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Solidarité internationale (concept)

La notion de solidarité internationale rassemble les actions et attitudes de prise en compte des inégalités ou d'injustices entre pays ou entre un pays et des entités d'autres pays, ou entre les individus d'un pays autre pour les comprendre afin de, tant que possible, les résoudre ou les combattre, de manière solidaire.

Les actions soutenues sont le plus souvent de type Nord-Sud, mais peuvent aussi être Est-Ouest ou de coopération décentralisée entre territoires, ou encore concerner une population discriminée dans un pays (ex Roms en France, avec en 2007, l'attribution par le HCCI (Haut Conseil de la coopération et de la solidarité internationales) du « prix de l’information du public sur la coopération pour le développement » décerné, ex æquo au Comité français pour la Solidarité Internationale (CFSI) pour son programme d’éducation au développement « Alimenterre »[1] et au Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) pour sa campagne d'information sur les droits de la population rom intitulé « Roms, gitans, manouches, citoyens à part entière ».
Elle est mise en œuvre par des individus, groupes et collectivités avec des relations plus ou moins durables et réciproques (du paternalisme à une relation de réciprocité, en passant par l'assistance d'urgence, etc.).

D'abord conçue, organisé par ou avec de grandes institutions[2] telles que l'ONU et ses agences (UNESCO, UNICEF, OMS, OIE, la Banque mondiale, FMI, ou encore de grandes ONG telles que la Croix rouge internationale, Oxfam, Médecins du monde, Amnesty International, Survival International, le Secours catholique, WWF, Greenpeace, etc. La solidarité internationale s'est aussi développée dans le monde des collectivités avec la coopération décentralisée[3]. Depuis les années 1990, elle donne souvent une grande importance au caractère soutenable des projets qu'elle porte ou finance[4] - [5] et chez les particuliers et de petits groupes (« Ménagères, enseignants, étudiants, retraités, entrepreneurs, artisans et artistes »[2].

Histoire

La solidarité internationale trouve une partie de ses origines dans les projets civilisationnels ou de missions religieuses qu'ont eu (ou qu'ont encore) divers états ou groupes religieux dans le passé[6]. De nombreuses ONG confessionnelles continuent à s'impliquer dans des activités de solidarité internationale.

Les grands thèmes étaient et sont encore la santé, l'éducation, l'agriculture, l'élevage et la pêche, les droits de l'homme, des femmes et des enfants en particulier, la distribution de l'eau, l'assainissement, la création et l'entretien d'infrastructures, l'environnement et l'économie… et des thèmes émergents sont par exemple l'énergie solaire, les nouvelles technologies et l'internet.

Mais alors que les financements des États tendent à diminuer malgré les promesses faites lors de grandes réunions internationales, la mise en œuvre de cette solidarité tend à se démocratiser avec une multitude de projets nommés « initiatives de particuliers » aux Pays-Bas ou « groupes de solidarité » « initiative ou implication citoyenne » en Belgique. Outre des projets principalement centrés sur la récolte de fonds, parallèlement à de grands projets nationaux, une multitude de petits projets très locaux concernent un puits, un hôpital, un dispensaire, une école, la fourniture de fours améliorés, de semences ou d'un cheptel de chèvres, vaches, buffles ou ânes, de panneaux solaires, de dispositifs de méthanisation, compostage, le montage d'une coopérative solidaire ou de réseaux de vente de produits issus de l'agriculture biologique ou écocertifiés, la protection, gestion ou restauration de l'environnement, l'eau, la gestion des déchets, le tourisme durable ou solidaire etc. avec un soutien temporaire, ou plus étalé dans le temps intégrant alors des dispositifs de formation (dans le pays aidé ou dans le pays d'aide par exemple via des aides ou bourses accordées aux étudiants et stagiaires des pays à faibles revenus), d'entretien de matériel, d'évaluation/audits, etc.

Beaucoup d'initiatives portent sur les milieux ruraux, alors que des besoins croissant existent aussi en ville et dans les zones de périurbanisation qui augmentent exponentiellement dans la plupart des pays dits "en développement".

En termes d'importance donnée aux processus démocratiques, les très grands acteurs étatiques ont grossièrement deux approches en partie opposées (Consensus de Washington, qui insiste sur le libre échange) et Consensus de Pékin qui insiste sur la dotation en infrastructures de transports et techniques et la non-ingérence).

Des notions émergentes comme celle des générations futures, des biens publics mondiaux[7], des services écosystémiques prennent de l'importance, mais peinent à être intégrées de manière large et cohérente.

Enjeux

Depuis le début de l'anthropocène, le nombre et la gravité des "catastrophes" (naturelles et technologiques) qui touchent des humains et des établissements humains tend à augmenter avec la démographie et les crises économiques, sociales, environnementales. Malgré l'existence de l'ONU et d'un nombre croissant de traités internationaux, des guerres ou des situations de non-respect des droits fondamentaux persistent ou éclatent périodiquement.

La question de l'endettement et du remboursement de la dette du tiers-monde ou du poids des restructurations demandées par la banque mondiale en échange de ses aides interfèrent également avec les processus de solidarité.

La mondialisation a fortement modifié les relations de dépendances et d'interdépendance entre les hommes, les états, les économies et les ressources naturelles, les grandes crises (climatiques et de la biodiversité notamment) renforcent le caractère international voire planétaire des enjeux de solidarité[8].

Les enjeux sont à la fois de court terme (réponse aux urgences, réponse post-crise, reconstruction) et de moyen et long terme (prévention, éducation, santé…) ;

Les grands sujets les plus traités concernent notamment la santé (prévention incluse), l'alimentation et l'agriculture, l'environnement et la réparation de catastrophes (naturelles ou anthropiques), l’éducation ainsi que le développement social, économique et démocratique, l'équité et l'égalité des chances. Des principes, cible et indicateurs hiérarchisés sont proposés par l'ONU via les Objectifs du Millénaire pour le développement[9].

Le philosophe français Edgar Morin, considéré comme l'un des grands penseurs vivants, s'intéresse à l'avenir de Terre et de l’Humanité dans le cadre de la théorie des systèmes. Pour lui, la solidarité internationale est fondamentale pour atteindre cet objectif. Il nous alerte de la complexité du problème, de la nécessité de trouver des solutions comme une urgence mondiale et proclame qu'une méthode interdisciplinaire est essentielle pour obtenir des résultats de base. Il dit que les solutions ne seront pas seulement scientifiques mais principalement politiques[10] - [11].

Limites

La solidarité internationale ne peut se développer ou se développe difficilement dans les zones de conflits, de non-droit ou dans les territoires qui lui sont fermés pour des raisons politiques (Corée du Nord, Chine…) ou qui sont peu accessibles (populations dispersées dans la jungle...).

Acteurs

Ce sont

  • les États (sous l'Ă©gide d'un ministère des affaires Ă©trangères le plus souvent, avec les ministères thĂ©matiques concernĂ©s par les prioritĂ©s retenues par un programme particulier (culture, environnement, santĂ©, etc) ;
  • des collectivitĂ©s publiques et territoriales (et leurs agences) ;
  • des ONG internationales et spĂ©cialisĂ©es (associations humanitaires notamment), ainsi que des associations diverses plus ou moins reconnues ou accrĂ©ditĂ©es par l'ONU, des États, etc. dont associations « altermondialistes » ;
  • des institutions religieuses (avec ou sans prosĂ©lytisme)
  • des entreprises privĂ©es ;
  • des groupes divers dont fondations, Ă©coles, groupes d’amis, associations de migrants et Organisations de solidaritĂ© issues des migrations (OSIM)[12], syndicats, organisations professionnelles, clubs sportifs, hĂ´pitaux, centres de recherche, théâtres, zoos, mutualitĂ©s, groupe de retraitĂ©s, etc. Ces acteurs font partie de ce que certains appellent le 4e pilier de la solidaritĂ© internationale[2]. Ă€ titre d'exemple ils Ă©taient impliquĂ©s selon un recensement de 2004 en Belgique dans 809 initiatives citoyennes avec 592 ASBL ou ONGD mobilisĂ©s et 148 partenariats communaux ou provinciaux[2]. Ils contribuent Ă  une dĂ©mocratisation et dĂ©centralisation de la solidaritĂ© [2] et au financement des ONG et de grands projets[2]..
  • des mĂ©dias ;
  • des organismes ou individus donateurs, dont les bailleurs Ă©mergents[13]

Tous les membres de la société peuvent y contribuer, par un soutien financier, matériel, logistique, méthodologique en temps de bénévolat, par la participation à des "campagnes", ou encore par des formations ou des échanges de connaissances ou de compétences, par l'ouverture de brevets ou par l'ouverture de données (open data…).

En France des agences (ex : Agence française de développement, mais aussi l'Ademe, les Agences de l'eau…) ou des organismes parapublics (IFREMER, IRSTEA, IRD…) peuvent aussi accompagner l'État et les ONG dans certaines actions de coopération et de solidarité. Un autre groupe d'acteurs est issu de l'immigration[14], qui peut susciter ou faciliter une coopération ciblant plutôt le pays d'origine.

Certains acteurs se sont spécialisés et professionnalisés, au point que se dessinent des compétences organisationnelles et un ou des métier(s) très spécifique(s)[15]. Certains auteurs comme Naëlou estiment que c'est un piège pour les valeurs et l'indépendance des ONG[16]

Financement

Il provient de budgets nationaux et internationaux (sous l'égide de l'ONU notamment), de dons versés à des ONG ou des associations (dons qui peuvent être défiscalisés), mais s'appuie aussi sur des approches non marchandes (SELs, réseaux d'échanges…) ou la finance solidaire et la microfinance), etc.

En Belgique

IL existe une Cellule d’Appui pour la Solidarité Internationale Wallonne, un Instituut voor Internationale Arbeidsvorming, le Vlaams Agentschap voor Internationale Samenwerking et un Conseil Wallonie-Bruxelles de la Coopération Internationale, qui peuvent notamment souvenir des « initiatives populaires de Solidarité Internationale », dont avec la République démocratique du Congo qui entretient des liens historiques privilégiés avec la Belgique[2].
En Belgique, 19 communes de la région bruxelloise et près de 90 % des 308 communes flamandes ont un échevin pour la coopération au développement (ou pour la solidarité internationale et les relations Nord/Sud), et en Wallonie (moins riche) une centaine des 267 communes ont un échevin qui exerce la même fonction[2]. L'association (ONGD) Volens (Volontaires de l'enseignement) depuis 1964 œuvre à la solidarité et coopération dans le domaine de l'enseignement ; En 2005, « Volens et son réseau de groupes de solidarité soutiennent les actions et les opérations de quelque 300 organisations locales dans 25 pays d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie, qui œuvrent à l’inclusion des personnes et des groupes exclus et marginalisés »[2].

En France

Dans la législation nationale

Sur la base notamment des rapports de Denis Samuel-Lajeunesse (1989) puis de Stéphane Hessel (1990)[17], et des Assises de la Coopération et de la Solidarité internationale assises tenues en octobre 1997 sous l'égide de Jacques Pelletier et de Charles Josselin (secrétaire d’État à la Coopération), il est proposé d'instituer un Haut Conseil de la coopération et de la solidarité internationales pour « favoriser une meilleure concertation entre les acteurs afin de rendre plus efficaces les efforts déployés en faveur de la solidarité internationale »[17] Une réforme du dispositif français de coopération crée le un Haut Conseil de la Coopération Internationale (consultatif, dans un esprit de « démocratie participative ».) à cet effet. Il est supprimé (par décret) par le gouvernement de François Fillon le [18] après que Charles Josselin (Vice-président du HCCI, Sénateur, ancien ministre) ait appelé de ses vœux un « Grenelle de la coopération internationale ». Ne pas le faire, c’est non seulement se priver du soutien de l’opinion publique française, c’est aussi renoncer aux bénéfices d’une « diplomatie non gouvernementale » de plus en plus déployée, et engagée dans une structuration en réseaux internationaux où les approches locales se confrontent à des visions globales » [19]

En 2003, un projet de loi précise le contenu et les conditions du « Contrat de volontariat de solidarité internationale » (constitue un service civique effectué à l'étranger); La loi est votée le [20].

La France a voulu mettre à jour son cadre législatif sur la solidarité internationale.

  • Des « Assises pour le dĂ©veloppement et la solidaritĂ© internationale [21] ont fait un point sur la question et un « ComitĂ© interministĂ©riel de la coopĂ©ration internationale et du dĂ©veloppement » s’est tenu le . Ils ont rĂ©flĂ©chi Ă  la dĂ©finition de ce que seraient les prioritĂ©s d’un agenda international de dĂ©veloppement post-2015 ;
  • Un projet de loi d’orientation et de programmation relative Ă  la politique de dĂ©veloppement et de solidaritĂ© internationale a Ă©tĂ© rĂ©digĂ©. Il promeut le dĂ©veloppement durable ; avec comme prioritĂ©s : lutter contre la pauvretĂ© extrĂŞme et rĂ©duire les inĂ©galitĂ©s ; dĂ©fendre les libertĂ©s fondamentales ; dans le respect du droit, des normes, principes et critères internationaux relatifs sur les droits humains et droits sociaux, notamment en aidant les femmes Ă  pouvoir se mobiliser. Il promeut aussi le dĂ©veloppement soutenable et la restauration, protection et gestion de l’environnement et des ressources naturelles, notamment en Lutte contre le rĂ©chauffement climatique ;
  • En , le Premier Ministre a sollicitĂ©[22] l'avis du CESE sur ce projet de loi[23], avis votĂ© par le CESE le (158 votes pour - 7 abstentions). Dans cet avis, le CESE se dit satisfait que l’on traite ce sujet, valide certaines prioritĂ©s transversales, mais suggère Ă  l’État et au lĂ©gislateur de renforcer dans ce projet :
  1. la « défense des droits de l’homme, des droits civils et politiques, des droits économiques, sociaux, culturels et des libertés fondamentales » ;
  2. la définition de la Responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSE) « en l’élargissant à la responsabilité sociale et environnementale des entreprises et des organisations » ;
  3. « la place de l’aide humanitaire comme composante majeure de la solidarité internationale ».

Le CESER encourage aussi une hiérarchisation des secteurs d’intervention autour de deux axes :

  1. l’éradication de la pauvreté via la lutte contre la faim par la consolidation de l’agriculture vivrière et familiale, le renforcement des actions en matière de santé, de protection sociale et d’éducation ;
  2. « l’appui au décollage économique des pays pauvres par notamment une concentration des efforts sur la mise en place d’infrastructures, l’affermissement du rôle des PME-PMI, de l’économie sociale et solidaire et une accélération de la marche vers une économie verte et inclusive ».

Un Conseil national pour le développement et la solidarité internationale (CNDSI) a été créé en 2014, il est une instance de dialogue et de concertation régulière entre l’ensemble des acteurs du développement et de la solidarité internationale.

Notes et références

  1. Plate-forme du programme Alimenterre
  2. De Bruyn, T., Godin, J., & Pirotte, G. (2010). L’émergence de nouveaux acteurs de la solidarité internationale en Wallonie et à Bruxelles: une enquête exploratoire sur le «quatrième pilier» (Avec une étude de cas : les Groupes de Solidarité Volens) (PDF, 115 pages, en ligne avec /hiva.kuleuven.be), 24 juin 2010, Institut des sciences humaines et sociales de l'Université de Liège. Voir notamment p. 28, 31. Et voir p. 79 pour la description de Volens
  3. Raffoul, M. (2000). La coopération décentralisée, nouveau champ de la solidarité internationale. Le monde diplomatique, 22.
  4. Haut Conseil de la Coopération Internationale (2005). Critères de développement durable appliqués aux actions de coopération et de solidarité internationale. PDF, 41 pages
  5. Nicolas, Y. (2006). Développement durable et solidarité internationale. Enjeux, bonnes pratiques.
  6. Prudhomme, C. (2007). De la mission aux ONG de solidarité internationale: quelle continuité ? Les ONG confessionnelles. Religions et action internationale, 55-69 (lien vers hal.archives-ouvertes
  7. Rapport annuel 2007-2008, La documentation française, (pour les BPM, biens publics mondiaux, voir pages 7, 8, 68 et 82 notamment)
  8. Favreau, L., & Fréchette, L. (2002). Mondialisation, économie sociale, développement local et solidarité internationale. Puq (compte-rendu).
  9. Nations Unies, O. (2009). Objectifs du Millénaire pour le développement
  10. Towards Ecologised Thought. Interview en anglais avec Edgar Morin
  11. HAVING TO BE – article en anglais résumant la pensée de Morin sur la sauvegarde de la Terre
  12. Fafrad.org Implication des OSIM dans la solidarité internationale ; Dossier Partenariat nord-sud
  13. Groupe URD (2009), Les bailleurs émergents de l’aide humanitaire ; mars - juillet 2009, pour le CDC / MAEE
  14. Daum, C. (2000). Typologie des organisations de solidarité internationale issues de l’immigration. GREM.[82]
  15. Freyss, J. (2004). http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/tiers_1293-8882_2004_num_45_180_5527 La solidarité internationale, une profession ?]. Revue tiers monde, (4), 735-772.
  16. Le Naëlou, A. (2004). ONG: les pièges de la professionnalisation. Revue Tiers Monde, (4), 727-734.
  17. « Le Haut conseil de la coopération internationale », sur Association des Maire de France et des… (consulté le ).
  18. Décret no 2008-273 du 20 mars 2008 supprimant le Haut Conseil de la coopération internationale
  19. Rapport annuel 2007-2008 la documentation française, (pour les BPM, biens publics mondiaux, voir page 9)
  20. Loi no 2005-159 du 23 février 2005 relative au contrat de volontariat de solidarité internationale ; Version consolidée au 19 décembre 2012
  21. Assises qui se sont déroulées de novembre 2012 à mars 2013 avec des représentants du monde du développement et de la solidarité internationale tels qu’élus parlementaires français et européens, élus locaux, représentants des organisations non gouvernementales, des syndicats de salariés et d’employeurs, des établissements de recherche et d’enseignement supérieur, des entreprises et des fondations et représentants des administrations
  22. Le Premier Ministre sollicite l'avis du CESE sur le projet de loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationaleUne saisine confiée à la section des affaires européennes et internationales
  23. Projet de loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale ; plénière du 27 novembre 2013

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Favreau, L. (1993). Mouvement associatif et ONG (du Nord et du Sud) Ă  l'heure des partenariats. CoopĂ©ratives et dĂ©veloppement, 25(2), 7-26.
  • TroubĂ©, C. (2006). L'humanitaire en turbulences: les ONG face aux dĂ©fis de la solidaritĂ© internationale. Éditions Autrement.
  • Purseigle, F. (2005). Le monde paysan et les sources chrĂ©tiennes de la solidaritĂ© internationale. L’altermondialisme en France. La longue histoire d’une nouvelle cause, Paris, Flammarion, 75-105.
  • SchĂĽmperli, C. (2007). La politique suisse de solidaritĂ© internationale: de la coopĂ©ration au dĂ©veloppement global (Vol. 38). Collection le savoir suisse.
  • Destremau, B., Borgeaud-Garciandia, N., Lautier, B., Penafiel, R., & Tizziani, A. (2009), Les droits sociaux Ă  l'Ă©preuve des droits humains: les limites de la solidaritĂ© internationale Penser le politique en AmĂ©rique latine : La recrĂ©ation des espaces et des formes du politique (PDF, 18 pages).
  • Adequations.org (2005), mĂ©mento AdĂ©quations Critères de DĂ©veloppement Durable et CoopĂ©ration Internationale (PDF - 506,1 ko)
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