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Auvers (Manche)

Auvers (prononcer /ovɛʁ/) est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 691 habitants[Note 1].

Auvers
Auvers (Manche)
L'église Saint-Étienne et le château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Communauté de communes de la Baie du Cotentin
Maire
Mandat
Yves Poisson
2020-2026
Code postal 50500
Code commune 50023
Démographie
Gentilé Auversois
Population
municipale
691 hab. (2020 en augmentation de 4,07 % par rapport à 2014)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 46″ nord, 1° 19′ 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 26 m
Superficie 18,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Carentan-les-Marais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Carentan
Législatives Première circonscription
Localisation
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Auvers
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Auvers

    Géographie

    Auvers est une commune située au cœur des marais du Cotentin à cinq kilomètres de Carentan.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 823 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 44 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Auvers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carentan-les-Marais, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,7 %), prairies (29,2 %), terres arables (10,9 %), zones humides intérieures (10,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes alvers en 1095 et 1153, de Auverso en 1200, Auvers en 1235 et vers 1280[23].

    Le toponyme aurait une origine gauloise, issu d'Arvernus, surnom ethnique (Arvernes, ethnie gauloise), ou composé d'are, « devant », et vern-, « aulne ».

    Le gentilé est Auversois.

    Histoire

    Pour la période ducale (Xe – XIIe siècle), quatre chartes de donations à l'abbaye de Saint-Sauveur sont souscrites par quatre familles différentes, toutes dépendantes de l'honneur de Saint-Sauveur et dont l'une, la famille d'Auvers tient le patronage de la dite paroisse, ce qui laisse suggérer que les tenants des trois autres fiefs connus sont vassaux de la famille d'Auvers[24]. C'est vers 1238, que les domaines d'Auvers et de Carentan furent détachés de la baronnie de Saint-Sauveur, dont avait hérité Jean Ier d'Harcourt (1226-1288) par Saint Louis, afin d'éviter l'accroissement du fief, qui les donna à l'un des puînés, Raoul[25].

    Sous la Révolution, Pierre Lebrun (1749 à Auvers -1813), curé de Saint-André-de-Bohon, et également médecin, prêta serment, puis abandonna la soutane pour se faire agriculteur. Après les troubles, il remit l'église en état et reprit son ministère jusqu'à sa mort[26].

    En 1943, les troupes allemandes découvrirent près du château des objets de l'âge du bronze : haches, lances, pointes, etc.[26]. En 1973, ce fut à l'école d'Auvers[26]. Les objets ont été réétudiés en 1988 par les spécialistes de la Société préhistorique française[26].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    …1793 1793… Deméautis
    1793 1796 François Drieu Officier public
    1796 1816 Policarpe Salmon Officier public
    1796 1816 Policarpe Salmon
    1816 1830 Côme Leledy
    1830 1848 Hégésippe Delarue
    1848 1850 Romphaire Leledy
    1850 1871[27] Frédéric Jules Michel Leledy
    1872 1877 Jean-François Touzard
    1877 1883[28] Frédéric Auguste Leledy
    1884 1902 Philippe Auguste Philippe
    1902 1912 Jean Touzard
    1912 1925 Pierre Fossey
    1925 1935 Auguste Herout
    1935 1947 François Guérin
    1949 1977 Émile Poisson
    1977 1989 Albert Legrand[29]
    1989 mars 2008 Côme Hérout SE Agriculteur
    mars 2008[30] mai 2020 Guy Foucher[31] SE Agriculteur retraité
    mai 2020[32] En cours Yves Poisson SE Employé de banque en retraite
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Claude Bieslin[26].

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[32].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2020, la commune comptait 691 habitants[Note 9], en augmentation de 4,07 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Auvers a compté jusqu'à 1 316 habitants en 1806.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1861 2661 3161 3061 2241 2151 2051 1941 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1681 1531 1411 0771 1331 1221 1041 0441 014
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    887884807676664656657663766
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    675627573563571589644661666
    2018 2020 - - - - - - -
    676691-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    L'Union sportive auversoise Baupte fait évoluer une équipe masculine de football et une équipe féminine à huit en divisions de district[37].

    Économie

    Le parc éolien d'Auvers-Méautis comporte quatre turbines[38].

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Étienne (XIIe siècle) classée aux monuments historiques depuis le [40]. La tour conserve des fenêtres romanes. À l'instar de nombreuses églises des marais, remarquables par leurs dimensions, Saint-Étienne d'Auvers incarne bien l'opulence d'une région pourtant perçue comme pauvre. L'édifice remonte aux XIIIe et XIVe siècles[41].
    Les fonts baptismaux sont classés au titre objet[42]. L'église abrite également des peintures murales (XIVe), les statues Vierge à l'Enfant (XVIIIe) et saint Sébastien (XVIIIe), ainsi que des verrières (XIXe – XXe siècles)[26]. On y invoque saint Laurent pour la guérison du zona[26].
    • Presbytère d'Auvers. Bâti en 1751, sa façade est en bauge à l'exception des encadrements des baies, réalisés en pierre de taille de Valognes. À la symétrie de la façade répond celle de la distribution intérieure, desservie par un escalier central[43].
    • Croix ancienne du cimetière.
    • Château d'Auvers (XVIIe siècle) dont les façades et toitures du pavillon central, et la dépendance du pavillon d'entrée sont inscrites au titre des monuments historiques depuis le [44].
    • Points de vue sur les marais du Cotentin.
    • Ferme éolienne de Méautis-Auvers (une sur Auvers)
    • Lavoir de Cantepie.
    • Table d'orientation.
    • Ancienne voie ferrée Carentan-Carteret, transformée en voie verte.
    • Le château.
      Le château.
    • Les fonts baptismaux.
      Les fonts baptismaux.

    Auvers dans les arts

    Un village Auvers est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[45].

    Sans autre précision de la part du poète, il peut s'agir de deux villages :

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Touzard (1894 à Auvers - 1984), cycliste ayant participé à cinq Tours de France entre 1923 et 1927.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 14.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 65.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Auvers et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Auvers et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. François de Beaurepaire - 1986 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, page 71.
    24. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 182.
    25. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 64.
    26. Gautier 2014, p. 65.
    27. Décédé en exercice le .
    28. Décédé en exercice le .
    29. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614&pageCourante=01046.
    30. « Guy Foucher succède à Côme Hérout », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. Réélection 2014 : « Auvers (50500) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Yves Poisson a été élu maire au côté de trois adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Site officiel de la Ligue de Normandie de football – US Auvers » (consulté le ).
    38. Parc éolien d'Auvers-Méautis site www.thewindpower.net
    39. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
    40. « Église Saint-Étienne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Benoît Canu, « Les marais du Cotentin - Usages et pouvoirs d'un espace », Vieilles maisons françaises (vmf), patrimoine en mouvement, no 232, , p. 33 (ISSN 0049-6316).
    42. « Fonts baptismaux (cuve baptismale) ».
    43. Benoît Canu, p. 30.
    44. « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375.
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