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Beauvoir (Manche)

Beauvoir est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 442 habitants[Note 1].

Beauvoir
Beauvoir (Manche)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Alexis Sanson
2020-2026
Code postal 50170
Code commune 50042
Démographie
Gentilé Beauvoisin
Population
municipale
442 hab. (2020 en augmentation de 7,8 % par rapport à 2014)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 50″ nord, 1° 30′ 17″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 40 m
Superficie 14,29 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Pontorson
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontorson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Beauvoir
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Beauvoir
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Beauvoir
Liens
Site web mairie-beauvoir.fr

    Géographie

    Beauvoir est situé sur le canal du Couesnon (l'un des trois fleuves se déversant dans la baie du mont Saint-Michel), à environ 2 kilomètres en amont de la bouche du fleuve. Elle est limitrophe de la Bretagne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 838,6 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 27 kilomètres[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauvoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontorson, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe cinq communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), prairies (3,6 %), zones urbanisées (3,4 %), eaux continentales[Note 9] (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), zones humides côtières (0,4 %), zones humides intérieures (0,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Belveir en 1131 et 1149, Belveer en 1155, de Bealverio vers 1200, Bellus Visus en 1245 et Biauveir (forme normande) en 1303[26] - [27].

    Le toponyme n'est pas l'un des nombreux « faux-amis » puisqu'il est issu de l'ancien français beau veoir « belle vue », « bel aspect »[28] - [27]. Formé de l'adjectif beau et de l'infinitif voir. Il peut signifier « lieu d'où on l'on découvre une belle vue », ou, peut-être, plus simplement « lieu beau à voir »[29] - [26] (peut-être en référence au mont). C'est un composé verbal fréquent en toponymie (cf. Beauvoir), formation analogue au mot belvédère d'origine italienne.

    Beauvoir est parfois considéré comme le primitif Asteriacus (Asteriac) par les historiens locaux, car il est mentionné dans la Revelatio, composée peu après 850, comme de « villa que dicitur nunc Asteriacus », hypothèse qui ne semble reposer que sur le fait que Beauvoir est la paroisse la plus proche du Mont-Saint-Michel[26]. Asteriacus est une formation toponymique gallo-romaine, basée sur le nom de personne Asterius, dérivé d’aster, « astre » en latin[26], suivi du suffixe d'origine gauloise -acum marquant la propriété. Ce nom est semblable à Atré (hameau de Saint-James, Astré en 1234), mais qui ne convient pas pour des raisons topographiques, mais aussi parce qu'il ne fut jamais paroisse[26].

    Une légende liée aux pèlerinages attribue le changement de nom Austry ou Austériac en Beauvoir à un miracle qui aurait fait recouvrer la vue à une vieille femme aveugle en ces lieux[30] - [31].

    Le gentilé est Beauvoisin[32].

    Histoire

    Un Robert de Beauvoir, dit Robinet, compte parmi les 119 défenseurs du Mont-Saint-Michel en 1434, dont les noms et les armes figurent dans l'abbatiale[32].

    Beauvoir s'associe à Pontorson le , en même temps que Ardevon, Boucey, Cormeray, Curey, Moidrey et Les Pas[33], puis reprend son indépendance le [32].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1973 Maurice Desfeux Commerçant, conseiller général (1967-1979)
    maire délégué de 1973 à 1983
    fusion avec Pontorson entre 1973 et 1989
    1989 2008 Jean-Claude Lefrançois DVD Maire délégué de 1983 à 1989
    2008 2014 Bernard Héon Agriculteur retraité
    mars 2014[34] En cours Alexis Sanson SE Agriculteur
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Yves Murie[32].

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[34].

    Liste des maires délégués
    Période Identité Étiquette Qualité
    1973 1983 Maurice Desfeux Commerçant, conseiller général (1967-1979)
    1983 1989 Jean-Claude Lefrançois DVD

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 442 habitants[Note 10], en augmentation de 7,8 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Beauvoir a compté jusqu'à 745 habitants en 1831.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    339301614588745565471428435
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    446456434436469464484495443
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510479483421443444450517504
    1962 1968 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    469433426427424422419410433
    2020 - - - - - - - -
    442--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Saint-Michel.
    Alligator Bay.
    • Église paroissiale Saint-Michel (1760, XIXe siècle). Sont classées au titre objet aux monuments historiques en 1970 une poutre de gloire et une crucifixion. L'église abrite également un maître-autel et retable (XVIIIe), deux autels secondaires avec retables, des chandeliers d'autel, et une chaire à prêcher[32].
    • Ancien presbytère près de l'église.
    • Croix de chemin et croix de cimetière (XVIIIe siècle).
    • Moulin de la Bâte (XIXe siècle).
    • Alligator Bay et sa serre tropicale abritant 200 alligators, sa ferme des tortues, son labyrinthe des dragons est un parc animalier de 6 000 m2 situé non loin du Mont-Saint-Michel.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 26.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 81.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pontorson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Beauvoir et Pontorson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pontorson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Beauvoir et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 77.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1126.
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    29. René Lepelley « Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) » in Cahier des Annales de Normandie, p. 551.
    30. Histoire pittoresque du Mont-Saint-Michel et de Tombelène sur Gallica, Maximilien Raoul, p. 156.
    31. Boudent-Godelinière, Notice historique sur le Mont Saint-Michel et le Mont Tombelène, Avranches, E. Tostain, (lire en ligne), p. 24.
    32. Gautier 2014, p. 81.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. « Beauvoir (50170) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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