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Theizé

Theizé, parfois nommée Theizé-en-Beaujolais, est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Theizé
Theizé
Entrée du village.
Blason de Theizé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement RhĂ´ne
Arrondissement Villefranche-sur-SaĂ´ne
Intercommunalité Communauté de communes Beaujolais-Pierres Dorées
Maire
Mandat
Christian Vivier-Merle
2020-2026
Code postal 69620
Code commune 69246
DĂ©mographie
Population
municipale
1 324 hab. (2020 en augmentation de 18,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 111 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 56′ 26″ nord, 4° 37′ 02″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 603 m
Superficie 11,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Val d'Oingt
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Le Bois-d'Oingt
Localisation
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Theizé
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Theizé
Liens
Site web theize-en-beaujolais.com

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune se situe au sud-ouest de Villefranche-sur-Saône et à l'ouest de l'autoroute A 6 (autoroute du soleil). La départementale 338 passe en limite est de la commune et permet de rejoindre Villefranche. La D 96 passe dans le village, la D 19E y aboutit.

    L'occupation du sol est majoritairement viticole.

    La topographie varie de 237 Ă  603 mètres. Le village est implantĂ© sur un coteau, autour de 450 mètres d'altitude.

    Il surplombe la vallée du Merloux, ruisseau qui prend sa source dans la commune à proximité du hameau du Marquison puis se jette dans le Morgon, affluent de la Saône, sur la commune de Gleizé. La vallée forme un lacet en U tout autour du village. Le ruisseau prend sa source au lieudit le Marquison, en limite nord-ouest, descend vers le sud-est jusqu'au Beauvallon, continue vers l'est puis change à nouveau de direction vers le nord-est en longeant les coteaux boisés des Bois Bourland et Bois Brûlé[1].

    Église de Theizé
    Église de Theizé.

    Urbanisme

    Typologie

    TheizĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Val d'Oingt, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[5] et 11 366 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (47,9 %), prairies (29,2 %), forêts (14,1 %), zones urbanisées (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    • Première mention de TheizĂ© au XIe siècle : le village vit dans l'ombre de son puissant voisin, Oingt, dont les seigneurs dominent la rĂ©gion.
    • En 1217 puis en 1221, Guichard III d'Oingt, dĂ©pensier, demande de l'argent Ă  son seigneur-suzerain, le comte-archevĂŞque de Lyon, Renaud de Forez. En Ă©change, celui-ci lui demande de cĂ©der ses droits et usages sur la paroisse de TheizĂ© Ă  l'abbaye de Savigny : TheizĂ© entre dans l'orbite de Lyon (et de Savigny) jusqu'Ă  la RĂ©volution.

    Les Muscadins de Theizé[12]

    Un épisode de l'histoire lyonnaise a pour cadre la commune de Theizé et plus généralement les Bois d'Alix tout proches. Il a durablement marqué la mémoire collective dans la commune voire dans tout le sud du Beaujolais. Il s'agit de la retraite que firent en , les troupes royalistes du général Précy alors que la ville allait être investie par les forces de la Convention.

    L'objectif de ces soldats et des civils qui les accompagnaient (entre 1 500 et 3 000 personnes selon les sources crĂ©dibles) Ă©tait de passer la SaĂ´ne au niveau de TrĂ©voux, puis de gagner la Suisse. Le vers 9 h du matin, ils empruntèrent la porte de Vaise. SerrĂ©s par la troupe de ligne, harcelĂ©s par les habitants des campagnes traversĂ©es, ces soldats appelĂ©s aussi « Muscadins Â», gagnèrent la commune de MorancĂ©, après douze heures de marche et de combat.

    Cette colonne forte de 250 à 500 hommes et toujours commandée par Précy, se dirigea ensuite vers les bois d'Alix, où les royalistes purent prendre une heure ou deux de repos dans le froid et l'humidité. Il apparaît que la débandade qui avait commencé dès la plaine des Chères, s'est alors amplifiée, beaucoup préférant rechercher le salut individuellement ou par petits groupes. Cependant, un habitant de Theizé, le boulanger Antoine Danguin, commissaire du canton du Bois d'Oingt, s'employait à faire cerner les bois d'Alix en disposant alentour des piquets de gardes nationaux des communes de Frontenas et de Theizé. Au sortir des bois d'Alix, aux confins des communes d'Alix, Frontenas et Theizé, le général Précy, confronté à un de ces piquets, prit pour guides les quatre hommes qui le constituaient. Lui et ses compagnons allaient alors errer pendant plus de 24 heures, principalement sur le territoire actuel de la commune de Theizé.

    Le onze au matin le reste des troupes lyonnaises se rassemble à Oingt pour filer vers Saint Romain de Popey, terme tragique de son périple. Les derniers muscadins (80 à 100) sont en effet exécutés ou capturés par les hussards soutenus par une foule de gardes nationaux venus de tout le département. Le général Précy, quant à lui, parvient à s'enfuir et à trouver refuge à Sainte-Agathe-en-Donzy. S'il est avéré que les fugitifs lyonnais ont eu affaire tout au long de leur trajet aux attaques des habitants des campagnes alertés par les autorités conventionnelles, il est également établi que cette traque a pris une certaine ampleur dans les bois d'Alix, à proximité de Theizé.

    Au XIXe siècle, l'activité économique de la commune tourne autour de la viticulture qui, comme partout en Beaujolais, connaît un fort développement et des carrières de pierres dorées. De nombreuses maisons bourgeoises sont alors construites dans le village comme dans les hameaux de la commune (Boîtier, Ruissel...). L'expansion viticole ralentit avec la crise du phylloxéra qui pénètre le Beaujolais à partir de 1871.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2008 en cours Christian Vivier-Merle LR viticulteur, conseiller départemental depuis 2021
    1995 2008 Jean-François Garlon DVD viticulteur
    1974 1995 Michel Moriaud DVD viticulteur
    1971 1974 Pierre Bernard notaire
    1944 1971 Claude Ramet Radical viticulteur
    1939 1944 Louis Laverrière
    1931 1939 LĂ©on Fonbonne
    1904 1931 Robert Lacroix hĂ´telier
    1897 1904 Pierre Brossette-Yvernai
    1888 1897 Jean-Antoine Fonbonne
    1881 1888 Joannès Laverrière
    1879 1881 Jean-Antoine Fonbonne
    1870 1879 Joannès Laverrière
    1869 1870 Antoine Chalus - 1er adjoint
    1860 1869 Jean Delacolonge
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].

    En 2020, la commune comptait 1 324 habitants[Note 3], en augmentation de 18,11 % par rapport Ă  2014 (RhĂ´ne : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0491 0009471 1161 0381 1051 0301 1031 060
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0451 1361 1731 2141 2021 2051 2431 1031 138
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1431 1631 079815752748690643648
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6726437818749159991 0381 0431 088
    2017 2020 - - - - - - -
    1 2471 324-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Festival de musique classique : Les Rendez-vous de Rochebonne, depuis 2005, en septembre.
    • Festival de théâtre : Les Rencontres de TheizĂ©, depuis 2012, en juin.

    Enseignement

    • École maternelle et primaire.

    Économie

    • Boulangerie
    • Restaurant « La FeuillĂ©e Â»
    • Salon de coiffure
    • ZAC du Maupas

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Rochebonne, rasĂ© pendant la guerre de Cent Ans, puis reconstruit au XVIIe siècle par un membre de la famille de Madame de SĂ©vignĂ©
    • Le château de Rapetour
    • Le château de Cruix
    • Église : elle est construite entre 1898 et 1905. Son clocher (inachevĂ©) domine la place principale du village.
    • La vieille Ă©glise : sa nef romane, date des XIIe et XIIIe siècles (restes d'arcatures romanes et prĂ©sence d'un armarium dans le mur nord). Agrandie au XVIe siècle en style gothique flamboyant, par la crĂ©ation d'un superbe chĹ“ur Ă  clĂ© de voĂ»te pendante (datĂ© de 1536) et l'adjonction de quatre chapelles latĂ©rales (cĂ´tĂ© Sud). Elle est rĂ©amĂ©nagĂ©e en 1608 avec la construction d'un narthex et probablement Ă  la mĂŞme Ă©poque, d'un escalier Ă  vis communiquant avec le château de Rochebonne.
    • L'Ă©glise Saint-Antoine de TheizĂ© (ou nouvelle Ă©glise), bâtie entre 1903 et 1905.
    • Chapelle Saint-Hippolyte : rĂ©Ă©difiĂ©e en 1602 par Claude Meyssonnier, curĂ© de TheizĂ©.
    • La Madonne, Ĺ“uvre du sculpteur lyonnais FĂ©lix Dumas, qui domine le village et le protège, bĂ©nite par le cardinal-archevĂŞque de Lyon Pierre Gerlier le 22 aoĂ»t 1943.
    • La Croix des Enfants, Ă©difiĂ©e en 1567, situĂ©e place de l'Église : il s'agit d'une colonne appelĂ©e «Croix des Enfants de TheizĂ© » ou « Croix des Tailleurs de Pierre » Ă©rigĂ©e le .On retrouve les emblèmes des tailleurs de pierre sur le fĂ»t : le marteau taillant, le niveau, le compas et le ciseau ainsi que l’inscription : «  MOT FAICT FAIRE LES ENFANTS DE THEYSE LE Per 1567 » Dans les niches ont Ă©tĂ© placĂ©s en 1996 : la Vierge, Saint Antoine – ermite – patron de la paroisse (et son cochon), Saint Roch (avec son roquet, fidèle compagnon qui le soulageait en lĂ©chant la plaie de sa jambe) et Saint Claude, Ă©vĂŞque, patron des tailleurs de pierre.
    • Nombreux lavoirs (au village, en Radix...) puits et croix dispersĂ©s sur le territoire communal.
    • Cabanes de pierres sèches : Au dĂ©but des annĂ©es 1980, la commune comptait encore 25 cabanes en pierre sèche, rĂ©parties aux environs de Beauvallon, du Bansillon et de Ruissel. Leur dĂ©nomination locale est celle de cabane (on disait « la cabane des Autrichiens Â», « la cabane du Blanc Â», etc.) mais, avec l'influence du tourisme et des mĂ©dias, elles sont parfois baptisĂ©es cadoles ou cabornes. Construites en pierres rougeâtres tirĂ©es des strates superficielles du socle calcaire bajocien, elles sont le rĂ©sultat de l'amĂ©nagement et l'amĂ©lioration des parcelles de vigne et de l'habitat temporaire dans la première moitiĂ© du XIXe siècle. Si certaines cabanes ont servi simplement d'abris contre la pluie ou de resserres Ă  outils, d'autres, dotĂ©es d'Ă©lĂ©ments de confort (cheminĂ©e, placard mural, fenĂŞtre, etc.), ont pu servir d'habitation temporaire Ă  des « forains Â», gens venant d'une commune voisine mais ayant une vigne Ă  TheizĂ©[17] - [18]. Deux Ă©difices, les cabanes Voyle et Berillon, sont inscrites Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques depuis le .
    • La tour Chappe (dite « de la Citadelle »), au sommet du Bansillon (Ă  570 mètres d'altitude), qui date de 1807 et assurait autrefois le relais du tĂ©lĂ©graphe Chappe entre le clocher de la chapelle de Saint-Bonnet Ă  Montmelas et la tour de Marcy-sur-Anse (56e tour sur un total de 116 composant la ligne Chappe Paris-Toulon).
    • Château de Cruix.
      Château de Cruix.
    • Château de Rochebonne.
      Château de Rochebonne.
    • DĂ©tail du château de Rochebonne.
      Détail du château de Rochebonne.
    • Croix des Enfants.
      Croix des Enfants.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Theizé

    Les armes de Theizé se blasonnent ainsi : d'azur au tau de gueules bordé d'or, au sarment de vigne alésé posé en bande, avec une vrille en chef et une grappe de raisin en pointe à dextre, une feuille en chef et une vrille en pointe à senestre, le tout d'argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte IGN
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Val d'Oingt », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. D'après J. Branciard, Les Muscadins de Theizé : histoire et mémoire, Villefranche-sur-Saône, Éditions du Poutan, 2009
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    17. René Corgier, Constructions en pierre sèche en Beaujolais. Les cabanes de Theizé, in L'architecture vernaculaire, t. 7, 1983, p. 20-31.
    18. Madeleine Cahen, Les cabanes en pierres sèches de Theizé-en-Beaujolais (Rhône) in L'Architecture vernaculaire, t. 5, 1981, p. 66-70.
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