Anost
Anost (prononcé [ano]) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Anost | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Autun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Autunois Morvan | ||||
Maire Mandat |
Louis Basdevant 2020-2026 |
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Code postal | 71550 | ||||
Code commune | 71009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Anostiens | ||||
Population municipale |
714 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 04′ 41″ nord, 4° 06′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 357 m Max. 787 m |
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Superficie | 51,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Autun (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Autun-1 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | anost.fr | ||||
Géographie
Localisation
Perché à une altitude de 550 m, le petit village d'Anost se situe au cœur du Haut-Morvan montagnard, plus précisément dans la partie nord de la région du Haut Folin et du Mont Beuvray aux sommets massifs, arrondis ou tabulaires, séparés par des vallées souvent encaissées, à pentes raides.
Lieux-dits et écarts
La commune d'Anost compte quarante-cinq hameaux : Athez, les Bigeards, les Billons, les Bonnards, la Bussière, Bussy, le Champs de la Gorge, les Chevannes, les Chevreaux, Corcelles, Corterin, le Creux, la Croix des Crots, Dront, En Moulu, la Ferrière (château), les Figuiers, le Fourneau, les Gaudrys, la Genette, les Gilets, les Girards, les Graillots, les Grelodots, l'Île d'Elbe, Joux, la Maison de l'Etang, les Miens, le Mont, Montcimet, le Moulin de Roussillon, la Pierre en Eau, les Pignots, les Places, Prébien, la Roche, les Roux, les Roys, Sanceray, Valterne, Varin, Vaumignon, Velée (chapelle), le Vernay, le Vusin.
Relief et géologie
D'un point de vue géologique, le Haut-Morvan montagnard est composé de divers granites et d'un ensemble complexe de roches volcano-sédimentaires, aux sols généralement acides (pH voisin de 5) et principalement dépourvus de calcaire.
La forêt domine le paysage. Y alternent forêts de feuillus (hêtres, chênes) et forêts de résineux (importantes plantations de sapins, d'épicéas, de douglas), bois mixtes et zones de tourbière. L'exploitation forestière y est donc importante (l'enrésinement va croissant).
Sur le territoire de la commune est implantée une forêt domaniale : la forêt d'Anost (contenance : 999,19 ha), qui mêle conifères et feuillus[1].
Hydrographie
- Source de la Cure.
- Rivière d'Anost ou de la Petite-Verrière.
- La Corcelière.
- Le Corterin.
- La Bic.
- Ruisseau de Vernay.
- Etang du Vernay.
- Ruisseau de Rainache.
- Etang Rainache.
- La Chaloire.
- Ruisseau du Chênelet.
- Fontaine des Basses Cassières.
- Ruisseau des Fontaines Salées.
- Ruisseau des Malpeines.
- Ruisseau de Montmaillot.
- Ruisseau des Péchues.
- Bien arrosé, le Haut-Morvan montagnard connaît une pluviométrie annuelle importante (de 1 600 mm à 2 000 mm suivant les sommets).
Urbanisme
Typologie
Anost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,6 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Histoire
L'église d'Anost abrite dans le bas-côté gauche les gisants de Jehan et Isabeau de Roussillon, restaurés il y a quelques années par l'association Anost Archéologie après avoir été retirés de leur emplacement initial par le curé du lieu en 1852 (date à laquelle ils furent exposés verticalement, contre l'un des murs de l'église)[9].
Parmi les édifices historiques de la commune se trouvent le château de Roussillon (dit le vieux château) ou encore la chapelle Sainte-Claire de Velée[10].
En 1895, Anost dota son hameau d'Athez d'une école mixte de hameau, ce dont bénéficia le hameau de Dront en 1904[11].
Le tacot du Morvan
Au début du XXe siècle, la commune était desservie par une des lignes du tacot du Morvan : le chemin de fer d'Autun à Château-Chinon.
Lors de l'ouverture de la ligne en , le terminus se trouvait sur le territoire de la commune d'Anost, à la gare desservant les hameaux de Athez et Corcelles. La ligne fut ensuite prolongée le dans le département de la Nièvre, jusqu'à Château-Chinon.
La commune d'Anost bénéficiait de plusieurs points d'arrêt : un arrêt au hameau les Chevannes, une gare au point kilométrique 19,791 de la ligne à Vaumignon, un arrêt à Velée et enfin une gare aux lieux-dits Athez et Corcelles au point kilométrique 23,725.
Le trafic voyageurs fut stoppé le , remplacé par un service d'autocars. La ligne, fermée définitivement en 1936, fut démontée entièrement en 1939[12].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[14].
En 2020, la commune comptait 714 habitants[Note 3], en diminution de 1,52 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Spécialités locales
Anost est le lieu de production de La Foline, une bière bio de fabrication artisanale (non filtrée et non pasteurisée, refermentée en bouteilles ou en fût), par la (micro) brasserie du même nom.
Fête de la Vielle d'Anost
- Origine
La traditionnelle Fête de la Vielle d'Anost[17] - [18] trouve son origine dans la Journée de la vielle et des vielleux qui a lieu le à Montsauche-les-Settons (Nièvre). Cette toute première fête de la vielle en Morvan est alors organisée par Lai Pouèlée, association pour l'expression populaire en Morvan. Ce jour-là, quatre cents spectateurs et une trentaine de musiciens étaient présents.
La fête est transférée à Anost (Saône-et-Loire) en 1979 (une journée le sous le nom de Grande fête de la vielle) puis à Ouroux-en-Morvan (Nièvre) en 1980 (deux journées les 9 (Bal Morvandiau traditionnel) et (Journée de la veille proprement dite) et à Saint-Brisson (Nièvre) en 1981 (une journée le ).
À partir de l'édition 1980, l'Union des groupes et des ménestriers du Morvan (UGMM) reprend l'organisation de la fête qui prend alors le nom de Journée de la veille.
- Installation à Anost
À partir de 1982 (deux journées les 4 et ), la fête s'installe définitivement à Anost et à partir de 1983 (deux journées les 27 et ), elle se stabilise dans la seconde quinzaine d'août.
- Un festival qui s'inscrit dans la durée
À partir de 1987, à l'occasion des dix ans, elle passe à trois jours et prend le nom de Fête de la vielle en Morvan.
En 1997, pour le 20e anniversaire, elle a lieu sur cinq jours ; en 2002 pour le 25e anniversaire sur quatre jours ; en 2007 et 2012 pour les 30e et 35e anniversaires à nouveau sur cinq jours.
À partir de l'édition 1998, la fête prend son nom actuel de Fête de la Vielle.
Pour son 30e anniversaire en 2007, la Fête de la Vielle a accueilli sur cinq jours 25 000 spectateurs venus de toute la France et de toute l'Europe, ainsi qu'une vingtaine de groupes invités (Morvan, Poitou, Gascogne, Bourbonnais, Espagne, Portugal…) et des centaines de musiciens.
À partir de 2008, elle se déroule sur quatre jours (du jeudi au dimanche vers les 15-) durant lesquels retentissent les cornemuses, les violons, les accordéons diatoniques et les vielles à roues.
Le , lors de sa 36e édition, la fête invite pour la première fois Malicorne, groupe phare de la scène folk française à l'origine en 1973 du renouveau des musiques traditionnelles.
La programmation, dédiée aux musiques traditionnelles du Morvan et d'ailleurs, est riche en concerts variés et en « bœufs ». Outre les concerts sous chapiteau et le grand bal du samedi soir, elle offre au public de nombreuses animations gratuites : concerts dans les rues et les bars, scène ouverte sous la halle, apéritifs-concerts, stages de vielle et stands de luthiers, d'artisans, d'artistes, d'éditeurs, de vente de disques de musique traditionnelle.
La 37e fête de la Vielle a eu lieu du jeudi 21 au dimanche .
Pour son 40e anniversaire, la fête de la Vielle a réuni en 2017 plus de 20 000 festivaliers.
La 41e fête de la Vielle a eu lieu, dans tout le village, du vendredi 17 au dimanche pendant trois jours et trois nuits de festivités. La musique traditionnelle d’ici et d’ailleurs y a rassemblé de nombreux artistes en concerts, en stages et pour animer les bals avec notamment le groupe de renommé internationale Blowzabella pour le concert phare du vendredi soir. L'édition a également proposé des scènes ouvertes, des initiations aux danses "trad", des stages de vielle (découverte et masterclass), des conférences, des projection de films, des stages de bourrées et danses de couple du Morvan, un marché des luthiers, un groupe folklorique, un stage pour les enfants et en off des bœufs[19].
Du 19 au 21 août 2022 a lieu la 45e fête de la Vielle d'Anost (toujours organisée par l'UGMM). S'y produisent des groupes venus d'Italie, d'Angleterre, d'Espagne, du Morvan et de toute la France mais aussi les « Enfants de la 45e », pépinière de l'UGMM, qui se produisent au cœur de la fête. La fête propose à nouveau des scènes ouvertes, des initiations aux danses trad', des stages de vielle et de cornemuse, une conférence, la projection d'un film documentaire, des stages de bourrée et danses de couple du Morvan, un concours de Jeunes talents, un marché des luthiers et le traditionnel « off » du festival avec des « bœufs » dans les rues du village[20].
La 46e Fête de la Vielle d'Anost aura lieu du 18 au 20 août 2023[21].
La fête devrait célébrer sa 50e édition en 2027.
Édifices civils
- La Maison des Galvachers et la Maison du patrimoine oral, qui font partie du réseau de l'écomusée du Morvan[22].
- Le château de La Ferrière, bâti par la famille des Chevannes[23]. Le domaine appartenait au XIIIe siècle à l'abbaye Saint-Symphorien d'Autun et aux seigneurs de Glenne. Le château figure sur le cadastre de 1827. Il appartient à la fille du général Boyer[24] ;
- Le château de Meix, au nord du bourg, fut construit sur ordre de Jacques de Chaugy, baron d'Anost en 1575. Ce château était ceint de fossés et possédait quatre tours. Il n'en reste plus rien ;
- La maison forte de Vaumignon ;
- Le manoir de Bussy ;
- Le château de Roussillon, ruiné par les Armagnacs en 1412 selon Dom Plancher. Les ruines de cette forteresse sont encore visibles à quatre kilomètres au sud du bourg[24] - [25] - [26].
Édifices religieux
- Notre-Dame de l'Aillant est une statue de la Vierge à l'Enfant de 850 kg et de 3 mètres de hauteur[27] située sur un point de vue dans les hauteurs du village. Une plaque est fixée au piédestal de cette statue dont le père Jacques-Joseph Mariller, curé de la paroisse, est à l'origine ; y est gravée la mention : « En reconnaissance à la Vierge Marie qui a protégé Anost le 1er décembre 1871. Statue érigée le 5 août et bénite le 26 septembre 1878 »[28] ;
- L'église, placée sous le vocable de saint Germain[29], date du XIIe siècle pour son abside en cul-de-four et son transept, la nef allongée et flanquée de deux collatéraux ayant été construite au XIXe siècle (1850). Sacristie et accès au clocher (à gauche et à droite du chœur) datant du XVIIIe siècle. Le campanile à charpente couverte d'essaules est remplacé en 1932 par un clocher en moellons en forme de tour carrée[30]. Cette église abrite dans le bas-côté gauche les gisants de Jehan et Isabeau de Roussillon, restaurés dans le cadre d'une démarche finalisée en 2005 qui a permis de replacer ces gisants en haut du collatéral nord, de nettoyer les sculptures, d'éliminer les sels et de découvrir de nombreux vestiges de polychromie[31].
- La chapelle Sainte-Claire du hameau de Velée[32]. Chapelle décorée par dom Angelico Surchamp en 1966-1967[33]. Cette chapelle est un édifice à l’architecture très simple : une nef rectangulaire se terminant par une abside semi-circulaire, longue de 9,15 m, large de 4,65 m, les murs hauts d’environ 4,40 m, ni voûtée ni plafonnée, mais à la charpente visible. Éclairée de deux baies en plein cintre de part et d’autre de l’unique porte d’accès au centre du mur sud, c’est une église très lumineuse. Les enduits blancs portent un chemin de croix qui accompagne un christ en croix sculpté et placé au centre du mur de l’abside.
Personnalités liées à la commune
- Jules Basdevant (1877-1968), professeur de droit français, père d'André et de Suzanne ;
- André Basdevant (1909-1999), docteur en droit, maire de la ville de 1965 à 1989 ;
- Suzanne Basdevant (1906-1995), docteur en droit international, première femme à obtenir l'agrégation de droit public ;
- Pierre Peignot, sculpteur ;
- Francis Poulenc (1899-1963) ; compositeur et pianiste, a passé régulièrement ses vacances à Anost[34] ;
- Didier Cornaille, écrivain ;
- Henri Contet, parolier ;
- Gabriel Bablon (1905-1956 à Anost), Compagnon de la Libération.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 31 (), p. 7-10.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Des gisants doivent gésir », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 143 de (page 21).
- Chapelle Sainte-Claire de Velée, sur anost.fr (consulté le ).
- « Les écoles communales du canton de Lucenay-L'Évêque », article d'Alain Dessertenne et Jean-François Rotasperti paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 73 (printemps 1988), pages 25 à 28.
- « À travers le Haut-Morvan : le Tacot d'Autun à Château-Chinon de 1900 à 1936 », article de J. Paineau paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 80 (automne 1989), pages 3 à 8.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site du village d'Anost / Fête de la Vielle
- www.mpo-bourgogne.org / Fête de la Vielle
- Journal de Saône-et-Loire / Pour sortir / Loisirs / Fête de la Vielle d'Anost 2018
- www.ugmm.fr > page d'accueil "19, 20 et 21 Août 2022 45ème FÊTE de la VIELLE - Anost (71)"
- www.ugmm.fr > page "18, 19 et 20 août ! 46ème FÊTE de la VIELLE - Anost (71)"
- François Portet, Collections ethnographiques et musées ruraux de Bourgogne, revue « Pays de Bourgogne » no 200 de , p. 46-50.
- Abbé Baudiau.
- Roland Niaux, « Notes sur l'histoire d'Anost », sur Histoire et archéologie en Morvan et Bourgogne, avril 2015 (publication originale : 1979).
- Jacques Parain, Le vieux château d'Anost, 20 p. (lire en ligne [PDF]).
- Christine Bonnard, « Le château de Roussillon (Anost) », Vents du Morvan, no 81, , p. 76-77.
- « Notre-Dame de l'Aillant », article de Marie-Thérèse Suhard paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 161 de (pages 14 et 15).
- Inscription sur une plaque du piédestal.
- « Patrimoine mobilier de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
- Brochure de présentation de l'église Saint-Germain d'Anost éditée par la pastorale des réalités du tourisme et des loisirs du diocèse d'Autun (PRTL 71).
- Source : notice d'André Strasberg consacrée aux gisants de l'église Saint-Germain-d'Auxerre d'Anost publiée dans Du calice à la locomotive : objets de Saône-et-Loire, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2021 (ISBN 9782362191862).
- « Patrimoine mobilier de la chapelle », base Palissy, ministère français de la Culture.
- Laurence Blondaux, Quelques peintures murales remarquables de Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », no 199-200 de , p. 25-31.
- Site de la mairie d'Anost
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Anost sur le site de la communauté de communes du Grand Autunois Morvan
- Fiche Station verte d'Anost
- Anost sur le site de l'Institut géographique national