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Trichey

Trichey est une petite commune française rurale située dans le département de l'Yonne en Bourgogne, région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Trichey
Trichey
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne
Maire
Mandat
Delphine Griffon
2020-2026
Code postal 89430
Code commune 89422
DĂ©mographie
Population
municipale
42 hab. (2020 en augmentation de 5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 6,4 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 55â€Č 52″ nord, 4° 08â€Č 29″ est
Altitude Min. 225 m
Max. 343 m
Superficie 6,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tonnerre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Tonnerrois
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Trichey
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Trichey

    GĂ©ographie

    Situation

    Trichey se trouve dans la pointe est du dĂ©partement de l'Yonne ; la commune est limitrophe du dĂ©partement de l'Aube par Étourvy, et le dĂ©partement de la CĂŽte-d'Or est Ă  environ 10 km Ă  l'est[1].

    Tonnerre est à 17 km au sud-ouest par la route départementale D202 ; on y trouve la gare de chemin de fer la plus proche de Trichey. Cruzy, son ancien chef-lieu de canton, est à 15 km au sud-est. Ancy-le-Franc est à 23 km au sud, Chaource à 16 km au nord (Aube)[1] - [2].

    La commune n'est desservie que par de petites routes de campagne :

    • D95 (Trichey - Thorey et au-delĂ , la D952 Tonnerre-Arthonay-proximitĂ© de Bar-sur-Seine) ;
    • D202 (Trichey/Quincerot - Tonnerre) ;
    • D162 Quincerot (se prolonge sur Étourvy par la D27 jusqu'Ă  Cussangy)[1].

    Communes limitrophes

    Généralités

    La commune totalise seulement 661 hectares de surface pour une quarantaine d'habitants, et n'inclut aucun hameau. C'est une commune essentiellement rurale, avec un taux d'urbanisation de 0,6%[3]. de Son relief est assez profondĂ©ment marquĂ© dans les craies du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur[4] par la vallĂ©e du Landion qui sĂ©pare la commune en deux dans l'axe nord-sud ; cette vallĂ©e reçoit de nombreuses petites vallĂ©es latĂ©rales elles aussi assez profondĂ©ment creusĂ©es. Entre plateaux et vallĂ©es, les coteaux abrupts montrent un dĂ©nivelĂ© moyen de quelque 50 Ă  60 m d'altitude[1].

    GĂ©ologie

    La carte géologique de la commune[5] montre une composition simple.

    J9[5] sur les plateaux correspond au calcaire du Portlandien, Jurassique supérieur[6]. C'est un calcaire clair, massif, de la barre supérieure du Tithonique[7]

    Sur les coteaux est indiqué J8 - C7[5]. J8 correspond au Kimméridgien, soit une roche marno-calcaire faite de calcaires tendres en alternance avec des marnes à Exogyra (par exemple Exogyra virgula ou Nanogyra nana, espÚces de petites hußtres)[6] ; C7 correspond à des calcaires siliceux lités du Sénonien[7].

    Dans le fond de la vallée principale se trouve un étroit ruban d'alluvions[5].

    A l'ouest et au sud, les deux taches jaune clair marquées « LP » correspondent à des plaques de limons des plateaux (Quaternaire) recouvrant localement la craie du Crétacé. Ces plaques, typiques de la bordure Est du bassin Parisien, sont des formations argilo-limoneuses provenant de la décomposition du calcaire[8].

    Hydrographie

    Il y a peu d'eau Ă  la surface de la commune. Un petit ruisseau prend source dans le village ; c'est la branche sud du Landion, divisĂ© Ă  sa naissance. Cette branche, peut-ĂȘtre saisonniĂšre, est longue d'environ km ; depuis le village elle coule vers le nord et rejoint Ă  Étourvy dans l'Aube l'autre branche du Landion, en provenance de la limite de Quincerot (commune voisine au nord-est) avec Étourvy. Le Landion est un affluent de l'Ource, elle-mĂȘme affluent de la Seine[1].

    Outre ce trÚs petit cours d'eau, la carte d'état-major montre la source dite fontaine de Grivet, à environ 850 au sud de Trichey, prÚs de la route de Rugny (cÎté ouest).

    Urbanisme

    Typologie

    Trichey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [9] - [10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tonnerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (83,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (68,7 %), forĂȘts (16,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Formes successives connues du nom :

    • Treicheium, XIe siĂšcle (cart. gĂ©n. de l'Yonne, II, 29) ;
    • Strichiacum, 1101 (cart. gĂ©n. de l'Yonne, I, 206) ;
    • Tricheium, 1332 (abbaye de Reigny) ;
    • TrichĂ©, 1340 (cart. du comtĂ© de Tonnerre, arch. de la CĂŽte-d'Or)[16].

    Histoire

    L'abbaye de Quincy, fondĂ©e en 1133 Ă  1 km au nord de Tanlay par les moines de Pontigny, est Ă  10 km au sud de Trichey[1]. De rayonnement variable au fil des siĂšcles, elle a abritĂ© jusqu'Ă  environ 150 moines et devait alors ĂȘtre une institution de poids dans la vie locale.

    Les registres paroissiaux de Trichey commencent en 1747[17].

    Jusqu'en 1792 Trichey faisait partie du diocĂšse de Langres, de la province de l'Île-de-France, de l'Ă©lection de Saint-Florentin et du bailliage d'Ervy[18].

    En 1839, 265 personnes vivaient sur la commune[19]. Le maire s'appelait Hugot, son adjoint Guenin, le prĂȘtre Chupier et l'instituteur Boudrey[20]. En 1862 un chĂąteau de Grivet est mentionnĂ© comme dĂ©truit ; il en reste de nos jours le nom donnĂ© Ă  la source dite « fontaine de Grivet » (voir paragraphe « Hydrographie »)[21].

    Faisant partie du canton de Cruzy-le-Chùtel de longue date[22], en 2000 Trichey entre dans la communauté de communes du Tonnerrois créée cette année-là. Le , toutes les communes de cette communauté de communes sont absorbées par la nouvelle communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Gilbert Roux PCF
    En cours Delphine Griffon[23]
    L’horloge de la mairie

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[25].

    En 2020, la commune comptait 42 habitants[Note 3], en augmentation de 5 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    237249278245245265256256237
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    219211211201189186180168156
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    143139126112101101917290
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    856848665753503943
    2020 - - - - - - - -
    42--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Aventin-de-Troyes possĂšde encore des parties du bĂątiment du XIIe siĂšcle. Elle est bĂątie sur un plan d'un parallĂ©logramme irrĂ©gulier, avec une annexe Ă  gauche de la nef. Sa nef mesure 20,80 m x 5,90 m. Sa largeur au niveau de l'autel est de 8,10 m. Sa hauteur varie : 6,15 m dans la nef (assez basse), 6,90 m Ă  l'autel. Elle est munie d'une tour carrĂ©e au-dessus du porche. Autour des combles de la nef se trouve un cordon de modillons en console, du XIIe siĂšcle. Au sud de la nef s'ouvre une baie trĂšs Ă©troite en lancette et chanfreinĂ©e. Autour des combles du chƓur se trouvent des modillons rustiques plus anciens et un chapiteau du XIIIe siĂšcle Ă  crosses. De chaque cĂŽtĂ© du chƓur voĂ»tĂ© sur des nervures de la fin du XVe siĂšcle, s'ouvre une baie Ă  nervures dans le style gothique flamboyant (1420-dĂ©but XVIe siĂšcle. Le chevet droit est percĂ© d'une baie du XIIIe siĂšcle[28].
    • L’église Saint-Aventin.
      L’église Saint-Aventin.
    • Sur le mur d'une maison proche de l'Ă©glise, se tient un chapiteau sculptĂ© de branches et de feuillages, trouvĂ© dans la terre en face de l'Ă©glise[28].
    • Quantin (et d'autres) signalent pour Trichey des cercueils de pierre trouvĂ©s aux Ouches[28], quoiqu'un lieu-dit de ce nom n'apparaisse pas dans les cartes historiques (Cassini, cartes d'Ă©tat-major anciennes et rĂ©centes, ....)

    Dans les environs se trouvent nombre d'autres lieux d'intĂ©rĂȘt, tant local (Ă  Étourvy l'Ă©glise Saint-Georges, les lavoirs et le moulin Ă  farine et Ă  huile, atelier de forge et charronnage Ă  Cruzy, etc) qu'Ă  rayonnement plus large (chĂąteau de Tanlay - 14 km au sud, chĂąteau de Meaulnes Ă  Cruzy, chĂąteau d'Ancy-le-Franc, musĂ©es et monuments Ă  Tonnerre, etc.).

    Protections environnementales

    Une grande partie de la commune de Trichey est incluse dans la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) continentale de type 2 du « Massif calcaire du Tonnerrois oriental et Armançon »[29], soit 30 001,77 hectares sur 44 communes au total. Cette ZNIEFF vise de façon gĂ©nĂ©rale une portion de la vallĂ©e de l'Armançon et un large secteur de plateaux calcaires d'Ăąge jurassique supĂ©rieur et moyen. Le couvert vĂ©gĂ©tal comprend des massifs forestiers faits essentiellement de feuillus, et des cultures intercalĂ©es ; des prairies occupent les fonds de vallĂ©es, les coteaux prĂ©sentent des pelouses sĂšches et des fruticĂ©es. La surface communale d'environ 559 ha[1] concernĂ©e par cette ZNIEFF sur Trichey, inclut presque tout le terrain, habitat compris, au sud de la route D202, exceptĂ© le terrain (env. 4,6 ha compris par la boucle que fait cette route Ă  la sortie de Trichey en direction de Quincerot : Ă  cet endroit la limite nord de la ZNIEFF suit le chemin de la ferme Saint-Nicolas (situĂ©e sur Quincerot)[30].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l'Yonne : comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Paris, imprimerie impĂ©riale, , 167 p. (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Trichey, carte interactive sur geoportail.fr – cartes IGN. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activĂ©es. Vous pouvez moduler, dĂ©sactiver ou supprimer chaque couche (= carte) dans l'onglet de "sĂ©lection de couches" en haut Ă  droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut Ă  gauche.
    2. Trichey sur la carte de google.fr.
    3. « Établissement de Plans de PrĂ©vention des Risques naturels concernant les mouvements diffĂ©rentiels de terrain liĂ©s au phĂ©nomĂšne de retrait-gonflement des argiles dans le dĂ©partement de l’Yonne », sur infoterre.brgm.fr, BRGM, (consultĂ© le ).
    4. Spéléo-club de Chablis, « L'Yonne : Géologie et hydrologie », sur scchablis.com (consulté le ), p. 19.
    5. Trichey, carte gĂ©ologique interactive sur geoportail.fr – cartes IGN. Couches « Cartes gĂ©ologiques » et « Limites administratives » activĂ©es.
    6. Joëlle Masson, « Armançon, carte géologique », sur svt.ac-dijon.fr, (consulté le ).
    7. « Formations stratigraphiques et abréviations utilisées dans les figures (section Drac) », sur geol-alp.com (consulté le ).
    8. M. Donsimoni, « Carte géologique harmonisée du département de la Meuse - notice technique », sur infoterre.brgm.fr, BRGM, (consulté le ), p. 40.
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tonnerre », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    16. « Dictionnaire topographique de la France », sur cths.fr, Comité des Travaux Historiques et Scientifiques (consulté le ), p. 130.
    17. « Quincerot, histoire et patrimoine », sur quincerot.fr (site de la mairie de Quincerot) (consulté le ).
    18. Quantin 1862, p. 130.
    19. Quantin 1839, p. 104.
    20. Quantin 1839, p. 94.
    21. Quantin 1862, p. 63.
    22. Quantin 1839, p. 75.
    23. Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Yonne, Ma Commune, consultĂ© le 3 janvier 2014.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Maximilien Quantin, Répertoire archéologique du département de l'Yonne, vol. 1, Paris, Imprimerie impériale, (réimpr. Res Universis, 1991), 291 p. (lire en ligne), p. 250-251.
    29. « Massif calcaire du Tonnerrois oriental et Armançon » - 260014961. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
    30. « Cartographie de la ZNIEFF du « Massif calcaire du Tonnerrois oriental et Armançon » », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
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