Accueil🇫🇷Chercher

Fontenoy-sur-Moselle

Fontenoy-sur-Moselle est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Fontenoy-sur-Moselle
Fontenoy-sur-Moselle
Place de la mairie et de l'Ă©glise.
Blason de Fontenoy-sur-Moselle
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Patricia Winiarski
2020-2026
Code postal 54840
Code commune 54202
DĂ©mographie
Gentilé Fontenoysiens, Fontenoysiennes
Population
municipale
373 hab. (2020 en augmentation de 0,81 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 67 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 42′ 43″ nord, 5° 58′ 55″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 264 m
Superficie 5,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fontenoy-sur-Moselle
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fontenoy-sur-Moselle
GĂ©olocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Fontenoy-sur-Moselle
GĂ©olocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Fontenoy-sur-Moselle

    GĂ©ographie

    Fig.1 - Fontenoy (ban communal).

    La commune est traversée par la Moselle et par la ligne Paris-Strasbourg. Les chroniques historiques et archéologiques signalent un ancien chemin traversant la commune d'est en ouest dit chemin "Brabant"[1].

    D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 554 hectares comprend en 2011, plus de 40 % de terres arables et de prairies, près de 36 % de forêt et zones arbustives, 14,5 % de surfaces agricoles diverses et 2 % de zones industrielles et urbanisées[2].

    Le territoire est desservi par les routes départementales 191a et 90 et traversé par le canal de la Moselle, le relief de plateau au-dessus des cours d'eau est aussi entaillé de petites vallées menant aux bois juré et bois essarté .(Fig. 1 - Fontenoy (ban communal))

    La Moselle sauvage accueille une installation de loisirs nautique sur cette commune[3]

    Communes limitrophes de Fontenoy-sur-Moselle
    Villey-Saint-Étienne Aingeray
    Fontenoy-sur-Moselle
    Gondreville Bois-de-Haye

    Urbanisme

    Typologie

    Fontenoy-sur-Moselle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,1 %), forêts (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), prairies (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,6 %), eaux continentales[Note 3] (6,9 %), zones urbanisées (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Ecclesia S. Laurentii in villa Fontanetum (xe siècle) ; Predium quod dicitur Fontiniacum ; Fontigniacum ; Ecclesia de Fonteniaco (1091) ; Fonterniacum (1107) ; Fontanetum (1172) ; Fontenetum (1358) ; Fontenoy-lez-Gondreville (1514) et Fontenoy-sur-Moselle (1779), sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[11].

    Le nom du village apparaît donc sous une forme latine Fonteniaco, déjà modifiée, en 1091 et Fontiniaco en 1107. On a ensuite l'ancien français « Fonteneis » en 1125 ; enfin les formes modernes Fontenoy-lez-Gondreville en 1514, Fontenoy-en-Haye et Fontenoy-sur-Moselle en 1779. Ce toponyme vient de l'anthroponyme latin Fontinius et du suffixe gallo-romain -acum, ce type de formation remonte à l'Antiquité tardive (IVe siècle-VIIe siècle) [12]. La signification est transparente en la rapprochant du mot latin Fons, ontis[13] signifiant source, fontaine.

    La micro-toponymie appuie l'hypothèse qu'avant la Révolution, il y avait un signe patibulaire planté au lieu-dit la Justice[14] - [15].

    Histoire

    Blason des Le Preud'Homme, comtes de Fontenoy, les trois chevrons sont d'or.

    Préhistoire

    J. Beaupré signale dans son ouvrage[16] :

    «On voit au Musée Lorrain des pointes de flèches, des couteaux et des grattoirs en silex venant de Fontenoy»

    Antiquité

    Beaupré signale également, mais sur le territoire de la commune voisine[16] :

    «En 1835, Ă  la Croix Sainte-Anne, sur le chemin de Gondreville Ă   Fontenoy (fig. 1), dans une gravière, on dĂ©couvrit une vingtaine de sĂ©pultures oĂą les squelettes reposaient dans des caissons en pierres sèchess»

    et aussi Henri Lepage :

    «Vers 1835; en dĂ©frichant le Bois-JurĂ©  (fig. 1),on dĂ©couvrit une statuette en pierre, d'une bonne exĂ©cution, qui fut acquise par M. le baron de Vincent. On a trouvĂ© aussi, dans ce dĂ©frichement,et en diffĂ©rents endroits du territoire, des monnaies, qui ont Ă©tĂ© vendues... »[17].

    Cet historien émet l'hypothèse que le village s’étendait plus à l'ouest vers Gondreville en citant la découverte de traces d'habitations qui pourraient correspondre à un établissement (agricole ?) de l’époque romaine détruit lors des invasions autour de la chute de Rome.

    Moyen Ă‚ge

    Lepage indique dans son ouvrage[17] :

    «Fontenoy possédait un château féodal dont les derniers vestiges (quelques débris des tours) ont complètement disparu, lors de l'établissement du chemin de fer et en particulier de la station qui en occupe l'emplacement. C'était, au commencement du XVIIe siècle, une maison bien forte, de grande et ancienne marque, avec chapelle castrale, parterre, jardin,...»

    Il nous apprend aussi que le bienheureux Jean de Gorze[18], à l'origine de la réforme monastique du Xe siècle, eut la cure de Fontenoy jusqu'en 933 et que ce château fort existât dès le XIIe siècle et fut érigé en chef-lieu de comté de 1625 à la Révolution et qu'enfin le village fut de nouveau ravagé par la peste, ruiné et abandonné à l'époque de la guerre de Trente-Ans, de 1630 à 1640.

    Époque contemporaine

    Le 22 janvier 1871, pendant la guerre franco-prussienne, à 5 heures du matin le poste prussien qui gardait le pont de Fontenoy-sur-Moselle est surpris et massacré ou fait prisonnier par les chasseurs des Vosges[19] - [20].
    En représailles, le village fut pillé et brûlé en 1871 par les Prussiens qui reprochaient aux villageois d'avoir participé à la destruction du pont de la ligne de la Compagnie des chemins de fer de l'Est, ligne de Paris à Strasbourg[21] - [22].

    Le territoire communal portait une ancienne « batterie de Fontenoy »[23]  (fig. 1) qui faisait partie du système de fortifications de la place forte de Toul au XIXe siècle et a laissĂ© place aujourd'hui Ă  un site d'entreprise.

    Anecdotes

    • Le , un accident survient au rapide 32 qui partait de Nancy Ă  16 h 15 en direction de Paris. Il heurtait la voiture de marchandise du train 111 qui avait eu une rupture d'essieu[24].

    Liste des curés

    Liste des curés
    PériodeIdentité
    en 1643 -André Geoffroy[25]
    -

    .

    Politique et administration

    La commune est rattachée à la communauté de communes de Hazelle-en-Haye.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1953 juin 1995 Marcel L'Huillier Maraîcher - horticulteur
    juillet 1995 mars 2014 Jeanne Bluette Retraitée
    mars 2014 juillet 2020 André Magnier[26] Retraité de la fonction publique
    juillet 2020 En cours Patricia Winiarski[26] - [27] Employée administrative d'entreprise

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 373 habitants[Note 4], en augmentation de 0,81 % par rapport Ă  2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    172191191199207233248247420
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    261264239250229230217220210
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    191210219211221206223220234
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    206219229224195350363372373
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    E. Grosse indique dan son ouvrage[32] pour le XIXe siècle :

    «Surface territ. , 544 hect. cadast. , dont 246 en terres labour. , 99 en bois, 34 en prés et 12 en vignes de qualité médiocre. Mes. de Nancy»

    indiquant par là même que ce village était essentiellement agricole, quoique modestement viticole, il évoque également la présence ancien d'un moulin à grain et un à écorces sur la Moselle.

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[33]), la commune de Fontenoy-sur-Moselle était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 94 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) en nette baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 17 à zéro entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus qu' 1 exploitation(s) agricole(s) ayant son/leur siège dans la commune employant 1 unité(s) de travail[Note 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Monument aux morts.
    • Château fort 13e dĂ©moli vers 1820, mais vers 1850, on voyait encore les ruines d'un château assez vaste, fortifiĂ© de murailles et de tours, dont une seule Ă©tait encore debout. Ces ruines ont disparu Ă  l'occasion de la crĂ©ation du chemin de fer : la gare en occupe l'emplacement[34].
    • Monument commĂ©moratif de la guerre franco-prussienne de 1870 victimes civiles et militaires de l'incendie du 22 janvier 1871, au pied duquel furent ajoutĂ©es les victimes des autres guerres.
    • Église Saint-Laurent, ancienne chapelle castrale : chĹ“ur gothique 16e, vitraux 16e, tombeaux des comtes de Fontenoy.

    Viaduc de Fontenoy

    Viaduc de Fontenoy.

    Cet ouvrage permet Ă  la ligne de chemin de fer de Paris Ă  Strasbourg de franchir la Moselle entre les gares de Toul et de Fontenoy-sur-Moselle.

    La construction du pont est commencée en 1850 et se termine à la fin de 1851[35].

    L'ouvrage a subi les vicissitudes des guerres franco-allemandes.

    Le 22 janvier 1871, Ă  la fin de la guerre franco-prussienne de 1870, un groupe de francs-tireurs français, crĂ©Ă© Ă  l'initiative de Gambetta pour entreprendre des actions contre les lignes de chemin de fer de l'Est, fait sauter une mine qui dĂ©truit deux arches du pont. Une pile du pont est foudroyĂ©e et les deux arches adjacents s'Ă©croulent. Les gĂ©nĂ©raux allemands sont persuadĂ©s que la population a aidĂ© les francs-tireurs. Ils donnent l'ordre d'Ă©vacuer et d'incendier le village. Une amende de dix millions de francs est imposĂ©e Ă  la Lorraine et toute la population des environs est rĂ©quisitionnĂ©e pour reconstruire les deux travĂ©es par un remblaiement de la brèche sur 35 m. Les travaux commencĂ©s le 22 janvier sont terminĂ©s le 10 fĂ©vrier. Mais cette destruction n'a pas d'influence sur le dĂ©roulement de la guerre car un armistice est signĂ© le 26 janvier. L'armĂ©e allemande quitte Nancy le 1er aoĂ»t 1873[36].

    En juin 1940, au dĂ©but de l'offensive allemande de la Seconde Guerre mondiale l'armĂ©e française dĂ©truit deux arches cĂ´tĂ© Paris. Les pionniers allemands commencent par construire un pont provisoire en bois pour franchir la brèche de 35 m environ, puis les deux arches et la pile sont reconstruites en bĂ©ton. Les arches sont rĂ©alisĂ©es suivant le mĂŞme profil qu'Ă  l'origine. Chaque arche a Ă©tĂ© reconstruite en la coupant en trois parties successives grâce Ă  des cintres mĂ©talliques noyĂ©s dans les arches : les deux premières parties de 1,80 m chacune en bord de l'arche, puis la partie centrale de 3,80 m[37].

    L'ouvrage initial comportait 7 arches en maçonnerie.

    Longueur : 157 m
    Distance entraxes des piles : 18,60 m
    Ouverture des arches : 16 m
    Flèche des arches au-dessus de leur naissance : 4,95 m
    Distance entre les garde-corps : 8,06 m
    Épaisseur des 2 arches en béton : 1 m.
    • Reconstruction du pont sous la surveillance de l'armĂ©e prussienne.
      Reconstruction du pont sous la surveillance de l'armée prussienne.
    • La culĂ©e du viaduc de Fontenoy.
      La culée du viaduc de Fontenoy.

    Pont de Fontenoy-sur-Moselle

    Pont de Fontenoy.

    Pont en béton précontraint fanchissant la Moselle. Le tablier a été construit en voussoirs préfabriqués posés à l'avancement à l'aide d'un haubanage provisoire par l'entreprise Campenon-Bernard[38].

    Longueur : 629,95 m
    Portées des travées : 43,123 m - 10 x 52,702 m - 50,807 m
    Largeur du tablier : 10,50 m.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Royer, nĂ© le 30 mars 1934.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Fontenoy-sur-Moselle Blason
    DĂ©tails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • G. Hamm, Carte ArchĂ©ologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    De nombreux articles consacrés à cette commune dans la revue Études touloises « Ville, village, lieu-dit F », sur www.etudes-touloises.fr (consulté le ) :

    • Jacques DURAND et ThĂ©o SAINTOT, « Fontenoy-sur-Moselle Ă  travers les âges », dans Études touloises, 2008, no 128, p. 3-9, p. 10-19, p. 20-24
    • Lucien GEINDRE, « Notice sur Fontenoy-sur-Moselle », dans Études touloises, 2008, no 128, p. 25-27,
    • Michel NEY, «Destruction du pont de Fontenoy, 22 janvier 1871», dans Études touloises, 2008, no 128, p. 27-31
    • Daniel JACQUES, « La Moselle canalisĂ©e », Études touloises, no 115, p. 23-25 (lire en ligne)
    • Daniel JACQUES, « Châteaux et maisons fortes du Toulois : L'inventaire des sites forifiĂ©s », Études touloises, no 109 p. 3-16
    • Jacques-Yves ROYER, « L'inventaire du Toulois (partie 1) : châteaux et maisons fortes, ermitages et chapelles, patrimoine industriel », dans Études touloises, no 89, p. 23-28, (lire en ligne)
    • SĂ©bastien JEANDEMANGE, « Le comtĂ© de Fontenoy-sur-Moselle », dans Études touloises, no 93, p. 33-38 (lire en ligne)
    • Phillipe LAZERME, « Le siège de Toul par une Touloise » (MĂ©moires de LĂ©ontine MARCHAND), dans Études touloises, no 12, p. 17-24 (lire en ligne)
    • Jacques DURAND, « Ă€ Fontenoy-sur-Moselle, l’église Saint-Laurent », dans Études touloises, 2013, no 146, p. 21 (lire en ligne)

    Les boucles de la Moselle [Texte imprimé] / [publié par l'Association des Boucles de la Moselle]. - Haroué : G. Louis, impr. 2009 (54-Maxéville : Impr. J. Lamour). - 1 vol. (88 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 x 27 cm.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Orientation technico-Ă©conomique de la commune :  production dominante de la commune, dĂ©terminĂ©e selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune Ă  la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. UnitĂ© de travail annuel : mesure  en Ă©quivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisĂ© comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. carte page 5, dans Études touloises, 1982, no 25, Collège de Liverdun, Mme Arnould-Rombach, « À propos du pont romain de Liverdun », p. 2-18
    2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
    3. « Ski Nautique en Lorraine - Fontenoy/Moselle,Lorraine », sur snclorrain.free.fr (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    12. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
    13. FONS, TIS, m 1 siècle avant J.C.CICERO (Cicéron) fontaine n. f : eau vive sortant de terre voir: fontaine source n. f : (fontaine), eau qui jaillit du sol voir: source source n. f : (origine, principe), origine voir: source 3 siècle après J.C.CYPRIANUS (saint Cyprien) fonts baptismaux voir: fonts
    14. H Lepage
    15. « French-adress.com : Fontenoy-sur-Moselle LA JUSTICE 540 202 B027 G toutes les adresses certifiĂ©es de France », sur adresse-francaise.com (consultĂ© le ) : « Les informations du fichier FANTOIR proviennent de l'application MAJIC ».
    16. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 63.
    17. « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consultĂ© le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine Titre(s) :MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy) Cote : NUMM-33691 ».
    18. Grâce à la « Vita Johannis Gorziensis » écrite à partir de 974 par l’abbé de Saint-Arnoul du diocèse de Metz, la vie de Jean de Gorze est connue avec précision.(https://www.etudes-touloises.fr/archives/128/art1.pdf)
    19. Monographie page 15
    20. Destruction du pont de Fontenoy le 22 janvier 1871
    21. https://www.etudes-touloises.fr/archives/128/art4.pdf NOTICE SUR FONTENOY -SUR-MOSELLE Par Lucien GEINDRE
    22. https://www.etudes-touloises.fr/archives/128/art5.pdf (DESTRUCTION DU PONT DE FONTENOY , 22 JANVIER JANVIER 1871)
    23. « Ouvrage de Fontenoy - FortiffSéré », sur www.fortiffsere.fr (consulté le ).
    24. L'Union républicaine de la Marne N°12 246 du 12 mai 1914, page 2.
    25. Témoin sur l'acte de mariage (notarié 3E349) de sa sœur Elisabeth avec George Nicolas le 29 octobre 1643 à Toul
    26. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 34.
    33. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'Ă©valuation et la prospective agricole - RĂ©sultats - DonnĂ©es chiffrĂ©es », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le ) : « Principaux rĂ©sultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    34. Gaston de (1845-1925) Photographe Landreville, « [Paysages et châteaux de Lorraine, de Picardie et de Haute-Saône. Propriétés des familles de Landreville et de Meixmoron] », sur Gallica, 1885-1890 (consulté le ), Fig 37 photo de 1885-1890.
    35. André Schontz, Arsène Felten, Marcel Gournot, Le chemin de fer en Lorraine, p. 20, Éditions Serpenoise, Metz, 1999 (ISBN 2-87692-414-5).
    36. André Schontz, op. cité, p.92-93
    37. .La reconstruction des ouvrages d'art du chemin de fer. L'œuvre des services de la SNCF et des entreprises françaises. Juillet 1940 - juillet 1942, p. 201-203, Draeger Frères
    38. Structurae : Pont de Fontenoy-sur-Moselle
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.