Andelarre
Andelarre est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.
Andelarre | |||||
Vue aérienne du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Vesoul | ||||
Maire Mandat |
Évelyne Chavanne 2020-2026 |
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Code postal | 70000 | ||||
Code commune | 70019 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
142 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 35′ 29″ nord, 6° 05′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 303 m Max. 427 m |
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Superficie | 4,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vesoul-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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La commune appartient à la communauté d'agglomération de Vesoul.
Géographie
Le territoire communal s'étend sur 4,57 km2, avec une altitude minimale de 303 mètres et une altitude maximale de 427 mètres.
Communes limitrophes
Chariez | ||||
Mont-le-Vernois | N | Noidans-lès-Vesoul | ||
O Andelarre E | ||||
S | ||||
Andelarrot |
Transports
La gare SNCF de Vesoul est la plus près d'Andelarre. Le terrain aménagé pour les avions le plus proche est l'aérodrome de Vesoul - Frotey.
L'agglomération de Vesoul est desservie par son réseau de transports en commun VBus+.
Urbanisme
Typologie
Andelarre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,3 %), prairies (11,1 %), terres arables (5,5 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Morphologie urbaine
Andelarre est situé dans l'aire urbaine de Vesoul, qui totalise en 2008, 59 288 habitants[8].
Logement
Le nombre de logements dans la commune était de 49, en 2009, dont 47 résidences principales soit 95,8 % de l'ensemble des logements, 1 résidence secondaire et logement occasionnel, soit 2,1 % et 1 logement vacant, soit 2,1 %. On dénombre 37 résidences principales qui détiennent 5 pièces ou plus[9].
La commune comptait 47 maisons et 2 appartements en 2009, alors qu'elle possédait 47 maisons et 0 appartement, en 1999[9].
Histoire
Le village d'Andelarre a des origines anciennes.
- Les Templiers
Au XIIe siècle, il était chef-lieu de paroisse. À cette époque s'élevait une chapelle dominant le village avec au pied un monastère de Templiers ou "Moines rouges" qui en avait la charge. Ce droit a été conservé par l'Ordre de Malte jusqu'à la Révolution française. Ce monastère était rattaché à la commanderie de Sales, une des trois commanderies de Haute-Saône.
- Les seigneurs d'Andelarre
Durant la féodalité, le terroir d'Andelarre incluait celui d'Andelarrot et formaient une terre indivise possédée par le même seigneur d'Andelarre.
Les barons de Saint-Rémy, les vicomtes de Vesoul, le couvent du Marteroy, avaient des droits sur le pays constitué essentiellement de fermes. En 1140, Aymes de Faucogney, dit posséder une ferme à Andelarre. En 1245, Jacques de Vellefaux fait une donation au couvent du Marteroy de Vesoul par laquelle le chanoine d'Andelarre doit chaque année 5 poules et 5 pains. En 1267, Thiébaud de Vesoul donne également au couvent de Vesoul sa ferme d'Andelarre dite ferme de Petrâ. En 1282, Hugues de Vesoul donne à sa fille Marguerite de Villeguindry, son domaine d'Andelarre.
- Guerres et peste
Au XVIe siècle, pendant le règne de Charles Quint, la Franche-Comté était tranquille et prospère. Son statut un peu spécial la mettait à l'abri des démêlés entre, d'une part, la France, et, d'autre part, l'Espagne et l'Autriche, à cause des traités de neutralité garantis par les cantons suisses. Mais tout fut remis en cause notamment au début du XVIIe siècle. La guerre de Dix Ans (1634-1644) apporta de nombreux bouleversements. En 1636, Vesoul et ses environs furent pillés par les soldats cruels du duc de Saxe-Weimar, dit les Suédois, qui étaient dans le camp français. Il est dit que les vignes de la côte d'Andelarre avaient été saccagées et arrachées.
Après la guerre de Dix Ans, la situation était apocalyptique. La guerre, la peste (1637 à Vesoul et ses environs) et la famine avaient ruiné la Franche-Comté et le village d'Andelarre ne fut donc pas épargné. L'agriculture devait repartir à zéro : le bétail était mort, les labours et les semailles n'avaient pas été faits, les paysans étaient partis dans les villes ou à l'étranger. Si en 1616, Andelarre comptait seulement 11 foyers, combien en restait-il en 1644 ? On fit appel alors à des familles de Savoie pour travailler la terre, comme pour d'autres villages, comme celui de Montigny. D’où le surnom de "Savoyards" donné aux gens d'Andelarre.
- La famille de Jaquot et ses descendants
Sous l'Ancien Régime, l'histoire d'Andelarre est dominée par celle de la famille Jaquot. Ils comptaient plusieurs conseillers, et Claude Jaquot, premier président au Parlement de Dôle. Ils croyaient avoir une origine commune avec d'autres Jaquot, de Dijon, dont ils ont écartelé leurs armes.
Antoine Jacquot, en 1681, était déjà seigneur, du Vernois, d'Andelarre et d'Andelarrot. Il eut un fils, Antoine-Prosper, capitaine de grenadiers et chevalier de l'ordre de Saint-Louis. De son épouse Charlotte de Rouhier (mariés en 1707), héritière de cette famille (à condition d'en reprendre le nom et les armes), il eut un fils, Claude-Étienne (ou Claude-Antoine).
Il est difficile de savoir à quand remonte la première possession de cette famille à Andelarre mais l'on sait que l'ensemble des terres a été réuni vers la seconde moitié du XVIIIe siècle par Claude-Étienne de Jacquot, seigneur de Rosey et du Vernois, capitaine des dragons à Baufremont. Le domaine fut érigé en marquisat en mai 1760, et prit le nom de "Jaquot d'Andelarre" en juin 1777[10].
Claude-Étienne eut douze enfants de sa seconde épouse Catherine de Brunet, parmi lesquels François-Éléonore, auteur de la branche cadette subsistante, et également un fils aîné, Antoine-François de Jaquot-Rouhier (1755-1846), qui fut colonel, chevalier de Saint-Louis et chevalier de Saint-Jean de Jérusalem. De son union (1788) avec Agathe de Berbis Longecourt, est né Jules de Jacquot (1803-1885), futur maire d'Andelarre (1830) et député de la Haute-Saône. Il fit construire le château en 1840 [11] et épousa en 1831 Marie-Marguerite-Clara Briot de Monrémy, décédée à Andelarre en 1893 (ou le 11 septembre 1894). Il eut deux filles, Éléonore (1834-1921), connue sous le nom de "Sarah", ou mademoiselle d'Andelarre, sans alliance, et Marguerite-Marie-Henriette de Jacquot-Rouhier (1845-1874). Elle fut l'héritière du château, mais à la mort de son père, le titre de marquis fut repris par la branche cadette[12].
Elle épousa le comte Luc-Marie-Joseph de Maréschal-Vezet le , et ils eurent deux filles, Marie-Jeanne et Thérèse-Françoise-Marguerite. Elles épousèrent deux frères, respectivement le comte Charles Dugon en 1891 et le vicomte Robert Dugon en 1895. Ce dernier eut quatre enfants, Édith mariée à Andelarre le avec Jean de Lescure, Marguerite-Marie qui épousa le Guy, comte de Valicourt, et enfin Robert et Charlotte.
- Le château et ses hôtes les plus variés
Il fut construit en 1840 par Jules de Jacquot-Rouhier, selon ses plans, probablement en lieu et place des restes d'un château datant du Moyen Âge. Il fit ouvrir une carrière pour cela et tira également de la propriété tous les autres matériaux nécessaires à la construction.
Au cours de la guerre franco-allemande de 1870, il fut occupé 18 fois par les Allemands. Le , les Prussiens entrèrent à Vesoul pour y rester jusqu'en et provoquant un traumatisme dans la population. En , le marquis fut prisonnier et déporté en Allemagne comme 90 autres otages à la suite d'un incident futile, à savoir la coupure d'un fil télégraphique près de Scey-sur-Saône. Il est difficile de savoir quand il rentra en France, mais le , il était présent aux élections à Vesoul. Sa captivité, pour courte qu'elle fût, mais aussi l'occupation du château l'éprouva profondément.
La Première Guerre mondiale ne fit pas de dommages notables contrairement à la deuxième. En , ce fut l'occupation allemande et notamment par une compagnie S.S. En 1943, le château abrita l'école d'agriculture d'hiver de Haute-Saône. On y vit également des colonies de vacances et aussi des maquisards, notamment certains professeurs qui se cachaient des Allemands.
Le , après une heure et demie de combat, cinq Allemands furent tués et le village d'Andelarre fut libéré par la 3e DI américaine qui avait débarqué le à Cavalaire-Saint-Tropez. Un bataillon de FTP (Francs-tireurs et partisans français) stationna huit jours au château qui devint ensuite un camp de repos pour 300 hommes américains du Special Service en septembre-. Par la suite, Andelarre devint camp de séjour surveillé, pendant un an, pour les prisonniers suspectés de collaboration, gardés par les FFI dans un premier temps puis par les gendarmes ensuite.
La commune, constituée lors de la Révolution française, a été fugacement rattachée à Andelarrot, de 1806 à 1823[13].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vesoul. Celui-ci est scindé en 1973 et la commune intègre le canton de Vesoul-Ouest[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Vesoul-1.
Intercommunalité
Andelarre fait partie depuis 2008 de la communauté de communes de l'agglomération de Vesoul, devenue en 2012 la communauté d'agglomération de Vesoul, appartenant elle-même au pays de Vesoul et du Val de Saône.
Municipalité
Conformément aux dispositions relatives à la population de la commune, le conseil municipal de Andelarre est composé de 11 membres[14].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].
En 2020, la commune comptait 142 habitants[Note 3], en augmentation de 8,4 % par rapport à 2014 (Haute-Saône : −1,57 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château d'Andelarre date du XIXe siècle. Propriété de la famille Jacquot d'Andelarre, il devient la propriété de ses descendants par les femmes, la famille de Valicourt. Il est mis en vente en 2023.
Dans le village, une petite église a été érigée aux XVIIe et XVIIIe siècles. Sa particularité est d'être pavée de pierres tombales. Le clocher et le toit du clocher ont été reconstruits (dans le style comtois) à la fin des années 1990, début 2000. À l'intérieur, on peut voir une Vierge à l'Enfant en noyer du XVe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Jules Jacquot d'Andelarre, (1803-1885) fut conseiller général de 1839 à 1871, maire d'Andelarre pendant 54 ans, et député de la Haute-Saône de 1852 à 1876. Passionné d'agriculture, il entreprit en 1836 la construction d'une ferme modèle avec 200 hectares de terres, une centaine de têtes de bétail et emploiera jusqu'à 40 ouvriers agricoles. De ce fait, il a été un des fondateurs de la Société des agriculteurs de France (SAF), association fondée en 1867, aujourd’hui association loi de 1901, reconnue d’utilité publique avec pour mission de porter le progrès en agriculture.
- Pierre Petitperrin, né à Andelarre, député de la Haute-Saône de 1824 à 1827, procureur impérial à Vesoul sous le Premier Empire.
- Jean-Joseph de Valicourt, né à Andelarre en 1929 et décédé en 2018. Il siégera au conseil municipal de la commune dès . Élu maire en 1959, il s'est retiré de la vie publique en 2008 après 8 mandats. En plus de ses responsabilités locales, il a présidé l'Association des maires des communes forestières de la Haute-Saône, la Confédération des experts agricoles et fonciers et des experts forestiers au niveau national de 1979 à 1981. Il a fondé en 1964 la Chambre de Franche-Comté des experts agricoles fonciers et forestiers dont il a été président jusqu'en 2005. En 1976, il a été nommé par le ministre de l'Agriculture, Christian Bonnet, président de la Fédération des chasseurs de Haute-Saône jusqu'en 1990. Il a été fait commandeur du Mérite agricole, et a reçu la médaille d'or d'honneur Régionale-Départementale-Communale.
Héraldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : |
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Le premier quartier est celui des anciens Jaquot, de Dijon ; le second est Jaquot d'Andelarre. En fait, depuis l'alliance de 1707, ils écartelaient des Rouhier, d'argent à la bande d'azur chargée de trois roues d'or, et ils portaient Jaquot ancien sur le tout[22].
Voir aussi
Bibliographie
- "Vesoul et ses environs" de Henri Rameau - 1994
- L'Est Républicain -
- "Le Village d'Andelarre" de Henri Rameau - 1974
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les grandes aires urbaines comtoises étendent leur emprise sur le territoire régional », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), p 50 et 143 (Jacquot).
- Henri Rameau, Vesoul et ses environs au début du siècle, 1994
- Henri Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 1 (1923), p 374-378, et Suppl. (4 bis, 1928), p 82-86.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
- « Une liste d’intérêt communal », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Jean-Claude gaillard, maire sortant, ne souhaitant pas se représenter et après bien des hésitations des uns et des autres, une liste ouverte de 15 candidats pour 11 postes à pourvoir, se dégage sur le village dont deux candidats au poste de maire à savoir Jean jacques Collot 3e adjoint et Évelyne Chavanne conseillère sortante ».
- « Évelyne Chavanne élue maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « À l’issue de la première séance du nouveau conseil municipal qui portait principalement sur l’élection du maire, c’est Évelyne Chavanne, avec 11 voix, qui a succédé à Jean-Claude Gaillard, qui avait officié durant un mandat. En ouverture de séance, Jean Deshayes a demandé une minute de silence en mémoire d’Edmond Py, décédé en 2013 et qui durant 30 ans s’est investi dans la vie publique du village ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Un concert pour la bonne cause », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
- Woelmont, opus cité, 4bis-82.