AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Saint-PĂ©ran

Saint-Péran est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Saint-PĂ©ran
Saint-PĂ©ran
L'Ă©glise
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Brocéliande
Maire
Mandat
Isabelle Goven
2020-2026
Code postal 35380
Code commune 35305
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Péranais, Saint-Péranaise
Population
municipale
418 hab. (2020 en augmentation de 5,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 03â€Č 19″ nord, 2° 03â€Č 18″ ouest
Altitude 130 m
Min. 84 m
Max. 160 m
Superficie 9,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montfort-sur-Meu
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-PĂ©ran
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-PĂ©ran
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
Saint-PĂ©ran
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Saint-PĂ©ran
Liens
Site web Site de la commune

    GĂ©ographie

    La commune est situĂ©e en lisiĂšre de la forĂȘt de Paimpont, Ă  une trentaine de kilomĂštres Ă  l'ouest de Rennes, capitale dĂ©partementale et rĂ©gionale.

    Les communes limitrophes sont Iffendic, Monterfil, Treffendel, Plélan-le-Grand, Paimpont.

    Communes limitrophes de Saint-PĂ©ran
    Iffendic Monterfil
    Paimpont Saint-PĂ©ran
    Plélan-le-Grand Treffendel

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 799 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[7] et qui se trouve Ă  17 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  25 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Péran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (63,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,8 %), terres arables (2,4 %), prairies (1,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sainct-Peran en 1467. Son nom vient de saint Péran, dit aussi saint Piran.

    Histoire

    Aujourd’hui sur la lisiĂšre de la forĂȘt de Paimpont, Saint-PĂ©ran Ă©tait au Moyen Âge un petit prieurĂ© membre de l’Abbaye de Montfort-sur-Meu, situĂ© dans la paroisse de Paimpont.

    Il semble probable que le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran fĂ»t fondĂ© par les seigneurs de LohĂ©ac, qui possĂ©daient alors la partie de la paroisse de Paimpont oĂč se trouvait ce petit monastĂšre. Il devait mĂȘme ĂȘtre Ă©tabli en 1257, lorsque Guillaume de LohĂ©ac donna aux chanoines rĂ©guliers de Montfort-sur-Meu le droit d’usage de la forĂȘt de BrocĂ©liande. En 1467, la Charte de BrĂ©cilien mentionne ce privilĂšge des prieurs de Saint-PĂ©ran et voici comment elle s’exprime :

    “L’AbbĂ© de Montfort-sur-Meu, comme prieur du prieurĂ© de Saint-PĂ©ran, situĂ© en la forĂȘt de BrĂ©cilien, a usage au quartier de ladite forest qu’on appelle LohĂ©ac, scavoir, pasnage, pesson et herbage Ă  toutes bestes qu’il tiendra et aura en ladite mestairie et qui lui appartiennent, lesquelles il pourra faire conduire et mener en ladite forest, par son valet, non par mestaier ayant part esdictes bestes, sans les ecrires ny rien en noier
. Aussi peut ledit AbbĂ© prendre pour son chauffage du bois tant chaist que abattu par pied, s’il n’entrouve de chaist ; et pour les Ă©difices et rĂ©parations de son dit prieurĂ© et des clostures d’icely peut prendre et faire abattre bois convenable pour ce faire et en user audit prieurĂ© seulement
. mĂȘme, ledit valet, demeurant audit prieurĂ©, peut, si bon lui semble, prendre et abattre bois pour faire charrette, charretis et roue, et en user au labourrage audit prieurĂ© seulement.”

    Ce texte, dont nous avons conservĂ© l’originalitĂ© permettant ainsi de s’apercevoir de l’évolution de la langue française, a son importance, il nous confirme que le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran fut fondĂ© par les seigneurs de LohĂ©ac ; il nous apprend en outre, qu’au XVe siĂšcle ce prieurĂ© n’était plus habitĂ© par des moines, mais uni Ă  la mense abbatiale, puisque l’abbĂ© de Montfort-sur-Meu en Ă©tait lui-mĂȘme le prieur; c’était seulement alors une mĂ©tairie avec chapelle.

    Aussi les chanoines de Montfort-sur-Meu ne firent-ils pas difficultĂ©s d’aliĂ©ner le prieurĂ© de Saint-PĂ©ran, probablement durant le XVIe siĂšcle, qui vit s’effectuer tant de ventes en ce genre.

    Les habitants de Saint-PĂ©ran sollicitĂšrent de l’évĂȘque de Saint-Malo l’érection d’une trĂȘve en leur faveur. Monseigneur du Bec y consentit et Ă©rigea le la chapelle de Saint-PĂ©ran en â€œĂ©glise succursale de Paimpont, ayant fonts baptismaux et droit de sĂ©pultures”, Ă  la condition toutefois que les habitants entretiendraient cette Ă©glise et doteraient convenablement leur curĂ©, nommĂ© par le recteur de Paimpont. Il ajouta que le curĂ© de Saint-PĂ©ran devrait venir chaque annĂ©e avec ses trĂ©viens faire ses pĂąques Ă  l’église de Paimpont. (N.B : Ă  cette Ă©poque le chef de paroisse s’appelait recteur et les vicaires s’appelaient curĂ©s.)

    On donna immĂ©diatement au nouveau curĂ© de Saint-PĂ©ran deux piĂšces de terre valant en 1661 environ 200 livres de rentes ; plus tard on lui assura une autre rente de 120 livres et un logement convenable ; il eut aussi la jouissance de l’utilitĂ© de l’église de Saint-PĂ©ran dite fillette de Paimpont. Ce n’est qu’en 1677 que les chanoines rĂ©guliers de Paimpont achetĂšrent l’ancien prieurĂ© de Saint-PĂ©ran qui avait d’abord Ă©tĂ© vendu Ă  des sĂ©culiers.

    Le “PouillĂ©â€, manuscrit de Saint-Malo (1739-1767), nous dit qu’à cette Ă©poque, Saint-PĂ©ran, trĂȘve de Paimpont, contenait deux cents communiants et avait pour dĂ©cimateur l’abbĂ© de Paimpont. «Cette trĂȘve est desservie par un prĂȘtre sĂ©culier amovible; on y administre tous les sacrements et l’on y fait toutes les fonctions curiales, mais le curĂ© vient avec les trĂ©viens faire ses pasques Ă  Paimpont.»

    Cet Ă©tat de choses dura jusqu’à la RĂ©volution, et en 1803 Saint-PĂ©ran fut Ă©rigĂ©e en paroisse.

    L’église actuelle remonte pour l’essentiel au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle (1709-1730). Elle est en forme de croix, avec chƓur Ă  pans coupĂ©s, et renferme une vieille tombe armoriĂ©e de trois huchets et une statuette lĂ©gendaire de la Sainte Vierge placĂ©e dans la muraille et accompagnĂ©e d’une inscription en latin.

    La tradition locale conte que deux Ă©vĂȘques vinrent Ă  Saint-PĂ©ran et transfĂ©rĂšrent solennellement eux-mĂȘmes cette statuette en 1661 de la forĂȘt de Paimpont en l’église de Saint-PĂ©ran.

    La confrĂ©rie du Rosaire fut Ă©rigĂ©e en cette Ă©glise le ; il s’y trouvait, en outre, trois ou quatre fondations au siĂšcle dernier.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1855 mai 1888 Charles Rallé
    mai 1888 mai 1932 Edmond Rawle
    mai 1932 1945 Armand RĂ©nimel Boucher
    1945 mars 1965 FĂ©lix Ferron
    mars 1965 mars 1989 Bernard MĂ©hault Artisan, maire honoraire
    mars 1989 janvier 2000
    (démission)
    Vincent Régnault Ancien secrétaire de mairie
    janvier 2000 mars 2008 Ronan Guéblez Ingénieur agronome à l'ITP du Rheu
    mars 2008 mars 2014 LoĂŻc Richard Artisan en travaux publics, maire honoraire
    mars 2014 25 mai 2020 Maurice Renault[21] SE Cadre comptable retraité
    25 mai 2020 En cours Isabelle Goven[22] Directrice de SSIAD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Equipe Municipale Actuelle

    Isabelle GOVEN, Maire

    Eric THOMAS, Premier adjoint, est chargĂ© de l’urbanisme, de la voirie et du bĂątiment

    Estelle GUILMAIN, Deuxiùme adjointe à l’environnement, le patrimoine et la culture

    Arnaud Duval, Conseiller

    Anthoine Berhault, Conseiller

    Christopher LEGIGAN, Conseiller

    Franck Lesage, Conseiller

    Gildas Merel, Conseiller

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[24].

    En 2020, la commune comptait 418 habitants[Note 7], en augmentation de 5,82 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    311301513346299287291318361
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    351370387381360402377352329
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    344341344283291309278272239
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    210209168160169196282299336
    2014 2019 2020 - - - - - -
    395418418------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    Lieux et monuments

    La qualité architecturale du bourg réside dans la polychromie des matériaux de construction, dont les maçonneries traditionnelles à gros moellons sont dominées par le rose du grÚs de Corrouët.

    • Église de Saint-PĂ©ran, bĂątie au cours des XVIIe et XVIIIe siĂšcles, en schiste rouge Ă  l'image des Ă©glises du pays de Montfort, elle possĂšde un porche d'entrĂ©e appuyĂ© sur deux gros piliers cylindriques.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Mauron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Péran et Mauron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Mauron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Péran et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    22. « Saint-PĂ©ran. La nouvelle Ă©quipe municipale a Ă©tĂ© installĂ©e », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.