Accueil🇫🇷Chercher

Aumeville-Lestre

Aumeville-Lestre (prononcer /o:mvil:lɛ:tʁ/) est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 110 habitants[1].

Aumeville-Lestre
Aumeville-Lestre
L'église Saint-Pierre.
Blason de Aumeville-Lestre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Bernard Gosselin
2020-2026
Code postal 50630
Code commune 50022
Démographie
Population
municipale
110 hab. (2020 en diminution de 17,29 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 22″ nord, 1° 19′ 17″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 41 m
Superficie 2,44 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Aumeville-Lestre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Aumeville-Lestre
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Aumeville-Lestre
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Aumeville-Lestre

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 880 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[10] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 25 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Aumeville-Lestre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,5 %), terres arables (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), zones urbanisées (7,3 %), zones humides côtières (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Almevilla en 1126, Almavilla vers 1190, Almevilla vers 1280, Aumeville en Laitre en 1725[27].

    Il s'agit d'une formation médiévale en -ville (élément issu du gallo-roman VILLA « domaine rural ») au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Alme- représente l'anthroponyme d'origine germanique Adalmod(us) / Almod(us)[27] - [28]. Almod est aussi une variante vieux norrois du plus ancien Álfmóðr, Almóðr[29]. Le sens global est celui de « domaine rural d'Almod » ou « d'Almóðr ».

    Homonymie probable avec un autre lieu de Normandie : Ammeville (Calvados, Almovilla 1108)[27].

    Le déterminant complémentaire -Lestre apparaît tardivement au début du XVIIe siècle sous les formes Aumeville en Laitre, Aumeville en Laistre, puis Aumeville-Lestre à la fin de ce même siècle. Il ne devient plus fréquent qu'à la fin du XIXe siècle, et s'impose définitivement au cours du XXe siècle. Il correspond à une ancienne dépendance de la paroisse contiguë d'Anglesqueville-Lestre, aujourd'hui Lestre (voir ce nom).

    Le gentilé est Aumevillais.

    Histoire

    Le seigneur d'Aumeville avait le titre de capitaine général de toute la côte[30].

    Sous Louis XIV qui régna de 1643 à 1715, en complément de deux redoutes, petits ouvrages de fortification pouvant être armés de 2 à 8 canons, on aménagea une écluse destinée à inonder le pays juste derrière la côte, en cas de tentative de débarquement des Anglais[31].

    À la suite du concordat, vers 1826, la paroisse d'Aumeville est supprimée.

    Héraldique

    Blason de Aumeville-Lestre Blason
    Écartelé : au premier et au quatrième de sable à l'aigle d'argent semée de croissants du champ, portant sur l'estomac une croisette haussée du même, au deuxième et au troisième d'or au laurier arraché de sinople, au chef de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1795 Louis Mesnage
    1795 1797 Jacques Ferrand
    1797 1797 Robert Louis Hamel
    1797 1798 Guillaume Ferrand
    1798 1798 Pierre Chislard
    1798 1799 Guillaume Ferrand
    1799 1800 Jacques Huet
    1800 1804 Pierre Chislard
    1804 1807 Jean Renouf Faisant fonction
    1807 1813 Michel Leprael
    1813 1816 Richard Legoupil
    1816 1817 Étienne Travers
    1817 1819[32] Richard Legoupil
    1819 1835 Anténor Revert
    1835 1866 Charles Yvetot
    1866 1869[33] Jules Cavel
    1870 1876 Jacques Viel
    1876 1879 Louis Hamel
    1879 1883 Louis de Valori
    1884 1888[34] Jean Picquot
    1888 1892 Bienaimé Tiphaigne
    1892 1896 Louis Fortin
    1896 1900 Pierre Lebourgeois
    1900 1906 Louis Hamel
    1906 1939 Alfred Neel
    1939 1941 Louis Lebourgeois
    1941 1944 Charles Gallis
    mars 1944 déc. 1944 Victor Neel
    1944 1945 Pierre Lebourgeois
    1945 1953 Victor Neel
    1953 1959 Charles Marie
    1959 1980 Bernard Leridez
    1980 1995 Charles Deschateaux
    juin 1995[35] En cours Bernard Gosselin[36] SE Délégué conseil à la Sécurité sociale
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Bernard Gosselin[37].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

    En 2020, la commune comptait 110 habitants[Note 7], en diminution de 17,29 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    213230263269234236263266252
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    230240228217195216194187198
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    217212205179178187166169182
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    181156147153134139139139137
    2017 2020 - - - - - - -
    114110-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château d'Aumeville (XVIIIe siècle), construit en 1756 par la famille Davy. C'est un château de style Louis XV qui arbore un pavillon central en très légère saillie, plutôt suggéré que réalisé, qui arbore une toiture en léger décrochement avec ses rives de zinc, et ses trois lucarnes de toits à la Mansart[42], possession au début du XXe siècle de la comtesse de Valory[37]. Le jardin est répertorié à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37] - [43].
    • Ferme-manoir d'Ouessey ou le Manoir (XVIe – XVIIe siècles), première demeure des seigneurs d'Aumeville. Le manoir, peu éloigné du rivage, était protégé des descentes ennemies par différents éléments défensifs (meurtrières protégeant les divers accès…) et des douves dont il subsiste des traces[44]. En 1600, il est la possession des Vautier, seigneurs d'Aumeville. Guillaume Vautier, jugeant le logis humide et malsain, du fait qu'il se trouve dans une zone marécageuse, entreprend de construire une autre demeure au sommet du coteau, à proximité de l'église[45].
    • Église Saint-Pierre avec sa tour coiffée en bâtière (XIIIe, XVIe – XVIIIe siècles) en remplacement d'une église du XIe siècle[46]. Elle abrite les statues d'une Vierge à l'Enfant en pierre calcaire de la fin du XIVe siècle, et de saint Siméon tenant l'Enfant Jésus en pierre du XVe siècle[Note 8], classées au titre objet aux monuments historiques[47] - [48]. Sont également conservés un cadran solaire (XVIe), une Vierge de Pitié (XVe). Un bas-relief en calcaire de style gothique flamboyant du XVIe siècle, très endommagé, représentant saint Pierre dans un cadre floral, est enclavé dans le mur à l'extérieur[46] - [Note 9]. Le portail, ajout de style gothique, est surmonté d'une tête sculptée réemployée, retrouvée dans un mur de l'église, attribué à saint Gilles. L'église dépend aujourd'hui de la paroisse Sainte-Thérèse-du-Val-de-Saire du doyenné de Valognes-Val-de-Saire.
    • Croix de chemin dite croix Prieur (XIXe), et croix de cimetière (XVIIIe).
    Pour mémoire
    • Grande redoute d'Aumeville du XVIIIe siècle[44]. La redoute édifiée en 1689 par Vauban faisait partie de la défense de la rade de la Hougue. Elle a complètement disparu[37].
    • Le bas-relief extérieur.
      Le bas-relief extérieur.
    • La Vierge à l'Enfant.
      La Vierge à l'Enfant.
    • La statue de saint Siméon.
      La statue de saint Siméon.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 14.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 64.
    • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 42-44.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Ce groupe a été autrefois remployé à l'extérieur dans la maçonnerie de la porte nord de la nef, puis ôté du mur en 1991-1992.
    9. Plusieurs scènes de la vie de l'apôtre y sont figurées : Jésus venant sur les eaux à sa rencontre, ses célèbres clés et son martyre. Les scènes centrales, très dégradées, ne sont plus lisibles[49].

    Références

    1. Population municipale 2020.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Aumeville-Lestre et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Aumeville-Lestre et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 71.
    28. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. 1 (Les noms issus du germanique continental et des créations gallo-germaniques), 1968, p. 15a et 27b.
    29. Site de Nordic Names : étymologie de Álfmóðr .
    30. Delattre 2002, p. 14.
    31. Thin 2009, p. 42.
    32. Décédé en exercice le .
    33. Décédé en exercice le .
    34. Décédé en exercice le .
    35. « 3e mandat de maire pour Bernard Gosselin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. Réélection 2014 : « Aumeville-Lestre (50630) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. Gautier 2014, p. 64.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 244.
    43. « Jardin du château ».
    44. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 78 - Aumeville-Lestre.
    45. Thin 2009, p. 42-43.
    46. Thin 2009, p. 43.
    47. « Statue : Vierge à l'Enfant »
    48. « Groupe sculpté : Saint Siméon tenant l'Enfant Jésus ».
    49. Thin 2009, p. 43-44.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.