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Acromégalie

L'acromĂ©galie (du grec ጄÎșÏÎżÏ‚ (akros) « haut » ou « extrĂȘme » et de ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»ÎżÏ‚ megalos « grand » — agrandissement des extrĂ©mitĂ©s) est un trouble hormonal qui provoque une augmentation anormale de la taille des pieds et des mains et une dĂ©formation du visage, y compris Ă  l'Ăąge adulte[1]. La maladie est parfois aussi nommĂ©e maladie de Pierre Marie (d'aprĂšs le nom du mĂ©decin l'ayant dĂ©crite)[2]. L'acromĂ©galie est presque toujours induite par une tumeur bĂ©nigne de l'hypophyse qui provoque une hypersĂ©crĂ©tion d'hormone de croissance[3]. L'hypersĂ©crĂ©tion concerne parfois aussi une seconde hormone (la prolactine), qui contrĂŽle la croissance des glandes mammaires, la sĂ©crĂ©tion de lait et la fertilitĂ©.
La tumeur est généralement un adénome hypophysaire, dérivée des somatotrophes (un type distinct de cellules qui produit de la GH)[2].

Acromégalie (ou maladie de Pierre Marie)
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Visage d'un patient souffrant d'acromégalie (pommettes prononcées, large front, arcades sourciliÚres proéminentes et mùchoire élargie)
Classification et ressources externes
CIM-10 E22.0
CIM-9 253.0
OMIM 102200
DiseasesDB 114
MedlinePlus 000321
eMedicine 116366
MeSH D000172
Patient UK Acromegaly-pro

Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux Mise en garde médicale

Maurice Tillet, catcheur porteur d'une acromégalie

Son évolution trÚs lente retarde souvent le diagnostic. La charge hormonale soumet durement l'organisme et provoque donc une grande fatigue. Le visage est trÚs atteint par une dysmorphie. Les femmes sont un peu plus touchées que les hommes ; toutes les populations sont également touchées. Sans traitement approprié, la diminution de l'espérance de vie est environ d'une décennie[2].

L'excĂšs d'hormone de croissance peut provoquer[1] :

  • diabĂšte ;
  • hypertension artĂ©rielle ;
  • cyphose cervico-dorsale avec saillie du sternum ;
  • augmentation du tour de tĂȘte avec saillie des sourcils et de la mĂąchoire infĂ©rieure ;
  • Ă©paississement des tissus mous des poignets, mains et pieds (signe prĂ©coce) et augmentation de taille des mains et de pointure des pieds (y compris Ă  l'Ăąge adulte) ;
  • troubles oculaires (une compression du chiasma optique conduit Ă  une perte de vision dans les champs visuels externes)[4] ;
  • arthrite et syndrome du canal carpien ;
  • croissance de l'espacement entre les dents ;
  • insuffisance cardiaque (problĂšme mĂ©dical majeur).

L'acromégalie touche principalement les adultes d'ùge moyen. Elle peut entraßner une maladie sérieuse et une mort prématurée. Les symptÎmes insidieux et une progression lente rendent l'affection difficile à détecter aux stades précoces. Elle passe fréquemment inaperçue pendant de nombreuses années.

Causes

  • L'acromĂ©galie est le plus souvent (environ 90 % des cas) causĂ©e par une tumeur bĂ©nigne sur l'hypophyse[3]. Dans le cerveau, cette tumeur conduit la glande hypophyse Ă  produire un excĂšs d'hormone de croissance (growth hormone soit GH en anglais)[1].
  • TrĂšs rarement (moins de 1 % des cas), l'« hyperactivitĂ© » de l'hypophyse vient d'un mauvais contrĂŽle de cette glande par hypothalamus[2].
  • Encore plus rarement, une tumeur apparue dans n'importe quel endroit du corps (poumons, pancrĂ©as, reins ou ovaires le plus souvent) produit anormalement de la GHRH (en plus de celle produit par hypothalamus). Cette hormone GHRH suractive alors l'hypophyse en lui faisant produire un excĂšs d'hormone de croissance[2].
  • Il existe des prĂ©dispositions gĂ©nĂ©tiques : dans des formes familiales ou sporadiques ont Ă©tĂ© repĂ©rĂ©es des mutations sur les gĂšnes AIP (en)[5], MEN1, PRKAR1A, CDKN1B, CDKN2C[6] ou GPR101[7].

ÉpidĂ©miologie

Environ une personne sur 15 000 Ă  25 000 est touchĂ©e[2].

Incidence : 3 à 5 nouveaux cas par an et par million d'habitants (de une personne touchée sur 15 000 à une sur 25 000)[2]. Néanmoins, de nombreux cas ne sont pas encore diagnostiqués et n'entrent pas dans ces chiffres. Les signes apparaissent sur des périodes longues, s'étalant sur plusieurs années, entraßnant un retard de diagnostic de 7 à 10 ans[8].

SymptĂŽmes

Variant selon l’ñge auquel la maladie se dĂ©clare, ils sont liĂ©s Ă  la prĂ©sence d’une tumeur source d’hormones de croissance.
Ils touchent entre autres les os, les muscles, le métabolisme des glucides et des graisses


Acromégalie apparaissant avant la puberté

Chez l’enfant, l’excĂšs d’hormone de croissance s’accompagne d’une croissance excessive et rapide de l’ensemble du corps. On parle alors d’acromĂ©galo-gigantisme. Le premier signe est une taille anormalement grande, plus de 2 mĂštres pour le garçon en fin d'adolescence. Des complications cardiovasculaires et douleurs aux articulations sont aussi possibles.

Acromégalie apparaissant aprÚs la puberté

Chez l’adulte, les symptĂŽmes peuvent ĂȘtre liĂ©s Ă  l’excĂšs d’hormone de croissance et/ou Ă  l’adĂ©nome hypophysaire lui-mĂȘme (compression par la tumeur bĂ©nigne).

Parfois, ce sont des douleurs au dos (rachialgies) et aux articulations (arthralgies) qui touchent 2 malades sur 3, pouvant ĂȘtre trĂšs invalidantes lorsqu’elles concernent les doigts.

Les manifestations liĂ©es Ă  l’excĂšs d’hormone de croissance

Elles n'apparaissent que trĂšs progressivement ; le malade et son entourage ne se rendent donc pas facilement compte de l'acromĂ©galie. Souvent, les changements sont plus Ă©vidents en comparant la personne avec d’anciennes photos d'elle. Les mains et les pieds s’élargissent, le crĂąne s’épaissit. Chaussures, bagues et bracelets ou chapeaux deviennent trop petits.

Le visage prend un aspect typique :

  • Ă©largissement du nez ;
  • front semblant large bas, arcades sourciliĂšres et pommettes saillantes ;
  • lĂšvres Ă©paissies ;
  • menton saillant en avant (prognathe) ;
  • dents Ă©cartĂ©es ;
  • voix rauque et grave.

Des douleurs au dos (rachialgies) et aux articulations (arthralgies) touchent 2 malades sur 3. Ces douleurs sont parfois trĂšs invalidantes quand elles concernent les doigts.

D’autres manifestations sont :

  • une fatigue prononcĂ©e ;
  • des dĂ©formations osseuses (scoliose, saillie du sternum)[9] ;
  • un gain de poids parfois important ;
  • l’apparition d’un syndrome du canal carpien (40 Ă  50 % des cas) ;
  • une baisse de l’audition ;
  • ronflements nocturnes avec des apnĂ©es du sommeil (jusqu’à 60 % des cas) ;
  • un diabĂšte.

De plus, l’hormone de croissance a des effets :

  • sur la peau :
    • vieillissement accĂ©lĂ©rĂ©,
    • transpiration augmentĂ©e ;
  • sur les muscles :
    • augmentation du volume ;
  • sur les organes internes :
    • augmentation du volume du foie (hĂ©patomĂ©galie),
    • augmentation du volume de la thyroĂŻde (ce qui provoque un goitre),
    • augmentation du volume du cƓur (cardiomĂ©galie).

La cardiomĂ©galie est une complication frĂ©quente (70 Ă  80 %) potentiellement grave. Un cƓur trop gros fonctionne mal et le corps risque alors de ne plus ĂȘtre oxygĂ©nĂ©, particuliĂšrement lors d’un effort. Les malades sont souvent essoufflĂ©s (insuffisance cardiaque) et souffrent d’hypertension artĂ©rielle dans 35 % des cas. À long terme, le cƓur, les vaisseaux et les reins sont affaiblis ; c'est parfois seulement Ă  ce stade que la maladie est diagnostiquĂ©e.

Les manifestations liées à la tumeur

Le dĂ©veloppement d’un adĂ©nome dans l’hypophyse exerce une pression sur le cerveau et peut ĂȘtre Ă  l’origine d’un certain nombre de symptĂŽmes :

  • maux de tĂȘte (cĂ©phalĂ©es) rĂ©sistants aux traitements ;
  • vision altĂ©rĂ©e ;
  • diminution de la production de certaines hormones.

La production insuffisante de certaines hormones hypophysaires peut amener Ă  une moindre production d’hormones produites par la thyroĂŻde (hypothyroĂŻdie) et par les glandes surrĂ©nales (insuffisance surrĂ©nale).

L’hypothyroĂŻdie se manifeste gĂ©nĂ©ralement par :

  • une diminution du rythme cardiaque, du transit intestinal (constipation), des capacitĂ©s intellectuelles ;
  • une prise de poids ;
  • une fatigue ;
  • une frilositĂ© ;
  • des signes dĂ©pressifs.

L’insuffisance surrĂ©nale entraĂźne gĂ©nĂ©ralement :

  • une fatigue ;
  • une perte d’appĂ©tit ;
  • une diminution de la tension artĂ©rielle ;
  • une pĂąleur de la peau ;
  • une diminution de la pilositĂ© au niveau des aisselles et du pubis.

Par ailleurs, une diminution du taux d’hormones sexuelles peut Ă©galement ĂȘtre observĂ©e. Chez les femmes, cette diminution peut se manifester par des troubles des rĂšgles (amĂ©norrhĂ©e, allongement du cycle
). Chez les hommes, cette diminution peut se manifester par une impuissance et une infertilitĂ©.

Aussi bien chez les hommes que chez les femmes, ces diffĂ©rents troubles hormonaux sont souvent responsables d’une baisse de la libido.

DĂ©pistage

Le diagnostic est souvent posĂ© trĂšs tard, entre 4 et 10 ans aprĂšs les premiers symptĂŽmes et la plupart du temps autour de 40 ans, alors qu’il peut ĂȘtre effectuĂ© dĂšs l’apparition de ces premiers symptĂŽmes auprĂšs d’un endocrinologue.

Le diagnostic de l’acromĂ©galie se fait grĂące Ă  un test sanguin qui mesure notamment le taux d’hormone de croissance. Cette hormone est sĂ©crĂ©tĂ©e de maniĂšre irrĂ©guliĂšre par l’organisme, le test sanguin doit donc ĂȘtre rĂ©alisĂ© plusieurs fois, Ă  intervalles diffĂ©rents, pour Ă©tablir un diagnostic dĂ©finitif.

Traitement

Le traitement contre l’acromĂ©galie vise Ă  stopper / ralentir la progression de la tumeur, en diminuer le volume, normaliser le taux d’hormones de croissance et soulager les symptĂŽmes.

Traitement des adénomes hypophysaires

Il reste le traitement de premiĂšre intention dans un nombre important de cas. Un certain nombre de lĂ©sions ne peuvent en effet pas ĂȘtre traitĂ©es de façon mĂ©dicale. Dans ces cas exceptionnels d’adĂ©nomes gĂ©ants, le traitement consiste en une chirurgie transfrontale[1]. Dans la plupart des cas la chirurgie transsphĂ©noĂŻdale — consistant Ă  atteindre le cerveau en passant par les voies nasales et l'os sphĂ©noĂŻde — permet une exĂ©rĂšse avec succĂšs. Le taux de succĂšs varie en fonction de la taille et du caractĂšre invasif de l’adĂ©nome.

Voie d’abord trans-crĂąnienne ptĂ©rionale

Elle nĂ©cessite la taille d’un volet crĂąnien de trĂ©panation, l’ouverture de la dure-mĂšre. La rĂ©gion opto-chiasmatique est alors dĂ©couverte et l’adĂ©nome est abordĂ© par son pĂŽle supĂ©rieur entre les deux nerfs optiques latĂ©ralement et le chiasma optique en arriĂšre[10].

Actuellement elle n’est plus utilisĂ©e que dans de rares cas d’adĂ©nome prĂ©sentant des expansions extra-sellaires inaccessibles Ă  la voie trans-sphĂ©noĂŻdale (latĂ©rale vers le lobe temporal ou en arriĂšre vers le clivus) ou dont l’expansion supra-sellaire est sĂ©parĂ©e de la portion intra-sellaire par un collet rĂ©trĂ©ci (tumeur en bissac). Les complications de cette chirurgie crĂąnienne consistent en diabĂšte insipide, perte de vision, lĂ©sion de l’hypothalamus, hĂ©morragie, mĂ©ningite, Ă©pilepsie.

Voie d’abord trans-sphĂ©noĂŻdale

Cette voie sous-labiale ou trans-nasale rhinoseptale trans-sphĂ©noĂŻdale est rĂ©alisĂ©e sous contrĂŽle tĂ©lĂ©visĂ© des instruments par amplificateur de brillance. L’adĂ©nome est abordĂ© par son pĂŽle infĂ©rieur et enlevĂ© sĂ©lectivement sous microscope opĂ©ratoire. Les complications de la voie trans-sphĂ©noĂŻdale (diabĂšte insipide, infection, fuite de LCR) sont plus rares que la voie crĂąnienne et il n’y a pratiquement pas de complication Ă  caractĂšre esthĂ©tique (sauf parfois une chute de la pointe du nez). La voie trans-sphĂ©noĂŻdale est indiquĂ©e dans la grande majoritĂ© des adĂ©nomes hypophysaires.

Taux de réussite

Le succÚs chirurgical dépend de nombreux facteurs, dont le siÚge de l'adénome, son volume et son caractÚre invasif.

  • Le syndrome de masse : la dĂ©compression de structures opto-chiasmatique est obtenue dans tous les cas sauf de rares exceptions, il en rĂ©sulte une rĂ©solution plus ou moins complĂšte des troubles visuels.
  • Le syndrome hormonal (hypersĂ©crĂ©tion de GH, de Prolactine et d’ACTH) : selon les cas, est guĂ©ri dans plus de 90 % des microadĂ©nomes. Dans les macroadĂ©nomes non-invasifs le taux de succĂšs est voisin de 75 %. En cas d’adĂ©nomes envahissants le taux de succĂšs n’est plus que de 25 % environ.

MĂ©dicaments

Plusieurs mĂ©dicaments diminuent le taux d’hormone de croissance. Ils sont utilisĂ©s en association avec la chirurgie et/ou la radiothĂ©rapie, notamment quand l’ablation de la tumeur a Ă©tĂ© incomplĂšte.

  • Les analogues de la somatostatine (inhibant la sĂ©crĂ©tion d’hormone de croissance) et notamment l’octrĂ©otide et le lanrĂ©otide ; ils normalisent le taux d’hormone de croissance chez environ deux tiers des personnes traitĂ©es ; aprĂšs 6 mois de traitement, ils entraĂźnent en outre une rĂ©duction du volume de l'adĂ©nome.
  • Les « dopaminergiques », comme la bromocriptine (Parlodel), surtout utilisĂ©s en cas de production excessive de prolactine. Ils diminuent lĂ©gĂšrement la sĂ©crĂ©tion de l’hormone de croissance par la tumeur.
  • Le pegvisomant, empĂȘchant l’hormone de croissance d’agir, en cas d’échec de la chirurgie, de la radiothĂ©rapie, ou en raison d’une mauvaise tolĂ©rance ou de l’échec du traitement par les analogues de la somatostatine.

Radiothérapie

La radiothĂ©rapie consiste Ă  utiliser des rayons pour dĂ©truire les cellules visĂ©es. C’est un traitement totalement indolore qui nĂ©cessite une trentaine de sĂ©ances de 15 minutes, gĂ©nĂ©ralement rĂ©parties sur six semaines.

Ce traitement est particuliĂšrement utilisĂ© pour Ă©viter les rĂ©sidus de tumeur pouvant subsister aprĂšs une opĂ©ration de chirurgie. Parmi les effets secondaires, peut survenir une destruction de l’hypophyse Ă  proximitĂ© de l’adĂ©nome, ce qui peut conduire progressivement Ă  une insuffisance hormonale. Elle n’est donc proposĂ©e qu’en complĂ©ment du traitement chirurgical et/ou des mĂ©dicaments, sauf dans des cas exceptionnels.

Il est aussi possible de bĂ©nĂ©ficier d’irradiations plus localisĂ©es, ce qui diminue aussi le risque de complications[11].

Patients célÚbres atteints de la maladie

Association Ă  d'autres manifestations

Deux syndromes complexes incluent une acromégalie, accompagnée alors de multiples autres tumeurs (« néoplasie endocrinienne multiple de type 1 »)[2] :

  • le syndrome de Carney, avec alors des tumeurs cardiaques et des taches brunes sur la peau[2] ;
  • le syndrome de McCune-Albright (pubertĂ© prĂ©coce avec anomalies osseuses et parfois une acromĂ©galie)[2].

Notes et références

  1. « L'acromégalie et le gigantisme », sur www.doctissimo.fr (consulté le ).
  2. Encyclopédie Orphanet http://www.orpha.net/data/patho/Pub/fr/Acromegalie-FRfrPub408.pdf.
  3. « adénome hypophysaire », sur www.news-medical.net (consulté le ).
  4. Encyclopédie Vulgaris Médical : Acromégalie
  5. (en) Beckers A, Aaltonen LA, Daly AF, Karhu A, « Familial isolated pituitary adenomas (FIPA) and the pituitary adenoma predisposition due to mutations in the aryl hydrocarbon receptor interacting protein (AIP) gene » Endocr Rev. 2013;34:239-277.
  6. Stratakis CA, Tichomirowa MA, Boikos S et al. « The role of germline AIP, MEN1, PRKAR1A, CDKN1B and CDKN2C mutations in causing pituitary adenomas in a large cohort of children, adolescents, and patients with genetic syndromes » Clin Genet. 2010;78:457-463.
  7. (en) Trivellin G, Daly AF, Faucz FR et al. « Gigantism and acromegaly due to Xq26 microduplications and GPR101 mutation » N Engl J Med. 2014;371:2363-2374.
  8. « Qu’est-ce que l’acromĂ©galie ? » (consultĂ© le ).
  9. « Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine », sur academie-medecine.fr (consulté le ).
  10. (en) Chaddad-Neto F, Campos Filho JM, DĂłria-Netto HL, Faria MH, Ribas GC, Oliveira E, « The pterional craniotomy: tips and tricks », Arq Neuropsiquiatr, vol. 70, no 9,‎ , p. 727-32. (PMID 22990732, lire en ligne [html]).
  11. « Orphanet: Acromégalie », sur www.orpha.net (consulté le ).
  12. « André le géant », sur catchinfomatch.e-monsite.com (consulté le ).
  13. (en) Alon Harish, « WWE Star Wrestler Great Khali Growth-Inducing Tumor Removed », sur abcNEWS.go.com, (consulté le ).
  14. (en) « Maurice Tillet ».
  15. « L'Acromégalie est un trouble hormonal - Le transport des médicaments facilité », sur /www.communique-de-presse-gratuit.com, (consulté le ).
  16. « De Palante à Cripure: Louis Guilloux », sur www.culturesfrance.com (consulté le ).
  17. « Tarantula », sur cinecinema.zeblog.com (consulté le ).
  18. (en) Michael R. Pitts, Horror film stars, McFarland, 2002, page 187.
  19. (en) « Antonio Silva To Appeal Drug Test Results », sur MMAWeekly.com, (consulté le ).
  20. « Fiche biographique de Carel Struckyen », sur fiches.lexpress.fr (consulté le ).
  21. (en) Malcolm Gladwell, The unheard story of David and Goliath, http://www.ted.com/talks/malcolm_gladwell_the_unheard_story_of_david_and_goliath.html.
  22. « Biographie de Salvatore Baccaro », sur IMDB.
  23. Lionel Froissart, « Du lourd pour Valuev », liberation.fr, 7 novembre 2009 (consulté le 5 septembre 2017).
  24. Times Staff And Wire Reports, « Paul Benedict dies at 70; actor from 'The Jeffersons' and 'Sesame Street' », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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