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Évangéline (Nouveau-Brunswick)

L’Évangéline est un DSL du Nouveau-Brunswick, dans le comté de Gloucester.

Évangéline
Évangéline (Nouveau-Brunswick)
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick
Région Péninsule acadienne
Subdivision régionale Gloucester
Statut municipal District de services locaux
Maire
Mandat
aucun
aucun
Constitution 1984
Démographie
Population 356 hab. (2011 en diminution)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 33″ nord, 64° 50′ 46″ ouest
Superficie 684 ha = 6,84 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire UTC-4
Indicatif +1-506
Code géographique 130182
Localisation
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Évangéline
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Évangéline

    Toponyme

    Statue d'Évangéline, à Saint-Martinville en Louisiane.

    Le village est nommé ainsi en l'honneur du poème Évangéline de Henry Longfellow. L'ancien bureau de poste a quant à lui porté le nom The Waugh entre 1892 et 1900 et Waugh de 1900 à 1949[1]. C'est le que la gare, et donc le village, prend le nom d'Évangéline[2].

    Géographie

    La majeure partie d'Évangéline est visible sur cette carte topographique de Pokemouche.

    Situation

    Évangéline est situé dans la péninsule acadienne, à 80 kilomètres de route à l'est de Bathurst. Le village a une superficie de 6,84 km2.

    La rivière Waugh coule au sud du village, en direction est. Elle conflue en rive gauche de la rivière Pokemouche. La rivière Pokemouche s'élargit à cet endroit pour former le lac Inkerman. À l'extrémité est du village se trouve l'anse Patricks, qui mesure près d'un kilomètre de long.

    Évangéline est limitrophe de Pokemouche à l'ouest, de Village-Blanchard au nord-ouest, de Saint-Simon au nord et de la paroisse de Shippagan au nord-est. Le village d'Inkerman occupe les deux rives du lac et fait donc face à Évangéline tout en étant limitrophe du village à l'est. Le village de Landry touche également à Évangéline sur un point de la route 11.

    Évangéline est généralement considérée comme faisant partie de l'Acadie[3].

    Géologie

    Le sous-sol d'Évangéline est composé principalement de roches sédimentaires du groupe de Pictou datant du Pennsylvanien (entre 300 et 311 millions d'années)[4].

    Faune et flore

    Évangéline est situé dans l'écorégion des basses terres de l'est, plus précisément dans l'écodistrict de Caraquet. La longue histoire de colonisation et de perturbation de la forêt a entraîné la prédominance de l'érable rouge, le peuplier faux-tremble et le bouleau gris. Le creux des vallées et les secteurs de sols grossiers sont recouverts d'épinettes noires et de pins gris, témoins d'une fréquence élevée d'incendies. Il y a également de la pruche, du thuya occidental et du mélèze laricin poussant par endroits[5].

    La pêche est pratiquée sur la rivière mais n'a jamais donné lieu à une activité commerciale[6]. Le Comité de gestion environnementale de la rivière Pokemouche effectue depuis des années des travaux de protection des berges ainsi que de la sensibilisation. De plus, l'organisme projette d'introduire des truites et autres espèces de poisson dans la rivière[7].

    Transport

    La rivière Waugh à Évangéline.

    À mi-chemin entre les principales municipalités de la Péninsule, le village est situé au croisement de la route 335, qui le relie vers Caraquet et Saint-Simon, et de la route 345, qui le relie vers Inkerman et Pokemouche. La route 11 passe à l'extrémité ouest du village[8].

    La rivière Pokemouche est navigable par de petits bateaux jusqu'à Maltempèque mais il n'y a pas de quais publics.

    Morphologie urbaine

    L'Évangéline est un village-rue, c'est-à-dire que la plupart des maisons sont situées le long de la route 345. Plus précisément, les résidences sont surtout concentrées à l'est de la rivière Waugh, jusqu'à ce que la route bifurque vers l'est. Il y a aussi des résidences sur la rive ouest de la rivière, sur la route 335 et quelques-unes sur la rue Fafard.

    Logement

    L'ensemble de la paroisse d'Inkerman[9] comptait 1 826 logements privés en 2006, dont 1 645 occupés par des résidents habituels. Parmi ces logements, 91,5 % sont individuels, 2,1 % sont jumelés, 0,9 % sont en rangée, 0,6 % sont des appartements ou duplex et 3,6 % sont des immeubles de moins de 5 étages. Enfin, 1,5 % des logements entrent dans la catégorie autres, tels que les maisons-mobiles. 85,1 % des logements sont possédés alors que 14,1 % sont loués. 76,9 % ont été construits avant 1986 et 11,6 % ont besoin de réparations majeures. Les logements ont une valeur moyenne de 92 069 $, comparativement à 119 549 $ pour la province[10].

    Histoire

    Puissances historiques :

    Drapeau des Micmacs Mi'kma'ki (vers VIe siècle av. J.-C.–1689)

    Drapeau de la France Royaume de France (1689–1690)
    Drapeau de l'Angleterre Royaume d'Angleterre (1690–1692)
    Drapeau de la France Royaume de France (1692–1763)
    Drapeau du Royaume-Uni Royaume de Grande-Bretagne (1763–1801)
    Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande (1801–1867)

    Drapeau du Canada Canada 1867 à nos jours

    Cartes historiques de Pokemouche.
    John Sewell (1800–1904), l'un des pionniers de Pokemouche en 1825.
    Pokemouche vers 1890.

    Origines

    L'est du Canada est habité depuis plus de 10 000 ans par les Paléoaméricains. On ne connaît pas vraiment leur présence à l'Évangéline mais des traces de campements ont été découvertes le long de la rivière[11].

    Les Micmacs sont arrivés dans la région il y a environ 3 000 ans, en provenance de l'ouest du Canada[11]. Leur principal village était situé au site actuel de l'église d'Inkerman mais ils possédaient aussi des campements à l'Évangéline, à la pointe Rivers dans le centre de Pokemouche, à l'île Walshs, sur la rive gauche de la rivière en face de cette île ainsi que probablement d'autres[12]. L'Évangéline est en fait un lieu de portage reliant la baie Saint-Simon au nord et à la baie de Tracadie au sud[12]. Le village est situé à la frontière des districts de Gespegeoag et de Sigenigteoag[13].

    Il n'y a aucune preuve de l'établissement d'européens à l'Évangéline durant l'ère des grandes explorations mais leur présence est vraisemblable[14]. En 1689, le Français Michel Degrez reçut une seigneurie occupant une lieue du littoral et s'allongeant sur une lieue dans la vallée de la rivière[15]. Il vivait possiblement avec les Micmacs et après quelques années sur les lieux, le seigneur Degrez s'en alla à Boston. Il devait 200 livres à Philippe Hesnault, seigneur de Nipisiguit. Sans doute pour ces raisons, le Conseil souverain donna, le , le fief de Degrez à Hesnault, lui ajoutant trois lieues de profondeur dans la vallée[15]. Hesnault ne s'établit pas sur les lieux et d'autres marchands en profitent pour chasser sur ses terres. Il porte plainte au Conseil et obtient gain de cause le contre le directeur général de la Compagnie de Mont-Louis, Jean de Clarmont[15]. On ne sait pas avec précision ce qui est arrivé au fief de Pokemouche après la mort d'Hesnault[15].

    En 1755, le fort Beauséjour capitula devant les Britanniques. Ceux-ci commencèrent alors la déportation des Acadiens. Il est probable que des Acadiens se soient réfugiés à Pokemouche[16] mais l'on sait que quelques centaines d'entre eux s'établirent un peu plus au nord, au bord de la baie des Chaleurs, dans des établissements comme Petite-Rochelle, Nipisiguit et Caraquet, ainsi qu'au sud, à Néguac. Vers 1760, Pokemouche signa un traité avec les Britanniques, que ces derniers n'ont apparemment pas respecté[17]. En 1761, le chef de Pokemouche, Étienne Echbock, guida le raid de Roderick MacKenzie contre les communautés acadiennes de la baie des Chaleurs. Le marchand britannique Gamaliel Smethurst, abandonné par son capitaine lors du raid à Nipisiguit, passa par l'Évangéline pour rejoindre le fort Beauséjour. Echbock le retint prisonnier, l'accusant d'avoir organisé le raid, mais le libéra le lendemain[17].

    Durant la guerre d'indépendance américaine, plusieurs Micmacs s'attaquèrent à des navires britanniques. En juillet 1779, à la suite d'une bataille dans la rivière Miramichi, le Viper en captura une douzaine qui furent emprisonnés à Québec. Le chef John Julien de Miramichi signa un traité de paix le avec Michael Francklin au nom des Micmacs de Miramichi, de Pokemouche et de la Ristigouche[18].

    XIXe siècle

    Isidore Robichaux, frère de Jean-Baptiste Robichaux, et sa famille furent les premiers acadiens à s'établir dans la région, à l'en-bas-de-Pokemouche (Inkerman), en 1797[19]. Ils venaient vraisemblablement dans le secteur depuis quelques années pour chasser et pêcher. L'en-bas-de-Pokemouche fut colonisé par un nombre impressionnant de familles acadiennes comparativement à Caraquet ou Shippagan. L'Irlandais Michael Finn fut le premier anglophone à s'établir dans la vallée, en 1800[12].

    XXIe siècle

    Évangéline est l'une des localités organisatrices du IVe Congrès mondial acadien, en 2009.

    Démographie

    Pour l'ensemble de la paroisse d'Inkerman[9], l'âge médian est de 44,6 ans, comparativement à 41,5 pour la province. 87,8 % de la population est âgée de plus de 15 ans, comparativement à 83,8 % pour la province. Les femmes représentent 50,4 % de la population, comparativement à 51,3 % pour la province. Chez les plus de 15 ans, 43,6 % sont célibataires, 38,5 % sont mariés, 5,9 % sont séparés, 4,8 % sont divorcés et 7,2 % sont veufs[20] - [21].

    Les autochtones représentent 1,9 % de la population[22] et 0,5 % des habitants font partie d'une minorité visible[23]. Les immigrants représentent 0,6 % de la population, la totalité des habitants sont citoyens du Canada et 98,5 % sont issus de familles établies au Canada depuis trois générations ou plus[24].

    La langue maternelle est le français chez 94,6 % des habitants, l'anglais chez 3,6 %, les deux langues chez 0,7 % et 1,1 % sont allophones. 33,6 % de la population peut communiquer dans les deux langues officielles, 65,4 % sont unilingues francophones et 0,5 % sont unilingues anglophones. Le français est parlé à la maison par 95,6 % des gens, l'anglais par 2,9 %, les deux langues par 0,6 % et une langue non officielle par 0,7 %[25]. Le français est la langue de travail de 91,5 % des employés, l'anglais de 6,0 % et 2,2 % des employés utilisent les deux langues[26].

    29,5 % des habitants âgés de plus de 15 ans possèdent un certificat, diplôme ou grade post-secondaire, comparativement à 44,6 % pour la province[27].

    Administration

    Comité consultatif

    En tant que district de services locaux, Évangéline est administré directement par le Ministère des Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick, secondé par un comité consultatif élu composé de cinq membres dont un président.

    Commission de services régionaux

    Évangéline fait partie de la Région 4[28], une commission de services régionaux (CSR) devant commencer officiellement ses activités le [29]. Contrairement aux municipalités, les DSL sont représentés au conseil par un nombre de représentants proportionnel à leur population et leur assiette fiscale[30]. Ces représentants sont élus par les présidents des DSL mais sont nommés par le gouvernement s'il n'y a pas assez de présidents en fonction[30]. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, l'aménagement local dans le cas des DSL, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture ; d'autres services pourraient s'ajouter à cette liste[31].

    Fusion à venir

    Le DSL doit être fusionnée à Caraquet avec plusieurs autres localités (Bas-Caraquet, Landry, Pokemouche, Pokesudie, Saint-Simon et Village-Blanchard) d'ici janvier 2023, à la suite de la présentation du Livre blanc de la réforme municipale, en novembre 2021. Cette nouvelle entité comprendra une population estimée à 7893 habitants, et une assiette fiscale de 592 732 262$[32].

    Représentation

    Drapeau du Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick : Évangéline fait partie de la circonscription de Centre-Péninsule—Saint-Sauveur, qui est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Denis Landry, du Parti libéral. Il fut élu en 2003 puis réélu en 2008 et en 2010.

    Drapeau du Canada Canada : Évangéline fait partie de la circonscription fédérale d'Acadie-Bathurst. Cette circonscription est représentée à la Chambre des communes du Canada par Yvon Godin, du NPD. Il fut élu lors de l'élection de 1997 contre le député sortant Doug Young, en raison du mécontentement provoqué par une réforme du régime d’assurance-emploi[33].

    Économie

    L'économie de l'Évangéline est basée sur l'exploitation de la tourbe, l'agriculture et les services. Entreprise Péninsule, un organisme basé à Tracadie-Sheila faisant partie du réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique de la région[34].

    Pour l'ensemble de la paroisse d'Inkerman[9], chez les habitants âgés de plus de 15 ans, le taux d'activité est de 55,9 %, le taux d'emploi est de 48 % et le taux de chômage est de 14,1 %. À titre de comparaison, ceux de la province sont respectivement de 63,7 %, 57,3 % et 10 %[35].

    Parmi ces emplois, on en dénombre 14,6 % dans l'agriculture (6,9 % au provincial), 11,1 % dans la construction (6,7 % au provincial), 15,7 % dans la fabrication (10,8 % au provincial), 2,5 % dans le commerce de gros (3,6 % au provincial), 11,4 % dans le commerce au détail (11,9 % au provincial), 3,8 % dans les finances et l'immobilier (4,2 % au provincial), 11,1 % dans la santé et les services sociaux (11,4 % au provincial), 6,3 % dans l'enseignement (6,5 % au provincial), 7,1 % dans les services de commerce (16,9 % au provincial) et 15,9 % dans les autres services (21,1 % au provincial)[35].

    Parmi la population active occupée, 6,9 % travaillent à domicile, aucun travaillent ailleurs dans le monde, 15,5 % sont sans lieu de travail fixe et 77,3 % ont un lieu de travail fixe. Parmi les travailleurs ayant un lieu de travail fixe, 18,9 % travaillent dans la Paroisse d'Inkerman, 54,3 % travaillent ailleurs dans le comté, 2,6 % travaillent ailleurs dans la province et 1,4 % travaillent dans une autre province[36].

    Infrastructures et services

    Éducation

    Les élèves francophones bénéficient d'écoles à Pokemouche et à Shippagan. La ville de Shippagan possède également le CCNB-Péninsule acadienne et un campus de l'Université de Moncton.

    Les anglophones bénéficient d'une école à Brantville accueillant les élèves de la maternelle à la huitième année. Ils doivent ensuite poursuivre leurs études à Miramichi. Les établissements d'enseignement supérieurs anglophones les plus proches sont à Fredericton ou Miramichi.

    Il y a une bibliothèque publique à Shippagan. Le bibliobus du Nord fait toutefois un arrêt à Pokemouche[37].

    Autres services publics

    Le village dispose du Club d'Âge d'Or Pokemouche–Évangéline. Le détachement de la Gendarmerie royale du Canada le plus proche est situé à Shippagan. Le poste d'Ambulance Nouveau-Brunswick le plus proche est aussi à Shippagan tandis l'hôpital de l'Enfant-Jésus de Caraquet est le plus proche. Le bureau de poste le plus proche est quant à lui à Inkerman.

    Existant depuis le , la Commission de gestion des déchets solides de la Péninsule acadienne (COGEDES) a son siège-social à Caraquet. Les déchets sont transférés au centre de transbordement de Tracadie-Sheila et les matières non recyclables sont ensuite enfouies à Allardville.

    Les francophones bénéficient du quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi que de l'hebdomadaire L'Étoile, de Dieppe. Les anglophones bénéficient quant à eux du quotidien Telegraph-Journal, publié à Saint-Jean.

    Municipalités limitrophes

    Notes et références

    1. (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Énergie, Mines et Ressources Canada, Ottawa, 1975, p. 103.
    2. « - », L'Évangéline, , p. 5
    3. Murielle K. Roy et Jean Daigle (dir.), Démographie et démolinguistique en Acadie, 1871-1991, L'Acadie des Maritimes, Moncton, Centre d'études acadiennes, Université de Moncton, , 908 p. (ISBN 2-921166-06-2), p. 141.
    4. (en) [PDF] Ministère des Ressources naturelles et de l'énergie du Nouveau-Brunswick, « Bedrock Geology of New Brunswick », (consulté le )
    5. (fr)[PDF] Ministère des Ressources naturelles du Nouveau-Brunswick - Écorégion des basses terres de l'est
    6. William F. Ganong, op. cit., p.46.
    7. (fr) Mélanie Sivret, « Projet d’ensemencement pour la rivière Pokemouche », dans L'Acadie Nouvelle, 19 mai 2008 [lire en ligne (page consultée le 19 mai 2008)].
    8. (fr) Réal Fradette, « Péninsule : début des travaux préparatoires de la nouvelle route 11 », dans L'Acadie Nouvelle, 30 août 2008 [lire en ligne (page consultée le 17 décembre 2008)].
    9. Le Nouveau-Brunswick est traditionnellement divisé en paroisses et Statistique Canada fournit uniquement des données détaillées pour les municipalités et les parties non constituées des paroisses, alors qu'elle fournit uniquement la population, la superficie, la densité de population et le nombre de logements pour les DSL ne correspondant pas aux limites des paroisses. La paroisse d'Inkerman inclut les DSL de Pokemouche, d'Inkerman, d'Évangéline, de Maltempèque, de Landry, de Six Roads et de Sainte-Rose. Pour plus de détails, voir Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick.
    10. Recensement Statistique Canada 2006 : Familles et ménages
    11. (fr) Maurice Basque, Entre Baie et Péninsule, Néguac, 1991.
    12. William F. Ganong, op. cit., p. 47.
    13. (en) Philip K. Bock et William C. Sturtevant (dir.), Handbook of North American Indians, vol. 13, t. 1, Government Printing Office, , 777 p., p. 109-110
    14. William F. Ganong, ibidem, p. 50.
    15. « Philippe Hesnault », dans Revue d'histoire de la Société historique Nicholas Denys, Vol. XXXIV, no. 3, sept.-déc. 2006, p. 95-105.
    16. William F. Ganong, op. cit., p. 52.
    17. (en) William F. Ganong, Historical-geographical documents relating to New Brunswick, Saint-Jean: New Brunswick Historical Society, Volume 2, 1905, .
    18. (fr) L.F.S. Upton, « JULIEN (Julian), JOHN », dans le Dictionnaire biographique du Canada en ligne, 2000 [lire en ligne (page consultée le 13 décembre 2008)].
    19. William F. Ganong, op. cit., p. 55.
    20. Recensement Statistique Canada 2006: Population
    21. Recensement Statistique Canada 2006: Familles et ménages
    22. Recensement Statistique Canada 2006: Peuples autochtone
    23. Recensement Statistique Canada 2006: Minorité visible
    24. Recensement Statistique Canada 2006: Immigration et citoyenneté
    25. Recensement Statistique Canada 2006: Langue
    26. Recensement Statistique Canada 2006: Langue de travail
    27. Recensement Statistique Canada 2006: Scolarité
    28. « Les communautés dans chacune des 12 Commissions de services régionaux (CSR) », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    29. « Conseils d'administration des commissions de services régionaux annoncés », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    30. « Gouvernance des nouvelles commissions de services régionaux », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    31. « Services obligatoires », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    32. Michel Corriveau, « Le Nouveau-Brunswick impose des fusions municipales et abolit le modèle des DSL », Radio-Canada Nouvelles, (lire en ligne).
    33. (fr) Réal Fradette, « Qui arrivera à défaire Yvon Godin », dans L'Acadie Nouvelle, 20 décembre 2008 [lire en ligne (page consultée le 20 décembre 2008)].
    34. « District de services régionaux 4 », sur Bâtir des gouvernements locaux et des régions viables (Rapport Finn), sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    35. Recensement Statistique Canada 2006 (paroisse d'Inkerman): Travail
    36. Recensement Statistique Canada 2006: Lieu de travail
    37. « Arrêts de bibliobus », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (en) William F. Ganong, A Monograph of the Origins of the Settlements in New Brunswick, Ottawa, J. Hope, , 185 p.
    • (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Ottawa, Énergie, Mines et Ressources Canada,
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