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Anstaing

Anstaing est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Anstaing
Anstaing
L'église Saint-Laurent d'Anstaing.
Blason de Anstaing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Étienne Dumoulin
2020-2026
Code postal 59152
Code commune 59013
Démographie
Gentilé Anstinois
Population
municipale
1 559 hab. (2020 en augmentation de 13,38 % par rapport à 2014)
Densité 678 hab./km2
Population
agglomération
1 053 636 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 36′ 21″ nord, 3° 11′ 30″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 40 m
Superficie 2,3 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Templeuve-en-Pévèle
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Anstaing
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Anstaing
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Anstaing
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Anstaing
Liens
Site web mairie-anstaing.fr

    Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

    Géographie

    Localisation

    Anstaing se situe dans le pays du Mélantois, à la limite de la Pévèle en Flandre romane, à 13,5 km au sud-est de Lille, 42,1 km au nord de Douai et à 15,8 km à l'ouest de Tournai.

    Position d'Anstaing par rapport aux communes limitrophes.
    Communes limitrophes d’Anstaing
    Villeneuve-d'Ascq Tressin Chéreng
    Anstaing
    Sainghin-en-Mélantois Gruson

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 684 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,8 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[11].

    Voie de communication et transport

    La commune est desservie par plusieurs lignes de bus de la société ILEVIA

    Urbanisme

    Typologie

    Anstaing est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[15] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), zones urbanisées (27,2 %), prairies (17,4 %), forêts (2,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Ansten en 1136.

    Histoire

    Au XVe siècle, Anstaing faisait partie d'Ascq.

    Il y avait autrefois un hôpital destiné à loger les pèlerins. Il fut abandonné après que certains hôtes eurent égorgés ceux qui y étaient préposés. Les biens en furent donnés à l'hôpital St-Sauveur de Lille.

    Un vieux château, bâti par les comtes de Flandre, existait encore au XVIIIe siècle.

    En août 1693, sont érigées en marquisat (titre de marquis), les terres d'Anstaing et de Gruson, situées dans la châtellenie de Lille, sous la dénomination de marquisat de Fiennes, par lettres données à Versailles et enregistrées le 31 octobre 1699, en faveur de Maximilien de Fiennes, chevalier, comte de Lumbres, maréchal des camps et armées du roi, en récompense des services rendus comme maréchal des camps, brigadier et maître de camp d'un régiment de cavalerie, dans les divers commandements exercés où il a fait preuve de valeur, courage et aussi en considération de sa famille qui est une des plus illustres des Pays-bas, qui a possédé des charges considérables et a donné un connétable à la France sous le règne des rois Jean (Jean le Bon) et Charles V, et est alliée aux maisons les qualifiées dudit pays, et dont le fils, le comte de Fiennes rend journellement de grands services au roi en qualité de mestre de camp d'un régiment de cavalerie. En cas de non succession mâle ou femelle, le marquisat sera éteint. Maximilien de Fiennes négligea de faire enregistrer ces lettres, et obtient des lettres de surannation datées de Versailles le 26 septembre 1698[22].

    En , sont données à Versailles des lettres autorisant Auguste-Joseph-Félicité de Matharel, fils de Marie-Joseph de Matharel, marquis de Matharel, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, gouverneur des ville et château de Honfleur, et d'Adelaïde-Félicité de Fiennes, fille de Maximilien, marquis de Fiennes, maréchal des camps et armées du roi, arrière-petite-fille de Maximilien de Fiennes, comte de Lumbres, chef de la maison de Fiennes, accordant l'érection des terres d'Anstaing et de Gruson (près de Lille) en marquisat, sous le nom de Fiennes et lui permettant à lui et à sa postérité, d'ajouter à son nom et à ses armes, celui et celles de Fiennes du Bois[23].

    À cette date de 1776, la seigneurie d'Anstaing (différente du marquisat évoqué ci-dessus) est détenue par Joseph-Chrétien-Michel-Anaclet Le Maistre (1711-1748), écuyer[24]. Joseph Le Maistre est seigneur d'Anstaing, Thérombecq, Gruson, La Hamayde, Esplechin, Le Brefay, le Colombier, fils de Michel, écuyer et de Marie-Joseph Redincq y Barba. Il nait à Séville le , devient bourgeois de Lille le , meurt à Lille le . Il est enterré à Anstaing. Il se marie le avec Isabelle-Caroline (ou Charlotte) Jacops (1710-1785), dame de Willem (Willems?), Fresnoy, Robigeux, la haute Anglée, fille de Martin Jacops, seigneur d'Ascq, Rocques, Tereumbecque, bourgeois de Lille et de Marie-Albertine Diedeman. Elle nait à Lille en septembre 1710 (baptisée le ) et décède à Lille le à 74 ans[24] - [25].

    La fille de Joseph le Maistre et d'Isabelle Jacops, Isabelle-Ernestine-Joseph le Maistre d'Anstaing, dite Mademoiselle de Thérombecq, épouse à Lille le Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart (1746-1801), chevalier, seigneur de Liessart, Frévillers, dit Monsieur de Frévillers, jusqu'à la mort du Président de Liessart son père, conseiller du roi en ses conseils et premier président du bureau des finances de la généralité de Lille après son père, grand bailli du Hainaut, commissaire le 28 juillet 1779 pour l'audition et l'arrêté des comptes des États de Lille, Douai, Orchies (Flandre wallonne) [26]. Leur autre fille, Marie-Joseph-Charlotte le Maistre d'Anstaing, née en 1739, se marie le avec Jean-Baptiste-Louis Rouvroy (1733 ou 1735- 1788), né en août 1733 ou 1735, fils de Jacques-François-Alexandre de Rouvroy, chevalier, seigneur de Fournes, trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille, et de Marie-Claire-Joseph-Bonne Jacops, capitaine au régiment de la Tour-du-Pin, mort le . Une dernière fille épouse le comte de Bonnescuelle d'Orgères[27].

    Politique et administration

    Situation administrative

    Anstaing dans son canton et son arrondissement.

    Liste des maires[28]

    Maire de 1802 à 1807 : F. J. Delaoutre[29] - [30].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1912 .... Charles Paquet SFIO
    mars 1983 mars 2014 Roger Willocq PCF
    2014 En cours Étienne Dumoulin
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [31]
    App. PCF
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 1 559 habitants[Note 7], en augmentation de 13,38 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    310310404388470461477489496
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    495550560606627650653691709
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    757848849834835842863883904
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9271 0079721 0581 1151 1831 1951 3131 432
    2020 - - - - - - - -
    1 559--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 727 hommes pour 784 femmes, soit un taux de 51,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,5
    3,7
    75-89 ans
    6,7
    15,2
    60-74 ans
    14,2
    21,4
    45-59 ans
    22,3
    21,4
    30-44 ans
    18,7
    15,2
    15-29 ans
    17,3
    23,0
    0-14 ans
    20,2
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Enseignement

    Antaing fait partie de l'académie de Lille.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Laurent d'Anstaing. Elle contient un bas relief du XVe siècle. L'église abrite également la dalle funéraire de Brisse Leroi, curé d'Anstaing mort en 1300, qui représente saint Laurent présentant le défunt à la Vierge (classé MH en 1922), et un reliquaire d'argent du XVIIe siècle travaillé au poinçon orné des armes de la famille d'Oignies (classé MH en 1933).
    • Devant le cimetière communal d'Anstaing, le monument aux morts commémore les morts des deux guerres mondiales, et sur le cimetière se trouve la tombe d'un soldat britannique de la Commonwealth War Graves Commission.
    • Une dalle funéraire au sol de l'église.
      Une dalle funéraire au sol de l'église.
    • Statue de saint Laurent dans l'église.
      Statue de saint Laurent dans l'église.
    • Vitrail à droite de l'autel.
      Vitrail à droite de l'autel.
    • Vitrail à gauche de l'autel.
      Vitrail à gauche de l'autel.
    • La commune possède plusieurs chapelles-oratoires : la Chapelle Saint-Laurent, la Chapelle Notre-Dame d'Anstaing datant de 1883 ; la Chapelle des seigneurs ou du Plantis, décorée des armes de J.C.M.A. Le Maistre, seigneur d'Anstaing et de sa femme Charlotte Jacops, XVIIIe siècle ; la Chapelle à la Vierge ; une chapelle anonyme, rue Paul Lafargue, et une chapelle privée, domaine Patsoort.

    La chapelle Saint-Laurent entoure une source qu'on dit ouverte miraculeusement par saint Piat de Seclin de passage dans la région. Cette source est réputée guérir les brûlures et les maladies de peau. Un pèlerinage de neuf jours (neuvaine) a lieu tous les ans au mois d'août.

    • La chapelle Saint-Laurent.
      La chapelle Saint-Laurent.
    • Dans la chapelle, un retable et la statue de saint Piat.
      Dans la chapelle, un retable et la statue de saint Piat.
    • La source « miraculeuse ».
      La source « miraculeuse ».

    Photo panoramique

    Vue panoramique d'Anstaing.

    Héraldique

    Armes d'Anstaing (Nord)

    Les armes d'Anstaing se blasonnent ainsi : « D'or au premier quartier de gueules. »

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Anstaing et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 352, lire en ligne.
    23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 112, lire en ligne
    24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.412 (lire en ligne).
    25. Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 552-554
    26. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-57.
    27. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 132-133.
    28. « 133 maires ANECR élus ou réélus au premier tour – CIDEFE », sur cidefe.fr (consulté le ).
    29. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    30. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
    31. https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599680
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Anstaing (59013) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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