Alibaba Group
Alibaba Group (chinois simplifié : 阿里巴巴集团 ; chinois traditionnel : 阿里巴巴集團; pinyin : Ālǐbābā Jítuán) est une société chinoise cotée en bourse qui tire principalement ses revenus de ses activités sur Internet, dont un marché public destiné à faciliter les échanges entre entreprises (qu'ils soient internationaux ou chinois), des plateformes de paiements et de ventes au détail , un moteur de recherche pour le magasinage et des services de cloud computing. Son activité est proche de celle d'Amazon, mais Amazon génère des revenus plus élevés.
Alibaba Group | |
Logo d'Alibaba Group | |
Création | 1999 |
---|---|
Fondateurs | Jack Ma, Peng Lei, |
Forme juridique | Société par actions |
Action | New York Stock Exchange (BABA)[1] et bourse de Hong Kong (9988)[2] |
Siège social | Hangzhou Chine |
Direction | Daniel Zhang (depuis )[1] |
Actionnaires | Voir tableau réactualisé au 27 mars 2020 |
Activité | Commerce électronique |
Filiales | Youku Alibaba Pictures Alibaba Cloud Lazada Aliexpress AutoNavi (en) UCWeb (en) AGTech Holdings Limited (zh) South China Morning Post Alibaba.com Tmall |
Effectif | 101 958 fin 2018 |
NYSE | BABA |
Site web | https://www.alibaba.com |
Capitalisation | 3 237 197 millions CNY en octobre 2019 |
Fonds propres | 937 470 000 000 d’yuans ()[3] |
Chiffre d'affaires | 376 854 millions CNY en 2018 |
Bilan comptable | 1 690 218 000 000 d’yuans ()[3] |
Résultat net | 87 600 millions CNY en 2018[4] |
Histoire
En , Alibaba prend 2 % du capital de Haier au travers d’une augmentation de capital, et investit 364 millions de dollars dans Haier Electronics Group.
En , Alibaba acquiert AutoNavi, une entreprise chinoise de cartographie en ligne, dont il détient déjà 28 %, pour l'équivalent de 1,58 milliard de dollars[5].
Le , Alibaba Group acquiert 60 % (580 millions d'euros) d'une société de production de films pour le cinéma et de séries télévisées : le groupe ChinaVision[6]. Le , Alibaba injecte 215 millions de dollars dans Tango, une startup américaine fondée par Éric Setton[7].
En , Alibaba acquiert AutoNavi, une entreprise de cartographie et de géolocalisation chinoise, qu'il détenait précédemment à 28 %, pour l'équivalent de 1,5 milliard de dollars[8]. Toujours en , Alibaba acquiert 880 millions d'euros de parts (16,5 %) dans Youku Tudou (première plateforme de vidéos en Chine)[9]. En , Alibaba achète les 34 % qu'il ne détient pas dans UCWeb, entreprise chinoise de services pour l'internet mobile, opération valorisant UCWeb (en) à 1,9 milliard d'euros[10] - [11].
Alibaba est cotée à la bourse de New York depuis le . Le cours d'introduction fut de 68 dollars. L'introduction en bourse est la plus importante introduction au monde pour un montant de 25 milliards de dollars[12].
En , Yahoo! annonce son intention de vendre les 15 % de participations qu'il détient dans Alibaba Group, pour un montant estimé de 40 milliards de dollars[13]. En , Alibaba investit 590 millions $US dans Meizu et en devient son actionnaire majoritaire. Alibaba aura la possibilité de diffuser son OS mobile Yun OS, qui sera intégré dans les produits Meizu. En octobre et , Alibaba annonce l'acquisition des participations dans Youku qu'il ne détient pas, pour l'équivalent de 3,7 milliards de dollars valorisant cette entreprise pour l'équivalent de 4,8 milliards de dollars. Au moment de l'annonce, Alibaba détenait 18,3 % de Youku[14].
En , Alibaba acquiert le South China Morning Post, l’un des plus importants journaux de Hong Kong, ainsi que d'autres activités dans les médias de SCMP Group[15], pour 266 millions de dollars[16]. Le , Disney signe un contrat avec Alibaba pour fournir de la vidéo à la demande en Chine, un service nommé DisneyLife avec une box en forme de tête de Mickey[17] - [18] - [19] - [20]. En 2015, le groupe Alibaba fait un chiffre d'affaires de 15 milliards de dollars[21].
En , Alibaba annonce l'acquisition pour 1 milliard de dollars d'une participation majoritaire dans Lazada, un site marchand basé à Singapour et présent en Asie du Sud-Est[22]. Le , le gouvernement chinois suspend le service de vidéo à la demande DisneyLife, lancé 5 mois plus tôt[23] - [24].
En , Alibaba noue un partenariat avec la société d'assurance Axa pour développer la distribution des produits d'assurance par le biais du site de commerce en ligne[25].
En , Alibaba annonce l'acquisition pour environ 2,1 milliards de yuans soit l'équivalent 300 millions de dollars, d'une participation de 25 %, dans Sanjiang Shopping Club, une entreprise chinoise de grande distribution. En parallèle, il annonce l'acquisition pour 436 millions de yuans d'une participation de 7 % supplémentaire dans la même entreprise[26].
En , Alibaba annonce l'augmentation de sa participation dans Intime Retail, une entreprise de gestion de centre commercial, de 35 % à 74 % pour 2,6 milliards de dollars[27]. Le même mois, Alibaba via sa filiale Ant Financial, annonce l'acquisition de MoneyGram pour 880 millions de dollars, hors reprise de dettes[28]. L'offre est bloquée par les autorités publiques américaines pour des raisons de sécurité intérieure[29].
En , Alibaba investit 18 millions d'euros dans la startup suisse WayRay, spécialisée dans la réalité augmentée à bord des véhicules, notamment dans les systèmes d'affichage tête-haute[30]. Une annonce qui vient confirmer l'intérêt du groupe pour le secteur automobile, après la présentation en de la RX5, sa première voiture ultra-connectée[31].
En , Alibaba investit 5,45 milliards de yuans (700 millions d'euros) dans Beijing Easyhome Furnishing, une chaîne chinoise de magasins de meubles et d'objets d'intérieur[32].
En , Alibaba annonce l'acquisition de la participation de 57 % qu'il ne détenait pas dans Ele.me, valorisant ce dernier à 9,5 milliards de dollars[33].
En , dans un contexte de censure de l'Internet chinois, 300 acteurs du web se regroupent en une fédération pour soutenir les « valeurs centrales du socialisme » et donc du Parti communiste au pouvoir. Robin Li (patron de Baidu), Jack Ma (patron d'Alibaba) et Pony Ma (patron de Tencent) en sont nommés vice-présidents[34].
En mars 2019, Alibaba fait l'acquisition de la startup spécialisée dans la réalité virtuelle InfinityAR. Alibaba avait déjà investi dans cette entreprise avant de procéder à l'achat de la totalité[35].
En , Alibaba annonce l'acquisition de Kaola pour 2 milliards de dollars[36].
En novembre 2019, Alibaba maintient son entrée sur le marché boursier asiatique après celle sur le New-York Stock Exchange en 2014. La cotation sur deux places financières différentes est devenu possible liée à une modification des règles en 2018. Son introduction était initialement prévu en juin mais reporté lié au contexte des manifestations à Hong Kong[37]. Le 26 novembre, Alibaba fait son entrée en Bourse dont l'action a bondi de plus de 6 % lui permettant ainsi de lever plus de 10 milliards d'euros[38]. Avec cette opération, la Bourse de Hongkong devrait se maintenir comme étant la première place financière mondiale pour la deuxième année consécutive face à Wall Street en termes de levées de capitaux[39].
En octobre 2020, Auchan décide de vendre sa participation de 36 % dans Sun Art, entreprise de distribution chinoise dont il avait un contrôle relatif, à Alibaba[40]. Au total, ce sont 484 hypermarchés et plus de 150.000 collaborateurs qui sont cédés pour une valeur estimée à 3 milliards d'euros[41].
Le 24 décembre 2020, l'administration d'État pour la régulation des marchés en Chine annonçait l'ouverture d'une enquête à l'encontre du groupe Alibaba, pour le motif qu'il aurait eu des « pratiques monopolistiques ». Quelques heures après cette annonce, l'entreprise perdait 8% à la bourse de Hong Kong[42]. Le 10 avril 2021, l'enquête se termine par une amende de 2,8 milliards de dollars à l'encontre de l'entreprise, qui annonce ne pas faire appel[43].
En octobre 2021, Best Inc. , filiale d'Alibaba, annonce la vente de son réseau de livraison en Chine à J&T Express, une entreprise indonésienne, pour 1 milliard de dollars[44].
En mars 2023, un plan de scission d'Alibaba en 6 entités distinctes est annoncé[45]. Cette scission est initiée par le pouvoir politique chinois[46].
Activité et localisation
Son siège social se trouve à Hangzhou en Chine. En 2011, Alibaba Group et ses filiales emploient plus de 22 000 personnes dans plus de 70 villes et régions en Chine, à Hong Kong, en Inde, au Japon, en Corée, à Taïwan, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Les principaux sites du groupe sont :
- Alibaba.com, vente de gros, b2b international.
- Aliexpress.com, vente en gros et au détail aux particuliers et entreprises à l'international
- taobao.com, vente en gros et au détail aux particuliers et entreprises en Chine
Système d'exploitation Aliyun
Le groupe Alibaba a également créé le système d'exploitation mobile Aliyun (chinois simplifié : 阿里云 ; pinyin : ; litt. « Nuage Ali »), basé sur le noyau Linux, il est orienté, comme Firefox OS et Tizen vers les Webapps, tout en apportant une couche de compatibilité avec Android de Google[47].
Sport électronique
En la Fédération internationale de sport électronique (IESF) annonce un partenariat avec Alisport, la filiale sport d'Alibaba, qui s’engage à un investissement de 135 millions d’euros dans le sport électronique. Les deux entités ont décidé d’une feuille de route commune autour de trois axes de développement. Alisport et l’IESF se sont entendus sur la nécessité de promouvoir un tournoi auquel participeraient professionnels et amateurs. L’IESF et Alibaba travaillent aussi à la reconnaissance du sport électronique comme discipline sportive[48].
Réalité virtuelle
Lors de l'édition 2016 de la Alibaba’s Taobao Maker’s Fair internationale de Shanghai, Alibaba a donné la possibilité aux visiteurs de tester une expérience d'achat en réalité virtuelle. Ainsi, pas moins de 70 environnements 3D simulant des boutiques étaient accessibles. Certains analystes y ont vu un avant goût du futur service d'achat en réalité virtuelle Alibaba Buy+. Ce nouveau service va être lancé en en Chine et le directeur marketing, Chris Tung, a souligné son importance dans la stratégie de développement du Groupe lors d'une interview sur CNBC[49]. Alibaba a également produit des films américains tels que mission impossible protocol phantom et ses suites.
Gouvernance d'entreprise
Le cofondateur principal d'Alibaba, Jack Ma, est l'ancien président exécutif du groupe Alibaba depuis sa création jusqu'au 10 septembre 2019. Daniel Zhang est actuellement le président exécutif. Il a succédé à Ma le 10 septembre 2019. Il est également président-directeur général d'Alibaba depuis 2015. Joseph Tsai est vice-président exécutif d'Alibaba depuis 2013. J. Michael Evans est président d'Alibaba depuis 2015[50].
Principaux actionnaires
Avant son introduction en bourse le capital de la société était détenu par 28 actionnaires dont le fondateur Jack Ma[51]. Au 27 mars 2020 la situation est la suivante[52] - [53]:
T. Rowe Price Associates | 2,63% |
The Vanguard Group | 2,28% |
Baillie Gifford & Co. | 1,93% |
SSgA Funds Management | 1,33% |
Capital Research & Management | 1,05% |
HSBC Global Asset Management | 0,97% |
Temasek Holdings | 0,95% |
BlackRock Fund Advisors | 0,91% |
DST Managers | 0,91% |
Norges Bank Investment Management | 0,90% |
Fraudes et contrefaçons
La plateforme de vente d'Alibaba fait souvent l'objet de critiques liées à la vente de contrefaçons[54] - [55]. En , l'administration américaine (via le Bureau du représentant américain au commerce) met le site Taobao sur sa liste noire des sites notoires pour la contrefaçon[55].
La filiale Aliexpress d'Alibaba est également controversée[56] : en dépit d'une prétendue[57] protection des acheteurs, elle refuse de rembourser les clients qui voient leurs achats saisis par les douanes. Plusieurs centaines d'actions en justice ont été entamées aux États-Unis contre Alibaba et AliExpress, dont des actions de groupe[58].
Alibaba entame une riposte contre les contrefacteurs début 2017 en engageant deux procès[59]. Une réaction jugée trop faible par les marques victimes de contrefaçon sur le site de commerce en ligne[60].
Conditions de travail
Alibaba encourage ses employés à travailler selon le rythme 996, au-delà des limites fixées par le droit du travail chinois[61]. Jack Ma déclare publiquement que travailler aussi durement « est un bonheur » et qu’il attend de ses salariés ce niveau d’implication[62].
Notes et références
- Alibaba Group Holding Limited 2017 Form 20-F, (Form 20-F),
- « https://techcrunch.com/2019/11/25/alibabas-shares-climb-almost-8-in-their-first-morning-of-trading-on-the-hong-kong-stock-exchange/ » (consulté le )
- « Alibaba Group Annual Report 2021 »
- « zonebourse.com/Alibaba/fondame… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Alibaba offer for AutoNavi values digital map firm at $1.58 billion, Reuters, 11 février 2014
- Alibaba se lance à l'assaut de la télévision et du cinéma, Le Monde, 12 mars 2014
- Alibaba injecte 215 millions de dollars dans Tango, la start-up du français Eric Setton, Journal du Net, 20 mars 2014
- Alibaba to buy AutoNavi, Reuters, 11 avril 2014
- Le cybermarchand Alibaba entre au capital du « Youtube chinois », Le Monde, 28 avril 2014
- Alibaba rachète UCWeb, Le Monde, 11 juin 2014
- Alibaba to buy out UCWeb in China's biggest internet merger, Paul Carsten, Reuters, 11 juin 2014
- Alibaba issues additional shares to raise IPO total to $25 billion: report, Reuters, 22 septembre 2014
- Yahoo sets Alibaba stake spinoff plan, shares jump, Alexei Oreskovic, Reuters, 27 janvier 2015
- Alibaba to pay about $3.7 billion for 'China's YouTube', Anya George Tharakan et Devika Krishna Kumar, Reuters, 6 novembre 2015
- Alibaba agrees to buy South China Morning Post in Hong Kong, Matthew Miller, Reuters 11 décembre 2015
- Alibaba agrees on $266 million acquisition deal with South China Morning Post, Reuters, 14 décembre 2014
- (en) Arjun Kharpal, « Disney launches Chinese streaming service with Alibaba », sur CNBC, (consulté le )
- (en) James Vincent, « This Mickey Mouse-shaped streaming device will bring Disney to China », sur The Verge, (consulté le )
- (en) The Wall Street Journal, « Disney strikes deal with Alibaba to boost China sales », sur MarketWatch, (consulté le )
- (en) Yue Wang, « Alibaba Partners With Disney To Distribute Films », sur Forbes, (consulté le )
- Jacques Blamont, Réseaux ! : le pari de l'intelligence collective, Paris/58-Clamecy, CNRS Éditions, , 272 p. (ISBN 978-2-271-12235-3), p. 72
- Alibaba buys control of Lazada in $1 billion bet on SE Asia ecommerce, Paul Carsten et Rama Venkat Ramana, Reuters, 12 avril 2016
- (en) David Pierson, « Disney streaming service is reportedly halted by Chinese regulators », sur Los Angeles Times, (consulté le )
- (en) Eva Dou, Alyssa Abkowitz, « Alibaba-Disney Partnership Is Frozen in China », sur The Wall Street Journal, (consulté le )
- Axa s'allie avec le géant chinois du commerce en ligne Alibaba, Challenges, 29 juillet 2016
- China's Alibaba buys into supermarket chain Sanjiang Shopping, Reuters, 18 novembre 2016
- Alibaba rachète une chaîne de magasins en Chine pour 2,6 milliards de dollars, Kevin Hottot, Next Inpact, 11 janvier 2017
- Alibaba affiliate Ant Financial to buy MoneyGram, Reuters, 26 janvier 2017
- Greg Roumeliotis, « U.S. blocks MoneyGram sale to China's Ant Financial on national security concerns », sur Reuters,
- Pour Alibaba, le futur de l’automobile passe par la réalité augmentée, Numerama, 14 mars 2017
- Alibaba entre sur le marché de l’auto avec une « voiture-internet », Numerama, 11 juillet 2016
- Alibaba investit 700 millions d'euros dans des magasins d'ameublement, Challenges, 12 février 2048
- « Alibaba se renforce dans la livraison de repas à domicile », sur Les chos,
- Frédéric Schaeffer, « Cette nuit en Asie : les géants du Web chinois main dans la main pour défendre les valeurs du Parti », lesechos.fr, 11 mai 2018.
- « Alibaba : le géant chinois s’offre la startup de réalité augmentée InfinityAR », sur Réalité Virtuelle,
- Mickael Deneux, « Alibaba rachète le numéro 1 de l'e-commerce crossborder en Chine : Kaola », sur LSA,
- « Alibaba : une introduction en Bourse sous tension à Hong Kong », Courrier International, (lire en ligne)
- « Alibaba flambe pour ses débuts à la Bourse à Hong Kong », Boursorama, (lire en ligne)
- « Alibaba lève des fonds pour asseoir sa domination sur le Web chinois », Le Monde, (lire en ligne)
- « Auchan vend ses activités chinoises à Alibaba et quitte la Chine », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Le Figaro avec AFP, « Auchan vend ses activités chinoises à Alibaba et quitte la Chine », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- Le Point avec AFP, « Chine : le géant Alibaba dans la tourmente », sur LePoint.fr, (consulté le )
- « L’amende de 2,3 milliards d’euros infligée à Alibaba, signe de la reprise en main des géants de la tech par Pékin », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Alibaba-backed Best to sell China express delivery business in $1.1 bln deal », sur Reuters,
- (en) Ryan McMorrow, Qianer Liu, Hudson Lockett et Cheng Leng, « Alibaba plans to split into six in radical overhaul » , sur Financial Times,
- Philippe Escande, « Alibaba : « Le géant chinois n’en finit pas de boire le calice depuis que l’empereur Xi a condamné la société à se suicider » » , Le Monde, (consulté le )
- (fr) Aliyun : l'Android chinois rêve de concurrencer l'OS de Google sur clubic.com
- Alibaba investit 135 millions d’euros dans la Fédération internationale de sport électronique, Le Monde, 28 juillet 2016
- « Alibaba BUY+ : prêt(e)s pour le shopping en réalité virtuelle? », sur http://guide-realite-virtuelle.fr,
- (en-US) Gillian Wong, « Alibaba Group Names Michael Evans as President », sur WSJ (consulté le )
- « Alibaba et les 28 actionnaires », sur Les Echos, (consulté le )
- Zone Bourse, « Alibaba : principaux actionnaires au 27 mars 2020 », sur www.zonebourse.com (consulté le )
- « Le géant Alibaba investit dans le Bâlois Dufry », sur Tribune de Genève (consulté le )
- (en) « $1.7 trillion in fake goods: That's Alibaba's uphill battle », USA Today, (lire en ligne)
- (en) « Why Alibaba Can’t Complain About Its Return to the ‘Notorious’ Counterfeit Market List », Fortune, (lire en ligne)
- (en) « Is AliExpress.com a scam »,
- (en) « Buying counterfeit goods on Alibaba's platforms is easy, proving it is harder », CNBC, (lire en ligne)
- (en) « Fraud And Scams On Alibaba And AliExpress »,
- (en) « Alibaba sues sellers of counterfeit good for the first time after it was blacklisted by the US », CNBC, (lire en ligne)
- (en) « Brands accuse Alibaba of not doing enough to stop sale of counterfeit goods », Wall Street Journal, (lire en ligne)
- (en) « Working 9 to 9: Chinese tech workers push back against long hours », sur the Guardian, (consulté le )
- Louis Adam, « 996 : les patrons chinois trouvent ça génial », sur ZDNet France, (consulté le )
Bibliographie
- Duncan Clark, Alibaba. L'incroyable histoire de Jack Ma, le milliardaire chinois, éditions François Bourin, 2017.
Liens externes
- (en) Site officiel
- (en) Alizila, News from Alibaba Group