François d'Eurre
    • Elle passe aux Agoult.
    • 1603 : vendue aux Armand.
    • 1676 : vendue aux Ponnat, derniers seigneurs.

    1786 (démographie) : 22 habitants[12].

    Avant 1790, Fourcinet était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.

    Elle formait une paroisse du diocèse de Die, qui fut presque toujours unie à celle de Beaurières, et dont l'église était sous le vocable de Notre-Dame[12].

    La Bâtie Crémezin

    La seigneurie : au point de vue féodal, cette communauté faisait partie de la terre de Beaurières[13].

    Avant 1790, la Bâtie-Cramezin était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle était unie à celle du Pilhon pour le service paroissial[13].

    Le Pilhon

    La seigneurie[14] :

    • Au point de vue fĂ©odal, le Pilhon Ă©tait un fief de la baronnie de la Val de Toranne (voir Les Tours, commune de Beaurières).
    • Elle est premièrement possĂ©dĂ©e par une famille de son nom.
    • Milieu XVIe siècle : elle est en partie possĂ©dĂ©e par les Chabestan.
    • 1578 : la terre passe aux Roux.
    • En 1789, monsieur de Ponnat est le dernier seigneur.

    Avant 1790, le Pilhon était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, premièrement dédiée à saint Claude, était sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste. La cure était de la collation de l'évêque diocésain et les dîmes appartenaient, partie à l'évêque et partie au curé.
    Le mandement du Pilhon avait la mĂŞme Ă©tendue que la commune de ce nom[14] :

    De la RĂ©volution Ă  1973

    En 1790, les communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon sont comprises dans le canton de Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) les place dans le canton de Luc-en-Diois[12] - [13] - [14].

    Depuis 1973 : Val-Maravel

    La commune est créée en 1973 par réunion des communes de Fourcinet, La Bâtie Crémezin et Le Pilhon.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : Fourcinet
    1790 1973 ?
    Les données manquantes sont à compléter. : La Bâtie Crémezin
    1790 1973 ?
    Les données manquantes sont à compléter. : Le Pilhon
    1790 1973 ?
    Les données manquantes sont à compléter. : Val-Maravel depuis 1973
    1973 ?
    1977 ?
    1983 ?
    1989 1995 Marie-Lyse Galland PS
    1995 2001 Marie-Lyse Galland maire sortante
    2001 2008 Marie-Lyse Galland maire sortante
    2008 2014 Monique Astier (sans étiquette) retraitée (fonction publique)
    2014 2020 Monique Astier maire sortante
    2020 En cours
    (au 24 décembre 2020)
    Charles Meyssonnier[15] (sans Ă©tiquette)

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2020, la commune comptait 51 habitants[Note 3], en diminution de 5,56 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    186208175179189177180181177
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    161153150141140162293109102
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    110120118857762715453
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    372948434143474442
    2014 2019 2020 - - - - - -
    545151------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants vont à l'école de Beaurières, puis au collège et au lycée de Die (arrêt de bus à Beaurières, desservi vers Die à 6 h 50 et depuis Die à 18 h 20).

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte communale : le dernier dimanche d'aoĂ»t[1].

    Loisirs

    • RandonnĂ©es[1].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pâturages (ovins, caprins)[1].

    L'essentiel de l'activité concerne l'élevage ovin et bovin ; l'ONF y gère également une large surface de pins noirs.

    Commerce

    Les commerces ont disparu
    La plus proche Ă©picerie est Ă  Beaurières (Ă  km) de Fourcinet ; le tabac-presse est Ă  Luc-en-Diois (18 km) ; le supermarchĂ© est Ă  Die (38 km).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    De nombreuses espèces animales sont présentes sur la commune : cerf, chevreuil, sanglier, blaireau, renard, buse, milan, chardonneret, mésange, tarin, rouge-gorge, etc..

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Val-Maravel possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La route du Col de Cabre n'existait pas, elle a été créée à la Révolution et le Col s'appelait Col des Communes)
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Val-Maravel.
    2. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebelle).
    3. geoportail.gouv.fr.
    4. « Chargemap - Carte des bornes de recharge pour voitures électriques », sur fr.chargemap.com (consulté le )
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Allemagne).
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 150 (Fourcinet).
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 23 (La Bâtie-Cramezin).
    14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 272 (Le Pilhon).
    15. Associations des maires et présidents de communautés de la Drôme.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.