Saint-PĂ©ran
Saint-Péran est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.
Saint-PĂ©ran | |||||
L'Ă©glise | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Brocéliande | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Goven 2020-2026 |
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Code postal | 35380 | ||||
Code commune | 35305 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Péranais, Saint-Péranaise | ||||
Population municipale |
418 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 03âČ 19âł nord, 2° 03âČ 18âł ouest | ||||
Altitude | 130 m Min. 84 m Max. 160 m |
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Superficie | 9,37 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montfort-sur-Meu | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | Site de la commune | ||||
GĂ©ographie
La commune est situĂ©e en lisiĂšre de la forĂȘt de Paimpont, Ă une trentaine de kilomĂštres Ă l'ouest de Rennes, capitale dĂ©partementale et rĂ©gionale.
Les communes limitrophes sont Iffendic, Monterfil, Treffendel, Plélan-le-Grand, Paimpont.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[7] et qui se trouve Ă 17 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă 25 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Péran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (63,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,8 %), terres arables (2,4 %), prairies (1,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Sainct-Peran en 1467. Son nom vient de saint Péran, dit aussi saint Piran.
Histoire
Aujourdâhui sur la lisiĂšre de la forĂȘt de Paimpont, Saint-PĂ©ran Ă©tait au Moyen Ăge un petit prieurĂ© membre de lâAbbaye de Montfort-sur-Meu, situĂ© dans la paroisse de Paimpont.
Il semble probable que le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran fĂ»t fondĂ© par les seigneurs de LohĂ©ac, qui possĂ©daient alors la partie de la paroisse de Paimpont oĂč se trouvait ce petit monastĂšre. Il devait mĂȘme ĂȘtre Ă©tabli en 1257, lorsque Guillaume de LohĂ©ac donna aux chanoines rĂ©guliers de Montfort-sur-Meu le droit dâusage de la forĂȘt de BrocĂ©liande. En 1467, la Charte de BrĂ©cilien mentionne ce privilĂšge des prieurs de Saint-PĂ©ran et voici comment elle sâexprime :
âLâAbbĂ© de Montfort-sur-Meu, comme prieur du prieurĂ© de Saint-PĂ©ran, situĂ© en la forĂȘt de BrĂ©cilien, a usage au quartier de ladite forest quâon appelle LohĂ©ac, scavoir, pasnage, pesson et herbage Ă toutes bestes quâil tiendra et aura en ladite mestairie et qui lui appartiennent, lesquelles il pourra faire conduire et mener en ladite forest, par son valet, non par mestaier ayant part esdictes bestes, sans les ecrires ny rien en noierâŠ. Aussi peut ledit AbbĂ© prendre pour son chauffage du bois tant chaist que abattu par pied, sâil nâentrouve de chaist ; et pour les Ă©difices et rĂ©parations de son dit prieurĂ© et des clostures dâicely peut prendre et faire abattre bois convenable pour ce faire et en user audit prieurĂ© seulementâŠ. mĂȘme, ledit valet, demeurant audit prieurĂ©, peut, si bon lui semble, prendre et abattre bois pour faire charrette, charretis et roue, et en user au labourrage audit prieurĂ© seulement.â
Ce texte, dont nous avons conservĂ© lâoriginalitĂ© permettant ainsi de sâapercevoir de lâĂ©volution de la langue française, a son importance, il nous confirme que le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran fut fondĂ© par les seigneurs de LohĂ©ac ; il nous apprend en outre, quâau XVe siĂšcle ce prieurĂ© nâĂ©tait plus habitĂ© par des moines, mais uni Ă la mense abbatiale, puisque lâabbĂ© de Montfort-sur-Meu en Ă©tait lui-mĂȘme le prieur; câĂ©tait seulement alors une mĂ©tairie avec chapelle.
Aussi les chanoines de Montfort-sur-Meu ne firent-ils pas difficultĂ©s dâaliĂ©ner le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran, probablement durant le XVIe siĂšcle, qui vit sâeffectuer tant de ventes en ce genre.
Les habitants de Saint-PĂ©ran sollicitĂšrent de lâĂ©vĂȘque de Saint-Malo lâĂ©rection dâune trĂȘve en leur faveur. Monseigneur du Bec y consentit et Ă©rigea le la chapelle de Saint-PĂ©ran en âĂ©glise succursale de Paimpont, ayant fonts baptismaux et droit de sĂ©pulturesâ, Ă la condition toutefois que les habitants entretiendraient cette Ă©glise et doteraient convenablement leur curĂ©, nommĂ© par le recteur de Paimpont. Il ajouta que le curĂ© de Saint-PĂ©ran devrait venir chaque annĂ©e avec ses trĂ©viens faire ses pĂąques Ă lâĂ©glise de Paimpont. (N.B : Ă cette Ă©poque le chef de paroisse sâappelait recteur et les vicaires sâappelaient curĂ©s.)
On donna immĂ©diatement au nouveau curĂ© de Saint-PĂ©ran deux piĂšces de terre valant en 1661 environ 200 livres de rentes ; plus tard on lui assura une autre rente de 120 livres et un logement convenable ; il eut aussi la jouissance de lâutilitĂ© de lâĂ©glise de Saint-PĂ©ran dite fillette de Paimpont. Ce nâest quâen 1677 que les chanoines rĂ©guliers de Paimpont achetĂšrent lâancien prieurĂ© de Saint-PĂ©ran qui avait dâabord Ă©tĂ© vendu Ă des sĂ©culiers.
Le âPouillĂ©â, manuscrit de Saint-Malo (1739-1767), nous dit quâĂ cette Ă©poque, Saint-PĂ©ran, trĂȘve de Paimpont, contenait deux cents communiants et avait pour dĂ©cimateur lâabbĂ© de Paimpont. «Cette trĂȘve est desservie par un prĂȘtre sĂ©culier amovible; on y administre tous les sacrements et lâon y fait toutes les fonctions curiales, mais le curĂ© vient avec les trĂ©viens faire ses pasques Ă Paimpont.»
Cet Ă©tat de choses dura jusquâĂ la RĂ©volution, et en 1803 Saint-PĂ©ran fut Ă©rigĂ©e en paroisse.
LâĂ©glise actuelle remonte pour lâessentiel au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle (1709-1730). Elle est en forme de croix, avec chĆur Ă pans coupĂ©s, et renferme une vieille tombe armoriĂ©e de trois huchets et une statuette lĂ©gendaire de la Sainte Vierge placĂ©e dans la muraille et accompagnĂ©e dâune inscription en latin.
La tradition locale conte que deux Ă©vĂȘques vinrent Ă Saint-PĂ©ran et transfĂ©rĂšrent solennellement eux-mĂȘmes cette statuette en 1661 de la forĂȘt de Paimpont en lâĂ©glise de Saint-PĂ©ran.
La confrĂ©rie du Rosaire fut Ă©rigĂ©e en cette Ă©glise le ; il sây trouvait, en outre, trois ou quatre fondations au siĂšcle dernier.
Politique et administration
Equipe Municipale Actuelle
Isabelle GOVEN, Maire
Eric THOMAS, Premier adjoint, est chargĂ© de lâurbanisme, de la voirie et du bĂątiment
Estelle GUILMAIN, DeuxiĂšme adjointe Ă lâenvironnement, le patrimoine et la culture
Arnaud Duval, Conseiller
Anthoine Berhault, Conseiller
Christopher LEGIGAN, Conseiller
Franck Lesage, Conseiller
Gildas Merel, Conseiller
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[24].
En 2020, la commune comptait 418 habitants[Note 7], en augmentation de 5,82 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
La qualité architecturale du bourg réside dans la polychromie des matériaux de construction, dont les maçonneries traditionnelles à gros moellons sont dominées par le rose du grÚs de Corrouët.
- Ăglise de Saint-PĂ©ran, bĂątie au cours des XVIIe et XVIIIe siĂšcles, en schiste rouge Ă l'image des Ă©glises du pays de Montfort, elle possĂšde un porche d'entrĂ©e appuyĂ© sur deux gros piliers cylindriques.
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mauron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Péran et Mauron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mauron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Péran et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
- « Saint-PĂ©ran. La nouvelle Ă©quipe municipale a Ă©tĂ© installĂ©e », Ouest-France,â (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.