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Baubigny (Manche)

Baubigny (Beaubigny jusqu'en 1998) est une commune française, située sur la Côte des Isles dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 138 habitants[Note 1].

Baubigny
Baubigny (Manche)
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
François Simon
2022-2026
Code postal 50270
Code commune 50033
Démographie
Gentilé Balbignaciens
Population
municipale
138 hab. (2020 en diminution de 13,21 % par rapport à 2014)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 48″ nord, 1° 48′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 80 m
Superficie 6,41 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Pieux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Baubigny
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Baubigny
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Baubigny

    Géographie

    La commune est à l'ouest de la péninsule du Cotentin. Elle n'a pas de véritable bourg. Le lieu-dit l'Église est à 7,5 km au nord-ouest de Barneville-Carteret, à 11 km au sud des Pieux et à 15 km à l'ouest de Bricquebec[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 923 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barneville Carteret », sur la commune de Barneville-Carteret, mise en service en 1986[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 603,9 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cap de la Hague », sur la commune de La Hague, mise en service en 1936 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Baubigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (46 %), prairies (32,9 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), terres arables (7,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Baubeigniaco ou Balbigneio[27], et de Balbenneio au XIIe siècle[28], et également Balbiniacum, Balbinicum.

    Le toponyme est issu d'un anthroponyme latin[29] ou roman[28] tel que Balbinius ou Balbinus[30]. Baubigny est l'une des rares communes de la presqu'île du Cotentin qui ait conservé un nom de lieux gallo-romains en -acum[31].

    Le gentilé est Balbignacien.

    Histoire

    Le premier seigneur connu, à travers l'attestation de deux chartes de Robert Bertran de Bricquebec (Robert IV ?) antérieures à 1204, est un certain Guillaume de Baubigny[32]. Le seigneur du lieu avait le patronage de l'église. Le curé percevait la totalité des grosses et menues dîmes de la paroisse[33]. En 1250, c'est les Du Castel qui sont seigneurs de Baubigny et le Livre noir de Coutances précise que le patron de l'église est Guillaume Du Castel, écuyer[33].

    À la fin du XVe siècle, c'est Robert Le Breton, écuyer, qui est seigneur de Baubigny. Ses deux fils lui succédèrent : Jean, prêtre, qui vivait en 1523, seigneur et curé du lieu, et le second Richard qui hérita du fief à la mort de Jean[33].

    Le , Richard Le Breton rend aveu au roi pour le fief de Baubigny[33]. C'était un huitième de fief de chevalier (fief d'1/8 de haubert) tenu du roi sous son domaine de Valognes, avec manoir, colombier et moulin à vent banal, qui s'étendait sur les paroisses de Baubigny et de Saint-Paul-des-Sablons. En 1573, c'est Nicolas Le Breton, fils de Richard et de Françoise de Hennot, qui rend aveu au roi pour le fief. Nicolas épousa Françoise Jallot avec qui eut trois fils dont Jacques qui fut à son tour seigneur de Baubigny[33]. Ce dernier échangea la seigneurie avec Guillaume Basan (1575-c.1646), baron de Flamanville, contre des terres sises sur Flamanville. Le , par convention entre Guillaume Basan et M. de Longueville il est établi que le fief de Baubigny relèverait de la baronnie de Bricquebec pour un demi-fief de haubert[34].

    Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, le seigneur et patron de Baubigny est Jean-Jacques Basan, marquis de Flamanville, qui avait pour fille et unique héritière, Marie-Jeanne-Françoise-Élisabeth Basan épouse de Jean-Joseph Le Conte de Nonant et qui au décès de sa femme, vers 1763, fit peindre à l'extérieur sur les murs nord et sud du chœur de l'église de Baubigny, par Charles Flambard, peintre-sculpteur de la paroisse des Pieux, une litre funéraire[35].

    En 1824, Baubigny (212 habitants en 1821[36]) absorbe Saint-Paul-des-Sablons (64 habitants[36] - [37]). Par décret du , le nom de la commune est orthographié Baubigny[38].

    Saint-Paul-des-Sablons

    Au Moyen Âge le fief de Saint-Paul-des-Sablons dépend de l'honneur de Bricquebec[39]. La foire annuelle qui se tenait à Saint-Paul-des-Sablons fut transférée au XVIe siècle à Bricquebec en raison de l'insécurité des guerres de Religion[32].

    Politique et administration

    Administration, municipale

    Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et ses adjoints[40]

    Liste des maires

    Liste des maires[41]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    12/12/1792 1796 Louis Léonord Pasquier (1756-1842) Curé constitutionnel de Baubigny (aout 1791, 1792), cultivateur (1801-1804)
    puis vicaire de Baubigny (après 1809)
    1796 1797 Louis Leberger (1724-1798) Sieur du Grand Pré
    1798 1800 Louis Pasquier (1756-1842) Curé constitutionnel de Baubigny (août 1791, 1792),
    cultivateur (1801-1804) puis vicaire de Baubigny (après 1809)
    1800 1815 Jean Surcouf dit "Les Carreaux" (1751-1829)
    1816 1826 Jean Sibran (1756-1850) Cumule les fonctions de maire de Saint-Paul-des-Sablons et Baubigny
    1826 mai 1834[42] François Larquemin (1785-1834)
    1834 1848 Guillaume Legagneur (1791-1873)
    1849 1893 François-Nicolas Larquemin (1816-1893)
    1893 1896 Léonce Larquemin (1848-1925)
    1896 1908 Ferdinand Le Cannellier (1834-1904) Avoué à Valognes (jusqu'en 1892),
    Conseiller d'arrondissement (1895-1904), propriétaire du manoir et des fermes Saint-Paul
    1908 1926 Albert Le Cannellier Avocat à Valognes,
    conseiller d'arrondissement, propriétaire du manoir et des fermes Saint-Paul
    1926 1941 Armand Hébert (1861-1941) Propriétaire à la Hurette
    1942 1944 François Simon (1888-1956) fait fonction
    1944 1945 Alexandre Morel (1898-1959)
    1945 1953 François Morel (1893-1953)
    1953 1965 Alphonse Lecroisey (1912-1996)
    1965 1971 Albert Simon (1926-2019)
    1971 1995 Louis Simon (1923-2005)
    juin 1995 juin 2022[43] - [44] Émile Feuilly[45] - [46] (1952-2022) SE Technicien
    sept. 2022[47] En cours François Simon (né en 1972) SE Exploitant agricole

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

    En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 9], en diminution de 13,21 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    25480231212270282282288281
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    269293294269254223231241254
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    234246232212195204223203193
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    192185156167174166150158146
    2020 - - - - - - - -
    138--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de Saint-Paul-des-Sablons avant la fusion
    1793 1800 1806 1821
    62686864
    Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    (Sources : EHESS[37])

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin.
    • Église Saint-Martin des XVIe – XIXe siècles, remaniée, avec sa tour terminée par un petit dôme en pierre. Elle abrite une Vierge à l'Enfant du XVe classée au titre objet aux monuments historiques[51]. Sont également conservés un bas-relief (XVIIe) de l'ancienne église Saint-Paul, un chemin de croix (XXe) de M. Chappuis, un groupe sculpté charité saint Martin (XVIe), une statue de saint Martin (XIVe)[32], des pierres tombales (XVIIe).
    • Fontaine Saint-Martin (c'est un puits couvert, en retrait sur la droite, au début de la route D 201 en direction de Surtainville, non loin de l'église, vers les mielles, à la lisière d'un bois).
    • Manoir de Saint-Paul (1775).
    • Ancien manoir seigneurial de Baubigny (XVIe – XVIIe siècles).
    • Ferme-manoir fortifiée de la Vallée du XVIe siècle, et son porche d'entrée.
    • Le monument aux morts présente la particularité d'être un monument religieux apparemment réutilisé pour honorer les morts de la Grande Guerre. C'est une grande croix chrétienne en granite. Au haut de son socle sont écrits les mots Mission de 1925 et, en dessous et sur deux des trois autres côtés, les noms des habitants de Baubigny morts lors des combats de la Première Guerre mondiale.
    • Croix de chemin de Saint-Paul-des-Sablons du XVIe siècle.
    • Calvaire (XXe siècle) sur lequel sont gravés les noms des morts pour la France de la Première Guerre mondiale.
    • Croix de cimetière (XVIe siècle).
    • Ancien presbytère, non loin du manoir au lieu-dit le Vieux Presbytère, avec une porte et un linteau en accolade (fin XVe ou début XVIe siècle)[35].
    • La longue plage de 11 kilomètres environ, s'étendant de la falaise de Carteret au cap du Rozel, est favorable au footing, à l'équitation, à la pratique du char à voile (ou disciplines connexes) et à la baignade dans les rouleaux.

    Patrimoine naturel

    Activité et manifestations

    • Cérémonie au monument aux morts le 11-Novembre.
    • Repas annuel des anciens de la commune (habitants à partir de 60 ans).

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Barneville Carteret - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Baubigny et Barneville-Carteret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Barneville Carteret - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Baubigny et La Hague », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Georges Bernage, « Portbail et son terroir », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 17 (ISSN 0224-7992).
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (présentation en ligne), p. 540.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    30. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 61.
    31. Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 6 (ISSN 0224-7992).
    32. Gautier 2014, p. 73.
    33. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN 2-9505339-1-4), p. 94.
    34. Barros 1991, p. 95.
    35. Barros 1991, p. 92.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Paul-des-Sablons », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    38. Décret no 98-1034 du 16 novembre 1998 portant changement de noms de communes.
    39. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Dans l'histoire, t. 2, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 440 p. (ISBN 2-9505339-2-2), p. 77.
    40. Article L 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    41. Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Émile Feuilly, Gautier 2014, p. 73.
    42. Mort en fonction le .
    43. Mort en fonction.
    44. « Après des années de lutte contre la maladie, le maire de Baubigny Émile Feuilly s'est éteint : Le maire de Baubigny (Manche), Émile Feuilly, est décédé ce mercredi 8 juin 2022, à l'âge de 69 ans, des suites d'une longue maladie. Il était également élu communautaire », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été six années adjoint dans sa commune et 27 années en tant que maire. Émile Feuilly était également conseiller communautaire ».
    45. « Trois nouveaux candidats rejoignent l'équipe sortante », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 1983 et maire depuis 1995, il jouxte les cantons de Barneville-Carteret et des Pieux et se trouvera au cœur même de la prochaine structure territoriale imaginée par la préfecture dans le cadre de la réforme territoriale ».
    46. Réélection 2020 : « Municipales à Baubigny. Un cinquième mandat de maire pour Émile Feuilly », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    47. « Nouveau maire à Baubigny : François Simon succède à Émile Feuilly : Après le décès du maire, Émile Feuilly, au mois de juin 2022, la commune est retournée aux urnes le 11 septembre 2022. Samedi 24 septembre, l’assemblée recomposée du conseil municipal a désigné le nouvel édile et ses adjoints », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul François Simon a postulé à la fonction de maire. « Je suis actuellement premier adjoint mais ça ne veut pas dire que le poste me revient de plein droit. S’il y en a un qui est intéressé, il ne faut pas hésiter » ».
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. « Statue : Vierge à l'Enfant ».
    52. « Site du Service territorial de l'architecture et du patrimoine de la Manche » (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 22.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 73.

    Articles connexes

    Liens externes

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