Trévières
Trévières est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 918 habitants[Note 1].
Trévières | |
Une vue du bourg et d'une zone des marais où serpente l'Aure. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Bayeux |
Intercommunalité | Communauté de communes Isigny-Omaha Intercom |
Maire Mandat |
Mireille Dufour 2020-2026 |
Code postal | 14710 |
Code commune | 14711 |
Démographie | |
Gentilé | Trévièrois |
Population municipale |
918 hab. (2020 ) |
Densité | 78 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 18′ 31″ nord, 0° 54′ 15″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 46 m |
Superficie | 11,70 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Trévières (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.trevieres.com |
Géographie
La commune est dans le Bessin. Gros bourg commercial et administratif, elle se situe près d'Omaha beach et à la porte du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin, à 16 km à l'ouest de Bayeux et à 17 km à l'est d'Isigny-sur-Mer[1].
Son territoire est traversé par l'Aure inférieure.
- L'Aure à Trévières.
- Le pont du moulin des fossés sur l'Aure.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Englesqueville », sur la commune d'Englesqueville-la-Percée, mise en service en 1971[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 841,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 36 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Trévières est une commune rurale[Note 7] - [17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65,5 %), terres arables (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), zones urbanisées (5,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes de Treverio en 1172 et Treveriae en 1198[24].
Charles Rostaing considère le toponyme issu de l'anthroponyme latin Treverius[24], tandis que sans certitude René Lepelley décèle le latin trabs, « poutre », évoquant possiblement un chantier[25].
Le gentilé est Trévièrois.
Histoire
En 1858, Trévières (1 100 habitants en 1856) absorbe une petite partie du territoire d'Engranville (commune de 228 habitants, l'autre partie dont le bourg étant absorbée par Formigny)[26] - [27] au nord-est de son territoire.
- Le bourg en 1944.
- Un bulldozer déblayant les rues.
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[31].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2020, la commune comptait 918 habitants[Note 8], en diminution de 1,5 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Trévières a compté jusqu'à 1 160 habitants en 1861.
Économie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Aignan possède un clocher roman du XIIe siècle classé aux monuments historiques[37] restauré lors de la Reconstruction. Le reste de l'édifice a été reconstruit à la fin du XIXe siècle, mais de l'autre côté du clocher par rapport à la position initiale. L'église a donc une orientation inhabituelle, chevet à l'ouest[38]. À l'intérieur, on peut admirer un superbe vitrail à la mémoire des officiers et des soldats du 377e régiment de la 95e division d'infanterie américaine.
- Le Beau Moulin (anciennement Bosq-Moulin) du XVIIe siècle est également classé ainsi que son bief[39].
- Le manoir de la Ramée. Au milieu du XIe siècle, un Escajeul (Ecajeul) est en possession du chastel de la Ramée[40].
- La maison natale d'Octave Mirbeau.
- Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918 est une statue casquée personnifiant la Victoire. Sculptée par l'ancien maire Edmond de Laheudrie et inaugurée le , elle porte la trace des combats pour la libération de 1944[41]. Un obus tiré depuis Omaha a emporté le visage de la statue de bronze qui est restée dans son état jusqu'à nos jours. Sur le monument, une plaque rappelle la bataille de Normandie. Devenue un symbole des gueules cassées, l’œuvre a été copiée pour être placée à l'entrée du National D-Day memorial (en) de Bedford (Virginie) ; baptisée The lady of Trévières, elle est inaugurée par le président George W. Bush le [42] - [43] - [44].
L'église Saint-Aignan. Le Beau Moulin et son bief. La maison natale d'Octave Mirbeau.
Jumelages
- Stokeinteignhead (Royaume-Uni) depuis 1976.
Sports et associations
L'Union sportive trévièroise fait évoluer une équipe de football en division de district[45].
- Autres clubs[46]
- Club de taekwondo
- Judo-Club
- La Pétanque trévièroise
- Tennis-Club
- L'Amicale de cyclotouristes
- Amicale des chasseurs de gibier d'eau d´eau de la vallée d'Aure
- Société de pêche
- Association Marais Page
- Les Volants trévièrois
- Omaha Bedford
- Association des parents d'élèves de l'école publique
- Le Déclic Photo Club
- Comité de jumelage
- Maison des associations
- Les Joyeux Colibris
- ADMR de l'Aure
- OGEC Notre-Dame
- Association Sol fa marais do
- Association Cinéma Le Normandy
- Loisirs pour tous
- Enfants DO
- Bibliothèque pour tous
- Amicale des sapeurs pompiers
- Trévières Danse
- Anciens Combattants
- Association des parents d'élèves école Notre-Dame
- Comité des fêtes
- Danse africaine au rythme du soleil
- Club de plongée Tek Plongée Odyssée
- SHR Société hippique rurale
Festival du livre
La ville de Trévières organise annuellement un festival du Livre qui décerne depuis 2004 le prix Octave-Mirbeau. Ce prix littéraire récompense annuellement un roman francophone, essentiellement en relation avec la Normandie. La liste des lauréats du prix sont[47] :
- 2004 : Les Chiens de Ghriss de Serge Launay, (L'Harmattan)
- 2005 : Les hommes pleurent souvent seuls de Hubert Bodin (éditions Cheminements)
- 2006 : Mathilde ou les écirs de la passion de Martine Maury (éditions Créer)
- 2007 : Nena de Mundsen Mika (éditions Le Manuscrit)
- 2008 : Omaha crimes de Michel Bussi (éditions PTC Normandie)
- 2009 : Un peu de neige dans la mer de Jacques Grieu (éditions Pierregord)
- 2010 : Traverser l'oubli de Sophie Lucet (éditions du Seuil)
- 2011 : Les Taiseux de Jean-Louis Ezine (éditions Gallimard)
- 2012 : Kimya de Bruno Moutard (éditions Apart)
- 2013 : En vieillissant les hommes pleurent de Jean-Luc Seigle (éditions Flammarion)
- 2014 : Mémoire à bout portant de François-Michel Dupont (éditions Le Vistemboir)
- 2015 : Les Anges de la cité de Jean-Paul Halnaut (éditions des Falaises)
Personnalités liées à la commune
- Octave Mirbeau (1848 à Trévières - 1917), écrivain.
- Edmond de Laheudrie (1861-1946), sculpteur et historien, ancien maire (de 1896 à 1900).
- Roger Jouet, conseiller général, conseiller régional, maire de 1971 à 1994.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Englesqueville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trévières et Englesqueville-la-Percée », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Englesqueville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trévières et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 259
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Engranville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Annuaire du département du Calvados... », sur Gallica, (consulté le ).
- « La Légion d'honneur pour quatre maires du Bessin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Jean-Pierre Richard amoureux de Trévières », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- Réélection 2014 : « Trévières (14710) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Mireille Dufour a été élue maire de Trévières », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
- « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le patrimoine des communes du Calvados, vol. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1715 p. (ISBN 2-84234-111-2), p. 1552.
- « Moulin du Bosq, dit le Beau Moulin », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernard Gourbin (préf. Christian Nisse, introduction Pierre Brunet), Fermes-manoirs du Bessin, Bayeux, Éditions OREP, , 80 p. (ISBN 978-2-8151-0207-0), p. 30.
- « Monument à Trévières | Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le ).
- « Insolite : l'incroyable monument aux morts de Trévières », sur lamanchelibre.fr (consulté le ).
- Serge Philippe Lecourt, « Trévières : la gueule cassée », sur Monuments aux morts de Normandie et d'ailleurs, (consulté le ).
- « 1921 – 2014 La Lady de Trévières », sur Ville de Trévières (consulté le ).
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US Trévières » (consulté le )
- http://www.trevieres.eu/associations.html
- Prix Octave-Mirbeau sur le site www.prix-litteraires.net
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- Charles d'Hozier, Armorial général de France, vol. 23 (lire en ligne), p. 13
- « Trévières dans l'histoire », sur trevieres.eu
Voir aussi
Bibliographie
- Edmond de Laheudrie, Histoire du Bessin des origines à la révolution, Caen, L. Jouan et R. Bigot, 1930
- Edmond de Laheudrie, Recherches sur le Bessin. Trévières : monographie d'une paroisse rurale du Bessin des origines à la fin du XIXe siècle, Bayeux, René-P. Colas, 1948 ; rééd. Paris, Res Universis, 1990 (ISBN 2877602893)
- Collectif, Entre mer et marais de Trévières, Calvados diffusion, 2004
Articles connexes
Liens externes
- Le site municipal
- Résumé statistique de Trévières sur le site de l'Insee
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
- « Le monument de Trévières - Fortifications, sites et lieux de Mémoire. », sur memoire-et-fortifications.fr (consulté le )