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Arc-sur-Tille

Arc-sur-Tille est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Arc-sur-Tille
Arc-sur-Tille
Église Saint-Martin.
Blason de Arc-sur-Tille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement CĂ´te-d'Or
Arrondissement Dijon
Intercommunalité Communauté de communes Norge et Tille
Maire
Mandat
Patrick Morelière
2020-2026
Code postal 21560
Code commune 21021
DĂ©mographie
Population
municipale
2 608 hab. (2020 en augmentation de 1,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 115 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 20′ 38″ nord, 5° 11′ 33″ est
Altitude Min. 209 m
Max. 241 m
Superficie 22,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Dijon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Apollinaire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arc-sur-Tille
Liens
Site web arc-sur-tille.fr

    GĂ©ographie

    Arc-sur-Tille se trouve Ă  environ 12 kilomètres par la route Ă  l'est de Dijon et est traversĂ© par la route dĂ©partementale 70 qui relie Dijon Ă  Gray, dans la Haute-SaĂ´ne, puis Vesoul.

    La commune se trouve Ă©galement Ă  la hauteur de la sortie Sortie 04 de l'autoroute A31 qui relie Beaune au Luxembourg.

    GĂ©ologie

    Située dans une plaine marécageuse.

    Hydrographie

    • Le territoire communal est baignĂ© par la Tille, affluent de la SaĂ´ne. Elle a souvent par le passĂ©, dĂ©bordĂ© et crĂ©Ă© des dommages au village et aux cultures.
    • Le lac d'Arc-sur-Tille, ancienne gravière amĂ©nagĂ©e depuis 2002 (plus grande plage de sable de Bourgogne) est très frĂ©quentĂ© en Ă©tĂ© par les baigneurs et permet de nombreuses activitĂ©s nautiques (voile, canoĂ«-kayak, ski nautique et pĂŞche sur des bassins rĂ©servĂ©s).

    Villages, hameaux, lieux-dits, Ă©carts

    (liste non exhaustive)

    • Brucey[1]. En latin Bruceyo ce village nommĂ© au XVIIe siècle Brecey, a Ă©tĂ© de tous temps et dès l'origine de son existence de la paroisse d'Arc-sur-Tille, la bulle du pape Adrien IV en l'an 1156 en est une preuve certaine ; puisque dans le dĂ©nombrement qu'elle fait des Ă©glises dĂ©pendantes de l'abbaye Saint-Étienne, elle en parle comme d'une simple chapelle, dĂ©pendant de l'Ă©glise mère et paroissiale de Arc-sur-Tille. Puis Jean de Maupeou, Ă©vĂŞque de Chalon-sur-SaĂ´ne ayant rĂ©voquĂ© la facultĂ© que ses prĂ©dĂ©cesseurs avaient donnĂ©e au curĂ© d'Arc de dire une seconde messe les jours de fĂŞtes et dimanches dans l'Ă©glise de Brucey et ayant permis le aux habitants de ce lieu d'Ă©riger des fonts baptismaux en leur Ă©glise, quelques prĂŞtres particuliers prenant cette Ă©rection de fonts baptismaux, pour une Ă©rection Ă  titre de cure, s'en firent pourvoir en cour de Rome. Les habitants sous prĂ©texte qu'ils Ă©taient mal desservis par un simple vicaire qu'ils avaient eu en consĂ©quence d'un accord du , faite entre eux, le chapitre de Saint-Étienne et le curĂ© d'Arc, ils prĂ©sentèrent requĂŞte le , Ă  Henry FĂ©lix, Ă©vĂŞque de Chalon, pour qu'il Ă©rige l'Ă©glise en titre de cure, ce qu'il fit le . Mais l'abbĂ© de Saint-Étienne, Claude Fyot, se plaignit en Cour de Rome et interjeta appel. Les parties par acte du passent en prĂ©sence et du consentement de Henry FĂ©lix qu'il serait procĂ©dĂ© de nouveau suivant les formes prescrites par les canons et les ordonnances Ă  l'Ă©rection de l'Ă©glise de Brucey en cure aux conditions portĂ©es par le mĂŞme acte et spĂ©cialement que le droit de prĂ©senter Ă  cette nouvelle cure, appartiendra Ă  perpĂ©tuitĂ© aux abbĂ©s de Saint-Étienne. Cette Ă©glise est dĂ©diĂ© au titre de Saint-Martin comme celle d'Arc, avec la diffĂ©rence qu'elle en cĂ©lèbre la fĂŞte le , jour du dĂ©cès de son saint patron, mais elle est du mĂŞme diocèse, archidiaconĂ©, et bailliage[2].
    • Court-Betton ou Courbeton
    • la Rente du FossĂ©
    • Forest
    • …

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Arc-sur-Tille est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Arc-sur-Tille, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 2 670 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,6 %), zones urbanisées (6 %), forêts (5,4 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), prairies (1,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    La paroisse d'Arc-sur-Tille avait au XVIIe siècle son nom corrompu car le vulgaire prononce par abréviation Astille[13]. Le village est du bailliage, recette et grenier à sel de Dijon. Dépend de la collation de l'évêque de Chalon-sur-Saône et de l'archidiaconé de l'Oscheret. La dixme est pour les trois-quarts au seigneur du lieu, l'autre revenant au curé. Elle est de 11, 12 ou 13 gerbes de toutes sortes de grain.

    Le patron de cette paroisse est saint Martin, archevêque de Tours, dont le fête principale n'est pas le jour de son décès, mais le , jour de la Translation de ses reliques ; la dédicace de l'église est célébrée le dimanche qui précède le .

    Les abbĂ©s de l'abbaye Saint-Étienne de Dijon ont le droit de prĂ©senter Ă  cette Ă©glise, droit accordĂ© par Gautier, Ă©vĂŞque de Chalon-sur-SaĂ´ne en 1080-1121, qui le leur donna en 1117 ; Jotsalde ou Joussaud (Gothaud), son successeur Ă  l'Ă©vĂŞchĂ© en 1121-1126, le ratifia la mĂŞme annĂ©e en plein synode de Tournus et il a Ă©tĂ© confirmĂ© depuis par divers papes : en 1124, par Calixte II ; en 1139, par Innocent II ; puis en 1156, 1185, 1238, 1245 et 1290. Cette terre en toute justice fut Ă©levĂ©e au marquisat. Le seul commerce est celui du charbon. On y cultive le froment, l'orge, l'avoine et le conceau[14], point de vignes, et des prĂ©s qui donnent un très mĂ©chant foin. Les habitants, 138 Ă˘mes, y sont très pauvres, sauf trois ou quatre[15].

    En 1260, Henry de Vergy, sire de Mirebeau et sénéchal de Bourgogne, déclare tenir en fief lige du duc de Bourgogne — Henri en étant le seigneur éminent vis-à-vis des sires locaux les tenant de lui — les fiefs de Tasnay, de Bere (Beire ou Beire ?), de Janle/Janly et d'Arc-sur-Tille. Ce village a donné son nom à une ancienne famille seigneuriale locale, les d'Arc (de Archo). Maifroi de Archo, rendit à l'abbé de Saint-Étienne les terres enclavée dans la seigneurie d'Arc et lui donna le droit de chauffage dans les bois en 1115.

    C'est au XIVe siècle que la dernière héritière de cette seigneurie, Jehanne d'Arc, l'apporte à son époux Eudes de Saulx-Vantoux () : Arc entre ainsi dans la Maison de Saulx-Tavannes qui la possède encore au XVIIIe siècle, époque où elle obtient aussi par mariage Til-Châtel : ainsi, Henri-Charles de Saulx comte de Tavannes (fl. depuis 1705, † en 1761 ; petit-fils de Jacques de Saulx), baron de Lux, maréchal de camp et lieutenant-général, est qualifié de marquis d'Arc-sur-Tille et de Til-Châtel[16].

    La LevĂ©e a coĂ»tĂ© aux États la somme de 45 000 livres en 1614. Il s'y tenait, avant la RĂ©volution, quatre foires par an, les , mars, mai et septembre. En 1636, Arc est incendiĂ© par Matthias Gallas, le château pillĂ© et dĂ©truit.

    Près d'Arc, le , se passa une action assez vive entre les troupes du roi, conduites par le marquis de Tavannes et celle du comte, son neveu, qui commandait celles du prince de Condé, alors prisonnier au Havre. Le premier fut défait et perdit tous ses équipages.

    Politique et administration

    Sous l'Ancien RĂ©gime

    • 1115 av - Maifroi de Archo
    • 1314 - Jeahan d'Arc chevalier, sire d'Arc
    • 1329 - Jehan d'Arc chevalier, sire d'Arc
    • 1331 - Guy d'Arc et son Ă©pouse Alix de Nus
    • 1380 - Humbert d'Arc, chevalier d'Arc
    • XIVe siècle - Jehanne d'Arc, Ă©pouse Eudes de Saulx
    • 1543 - Elyon de Mailly, seigneur d'Arc, Charette-Varennes, et Terrans
    • 1650 - Marquis de Tavannes
    • 1666 - Jacques de Saulx, comte de Tavanne, bailly de Dijon

    Depuis la RĂ©volution

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? Jean Picard DVG
    1988 François Maugé SE
    Robert Camut[17] PS Cadre technico-commercial
    François Maugé SE

    (démission)
    Daniel Viard SE
    En cours Patrick Morelière DVD puis UDI Agriculteur retraité
    3e vice-président de la CC Norge et Tille (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    En 1777, la paroisse comptait 190 feux.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2020, la commune comptait 2 608 habitants[Note 4], en augmentation de 1,4 % par rapport Ă  2014 (CĂ´te-d'Or : +0,7 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0311 0181 0431 0451 0811 0441 0861 1091 178
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1811 1471 0121 0109739481 003938858
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    816781803678662698711738812
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8008429401 9131 9502 3322 4502 4582 479
    2015 2020 - - - - - - -
    2 6172 608-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Civils

    • Château d'Arc-sur-Tille, pillĂ© et dĂ©truit par Galas en 1636.
    • Moulin sur la Tille.

    Religieux

    • L'Ă©glise Saint-Martin a Ă©tĂ© construite par l'architecte dijonnais Claude Saintpère pendant la Restauration dans le style nĂ©o-classique et inaugurĂ©e en 1829. Ă€ la fin du XXe siècle, l'Ă©difice est dans un Ă©tat de dĂ©labrement assez avancĂ©, ce qui nĂ©cessite sa fermeture en 1989. La municipalitĂ©, malgrĂ© l'opposition des autoritĂ©s religieuses, dĂ©cide en 2005 de faire dĂ©molir l'Ă©difice, mais grâce Ă  l'action d'une association (l'UEPA) qui se bat depuis 1991 pour tenter de la sauver, une première tranche de travaux de rĂ©habilitation est lancĂ©e en . Une souscription nationale est en cours via la Fondation du Patrimoine pour permettre le financement de la seconde tranche de travaux qui permettra Ă  terme, de rouvrir l'Ă©glise Saint-Martin au public.
    • Elle rouvre le jeudi 12 mai 2022 et une première messe est dite le dimanche 15 mai 2022.

    Personnalités liées à la commune

    • Henri d'Arc, doyen de la Sainte-Chapelle de Dijon, mort en 1238, il Ă©tait le neveu de Hugues d'Arc, abbĂ© de Saint-BĂ©nigne.
    • Hugues d'Arc fut abbĂ© de la Chaise-Dieu, en 1306.
    • Hugues d'Arc, 73e abbĂ© de Saint-BĂ©nigne de Dijon de 1269 Ă  1300.
    • Jehan d'Arc, deux chevaliers, sires d'Arc en 1314 & 1329 Ă©pitaphes dans l'Ă©glise paroissiale.
    • Jean d'Arc sur Tille de Saulx de Vantoux,Gruyer et grand louvetier de Bourgogne, Sgr d'Orain, cosgr d'Arc-sur-Tille, sgr de Prangey, mariĂ© Ă  Marguerite de Tavannes, dĂ©cĂ©dĂ© en 1538.
    • Louis XIV, roi de France, y coucha le , après la conquĂŞte de la Franche-ComtĂ©.
    • Nicolas Jacquemard (1771-1835), gĂ©nĂ©ral des armĂ©es de la RĂ©publique et de l'Empire ; nĂ© au hameau de Corbeton.
    • StĂ©phane Tarnier (1828-1897), obstĂ©tricien, inventeur de plusieurs instruments, dont un forceps qui porte son nom[22]. Il recommande Ă  ses disciples de l’époque de mettre en application lors des accouchements les pratiques d'asepsie recommandĂ©es par Semmelweis et Lister. La majoritĂ© de ces travaux en obstĂ©trique sont groupĂ©s dans un ouvrage intitulĂ© TraitĂ© de l'art des accouchements, par Pr. S Tarnier et Pr. P Budin. La rue principale d'Arc-sur-Tille oĂą se trouve son ancienne rĂ©sidence (La Clochette) porte son nom. Au sud d'Arc-sur-Tille une fontaine porte Ă©galement son nom.
    • Albin Roussin (1781-1854), baron, nĂ© Ă  Dijon ; amiral, savant, ministre de la Marine.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    « Bandé d'or et de gueules de six pièces. »

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Claude CourtĂ©pĂ©e, Description historique du DuchĂ© de Bourgogne..., Dijon, chez Causse imprimeur, t.II, p. 312-314.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Fut plus tard détaché pour former une paroisse
    2. Claude Fyot de la Marche, op.cit.
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Arc-sur-Tille », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Claude Fyot de la Marche, Histoire de l'église abbatiale et colégiale de Saint Estienne de Dijon , Dijon, 1696, chapitre II, p. 316
    14. « Actes d'un notaire de Vervins au XVIIe siècle : 31 janvier 1602, & 19, p. 61, note 3 : le blé conceau ou conseau, par Eugène Mennesson », sur Bulletin de la Société archéologique de Vervins, t. X, à Vervins, 1884.
    15. Enquête de l'Intendant Bouchu (1666-1669), déposé au bureau des finances
    16. « Henri-Charles de Saulx-Tavannes, p. 534 », sur Dictionnaire de la Noblesse,t. XIII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Lamy et chez Badiez, à Paris, 1783.
    17. « Adieu à Robert Camut », Le Bien Public,‎ (lire en ligne).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. Tarnier Stéphane : Chirurgien Obstétricien français
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