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Étalondes

Étalondes est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime en rĂ©gion Normandie.

Étalondes
Étalondes
La mairie et la salle communale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes des Villes SƓurs
Maire
Mandat
Mario Dona
2020-2026
Code postal 76260
Code commune 76252
DĂ©mographie
GentilĂ© Étalondais
Population
municipale
1 047 hab. (2020 en diminution de 4,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 226 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 01â€Č 51″ nord, 1° 23â€Č 12″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 99 m
Superficie 4,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Eu
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Eu
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Étalondes
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Étalondes

    GĂ©ographie

    Localisation

    InstallĂ©e en bordure du plateau qui domine la vallĂ©e de la Bresle, la commune bĂ©nĂ©ficie de la proximitĂ© des trois villes sƓurs, Eu, Mers et Le TrĂ©port. L'axe routier Eu - Dieppe ainsi que la cĂŽte de la Manche constituent Ă©galement des attraits complĂ©mentaires pour cette bourgade dont la population croĂźt rĂ©guliĂšrement.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 892 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve Ă  25 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 798,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le dĂ©partement de la Somme, mise en service en 1922 et Ă  33 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Étalondes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (82,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), zones urbanisĂ©es (21,9 %), prairies (7 %), forĂȘts (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Stanelonde en 1059 (Jean Adigard des Gautries, 1957 p. 140); Stenelunda en 1119 (S. Deck, 243); Stanelonde, Stanelunda vers 1119; Estanelonde en 1181-89 (Rec. Henri II, II, 385); Stanelonde en 1185 EstĂŠlonde au XIIe siĂšcle; Estalonde en 1282 (Kermaingant 77, 3, 262, 263), Étalonde en 1757[21] - [22].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale de type anglo-scandinave basée sur le vieux norrois lundr « bois »[22] (comprendre « bosquet, petit bois »). En finale, cet appellatif a généralement abouti à -lon (-lunt, -lont, -lond dans les formes anciennes), -londe étant exceptionnel cf. également Faguillonde (pays de Caux). En revanche, employé de maniÚre autonome, c'est la forme londe qui prévaut dans les nombreux la Londe.

    Le premier Ă©lĂ©ment s'explique par le vieil anglais stan « pierre » (comprendre stān > anglais moderne stone)[22] et non par le vieux norrois steinn « pierre » qui convient moins bien sur le plan phonĂ©tique[22]. En effet, la mention Stenelunda est isolĂ©e et plus tardive que l'attestation primitive, en outre Stanelonde a rĂ©guliĂšrement donnĂ© *Estanelonde, puis dĂšs le XIIIe siĂšcle Estalonde, et enfin Étalonde en 1757, la forme Étalondes apparaissant seulement au XVIIIe siĂšcle.

    Le sens global du toponyme est donc « bois oĂč il y a une ou des pierres »[22]

    Remarque : l'ancien norrois steinn est par ailleurs frĂ©quent dans la toponymie normande, dans le pays de Caux comme dans le Cotentin, mais les formes anciennes sont toutes en Stein- ou Estein- : Étainhus (Esteinhus 1222); Etaintot Ă  Saint-Wandrille-Rançon (Esteintot 1142) et Ă  Mautheville (Esteintot 1198, 1222); Etennemare Ă  LimĂ©sy (Esteinemare, sans date) et Ă  Saint-Valery-en-Caux (Esteinmare en 1252), etc.

    Histoire

    Un site gallo-romain est découvert en 2013 au lieu-dit la Plaine du chemin Saint-Martin. Deux habitations datées entre le Ier et le IIIe siÚcles, des sépultures et pas moins de 80 objets (céramiques, verreries, monnaies, bijoux, perles, outillage...) attestent d'une vie locale à cette époque[23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 Auguste Lelong
    Les données manquantes sont à compléter.
    2003 mai 2020[24] Lucien Fosse Vice-prĂ©sident de la CC des Villes SƓurs (2014 → 2020)
    mai 2020[25] - [26] En cours
    (au juillet 2020)
    Mario Dona

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[28].

    En 2020, la commune comptait 1 047 habitants[Note 8], en diminution de 4,3 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    341324348337337345347360357
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    347335350329337343336348343
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    349371375430435415429409448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4614996427879171 0301 1331 1311 069
    2020 - - - - - - - -
    1 047--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les communes d'Étalondes et Saint-RĂ©my-Broscrocourt se sont associĂ©es en regroupement pĂ©dagogique intercommunal en matiĂšre d'enseignement primaire. Pour l'annĂ©e scolaire 2018-2019, quatre classes sont situĂ©es Ă  Étalondes, trois Ă  Saint-RĂ©my[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Notre-Dame d'Étalondes.

    La statue de la vierge Marie.

    Refuge de la Société protectrice des animaux.

    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Salle des associations.
      Salle des associations.
    • Notre-Dame.
      Notre-Dame.
    • Autre vue de l'Ă©glise.
      Autre vue de l'Ă©glise.
    • Le clocher.
      Le clocher.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Étalondes et Dieppe », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    9. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Étalondes et Abbeville », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Eu », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984 p. 352 (lire en ligne)
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
    23. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, « Le monde gallo-romain ressurgit à Bricomarché », 3 novembre 2016, p. 13.
    24. Xavier Togni, « Derniers vƓux pour le maire d’Étalondes, Lucien Fosse : Mardi 7 janvier, aprĂšs avoir inaugurĂ© les amĂ©nagements du centre-bourg, le maire d’Étalondes, Lucien Fosse, a prĂ©sentĂ© pour la derniĂšre fois ses vƓux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Élu depuis 1983, maire d’Étalondes depuis 2001, Lucien Fosse a prĂ©sentĂ© pour la derniĂšre fois ses vƓux Ă  la population mardi 7 janvier. À 76 ans, il renonce Ă  briguer un nouveau mandat ».
    25. Louis Vanthournout, « Étalondes : Maire adjoint depuis 12 ans, Mario DonĂ  prĂ©sente sa liste : Dans la commune Ă©talondaise, le maire sortant, Lucien Fosse, ne se reprĂ©sente pas aux Ă©lections municipales. C’est l’un de ses adjoints, Mario DonĂ , qui brigue le poste », L'Informateur d'Eu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    26. Émeline Bertel, « Canton d’Eu : Mario Dona et Alain Trouessin Ă©lus maires dĂšs le 1er tour : Alain Trouessin, maire sortant de Criel-sur-Mer, conserve son siĂšge de premier Ă©dile. À Étalondes, c'est Mario Dona qui succĂšde Ă  Lucien Fosse aprĂšs une Ă©lection serrĂ©e », L'Informateur d'Eu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Le RPI craint de perdre une classe : La baisse des effectifs de 157 Ă  152 entrainerait le passage de sept Ă  six classes », Courrier picard, Ă©dition Picardie maritime,‎ , p. 12.
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