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Amigny

Amigny (prononcé /amiɲi/) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 154 habitants[Note 1].

Amigny
Amigny
Église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Gilles Legrand
2021-2026
Code postal 50620
Code commune 50006
Démographie
Gentilé Amignais
Population
municipale
154 hab. (2020 en augmentation de 5,48 % par rapport à 2014)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 23″ nord, 1° 10′ 42″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 57 m
Superficie 3,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Hébert
Législatives Première circonscription
Localisation
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    Géographie

    La commune fait partie du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

    Elle est le regroupement de plusieurs hameaux. Les voici classés du sud au nord[1] : la Montanguerie, la Hardonnière, la Bucaillerie, la Maison Neuve, le Bourg (avec l'église, le château et le moulin), la Frataillerie, le Pré, la Monderie, la Couture, la Provosterie, l'Hôtel Houël, la Pelhâtrie, la Petite Ducrie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 935 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 46 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Amigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (80,2 %), terres arables (19,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Amigne en 1164 et Amigné en 1280[24].

    Toponyme gallo-romain °Aminiacu, formé avec le suffixe gallo-roman -acu ajouté à un nom de personne. Le toponyme Amigny s'est construit à partir de l'anthroponyme roman Aminius suffixé de -acus indiquant la propriété[25]. Le premier élément est l'anthroponyme (nom de personne) gallo-romain Aminius[26], d'où le sens global de « domaine rural d'Aminius »[27]. Ce type toponymique se rencontre de nombreuses fois en France sous les formes Amigny, Amigné, Amilly, etc.

    Le gentilé est Amignais.

    Micro-toponymie

    Les hameaux en Y-erie, Y-ère ou Hôtel Y, sont des habitats plus récents. Ils désignaient à l'origine le corps agricole de la famille Y. Montanguerie = ferme des Montangue ; Hardonnière = ferme des Hardon ; Bucaillerie = ferme des Bucaille (nom typique normand) ; Frataillerie = ferme des Frataille ; Monderie = ferme des Monder ; Provosterie = ferme des Provost ; Hôtel Houël = ferme des Houël (nom typique normand, du norrois holr = creux) ; Pelhâtrie = ferme des Pelhâtre / Pelhate ; Ducrie = ferme des Ducre.

    Histoire

    Louis II de Bourbon (1621-1686), dit le Grand Condé, séjournera de nombreuses fois au château d'Amigny chez Leroy d'Amigny afin de soigner ses rhumatismes à la Fontaine des bains d'Hébécrevon[28].

    À la fin du XVIIIe siècle, Jean-Baptiste Le Verrier de la Conterie (1718-1783), seigneur d'Amigny (1718-1783), écrit un ouvrage sur la chasse aux chiens courants, L'École de la chasse aux chiens courants, ou Vénerie normande[28], régulièrement réédité au cours des XIXe et XXe siècles. Son fils, Alexandre Le Verrier de la Conterie sera maire de 1816 à 1817[28].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Luc Rauline SE Agriculteur
    1791 1795
    1795 1796 Luc Rauline SE Agriculteur
    1795 1799 Michel Legrand SE Agriculteur
    1799 1806 Alexandre Verrier de La Conterie[29] SE
    1806 1816 Michel Legrand SE Agriculteur
    1816 1817 Alexandre Verrier de La Conterie[29] SE
    1818 1826 Jacques Legrand SE Agriculteur
    1826 1848 Michel Legrand SE Agriculteur
    1848 1879 Jean-François Desdevises SE Agriculteur
    1879 1885 Jean-Pierre Cahour SE Agriculteur
    1896 1914 Louis Juin SE Agriculteur
    1915 1936 Léon Le Monnier de Gouville SE
    1936 1945 Désiré Godey SE Agriculteur
    1945 août 1974 Georges Herman SE Agriculteur
    1974 juin 1995 Pierre Leboulanger SE Agriculteur
    juin 1995 mars 2008 André Hurel[30] Divers droite Agriculteur
    mars 2008 sept. 2021 Patrice Genest[31] Sans étiquette Retraité
    déc. 2021[32] En cours Gilles Legrand Sans étiquette Ouvrier qualifié
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel, Denis Small et Jacques de Gouville[28].

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et un adjoint[31].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 154 habitants[Note 9], en augmentation de 5,48 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Amigny a compté jusqu'à 252 habitants en 1821.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    239203249252240252220220200
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    221201195193202196192205190
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    194161152148151154154132125
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    123119104122123123139145140
    2014 2019 2020 - - - - - -
    146154154------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Statue en calcaire de saint Jacques le Majeur, en provenance de l'église d'Amigny.
    • Église Notre-Dame XIXe siècle. Ancienne chapelle du château. L'église, d'origine romane, abrite des fonts baptismaux (XVe siècle), une statue de saint Jacques le Majeur (XIVe siècle) faisant partie de l'exposition Fragments d'Histoire à l'abbaye de Hambye, verrière (XIXe siècle), groupe sculpté éducation de la Vierge (XIXe siècle).
    • Château du XVIIe – XXe siècles (porche XIIe). Très endommagé lors de la Seconde Guerre mondiale en raison de dégâts importants causés par des explosions liées au débarquement des Alliés en Normandie. Propriété des familles Leroy d'Amigny, Leverrier de la Conterie, de M. Gustave Gardye, il passe ensuite dans la famille Le Monnier de Gouville à la fin du XIXe siècle, actuels propriétaires. En son parc coule la Terrette.
    • Ancien moulin et bief attenant au château (XVIIe siècle), transformé en gîte rural.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[38].
    1. « Amigny » sur Géoportail..
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Amigny et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Amigny et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Delattre 2002, p. 8.
    25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 47.
    26. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 20a.
    27. Ce nom gallo-romain est un dérivé à valeur patronymique du cognomen latin Aminus, diminutif d'Amius, lui-même formé sur le radical du verbe amare « aimer ».
    28. Gautier 2014, p. 48.
    29. « Alexandre Verrier de la Conterie sur WikiManche »..
    30. « ouest-france.fr - André Hurel se retire de toute vie politique » (consulté le ).
    31. Réélection 2014 : « Amigny (50620) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. Amigny. Gilles Legrand a été élu nouveau maire
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
    38. « Amigny sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 8.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 48.

    Articles connexes

    Liens externes

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