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Auzet

Auzet est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Auzet
Auzet
Auzet et aire de jeux.
Blason de Auzet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Christian Isoard
2020-2026
Code postal 04140
Code commune 04017
DĂ©mographie
Gentilé Auzétans
Population
municipale
101 hab. (2020 en augmentation de 5,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 17′ 42″ nord, 6° 19′ 04″ est
Altitude Min. 1 068 m
Max. 2 028 m
Superficie 34,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Seyne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Auzet
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Auzet

    GĂ©ographie

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Auzet et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Les communes limitrophes d’Auzet sont Selonnet, Seyne, Verdaches et Barles.

    Relief

    Col du Fanget.

    La superficie de la commune est de 3 453 hectares ; son altitude varie entre 1 068 et 2 028 mètres[1]. Le bourg est situĂ© Ă  1 180 m d’altitude[2], au pied du col du Fanget.

    Les principaux points remarquables sont TĂŞte Grosse (2 032 m), Clot de Bouc (1 962 m) et les cols du Fanget (1 459 m) et de Grangeasse.

    La commune compte un hameau : l’Infernet.

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière de Saint-André et le torrent de Graves.

    • Rivière de Saint-AndrĂ©.
      Rivière de Saint-André.
    • Torrent de Graves.
      Torrent de Graves.

    Environnement

    La commune compte 1 168 ha de bois et forĂŞts[3].

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du dĂ©partement n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Seyne auquel appartient Auzet est en zone 1b (risque faible) selon la classification dĂ©terministe de 1991, basĂ©e sur les sĂ©ismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune d’Auzet est Ă©galement exposĂ©e Ă  quatre autres risques naturels[5] : avalanche, feu de forĂŞt, inondation et mouvement de terrain.

    La commune d’Auzet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim n’existe pas non plus[7].

    Habitat

    En 2013, la commune a fait construire deux bâtiments passifs certifiĂ©s, (besoins de chauffage infĂ©rieurs Ă  15 kWm²/an), offrant quatre logements, Ă  1 200 m d’altitude[8].

    Le concept du passif est le plus avancé au niveau mondial, le seul qui permet de se passer de chauffage conventionnel. La puissance de chauffage de 10w/m2 est apportée par l'air neuf, (ventilation).

    Urbanisme

    Typologie

    Auzet est une commune rurale[Note 1] - [9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (11,2 %), prairies (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Le village d’Auzet apparaît pour la première fois dans les chartes en 1058, sous le nom d’Ausitum[16]. Des bergeries appartenant à l’abbaye Saint-Victor de Marseille sont cependant signalées, sous le nom de Alisino, en 814[17] (qui peut être rapproché du mot celte Alisia, l'alisier, le sorbier), avec une quarantaine d’habitants[18].

    Auset en provençal.

    Histoire

    En 1958, des bûcherons ont découvert un dépôt d’objets de fer et de bronze datant de La Tène : fers de lance, couteaux, mors de cheval[19].

    En 1351, il est fait référence à la communauté, ou plutôt à son chapelain, ce qui indique que le desservant de l’église ne dépendait pas d’une abbaye[18]. Du XIIIe siècle au XVIIIe siècle, un moulin se trouve dans le ravin Saint-Andrieu[18].

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté d’Auzet soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II[20].

    Au XVIIIe siècle, une foire se tenait à Auzet[21].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[22].

    Au XIXe siècle, Auzet est l’une des dernières communes de la région à se doter d’une école : lors de l’enquête de 1863, elle est parmi les 17 communes du département (sur 245) à ne pas en posséder[23] et attend les lois Jules Ferry pour en installer une[24]. Sous la Restauration, le maire Jean-Joseph Aubert aurait installé une école primaire privée dans sa grange, selon le récit local.

    Le nom des 12 habitants d'Auzet, tous agriculteurs, décédés au cours de la guerre de 1914-1918 figure sur le livre d'or communal: Auzet - Livres d'or 14/18 - 1914 - 1918 - Geneanet.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, une colonie d’enfants juifs au col du Fanget fut préservée[2]. Joseph Isoard et son frère Armand, et leurs épouses Julie et Simone ont sauvé des Juifs de la déportation, et ont été pour cette raison distingués comme Justes parmi les Nations.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    M. Audemard maire en 1974[25]
    1990[26] mars 2020 Roger Isoard[27] - [28] - [29] PCF[30] Retraité de l'enseignement
    2020 En cours Christian Isoard
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Auzet fait partie :

    DĂ©mographie

    Les habitants sont nommés les Auzétans[3].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 101 habitants[Note 3], en augmentation de 5,21 % par rapport Ă  2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    340308300256302300293287270
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    260267287278279258243253255
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    244232243228178156151138120
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
    12811196736773878281
    2013 2018 2020 - - - - - -
    9698101------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    98 feux32 feux

    L’histoire dĂ©mographique d’Auzet, après la saignĂ©e des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au dĂ©but du XIXe siècle, est marquĂ©e par une pĂ©riode d’« Ă©tale Â» oĂą la population reste relativement stable Ă  un niveau Ă©levĂ©. Cette pĂ©riode dure de 1811 Ă  1872. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul dĂ©mographique de longue durĂ©e, dont les caractĂ©ristiques sont une date de commencement relativement tardive pour le dĂ©partement, et un rythme moyen. En 1931, Auzet enregistre la perte de la moitiĂ© de ses effectifs du maximum historique (en 1821)[35]. La baisse de population se poursuit jusqu’au dĂ©but des annĂ©es 1980.

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s'Ă©levait Ă  43 personnes, dont sept chĂ´meurs[36] (huit fin 2011[37]). Ces travailleurs sont majoritairement salariĂ©s (82 %)[38] et travaillent majoritairement hors de la commune (68 %)[38]. L'essentiel des emplois salariĂ©s de la commune se trouvent dans les services et l'administration, avec 14 postes[39].

    Au , les Ă©tablissements actifs dans la commune se rĂ©partissent entre exploitations agricoles (8 des 22 Ă©tablissements de la commune), et le secteur tertiaire (10 sur 22)[39].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pĂŞche) comptait huit Ă©tablissements[39].

    Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de sept en 2010, uniquement des élevages[40], alors qu’Auzet avait subi une hémorragie sévère, perdant six des dix exploitations installées dans la commune entre 1988 et 2000[41]. La surface agricole utile (SAU) a elle aussi progressé, passant de 418 ha utilisés en 1988 à 728 ha en 2010, répartis entre élevage bovin (656 ha) et ovins (71 ha)[40].

    La commune d’Auzet est incluse dans le périmètre du label pommes des Alpes de Haute-Durance.

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, employant deux salariés[39].

    Activités de service

    La Fontaine de l'Ours.
    Gîte rural.

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, service) comptait huit établissements (dont un comptant la totalité des treize emplois salariés), auxquels s'ajoutent les deux établissements du secteur administratif, sanitaire et social (salariant une personne)[39].

    Le principal employeur est une école de musique, le Centre musique et environnement la Fontaine de l’Ours, créée en 1997[42].

    D'après l'Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[43], l'essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[44]. Plusieurs structures d'hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    • plusieurs meublĂ©s[45] ;
    • des chambres d’hĂ´tes[46] ;
    • plusieurs hĂ©bergements collectifs sont prĂ©sents, dont un gĂ®te[47].

    Ce sont nĂ©anmoins les rĂ©sidences secondaires qui pèsent le plus lourd dans la capacitĂ© d'accueil[48], avec 83 habitations concernĂ©es (près de deux logements sur trois sont des rĂ©sidences secondaires)[39] - [49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église paroissiale, placĂ©e sous le vocable de saint AndrĂ© et le patronage de saint BarthĂ©lemy[18], construite au XVe siècle[16] ou au XVIe siècle Ă  proximitĂ© du Riou est engloutie par une crue qui dĂ©pose Ă©normĂ©ment de graviers en 1787, puis en 1807. MalgrĂ© quelques travaux de dĂ©blaiements partiels, elle est devenue très humide. Elle est dĂ©molie en et sa reconstruction s’achève en 1874. La nef actuelle fait 11 m de long sur m de large et 8,5 m de haut ; le chevet fait 6,4 m de long. La flèche du clocher culmine Ă  22,8 m de hauteur[50]. Elle contient un ciboire en argent du XVIIe siècle, qui a fait l’objet d’un classement au titre objet des monuments historiques[51].

    La clue de Verdaches, où l’on a trouvé une cache d’armes antiques en 1958[52].

    HĂ©raldique

    Blason d'Auzet

    Blasonnement D'or, à une cloche d'azur, bataillée d'argent accompagné de trois chênes de sinople[53]

    Personnalités liées à la commun

    • Joseph Aubert (1732-1812), propriĂ©taire, maire d'Auzet.
    • Jean-Joseph Audemard (1757-1821), nĂ© Ă  Auzet. PrĂŞtre Ă  Auzet, il fut rĂ©fractaire durant la rĂ©volution, cachĂ© par les habitants puis partit en exil Ă  Rome. A son retour, il intĂ©gra les Missions catholiques Ă  Paris (1804). EnvoyĂ© au Viet-Nam. Il fut Ă©vĂŞque d'Adran et coadjuteur de Cochinchine (1817-1820). Il est mort martyrisĂ©.
    • Jean-Joseph Aubert (1758-1837), propriĂ©taire, maire d'Auzet.
    • Jean-Joseph Isoard (1761-1840), maire d'Auzet.
    • Jean-Joseph Isoard (1793-), maire d'Auzet.
    • Joseph Aubert (1794-1861), notaire, maire d'Auzet, dĂ©lĂ©guĂ© cantonal.
    • Jean-Joseph Aubert (nĂ© en 1814), nĂ© Ă  Auzet, cordonnier Ă  Estoublon, fut condamnĂ© Ă  la surveillance pour sa participation Ă  l'opposition au coup d'Etat de 1851 et avoir pris les armes pour se rendre aux MĂ©es et Ă  Digne (Conseil de guerre des Basses-Alpes, dossier SHD, 7 J 67 et dossier d'indemnisation, 1881, F/15/3986).
    • Joseph Pierre Blaise Aubert (1814-1890), nĂ© Ă  Digne mais dont la famille Ă©tait originaire d'Auzet,, Père oblat du sanctuaire Notre-Dame de Lumière, fut curĂ© de la cathĂ©drale de Saint-Boniface en 1845 au Canada. Il rĂ©digea sous forme manuscrite, le premier dictionnaire de la langue de la tribu indienne des "sauteux". Il fut vicaire gĂ©nĂ©ral du diocèse de la Rivière rouge (Saint-Boniface) puis de celui d'Ottawa et conseiller de la dĂ©lĂ©gation canadienne lors du concile de Vatican I. RentrĂ© en France, il fut directeur du sanctuaire de Notre-Dame des Lumières (Vaucluse), il est mort Ă  Paris.
    • Romain Aubert (1822-1871), praticien en droit Ă  Alger (Mustapha).
    • Joseph Pierre Paul Aubert (1831-1895), maire d'Auzet, instituteur dans les Alpes-Maritimes puis le var.
    • Louis Aubert (1837-1917), docteur en mĂ©decine de l'UniversitĂ© de Strasbourg, mĂ©decin militaire, Conseiller gĂ©nĂ©ral rĂ©publicain du canton de Seyne (1889-1891), membre du comitĂ© dĂ©partemental d'hygiène (1888), juge de paix supplĂ©ant du canton de Seyne (1891), Chevalier de la LĂ©gion d'honneur.
    • Romain Isoard (1838-), nĂ© Ă  Auzet, propriĂ©taire Ă  Duzerville (AlgĂ©rie)
    • FrĂ©dĂ©ric Isoard (1846-1902), nĂ© Ă  Auzet, il partit pour l'AlgĂ©rie et fut propriĂ©taire du Domaine de l'AllĂ©lick Ă  BĂ´ne (aujourd'hui Annaba), puis employĂ© des postes.
    • Joseph Aubert (1864-1938), membre du corps expĂ©ditionnaire au Tonkin et Ă  Madagascar.
    • Henri Audemard (1881-1963), technicien forestier du massif de la Blanche Ă©tait nĂ© dans la commune.
    • Les Justes parmi les nations :

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Roger Brunet, « Canton de Seyne », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence « Copie archivée » (version du 22 septembre 2012 sur Internet Archive) (DDRM), 2008, p. 39
    5. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 30 juin 2012
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
    7. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 30 juin 2011
    8. Michel Simon, « Des maisons passives qui affrontent l’altitude », La Marseillaise, 14 juillet 2013, p. 10.
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 162
    17. Dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.
    18. Daniel Thiery, « Auzet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 12 décembre 2010, mis à jour le 11 décembre 2010 (sic), consulté le 30 juin 2012
    19. François Salviat, « Provence-CĂ´te-d'Azur-Corse (rĂ©gion nord) Â», Gallia, Tome 25, no 2, 1967, p. 383.
    20. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
    21. Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
    22. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    23. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    24. Labadie, op. cit., p. 11.
    25. Élie-Marcel Gaillard, Au temps des aires : battre, dépiquer, fouler, Mane, Alpes de Lumière, coll. « Les Alpes de Lumière / Les Blés de l’été (no 3) » (no 122), février 1997, 120 p. (ISBN 2-906162-33-7) (ISSN 0182-4643), p. 31.
    26. G. M., « Roger Isoard, maire sortant, brigue un cinquième mandat », La Provence, 14 mars 2014, p. 12.
    27. Christian Isoard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Robert Hue à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
    28. Christian Isoard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Marie-George Buffet (PCF) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010
    29. Christian Isoard est l’un des 500 élus qui ont parrainé Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012
    30. Parti communiste français, liste des maires communistes, publiée le 6 mars 2008 (sic), consultée le 5 juin 2012
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dĂ©peuplement dans le dĂ©partement des Alpes-de-Haute-Provence depuis le dĂ©but du XIXe siècle. Â», Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
    36. Insee, Dossier local - Commune : , p. 5
    37. Insee, Dossier local, page 8
    38. Insee, Dossier local, p. 7
    39. Insee, Dossier local, page 16
    40. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    41. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    42. Communauté de communes du Pays de Seyne, « Un village de montagne », Commune d’Auzet, mis à jour le 14 février 2013, consulté le 19 février 2013
    43. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    44. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    45. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32 et 36
    46. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38
    47. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 29-30
    48. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    49. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    50. Jeanne Sicard, Chroniques de Haute-Provence, no 304
    51. Arrêté du 30 janvier 1995, « ciboire », notice no PM04000651, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 4 septembre 2008
    52. R. Moulin, « Une énigme archéologique : la cachette d’armes antiques de la clue de Verdaches », in Bulletin de la Société scientifique littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 292
    53. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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