Accueil🇫🇷Chercher

Ydes

Ydes est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ydes
Ydes
Église Saint-Georges - L'ange de l'Annonciation du porche ouest.
Blason de Ydes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Mauriac
Intercommunalité Communauté de communes Sumène Artense
Maire
Mandat
Alain Delage
2020-2026
Code postal 15210
Code commune 15265
Démographie
Gentilé Ydois
Population
municipale
1 632 hab. (2020 en diminution de 8,21 % par rapport à 2014)
Densité 94 hab./km2
Population
agglomération
2 672 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 53″ nord, 2° 26′ 17″ est
Altitude Min. 390 m
Max. 665 m
Superficie 17,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ydes
(ville-centre)
Aire d'attraction Bort-les-Orgues
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ydes
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ydes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ydes
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Voir sur la carte topographique du Cantal
Ydes
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Ydes
Liens
Site web ydes.fr

    Au cœur du modeste bassin minier, Ydes est connue pour son riche passé industriel d'exploitation charbonnière. La houille y est exploitée dès le Moyen Âge et de façon industrielle entre 1842 et 1959, favorisant pleinement l'économie locale.

    Ses habitants sont appelés les Ydois.

    Géographie

    L'activité industrielle du XIXe siècle et le développement de l'exploitation du charbon ont permis la croissance du site de L'Hôpital qui est devenu Ydes-Centre alors que le village d'origine devenait Ydes-Bourg.

    Localisation

    La commune est située à 22 km au nord de Mauriac, 68 km au nord d'Aurillac et à 88 km au sud-ouest de Clermont-Ferrand.

    Hydrographie

    Ydes est traversée par la Sumène[1], un affluent de la Dordogne.

    Le Milhac se jette dans la Sumène sur le territoire de la commune.

    Géologie

    Le sol contient encore de riches gisements houillers. Les mines de Vendes et Champagnac (Bois de Lempre) ont été fermées en 1959.

    Urbanisme

    Typologie

    Ydes est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ydes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 1] et 2 672 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[I 2] - [I 3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bort-les-Orgues, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4] - [I 5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,8 %), forêts (26,5 %), zones urbanisées (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[5].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 105, alors qu'il était de 1 083 en 2013 et de 1 099 en 2008[I 6].

    Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 12,1 % des résidences secondaires et 15,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23 % des appartements[I 7].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ydes en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,1 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 65,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,7 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 8].

    Le logement à Ydes en 2018.
    Typologie Ydes[I 6] Cantal[I 9] France entière[I 10]
    Résidences principales (en %) 72,5 67,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,1 20,4 9,7
    Logements vacants (en %) 15,4 11,9 8,2

    Voies de communication et transports

    La D922 entre Le Beil et les Quatre Routes, passant par la commune d'Ydes.

    La route départementale 922, reliant Laqueuille au nord et Aurillac au sud, passe par Ydes. Elle correspond à un ancien tronçon déclassé de la route nationale 122.

    Jusque dans les années 1970-1980, Ydes avait la particularité de posséder trois gares SNCF à proximité : Saignes, Champagnac-les-Mines et Largnac. Les lignes ont été fermées.

    Les aéroports les plus proches sont Clermont-Ferrand[6] et Aurillac[7].

    Toponymie

    Attesté en Hisde au XIIe siècle.

    D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du pré-latin is, eau ; et du suffixe -ate[8].

    Histoire

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Tout comme plusieurs communes du nord Cantal, Ydes fut le siège d'une commanderie de l'ordre du Temple qui faisait alors partie de la province templière d'Auvergne et qui est dévolue au commencement du XIVe siècle aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem au sein de leur langue d'Auvergne. Ydes devient ensuite un membre de la commanderie du Pont-Vieux, commune de Tauves (1293), elle-même dépendante du Grand prieuré d'Auvergne.

    Époque contemporaine

    En , lors d'une grève importante des mineurs de Champagnac, tout le bassin minier a été assiégé par le 139e régiment d'infanterie et les brigades de gendarmerie.

    • Mines de charbon d'Ydes.
    • Les fours à coke.
      Les fours à coke.
    • Le puits Pochat.
      Le puits Pochat.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1872 Charles de La Vaissière de Lavergne
    1925 1941 Alfred Basset Rad. Conseiller général du canton de Saignes (1923-1940)
    1941 1944
    1944 1963 Alfred Basset Rad. puis SFIO Conseiller général du canton de Saignes (1945-1963)
    Président du conseil général (1945-1951)
    1963 1989 Bernard Ceyrac Président-directeur général de la Sodecco (1959-1968). Chevalier de la Légion d'Honneur
    mars 1989 mars 2008 Roger Besse RPR puis UMP Sénateur (1989-2008)
    Conseiller général du canton de Saignes (1976-2008)
    Président du conseil général (1988-2001)
    Président de la CC Sumène Artense
    mars 2008 mai 2020 Guy Lacam UMP puis LR Retraité
    mai 2020 En cours Alain Delage DVC Chef d'entreprise
    Conseiller départemental du canton d'Ydes (2021-)

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[10].

    En 2020, la commune comptait 1 632 habitants[Note 3], en diminution de 8,21 % par rapport à 2014 (Cantal : −1,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8798078549671 0671 0431 0281 0611 060
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0611 0141 0149649581 0311 4561 6331 838
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1402 4522 7032 4262 7132 6382 5672 5632 535
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 0752 0371 9701 9801 9651 9311 8811 8661 779
    2018 2020 - - - - - - -
    1 6601 632-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,6 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (27,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (40,0 %) est supérieur au taux départemental (35,5 %).

    En 2018, la commune comptait 805 hommes pour 855 femmes, soit un taux de 51,50 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    4,0
    12,4
    75-89 ans
    14,6
    24,2
    60-74 ans
    23,5
    25,1
    45-59 ans
    22,5
    14,5
    30-44 ans
    12,9
    11,1
    15-29 ans
    9,2
    11,6
    0-14 ans
    13,3
    Pyramide des âges du département du Cantal en 2018 en pourcentage[13]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,8
    9,9
    75-89 ans
    13,8
    21,8
    60-74 ans
    21,4
    22,4
    45-59 ans
    20,9
    16,5
    30-44 ans
    15,5
    13,7
    15-29 ans
    11,9
    14,6
    0-14 ans
    13,7

    Économie

    • Ydes abrite un pôle industriel important à l'échelle du Cantal.
    • Le Groupe Lapeyre possède un site de production historique, Menuiseries du Centre, situé avenue Martial-Lapeyre.
    • Le groupe Sacatec est spécialisé dans les solutions de haute technologie à base de caoutchouc.
    • Les Ateliers du Centre est une entreprise adaptée qui propose une activité économique pour personnes handicapées, elle fait partie de la Fondation Jacques Chirac.

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Georges.

    Lieux et monuments

    • Porche de l'église Saint-Georges.
      Porche de l'église Saint-Georges.
    • Porche de l'église Saint-Georges : la Vierge de l'Annonciation.
      Porche de l'église Saint-Georges : la Vierge de l'Annonciation.
    • Porche ouest de l'église Saint-Georges - Mur sud : Habacuc, porté par un ange, vient apporter de la nourriture à Daniel dans la fosse aux lions.
      Porche ouest de l'église Saint-Georges - Mur sud : Habacuc, porté par un ange, vient apporter de la nourriture à Daniel dans la fosse aux lions.

    Le portail profond semble reprendre les dispositions de celui de l'abbaye Saint-Pierre de Beaulieu-sur-Dordogne. Il a la particularité de présenter sur les murs nord et sud deux scènes assez rarement liées. Sur le mur nord, une scène du Nouveau Testament : l'Annonciation représentant l'archange Gabriel et la Vierge Marie. Sur le mur sud, une scène de l'Ancien Testament : Habacuc porté par un ange vient apporter de la nourriture à Daniel dans la fosse aux lions. La relation entre les deux scènes vient probablement de l'analogie suivante : le Christ entra dans le sein de sa mère et en sortit sans toucher au sceau de sa demeure virginale. De la même manière, l'ange enlève Habacuc en Judée avec une corbeille de nourriture et le transporte dans la fosse aux lions où se trouve Daniel sans briser le sceau (d'après Émile Mâle, L'Art religieux au XIIIe siècle). Sur l'archivolte du porche ont été sculptés les signes du zodiaque. Ce portail est datable de la fin du XIIe siècle.

    • Chevet.
      Chevet.
    • Chevet - Chapiteau avec Samson terrassant un lion.
      Chevet - Chapiteau avec Samson terrassant un lion.
    • Chevet : modillon.
      Chevet : modillon.
    • Chevet : modillon et chapiteau à feuillages.
      Chevet : modillon et chapiteau à feuillages.
    • Pendant plusieurs décennies, Ydes n'a possédé que l'église Saint-Georges. Mais devant l'accroissement de la population une chapelle a été construire à Ydes-Centre à la fin du XIXe siècle[17].
    • L'église Sainte-Jeanne d'Arc a ensuite été construite au début du XXe siècle[18].
    • Église Sainte-Jeanne d'Arc.
      Église Sainte-Jeanne d'Arc.
    • Le château du Châtelet, château fort situé à Montfouilloux[19].
    • Château de Trancis, 7 route de Saignes, 15210 Ydes - XIXe siècle - Devenu un hôtel.
    • La cité ouvrière de Fanostre[20], construite par la Société des Mines de Champagnac. Plusieurs vestiges de puits de mine subsistent sur le territoire communal et une sentier permet d'en faire le tour. Un mémorial est également installé au rez-de-chaussée des anciens fours à coke[21].
    • Patrimoine minier.
    • Anciens fours à coke dont le rez-de-chaussée est aménagé en mémorial.
      Anciens fours à coke dont le rez-de-chaussée est aménagé en mémorial.
    • Vue arrière avec la cheminée.
      Vue arrière avec la cheminée.
    • Ancien bâtiment de la machine d'extraction du puits Pochat.
      Ancien bâtiment de la machine d'extraction du puits Pochat.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Ydes Blason
    D'or à deux clefs de sinople passées en sautoir, les pannetons vers senestre; à la bordure de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Unité urbaine 2020 d'Ydes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    2. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    3. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    6. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Ydes » (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ydes - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ydes - Section LOG T7 » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
    10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ydes (15265) », (consulté le ).

    Autres sources

    1. La Sumène sur le site du Sandre.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    6. Le site de l'aéroport de Clermont-Ferrand.
    7. Le site de l'aéroport d'Aurillac.
    8. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 736
    9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    13. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
    14. Notice no PA00093723, base Mérimée, ministère français de la Culture : L'église Saint-Georges sur la Base Mérimée
    15. Bernard Craplet, Auvergne romane, La Pierre-qui-Vire, Éditions Zodiaque, coll. « La Nuit des Temps » (no 2), , 4e éd., p. 334-338.
    16. Dictionnaire des églises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse- Auvergne. Limousin. Bourbonnais, t. II-B, Paris, Robert Laffont, p. 174-175.
    17. Notice no IA15000252, base Mérimée, ministère français de la Culture : La Chapelle sur la Base Mérimée.
    18. Notice no IA15000235, base Mérimée, ministère français de la Culture : L'église Sainte Jeanne d'Arc sur la Base Mérimée.
    19. Notice no IA15000237, base Mérimée, ministère français de la Culture : Le château du Châtelet sur la Base Mérimée.
    20. Notice no IA15000248, base Mérimée, ministère français de la Culture : cité ouvrière (cité de mineurs) dite cité de Fanostre.
    21. « Mémorial de la Mine », sur ydes.fr.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.