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Trondes

Trondes est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Trondes
Trondes
La salle d'asile de Trondes, ancĂŞtre de l'Ă©cole maternelle.
Blason de Trondes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Jimmy Cartier
2020-2026
Code postal 54570
Code commune 54534
DĂ©mographie
Gentilé Trondards [1]
Population
municipale
523 hab. (2020 en diminution de 2,24 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 43′ 00″ nord, 5° 46′ 24″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 368 m
Superficie 12,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Trondes
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Trondes
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Trondes
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Trondes

    GĂ©ographie

    Trondes (ban communal).

    L'altitude moyenne de Trondes est de 264 mètres environ. Le ban communal, d’une superficie de 1 245 hectares, comporte en 2011, d'après les donnĂ©es Corine land Cover, près de 48 % de forĂŞts, 50 % de prairies, terres arables et cultures, puis 2 % de zones anthropisĂ©es (zones industrielles et urbaines)[2].

    Le territoire est arrosé par les cours d'eau naturels que sont le Terrouin (sur 2,121 km), le Ruisseau des Hautes Bruyères (sur 1,317 km) et le Ruisseau de Trondes (sur 4,282 km)[3].

    Le village de type village-rue est situé à la confluence de deux vallées, le territoire est limité à l'est par le Terrouin et au nord et au sud par les bois de Foug, de Lucey et de Lagney, majoritairement situés sur des reliefs entre 355 et 365 m.

    Exemple de tuiles canal dites "Tiges de botte[4]" en Lorraine (Vosges).

    Comme d'autres communes dans la région touloise, Trondes a été le lieu de productions manufacturées à base d'argile étant donné la disponibilité de l'eau (nombreux ruisseaux) et surtout de matière première : l'argile de la Woëvre. Une tuilerie au moins a fonctionné sur ce territoire[5].

    Communes limitrophes de Trondes
    Boucq Royaumeix Lagney
    Boucq Trondes Lucey
    Pagny-sur-Meuse
    (Meuse)
    Foug

    Urbanisme

    Typologie

    Trondes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (29,7 %), prairies (16 %), cultures permanentes (4 %), zones urbanisées (2,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Le toponyme apparaît au Xe sous la forme Trondolae. Son origine est obscure[13]. Trondolæ ; Alodium de Trondis ; De Trundlis (1157) ; Trundles (1181) ; Trondeles (1180) ; Molendinum apud Trundes (1220) ; Ecclesia de Trondes (1402) sont les autres graphies rencontrées[14].

    Histoire

    Antiquité

    J. Beaupré signale dans son répertoire archéologique[15] :

    « Sur le Romont, au lieu-dit Les chevillottes, substructions gallo-romaines, se reliant à celles du canton des Sarrazinières à Laneuveville-derrière-Foug.» et «On a trouvé des ossements à plusieurs endroits, dans les vignes : ils étaient accompagnés de sabres ».

    La carte archéologique de la Gaule[16] indique que ces découvertes d'ossements et d'armes en fer pourraient être liées à une nécropole mérovingienne. Les communes de Foug, Laneuveville (la petite Foug) et Trondes, partagent un même site archéologique autour du Romont (parfois Raumont et Romons) et du bois du Romont, ce site est placé sur une ancienne liaison (chemin Brabant[17] ?) entre Toul et le camp de Sorcy[18] à Sorcy-Saint-Martin.

    Moyen Ă‚ge

    Le village de Trondes a subi au cours de l'histoire mouvementée de la Lorraine les conséquences des affrontements entre le roi de France et l’empereur du Saint Empire germanique par les biais et l'interposition des comtes de Bar, de Champagne et autres seigneurs de Sorcy et de Void[19].

    H. Lepage indique dans un de ses ouvrages[20] :

    Exemple de moulin Ă  eau lorrain (Ville-sur-Yron)

    «Ce village, appelé Trondolae à la fin du Xe siècle était un alleu en 1157 il eut beaucoup à souffrir, en 1380, dans la guerre du comte de Bar. Il existait un moulin en 1220[21]».

    Le moulin Neuf qui figure sur les cartes des Naudin est toutefois formellement sur la commune de Foug, la chronique du Toulois[22] précise au contraire :

    «1120, Trondes, Ancel dit Chauvoisin, seigneur de Sorcy, donne à l'église de Rangéval un moulin à Trondes (apud Trundes) avec ses entrées et sorties, le libre cours de l'eau au-dessus et au-dessous»

    et

    «1223, Trondes, Pierre de Bourlémont, fait savoir qu'Anselme, surnommé Malvoisin, Agnès, sœur de Pierre et femme d'Anselme, leur fils Etienne, ont en partie donné et en partie vendu au chapitre de Toul, ce qu'ils possédaient, à l'exception d'une vigne, ledit Pierre ratifierait cette vente comme seigneur d'Anselme et garantiront le chapitre de Toul, contre les tentatives d'éviction du comte de Champagne»

    Il indique Ă©galement :

    Denier de commode (exemple).

    « a trouvé aussi des pièces de monnaie de Commode, Nerva, Trajan, d'autres à l'effigie des évêques de Metz et des ducs de Lorraine. Près de Trondes sont deux fontaines, l'une de Saint-Elophe, dont l'eau est, dit-on , salutaire pour les maladies des yeux , l'autre, appelée Fontaine-l'Evéque, est fréquentée par les fiévreux. Ils y vont porter du pain, boivent de l'eau autant que possible et s'en retournent en courant. »

    Époque moderne

    Population masculine déportée en partie en camp de concentration (1944) ; il y eut 45 morts[23] .

    SĂ©jour du philosophe Alain en 1915.

    Anecdote

    A la fin du XIXe siècle , la disparition d'un ruminant appartenant à un vigneron du village provoqua l'ouverture d’une enquête de gendarmerie avec la découverte des restes de l'animal au fond d'un étang. Les élus locaux feront les frais de la lenteur à résoudre l'affaire et ce n'est que plusieurs mois après les faits, que les auteurs seront démasqués, puis condamnés à de lourdes peines (2 et 4 années d'emprisonnement)[24].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 2001 Marc Prairat DVG
    mars 2001 mars 2008 Jean-Marc Wilhelm PS
    mars 2008 2011 Philippe Couget
    2011 2020 Alain Cocusse
    2020 En cours Jimmy Cartier[25]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 523 habitants[Note 3], en diminution de 2,24 % par rapport Ă  2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    653710772789810838830847824
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    752764708677669647614598567
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    569549538544491467405401396
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    362341393470497524522532538
    2020 - - - - - - - -
    523--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    E. Grosse[30] indique dans son ouvrage, vers 1836 :

    « Territ. : 1225 hect. cad. , dont 624 en labours , 184 en prés , 137 en forêts , et 25 en vignes , dont les produits sont d'un assez grand objet de commerce, malgré leur faible qualité. »

    Le village a donc eu une tradition viticole.

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[31]), la commune de Trondes était majoritairement orientée [Note 4] sur l'élevage d'herbivores (auparavant sur la polyculture et le poly - élevage) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 142 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 210 à 82 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 5 unités de travail[Note 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Tuilerie.
    La tuilerie en 1991.
    • Caniveaux gallo-romains desservant une fontaine, encore en fonction.
    • Fort construit entre 1875 et 1878, modifiĂ© par la suite (1888), intĂ©grĂ© au camp retranchĂ© de Toul, selon les plans du gĂ©nĂ©ral Raymond Adolphe SĂ©rĂ© de Rivières.
    • Ancienne tuilerie XIXe, objet d'un classement au titre des monuments historiques en 1983 et radiĂ©e, en raison de son Ă©tat de ruine irrĂ©versible, en 2006[32].
    • Église XVe.

    Personnalités liées à la commune

    • Édouard-Ernest Maire (1848-1932), nĂ© sur la commune, missionnaire lazarsite en Chine et botaniste (lire sur WP anglais) ;
    • Alain, philosophe nĂ© Émile-Auguste Chartier (1868-1951) sĂ©jour sur Trondes en 1915.

    HĂ©raldique

    Blason de Trondes Blason
    De gueules à l'épée haute d'argent garnie d'or accompagnée de trois cailloux d'argent.
    DĂ©tails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • G. Hamm, Carte ArchĂ©ologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    4. Orientation technico-Ă©conomique de la commune :  production dominante de la commune, dĂ©terminĂ©e selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune Ă  la production brute standard.
    5. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    6. UnitĂ© de travail annuel : mesure  en Ă©quivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisĂ© comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. http://sigesrm.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=54534
    3. « Sandre Portail national d'accès aux rĂ©fĂ©rentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consultĂ© le ) : « PK: 974713 | Ruisseau de Trondes (A5800330) ».
    4. « Les toits des Pays de France - J.-Y. Chauvet - Éditions Eyrolles », sur www.editions-eyrolles.com (consulté le ).
    5. « Feu la tuilerie de Trondes », sur Etudes touloises.fr, Etudes touloises (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
    14. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    15. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 137.
    16. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 890475393, lire en ligne).
    17. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 137
      « Une voie ancienne continue le Chemin Brabant et longe la vallée dans la direction de Pagny-sur-Meuse. Une autre voie, traverse, dit-on, la plaine reliant le Romont aux Chevillottes, elle se dirige vers Void. »
      .
    18. B. Humbert, Les 'fana' de la Côte Châtel à Sorcy-Saint-Martin (Meuse), ELAN, Nancy I, 1983 p. 41-56,
    19. SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine Auteur du texte et MusĂ©e lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue rĂ©gionale bimensuelle illustrĂ©e / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consultĂ© le ) : « La châtellenie de Void fut protĂ©gĂ©e par les comtes de Bar jusqu'en 1267 au moins. A cette date, le comte ThiĂ©baut II s'occupa de faire renouveler les accords antĂ©rieurs. Reprenant pour trois ans sous sa garde les terres capitulaires Ă  Void, Troussey, Ourches, Pagny,Dommartin et Trondes avec les sujets du chapitre, le comte devait assurer la sĂ©curitĂ© de ceux qui se rendaient au marchĂ© de Void. ».
    20. Henri Lepage, Le DĂ©partement de la Meurthe. Statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 580.
    21. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne)
      « Au mois de novembre 1220, Ancel, surnommé Malvoisiu, seigneur de Sorcy, donne à l'église de Rangéval un moulin à Trondes (apud Trundes), avec ses entrées et sorties, le libre cours de l'eau »
      .
    22. https://www.etudes-touloises.fr/autres/inedits/Chronologie_Toulois.pdf
    23. https://www.etudes-touloises.fr/archives/78/art5.pdf
    24. « l'affaire de la vache de Trondes », sur Etudes touloises.fr, Etudes touloises, (consulté le ).
    25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. E. Grosse, DĂ©partement de la Meurthe : dictionnaire historique et statistique, Res Universis (OCLC 642811322, lire en ligne), p. 522.
    31. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'Ă©valuation et la prospective agricole - RĂ©sultats - DonnĂ©es chiffrĂ©es », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le ) : « Principaux rĂ©sultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    32. « Ancienne tuilerie », notice no PA00106421, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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