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Villey-Saint-Étienne

Villey-Saint-Étienne [vilɛ sɛ̃t‿etjɛn] est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Villey-Saint-Étienne
Villey-Saint-Étienne
La maison forte.
Blason de Villey-Saint-Étienne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Jean-Pierre Couteau
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54584
Démographie
Gentilé Goniches [1]
Population
municipale
1 021 hab. (2020 en diminution de 7,77 % par rapport à 2014)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 54″ nord, 5° 58′ 43″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 253 m
Superficie 17,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Villey-Saint-Étienne
Liens
Site web www.villey-saint-etienne.fr

    Géographie

    Villey-Saint-Étienne (ban communal).

    La commune de Villey est délimitée à l'est et au sud par la vallée de la Moselle, au nord par la vallée du ruisseau le Terrouin (et son contrefort boisé) et son affluent le Longeau et à l'est et sud-est par le ruisseau du mauvais lieu dans un bois communal. Le ruisseau de la Naue (Naux)[2] arrose également ce territoire.

    Le ban communal d'une surface de 1 744 hectares est à une altitude moyenne de 223 mètres environ. Selon les données Corine Land Cover, il est composé à part quasi égales de forêts et de prairies ou terres arables pour 80 %, le solde se répartissant entre zones humides, (4 %) et zones anthropisées (y compris les carrières). Les exploitations agricoles (fermes) sont plutôt situées le long de l'axe Toul-Dieulouard.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Villey-Saint-Étienne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,3 %), terres arables (25,6 %), prairies (14 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,2 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Villa Vidiliaca cum ecclesia, Vedeliacum cum basilica, in comitatu Tullensi, Villa quæ Videliacus dicitur, Villeyum, Villeyum Sancti-Stephani (1402), Viliez-Saint-Estienne (1594) et Villers-Saint-Étienne (1719), sont les graphies rencontrées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[10].

    Villey est très ancien : il formait déjà une commune assez importante au IXe siècle ; et l’évêque de Toul, Ludelme, en fit don à sa cathédrale à la même époque : on le nommait alors Videliacus, ou Villae-Sancti-Stephani[11]

    Ce nom est formé d'un anthroponyme VIDEL(us) accolé au mot -iacum, suffixe désignant un village postérieurement dédié à saint Étienne.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Villey-sur-Moselle.

    Histoire

    Le territoire de la commune de Villey-Saint-Étienne a livré de nombreux indices de l'occupation humaine depuis l'âge de pierre. Sa situation au sud d'une liaison naturelle entre les monts Saint-Michel (mont Bar) et côtes Barine et la Moselle au nord-est et en surplomb de la rivière l'ont surement favorisé.

    Période préhistorique

    Jules Beaupré signale[12] :

    «Nombreux silex taillés, pointes de flèches, de dards, haches polies en silex, etc., recueillis par M. Gruyer, instituteur. (Musée lorrain.)»

    «Dans la forêt communale dite Bois Laroppe entre le chemin de fer et le chemin de Toul, on a trouvé des ossements humains dans des tumuli. En déblayant les terres, au-dessus de l'emplacement de la carrière Solway, on découvrit en 1886 à des profondeurs variant entre 0 m,60 et 0 m,80 des sépultures de l'âge dit du bronze. Les objets qu'elles contenaient, torques et bracelets, ont été déposés au Musée lorrain. (Dr Bleicher et Wiener. — Notice sur la découverte d'une station de l'âge du bronze à Villey-Saint-Étienne.. — (Mémoires de la Société d'Archéologie lorraine, 1886.) Nous avons exploré en 1897 des tumuli situés dans la coupe n° 13 de la forêt communale dite Bois de Toul. Ils recouvraient des sépultures par inhumation et par incinération. Le mobilier funéraire, bien que très pauvre, permet de les dater, comme les sépultures découvertes en 1886, de la fin de la période de Hallstatt. Il existait dans les vignes au lieu-dit Haut de Chazot, vis-à-vis Fontenoy, une enceinte dont les remblais sont aujourd'hui nivelés par la culture.»

    La carte archéologique de Gaule, département 54[13], indique que le mobilier de ces découvertes, déposé dans les deux musées lorrain et de Toul, appartiendrait à la période de la Tène ancienne (460 av. J.-C. - 400 av. J.-C : Phases A et B) bien que des publications successives ont proposé des datations plus anciennes.

    Ces inhumations pourraient donc être en rapport avec un site d'occupation proche comme le lieu-dit les hauts de Chazot ou le village lui-même, à cette époque.

    Période gallo-romaine

    Cette période est moins bien connue sur le territoire de la commune, mais les répertoires archéologiques mentionnent des découvertes indices de l'occupation pendant la Pax Romana :

    «Au lieu-dit Saint-Martin, tuiles à rebord : selon Olry, des monnaies romaines et des vases cinéraires ont été trouvés à plusieurs endroits.»

    «Au lieu-dit Aux odieux, A. Lieger signale en 1999 un établissement gallo-romain trahi par la présence de pierres de construction et de tessons de céramique (sigillée). Au lieu-dit En Mornangle, sont signalés des éléments identiques, ces deux occupations dateraient du Ier au IIe siècle de notre ère. (CAG, HAMM, Gilles[14])»

    Période Mérovingienne

    Au lieu-dit En haut des tombeaux (Tomboux) , particulièrement évocateur, a été mise à jour en 1936, le long de la voie Toul-Dieulouard, une nécropole mérovingienne (période de 500 à 700) de 120 sépultures[15] dont le mobilier est conservé dans les musées de Metz et Jarville[16]. Les archéologues ont pour hypothèse que les sépultures mérovingiennes étaient rarement isolées, qu'elles étaient groupées le plus souvent en cimetières plus ou moins importants, en général près d'une voie de circulation (mais cela vient sans doute du fait que les voies se trouvaient justement près des lieux sacrés), que les morts étaient alignés et les femmes séparées des hommes. Ces sépultures révèlent toutefois clairement une occupation soit de villages, soit de places royales (royaume des Francs orientaux, constitué à partir de l'ancien territoire des Francs Ripuaires) et, en tout cas, ces sépultures sont à raccrocher à une église proche. Selon E Salins, le mobilier des tombes indiquerait que les hommes étaient de culture alémanique et les femmes plutôt gallo-romaines.

    Moyen Âge jusqu'à la révolution

    Les historiens perdent la trace écrite de la communauté de Villey-Saint-Étienne et son église du XXe au XIVe siècle. Toutefois comme l'illustre un article paru aux études touloises[17], l"entretien et parfois l’agrandissement de l’église Saint-Martin de Villey feront l'objet de maints échanges entre les représentants du clergé et les habitants par des écrits entre 1712 et 1785[18]. Dans la seconde moitié du XVe siècle une maison forte fut édifié en surplomb de la Moselle, offrant ainsi une vue imprenable sur toute la vallée.

    Le constructeur de cette maison forte ainsi que l’utilisation de celle-ci restent inconnus jusqu’au XVIe siècle son premier propriétaire connu est Louis 1er de la Mothe, Conseiller d’État, Maître des requêtes du duc Charles III depuis 1560, seigneur de Froidos, Marchéville et Lanfroicourt, qui ne demeurait pas dans la Grosse Maison, mais à Lanfroicourt.

    En juillet 1609, les chanoines du chapitre de la cathédrale de Toul acquièrent cette demeure. Les archives départementales de Meurthe-et-Moselle conservent la trace de la mise en vente des biens du clergé devant le directoire (de Toul) et notamment la division de cette maison en lots[19].

    Époque contemporaine

    Villey : le canal de la Marne au Rhin.

    La commune a vu la construction du canal de la Marne au Rhin, en contrebas du plateau, dans le lit majeur de la Moselle (rivière), puis son déclassement et son remblaiement partiel au moment de la canalisation de la Moselle à grand gabarit en 1976.

    Villey : Élément du Fort du vieux Canton.

    Entre 1906 et 1909 deux ouvrages défensifs du système Séré de Rivière, dit du Vieux canton et du Mordant ont pris place sur le ban communal.

    Construit en 1991, le site de production Kimberly-Clark de Villey-Saint-Étienne, (Zonage ZL), a diversifié son activité. D’abord vouée à la production de papier-toilette, l’usine se consacre depuis 2016 exclusivement à la fabrication d’essuie-mains à destination des professionnels : hôpitaux, collectivités, industries, bureaux, hôtels, restaurants.

    Le 5 août 2011, une tornade classée F-1 sur l'échelle de Fujita frappe Villey-Saint-Étienne, et provoque quelques dégâts[20] - [21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. Claude BRUAN(T) 1641-1698, maire en 1679 - Vigneron et laboureur.
    mars 2001 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Jean-Pierre Couteau [22]
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2020, la commune comptait 1 021 habitants[Note 4], en diminution de 7,77 % par rapport à 2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    639699701735741800835784805
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    763763700721651613646619576
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    569626516636626610480554595
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    5676109091 0371 0521 0711 0771 1091 040
    2020 - - - - - - - -
    1 021--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    H. Lepage indique dans son dictionnaire des communes de Meurthe au sujet de l'activité économique du XIXe siècle :

    «Surf. territ. : 1 729 hect.; 885 en terres lab., 167 en prés, 85 en vignes, 495 en bois. Moulin à grains, carrières de pierres de taille»[10]

    confirmant le caractère agricole et viticole de l'économie.

    Secteur primaire ou agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.D'après le recensement agricole 2010 du ministère de l'Agriculture (Agreste[27]), la commune de Villey-Saint-Étienne était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 622 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) quasi stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 473 à 280 entre 1988 et 2010. Il y avait encore 8 (10 en 1988) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 10 unités de travail[Note 7], (jusqu'à 10 auparavant) ce qui plaçait la commune parmi celles dont l'activité agricole s'était maintenue mais resserrée.

    Secteur secondaire ou Industrie

    Une usine de l'entreprise américaine Kimberly-Clark est implantée sur le territoire de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église.
      L'église.
    • Maison forte.
      Maison forte.
    • Fort du vieux Canton
      Fort du vieux Canton

    Édifices civils et militaires

    • Fort du Vieux-Canton : Ouvrage du Vieux-Canton-est, ouvrage du bas du chêne, ouvrage Ouest du Vieux-Canton, ouvrage du Mordant
    • Nécropole alémanique et mérovingienne fouillée en 1936 et abritant environ 115 sépultures des Ve-VIIe siècles.
    • La maison-forte ou Grosse-Maison objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1988[28]: reconstruite au XVe siècle, elle dépendait à l'époque du chapitre de Toul, : tourelle d'escalier, fenêtres à meneaux, caves avec fenêtres de tir fin XIIe siècle
    • Pigeonnier du XVIIe siècle construit en 1658 dans les combles de la Maison forte
    • Petite halte de plaisance[29]

    Édifices religieux

    • Église du XIXe siècle avec une tour fortifiée avec archères du XIIIe siècle.
    • Presbytère du XVIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    Parti d’azur et d'or au léopard brochant de l'un en l'autre ; au chef parti d'or à trois têtes de lions de gueules lampassées et couronnées d'argent et d'azur à trois cailloux d'argent.
    Commentaires : Le léopard représente la famille Malcuit seigneurs de Villey. Les cailloux rappellent que le village était le siège d'une prévôté du diocèse de Toul et sont une allusion à la lapidation d'Étienne. Les trois têtes de lion sont les armoiries de la famille de la Mothe, d'ancienne chevalerie, propriétaire de la Maison forte au milieu du XVIe siècle[30].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • 1906- Beaupré, Jules (18..-1921) Observations concernant les tumulus de Villey-Saint-Étienne (fouilles de 1906) par le Cte J. Beaupré,...Impr. de A. Crépin-Leblond
    • Manet, Léon (abbé) Abbé Léon Manet. Le Château de Villey-Saint-Etienne (1450-1831). Lettre-préface de Mgr Jérôme
    • Abbé Léon Marnet. Villey-Saint-Etienne pendant la Révolution. Les biens nationaux vendus de 1791 à 1798
    • Bleicher, Gustave (Dr) Sur les Ossements fossiles d'une fissure de la carrière de Villey-Saint-Étienne, par M. le Dr Bleicher impr. de Berger-Levrault
    • 1930 Manet, Léon (abbé) Villey-Saint-Étienne. Le Livre d'or de la Grande Guerre, par l'abbé Léon Manet. Avec préface de Mgr Buch, évêque de Strasbourg et Lettre du maréchal Lyautey
    • La boucle de la Moselle : villes et villages du Toulois / Daniel Jacques et Gérard Howald ; préf. de Michel Hachet - 1999
    • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau de la Naue (A5830380) ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    11. (1805-1857) Dictionnaire statistique de la Meurthe et Grosse, Étienne (1805-1857). Auteur du texte, « BnF Catalogue général », sur catalogue.bnf.fr, 1836-1838 (consulté le ).
    12. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 146-147.
    13. Hamm Gilles, Carte archéologique de la Gaule., Éd. Acad. des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 917727543, lire en ligne), p. 584-Villey.
    14. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 890475393, lire en ligne).
    15. Édouard Salin, « Caractères généraux, nomenclature et carte archéologique des cimetières du haut Moyen Âge du département de Meurthe-et-Moselle », Bulletin Monumental, vol. 96, no 2,‎ , p. 191–218 (DOI 10.3406/bulmo.1937.8528, lire en ligne, consulté le ).
    16. « Edouard Salin, collectionneur et archéologue les collections du chateau Montaigu », sur http://hicsa.univ-paris1.fr/page.php?r=54&id=10&lang=fr, (consulté en ).
    17. « Patrimoine et communauté religieuse à Villey-Saint-Étienne Bernard BARAD, Daniel BONNET, Sylvie BONNET, Jean-Pierre COUTEAU, Jean-paul JULIAC mots clés : Villey-Saint-Etienne, paroisse, vitraux, clocher, cloches, croix, statues ».
    18. Jean-Pierre COUTEAU, « Histoire de Villey St Etienne », sur mairie de Villey (consulté en ).
    19. Pierre Clémendot, Le département de la Meurthe à l'époque du Directoire, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-20547-4, lire en ligne)
      « Vente des biens nationaux par l'abbé MANET (1937) »
      .
    20. Source : http://meteolorraine.wifeo.com/tornade-de-villers-st-etienne-54.php
    21. Source : http://www.keraunos.org/dossier-tornade-villey-saint-etienne-5-aout-2011-tornade-france.htm
    22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. « Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4,4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    28. « Grosse-Maison », notice no PA00106436, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Points d'accostage pour bateaux - Villey-Saint-Étienne - Site officiel de la commune », sur www.villey-saint-etienne.fr (consulté le ).
    30. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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