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Saint-Pierre-des-Landes

Saint-Pierre-des-Landes est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 923 habitants[Note 1].

Saint-Pierre-des-Landes
Saint-Pierre-des-Landes
L'Ă©glise du bourg de Saint-Pierre.
Blason de Saint-Pierre-des-Landes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Ernée
Maire
Mandat
Joannick Lebon
2020-2026
Code postal 53500
Code commune 53245
DĂ©mographie
Gentilé Pierrots-Landais
Population
municipale
923 hab. (2020 en diminution de 2,02 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 23 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 27″ nord, 1° 01â€Č 41″ ouest
Altitude Min. 113 m
Max. 219 m
Superficie 40,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Ernée
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-des-Landes
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Saint-Pierre-des-Landes
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Saint-Pierre-des-Landes
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Saint-Pierre-des-Landes
Liens
Site web www.saint-pierre-des-landes.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    GĂ©ographie

    Le Couesnon prend sa source sur le territoire de la commune.

    Sur la butte qui culmine Ă  216 m, au sud immĂ©diat du hameau de Chatenay, se trouve le tripoint entre les bassins de la Loire et de la Vilaine (golfe de Gascogne) et le Couesnon (Manche)[2].

    Communes limitrophes de Saint-Pierre-des-Landes[3]
    La Chapelle-Janson (35) (sur 200 mĂštres),
    Luitré (35)
    La Pellerine Larchamp,
    Ernée
    Luitré (35) Saint-Pierre-des-Landes Ernée
    Juvigné Juvigné Juvigné

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 869 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « ErnĂ©e », sur la commune d'ErnĂ©e, mise en service en 1996[11] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 847,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et Ă  56 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-des-Landes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), prairies (48,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,6 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le gentilé est Pierrot-Landais.

    Histoire

    Une épidémie d'angine diphtérique sévit en 1862-1863. Le fléau éclata à Luitré, puis dans les communes de Juvigné et de Saint-Pierre-des-Landes. L'épidémie tua d'abord deux cents personnes, et jeta tant de terreur que « la population entiÚre de Saint-Pierredes-Landes se rendit processionnellement et pour la premiÚre fois de mémoire d'homme en pÚlerinage à la chapelle de Charnay prÚs d'Ernée ». Du canton de Chailland, la diphtérie se propagea à celui d'Andouillé, atteignit plus de trois cents malades. Le docteur Henri-Pierre Trideau s'employa à lutter contre cette épidémie.

    C'est à la ferme du Domaine que se tint le quartier général de la Résistance du pays d'Ernée jusqu'au (Pierre Le Donné, Romain Gilles, René Justin, Georges Delhommel
)

    La famille Rousseau (Michel et sa femme, Françoise Paris) a accueilli le Réseau de Pierre Le Donné, de nombreux réfractaires au STO aprÚs , puis de jeunes résistants actifs. Ils ont également accueilli pendant quelque temps des familles juives, ce qui leur a valu le titre de Justes parmi les nations en 2009. Ils avaient mis de leurs enfants en pension au collÚge Saint-Joseph d'Ernée afin de les protéger des risques de leurs activités patriotes.

    Les combattants du rĂ©seau sĂ©journĂšrent au « Domaine Â». Michel Rousseau participait Ă  des transports nocturnes d'armes parachutĂ©es. Le , il devait en remettre Ă  ses camarades de la « ForĂȘt-Noire Â», organisĂ©s en maquis voisin entre Larchamp et La Chapelle-Janson. La Milice rennaise s'empara du campement et Michel Rousseau Ă©chappa Ă  la capture


    Lui et sa famille vécurent sous la menace des révélations que leurs camarades torturés pouvaient faire aux Allemands. Ceux-ci ne parlÚrent pas, mais l'attente fut longue car les Américains piétinait en Normandie. Ils arrivÚrent à Saint-Pierre-des-Landes le soir du .

    Cette famille a fini la guerre ruinée par les accueils généreux qu'elle avait opérés tout au long de la guerre
 Ce n'est qu'en 2009 que Yad Vashem leur a reconnu le titre de Justes parmi les nations.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1970 Francis BĂ©chu
    en cours en 1981 mars 2001[25] Pierre Trouvé
    mars 2001[26] mars 2014 Louis Gauffre SE
    mars 2014[27] mai 2020 Viviane Hameau SE Retraitée
    mai 2020[28] En cours Joannick Lebon SE Agriculteur

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[28].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[30].

    En 2020, la commune comptait 923 habitants[Note 7], en diminution de 2,02 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8561 5681 9631 8401 7911 8371 8371 9251 896
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9571 9732 0121 9631 9391 9911 9101 9421 901
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8301 8011 7061 5481 5481 5461 4251 4621 349
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 3181 2321 0991 011979946964969941
    2018 2020 - - - - - - -
    915923-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise de MĂ©gaudais.
    • Le chĂąteau de MĂ©gaudais, en bordure de la nationale 12. Parc du XIXe siĂšcle.
    • Le chĂąteau de Fontenailles, sur la dĂ©partementale 158.
    • L'Ă©glise du bourg de Saint-Pierre, reconstruite au XIXe siĂšcle.
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption de MĂ©gaudais.
    • La source du Couesnon.

    Personnalités liées à la commune

    Il fut un trĂšs grand rĂ©sistant, participant Ă  la cache de vols d’armes, Ă  la fabrication de vraies fausses cartes d’identitĂ©, Ă  l’évasion de rĂ©sistants et de rĂ©fractaires au STO. Il cacha 13 enfants juifs au collĂšge de l'ImmaculĂ©e de Laval, comme Jean-Marie Houdoux et Sacha Distel. Ce dernier, nĂ© le 29 janvier 1933 Ă  Paris, y Ă©tait enregistrĂ© sous le nom d’Alexandre Ditel. Il avait comme correspondante madame Chaboche, Ă  la BaconniĂšre : c’est elle qui a Ă©levĂ© l’enfant. Il l’appelait « sa marraine ». ArrĂȘtĂ©, interrogĂ© par la Gestapo, Constant DumaignĂ© n’a jamais parlĂ©, mĂȘme sous la torture. Il fut dĂ©portĂ© de CompiĂšgne le 6 avril vers Mauthausen sous le matricule 62287, puis Ă  Melk, Mauthausen, Dachau oĂč il fut libĂ©rĂ© le 29 avril 1945.
    • Auguste Trideau, prĂȘtre originaire de la commune, capitaine pendant la Grande Guerre, rĂ©sistant sur ErnĂ©e qui sauva des aviateurs alliĂ©s.
    • Françoise Paris-Rousseau et Michel Rousseau, agriculteurs, rĂ©sistants Ă  la ferme du Domaine, Justes parmi les nations en 2009.
    • Pierre Le DonnĂ©, garagiste du Bas de Ville Ă  ErnĂ©e, premier chef du rĂ©seau de RĂ©sistance qui installa son QG Ă  la ferme du Domaine de Saint-Pierre-des-Landes de 1942 au .,Justes parmi les nations en 1997.
    • EugĂšne Plet, nĂ© en 1952, originaire de Saint-Pierre-des-Landes, coureur cycliste professionnel 1976 Ă  1981.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Pierre-des-Landes Blason
    ÉcartelĂ© en sautoir : au 1er d'azur au coq hardi d'or, barbĂ©, crĂȘtĂ© et membrĂ© de gueules, aux 2e et 3e d'argent Ă  la branche de bruyĂšre fleurie au naturel, au 4e d'azur au lĂ©opard d'or[34].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 483
    2. « Le tripoint » sur Géoportail..
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Ernée - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Landes et Ernée », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Ernée - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Landes et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. « Commune par commune... », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. « Le maire Louis Gauffre ne se représentera pas en mars », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. « Viviane Hameau a été élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. « Municipales. Joannick Lebon accÚde à la mairie de Saint-Pierre-des-Landes », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Le site des villes du Pays de l'Ernée - Histoire : autres villes : St-Pierre-des-Landes » (consulté le ).
    34. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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