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Bernes

Bernes est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Bernes
Bernes
La mairie, avec le monument aux morts,
dans la cour.
Blason de Bernes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Somme
Arrondissement PĂ©ronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Jean Trujillo
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80088
DĂ©mographie
Gentilé Bernois
Population
municipale
355 hab. (2020 en augmentation de 1,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 47 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 54â€Č 35″ nord, 3° 05â€Č 58″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 114 m
Superficie 7,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de PĂ©ronne
LĂ©gislatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Bernes
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Bernes
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Bernes
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Bernes
Liens
Site web http://www.mairie-bernes.fr

    GĂ©ographie

    Limitrophe du département de l'Aisne, ce village du Vermandois, tourné vers l'agriculture, est desservi par la route départementale 15 (RD 15). Il comporte le hameau de Fléchin.

    Le territoire s'étale sur un plateau argileux trÚs favorable aux exploitations agricoles, entre les vallées de la Cologne et de l'Omignon[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bernes
    Roisel Hervilly
    Hancourt Bernes Vendelles (Aisne)
    PƓuilly Vermand

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[2].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    Le hameau de FlĂ©chin, composĂ© de 2 fermes et d'une quinzaine de maisons, est situĂ© Ă  1 km au sud sur la route de PƓuilly.

    Urbanisme

    Typologie

    Bernes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (95,2 %), zones urbanisĂ©es (4,8 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Les noms de Bagerna en 820, de Baierna en 1100 et celui de Baerne sont relevés au fil du temps[10].

    Sa signification pourrait se rapprocher de Bernil, avec le sens de fort, puissant Ă  l'Ă©poque romane[10] - [1].

    Histoire

    Moyen Âge

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    Mathieu de Béthencourt, chanoine de la collégiale de Saint-Quentin, donne son fief seigneurial de Bernes au chapitre de son établissement religieux en 1204.

    La famille primitive de Bernes en conserve la partie restante[10].

    Le chùteau se trouvait en face de l'église, il n'en subsiste que des traces de souterrains[10]. Sur la Carte de Cassini ci-contre (vers 1750], les deux symboles situés à droite de Berne signifient que le village est une paroisse et qu'il possÚde un chùteau. Au sud du village, il existait un moulin à vent en bois et deux hameaux Fleschin comportant une ferme et une dizaine de maisons de nos jours et Aix , hameau aujourd'hui disparu et dont la présence est rappelée sur le cadastre par "le Chemin d'Aix", la "Vallée d'Aix"", le "Fossé d'Aix'.'

    En 1898, le village compte une sucrerie de moyenne importance, quelques ouvriers tissent encore la toile et le rideau[1].

    PremiĂšre Guerre mondiale

    Comme d'autres villages de la région, Bernes est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entiÚrement rasé en 1917 par les Allemands. Des 23 communes qui composaient le canton de Roisel, seules 2 ont échappé à la destruction : Vraignes-en-Vermandois et Tincourt-Boucly qui ont servi à héberger la population évacuée des autres villages avant leur destruction[11].

    Le 28 aoĂ»t 1914, soit moins d'un mois aprĂšs la dĂ©claration de guerre, l'armĂ©e française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent Ă  Bernes[12]. DĂšs lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en mars 1917. Le front se situant Ă  une vingtaine de kilomĂštres Ă  l'ouest de PĂ©ronne, l'activitĂ© des occupants consistait principalement Ă  assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrĂȘtĂ©s de la kommandantur obligeaient, Ă  date fixe, sous la responsabilitĂ© du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population Ă  fournir : blĂ©, Ɠufs, lait, viande, lĂ©gumes, destinĂ©s Ă  nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. En fĂ©vrier 1917, le gĂ©nĂ©ral Hindenburg dĂ©cida de la crĂ©ation d'une ligne dĂ©fense Ă  l'arriĂšre du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient dĂ©truits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. DĂšs le 15 fĂ©vrier les habitants furent Ă©vacuĂ©s, emmenĂ©s Ă  Vraignes. En mars 1917, avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillĂ©es et incendiĂ©es, le village est systĂ©matiquement dĂ©truit. L'Ă©glise, la mairie, les Ă©coles et toutes les maisons sont dynamitĂ©es et les arbres sciĂ©s Ă  1 m de hauteur[13].

    Bernes, oĂč prĂšs de 600 habitants vivaient paisiblement avant la guerre, est totalement dĂ©truit. L'Ă©glise n'est plus qu'un amas de ruines; Les maisons, les granges ont Ă©tĂ© minĂ©es, dynamitĂ©es , incendiĂ©es. PrĂšs du cimetiĂšre civil,reposent plus de 250 soldats allemands [14]".

    Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théùtre de nombreux combats en mars-avril 1917. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'aux alentours du 10 septembre 1918, lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Bernes et Fléchin seront définitivement libérés par les britanniques[15].

    Les habitants revinrent s'installer dans le village et alors dĂ©marra une phase de reconstruction, qui durera presque une dĂ©cennie, menĂ©e par une coopĂ©rative de reconstruction, administrant la perception des droits de guerre. De 590 habitants avant la guerre en 1911, Bernes n'en comptait plus que 336 en 1921.
    Les noms des 24 soldats bernois morts durant ce conflit figurent sur le monument aux morts[16].
    Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégùts aux constructions[17], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 27 octobre 1920[18].

    • Carte postale du village avant 1914.
      Carte postale du village avant 1914.
    • Carte postale du village avant 1914.
      Carte postale du village avant 1914.
    • La mairie et l'Ă©glise vers 1914.
      La mairie et l'Ă©glise vers 1914.
    • Carte montrant l'Ă©tendue des destructions de Bernes.
      Carte montrant l'Ă©tendue des destructions de Bernes.
    • Carte postale du village dĂ©truit vers 1920.
      Carte postale du village détruit vers 1920.
    • Inauguration du Monument aux Morts de Bernes en prĂ©sence notamment de la fanfare de Jeancourt Ă  droite.
      Inauguration du Monument aux Morts de Bernes en présence notamment de la fanfare de Jeancourt à droite.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[19]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1845 1848 Alexis Thurotte
    1848 1857 Jean-Baptiste Durosoy
    1857 1871 Pierre Lenain
    1871 1888 LĂ©on Dehaussy
    1888 1904 Clément Carpeza
    1904 1920 Charles François
    1920 1940 Gaston Boinet
    1940 1944 Ciani Duflot
    1944 1945 Gaston Boinet
    1945 1947 Charles François
    1947 1954 Maurice Isebe
    1954 1956 Pierre Brugneaux
    1956 1968 Georges Carpeza
    1968 1989 Jean Carpeza
    1989 2005 Robert Leroy
    2005 2008 Daniel Canel
    mars 2008[20] En cours
    (au 25 juillet 2020)
    Jean Trujillo Vice-prĂ©sident de la CC de la Haute-Somme (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[21]

    Distinctions et labels

    La commune a été primée à plusieurs reprises au concours des villes et villages fleuris.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[23].

    En 2020, la commune comptait 355 habitants[Note 3], en augmentation de 1,72 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    688589651668670686683691703
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    707691712709735680640586598
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    614665590336356363375318338
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    315321277306349331302294346
    2018 2020 - - - - - - -
    352355-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Pour l'année scolaire 2016-2017, la commune gÚre une école maternelle et élémentaire de 46 élÚves, située en zone B[26].

    Les communes de Villers-Faucon, Roisel et Bernes se sont organisĂ©es en regroupement pĂ©dagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local. À la rentrĂ©e de septembre 2019, l'Ă©cole de Villers-Faucon n'accueille plus d'Ă©lĂšves[27].

    En 2020, l'aspect financier est gĂ©rĂ© par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, PƓuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, HesbĂ©court, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilitĂ© de deux sites, avec deux classes maternelles Ă  Bernes, et surtout neuf classes Ă  Roisel, trois en maternelle et six en primaire[28].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin. L'Ă©glise primitive se trouvait dans le cimetiĂšre. Elle a Ă©tĂ© dĂ©truite en 1917 et reconstruite Ă  l'identique aprĂšs les hostilitĂ©s, dans le centre du village[29].
    • La Vierge du souvenir. À la mĂ©moire de deux habitants du village[30].
    • Monument aux morts. Il se trouve devant la mairie, dans la cour qui, fermĂ©e par une grille, est aussi la cour de rĂ©crĂ©ation de l'Ă©cole.
    • Vue du village depuis la route de Vendelles.
      Vue du village depuis la route de Vendelles.
    • EntrĂ©e du village.
      Entrée du village.
    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • La mairie.
      La mairie.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Vue du hameau de FlĂ©chin.
      Vue du hameau de Fléchin.
    • EntrĂ©e du hameau de FlĂ©chin.
      Entrée du hameau de Fléchin.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'azur Ă  la tĂȘte de lion d'or, arrachĂ©e de gueules[31].

    La commune ne porte, ni n'a porté officiellement ces armes, qui ne sont pas davantage celles d'une famille suzeraine du lieu. Mais elles sont avérées par l'usage, et conservent le mystÚre de leurs origines.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Échos de Bernes, bulletin municipal, Jean-Paul PrĂ©vot, conseiller municipal.
    • Ech'Bernois, gazette municipale (remplaçant Les Echos de Bernes depuis dĂ©cembre 2020), commission communication, mairie de Bernes.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Notice historique et géographique rélisée par l'instituteur, M. Brieux, 1898, Archives départementales de la Somme, Amiens. Lire la notice en ligne sur le site des archives départementales.
    2. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    10. Site communal.
    11. « La guerre en 1917 : les crimes allemands : dans la Picardie dévastée / Maurice Thiéry ; préface de S. Pichon,... », sur Gallica, (consulté le ).
    12. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
    13. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
    14. « La Somme sous l'occupation allemande, 27 août 1914-19 mars 1917 / abbé Charles Calippe ; préface de S. G. Mgr de La Villerabel,... », sur Gallica, (consulté le ).
    15. « Le Populaire : journal-revue hebdomadaire de propagande socialiste et internationaliste ["puis" socialiste-internationaliste] », sur Gallica, (consulté le ).
    16. « Rechercher dans le fonds iconographique - Geneanet », sur geneanet.org (consulté le ).
    17. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
    18. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
    19. « Les différents Maires qui ont administré la commune de Bernes depuis 1845 à aujourd'hui », Mairie, sur http://www.bernes-80.fr (consulté le ).
    20. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « Bernes: 3e mandat pour Jean Trujillo », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Élu au sein d’une Ă©quipe renouvelĂ©e Ă  50 % avec cinq nouvelles tĂȘtes, Jean Trujillo dĂ©bute un 3e mandat ».
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. L'Ă©cole sur le site de l'Éducation nationale.
    27. GaĂ«l Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvĂ©e : L'acadĂ©mie est revenue mardi sur la suppression Ă  Bouchoir, de nouveaux postes sont prĂ©vus Ă  Abbeville. », Courrier picard, Ă©ditiion Picardie maritime,‎ , p. 11.
    28. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire », Courrier pixcard,‎ , p. 20.
    29. Des éléments Art Déco dans l'église.
    30. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 259 (ASIN B000WR15W8).
    31. « La banque du blason2 - Tous vos sujets en décoration ! », sur La banque du blason2 (consulté le ).
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