Accueil🇫🇷Chercher

Bletterans

Bletterans est une commune française située dans le département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment Bletteranois et Bletteranoises.

Bletterans
Bletterans
Place de la mairie.
Blason de Bletterans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Communauté de communes Bresse Haute Seille
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Lamberger
2020-2026
Code postal 39140
Code commune 39056
Démographie
Gentilé Bletteranois(e)
Population
municipale
1 527 hab. (2020 en augmentation de 6,78 % par rapport à 2014)
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 50″ nord, 5° 27′ 18″ est
Altitude Min. 190 m
Max. 224 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bletterans
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bletterans
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bletterans
Géolocalisation sur la carte : Jura
Voir sur la carte topographique du Jura
Bletterans
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Bletterans
Liens
Site web bletterans.fr

    Géographie

    Bletterans est située aux portes de la Franche-Comté, au cœur de la Bresse Jurassienne, une région riche de nombreux étangs.
    La Seille traverse la commune, où elle se divise en deux bras et forme une île et où se situe le cœur du village.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Bletterans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,5 %), forêts (20,3 %), zones urbanisées (11,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (0,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Bleterenco en 1150[8] - [9], traduit en latin médiéval par [in] villa Bletterensi en 1175[8].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale de type germanique en -ing[9], suffixe qui désigne la parentèle, romanisé en -ingos[8] - [10].

    Le premier élément Bletter- représente selon Théophile Perrenot, l’anthroponyme germanique Blîthahar[8] qu’Albert Dauzat donne sous la forme Blithar, nom qui était aussi celui d'un chef burgonde, c'est le même anthroponyme que l'on rencontre dans Bleurville (Vosges, Blederici villa 1050, ou éventuellement Blitrich dans ce cas) et Blicourt (Oise, Blericurtis 1240)[9]. Ernest Nègre préfère le citer sous sa forme latinisée Blitharius[10], tel qu'il apparaît dans les documents rédigés en latin médiéval, par exemple dans le polyptyque d'Irminon[11].

    Remarque : il est admis depuis le début du XXe siècle que la terminaison -ans (parfois et anciennement -ens) représente dans la plupart des cas, le suffixe germanique -ing (romanisé en -ingos)[12], ce qui est confirmé dans le cas de Bletterans par les formes anciennes Bleterenco « chez les gens de Blithar(ius) », traduit en latin par (in) villa Bletterensi, avec le suffixe latin -ensis, signifiant « dans le domaine rural des gens de Blithar(ius) ».

    Histoire

    Bletterans vers 1550. Par Claude Luc

    Bletterans, située dans la région des Gaules habitée par les Séquanes, est rattachée sous Jules César à la Séquanie, avec Besançon pour capitale.

    La région, au gré des invasions, des traités et du jeu politique, va passer par de nombreux maîtres. Administrée par un comte Bourguignon, elle prit le nom de Comté, puis de Franche Comté par le comte de Renaud. En 1157, la Comté passa à Frédéric Barberousse, empereur d'Allemagne.

    Bletterans a été bâtie entre les bras de la Seille, un château cité sous la forme castrum Bletterentis en latin médiéval, a servi de refuge contre les bandes de pillards.

    Bien plus tard, Jean Ier de Chalon-Arlay, 1er seigneur d'Arlay, construisit en 1275, la cité fortifiée, qui devint place de guerre.

    Elle revint au roi de France en 1295.

    Charles VIII de France la céda à l'empereur du Saint-Empire et à son fils, Philippe le Beau. Celui-ci épousa en 1497, Jeanne infante d'Espagne, Bletterans devint territoire espagnol et ce jusqu'en 1674.

    En 1593, les armées d'Henri IV firent des ravages dans la région, notamment à Arlay.

    En août 1637, durant la guerre de Dix ans, Bletterans est prise, pillée et saccagée, par les troupes françaises de l'armée de Franche-Comté, dont fait partie le régiment de Montausier, commandé par Henri duc de Longueville. Les fortifications ne furent jamais relevées.

    La cité devait connaître une grande pauvreté, jusqu'en 1789, très endettée. Il fallut attendre 1801 pour que les administrateurs apportent des améliorations notables[13].

    Politique et administration

    Élections présidentielles

    La ville de Bletterans place en tête à l'issue du premier tour de l'élection présidentielle française de 2017, Marine Le Pen (RN) avec 26,02 % des suffrages. Mais lors du second tour, Emmanuel Macron (LaREM) est en tête avec 59,00 %[14].

    Élections régionales

    La ville de Bletterans place la liste "Notre Région Par Cœur" menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS) en tête, dès le 1er tour des élections régionales de 2021 en Bourgogne-Franche-Comté, avec 31,25 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer de nouveau la liste de "Notre Région Par Cœur" menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS) en tête, avec cette fois-ci, près de 42,19 % des suffrages. Devant les autres listes menées par Gilles Platret (LR) en seconde position avec 25,25 %, Julien Odoul (RN), troisième avec 24,58 % et en dernière position celle de Denis Thuriot (LaREM) avec 7,97 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné la ville de Bletterans avec lors du premier tour 70,27 % d'abstention et au second, 67,02 %[15].

    Élections départementales

    La ville de Bletterans faisant partie du Canton de Bletterans place le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, dès le 1er tour des Élections départementales de 2021 dans le Jura, avec 62,69 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer de nouveau le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, avec cette fois-ci, près de 71,53 % des suffrages. Devant l'autre binôme menée par Josiane Hoellard (RN) et Michel Seuret (RN) qui obtient 28,47 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné la ville de Bletterans avec lors du premier tour 70,48 % d'abstention et au second, 67,12 %[16].

    Liste des maires de Bletterans

    Liste des maires successifs depuis le XXe siècle
    Période Identité Étiquette Qualité
    1904 1919[17] François Chevrot Républicain Docteur en médecine à Bletterans
    Conseiller général (1898-1910)
    1919 1925 M. Huguenin
    1925 1932 M. Roland
    1932 1936 Philibert Culas
    1936 1939 Arthur Renard
    1939 1943 Philibert Culas
    1943 1945 Jules Milloux
    1945 1945 Jules Milloux
    1947 1953 Roger Devaux SFIO
    1953 1971 Paul Vercher gendarme, résistant
    1971 2001 Jean Perraudin vétérinaire, conseiller général, conseiller régional
    mars 2001 2018 François Perrodin DVD Médecin
    avril 2018 En cours Stéphane Lamberger DVD

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2020, la commune comptait 1 527 habitants[Note 3], en augmentation de 6,78 % par rapport à 2014 (Jura : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6756818481 1001 1851 2311 2301 2201 292
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1761 1631 2191 1911 3081 3041 1841 1141 102
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1321 1161 0729559789981 0271 0091 005
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0341 0851 1651 3501 4231 3591 4131 4001 394
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4361 527-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église de la Conversion-de-Saint-Paul (XVIIe-XVIIIe-XIXe s.), Rue Notre-Dame, inscrite à l'IGPC depuis 1986[22], orgue de chÅ“ur construit par les facteurs Daublaine-Callinet, classé monuments historiques[23] - [24] ;
    • Chapelle du couvent ;
    • École (XIXe s.), Rue des Granges, inscrite à l'IGPC depuis 1986[25] ;
    • Maisons (XVIIIe-XIXe s.) de la Rue des Granges, inscrites à l'IGPC depuis 1986[26] - [27] - [28] ;
    • Maisons (XVIIIe-XIXe s.), inscrites à l'IGPC depuis 1986[29] ;
    • Couvent des Ursulines (XIXe s.), Rue Louis le Grand, inscrit à l'IGPC depuis 1986[30] ;
    • Maison (XVIIIe-XIXe s.), Rue Louis le Grand, inscrite à l'IGPC depuis 1986[31] ;
    • Mairie (XIXe s.), Place de la Mairie, inscrite à l'IGPC depuis 1986[32] ;
    • Moulin (XVIIIe-XIXe s.), lieu-dit « Au moulin Rondeau », inscrit à l'IGPC depuis 1986[33] ;
    • Moulin (XIXe s.), lieu-dit « La Foule », inscrit à l'IGPC depuis 1986[34] ;
    • Traces des fortifications (du XIIIe au XVIIe s.), inscrites à l'IGPC depuis 1986[35].

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la région a revêtu une importance stratégique capitale pour la circulation des personnalités de la Résistance. En effet, plusieurs terrains d'atterrissage ou de parachutage, DZ (Courlaoux, Courgette, Orion[36]) étaient implantés sur les plateaux environnants.

    Ces terrains ont en particulier permis les opérations suivantes[37] :

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Bletterans est jumelé avec Drapeau de la Belgique Thuin (Belgique).

    Héraldique

    Blason de Bletterans Blason
    D'azur au lion couronné d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alphonse Rousset et Frédéric Moreau (architecte), Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département, Bintot, 1855, lire en ligne
    • Renseignements recueillis par les écrits de l'abbé Riviàre, né à Bletterans en 1772.
    • Écrits de sieur Phillibert Lardanchet, notaire, âgé de 80 ans (1700).
    • Tiré du livre de Jules Milloux Histoire d'une petite ville de Franche-Comté - BLETTERANS édité par Maurice Declume à Lons-le-Saunier.
    • Essaie de toponymie en Bletteranie, Jean Perraudin, 2015.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Théophile Perrenot, La Toponymie burgonde - (Toponymie germanique & burgonde — Toponymie franc-comtoise — Toponymie romande — Toponymie burgonde — Toponymie savoyarde — Noms composés et noms divers), Editions des Régionalismes, 2017 (réédition), p. 68 (lire en ligne sur GoogleBooks)
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 89a.
    10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume II, formations non romanes, formations dialectales, p. 791, n° 13529 (lire en ligne)
    11. Dictionary of Medieval Names from European Sources, 2015 - 2023 (lire en ligne - anglais)
    12. Charles Rostaing Les Noms de lieux, Presses universitaires de France, coll. Que sais-je ?, 1re édition 1945 ; 10e édition 1985, p. 64
    13. Jules Milloux, Histoire d'une petite ville de Franche-Comté, Lons-le-Saunier, Maurice Declume.
    14. Ministère de l'Intérieur, « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur https://www.interieur.gouv.fr
    15. Ministère de l'Intérieur, « Jura - commune de Bletterans », sur https://elections.interieur.gouv.fr
    16. Ministère de l'Intérieur, « Jura (39 ) - canton de Bletterans commune de Bletterans », sur https://elections.interieur.gouv.fr/
    17. MairesGenWeb, Maires de Bletterans
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. « Église de la Conversion-de-Saint-Paul (XVIe-XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015178, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Orgue de choeur », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    24. « Orgue de choeur : partie instrumentale de l'orgue », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    25. « Ecole (XIXe s) », notice no IA00015187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. « Maison 1 (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015186, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Maison 2 (XVIIIe-XIXe s.) », notice no IA00015184, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Maison 3 (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015185, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Maisons (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015182, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Couvent (XIXe s) », notice no IA00015179, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Maison (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015183, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Mairie (XIXe s) », notice no IA00015177, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Moulin Rondeau (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Moulin de La Foule (XIXe s) », notice no IA00015189, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Fortifications (XIIIe à XVIIe s) », notice no IA00015180, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. (en) « Tillet Pierre - Tentative of History of In/Exfiltrations into/from France during WWII from 1940 to 1945 (Essai de l'histoire des in / exfiltrations en / à partir de la France pendant la Seconde Guerre mondiale de 1940 à 1945), mention des terrains: pages 28, 30, 35, 42, 44, 51. », sur www.plan-sussex-1944.net (consulté le ).
    37. http://www.plan-sussex-1944.net/francais/pdf/infiltrations_en_france.pdf
    38. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, 1894, p.453.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.