Saint-Christol-lez-Alès
Saint-Christol-lez-Alès, anciennement Saint-Christol-lès-Alès[1], est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
Saint-Christol-lez-Alès | |
La Pyramide. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Alès Agglomération |
Maire Mandat |
Jean-Charles Benezet 2020-2026 |
Code postal | 30380 |
Code commune | 30243 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Saint-Christolens |
Population municipale |
7 106 hab. (2020 ) |
Densité | 351 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 44° 05′ 07″ nord, 4° 04′ 39″ est |
Altitude | 134 m Min. 103 m Max. 391 m |
Superficie | 20,25 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Alès (banlieue) |
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Alès-1 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saintchristollezales.fr/ |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès , l'Alzon, le ruisseau de Carriol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Christol-lez-Alès est une commune urbaine qui compte 7 106 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Saint-Christolens ou Saint-Christolennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la pyramide, inscrite en 1939.
GĂ©ographie
Point culminant : Serre d'Avène (387 m). Autres sommets : Serre de la Cabane (289 m), Six-Sours (342 m) et Lauzière (357 m).
Cours d'eau : le Gardon d'Alès, l'Alzon (affluent du Gardon d'Alès) et son affluent le Respéchas, le Faverol et le Carriol.
La commune de Saint-Christol-lez-Alès est entourée des communes d'Alès, Saint-Jean-du-Pin, Bagard, Ribaute-les-Tavernes, Vézénobres et Saint-Hilaire-de-Brethmas.
Cette commune a connu lors de l'été 2003 un record de chaleur jamais enregistré en France métropolitaine avec 44,1 °C ; record qu'elle partageait avec Conqueyrac, village de 102 âmes du Gard[2], et ce jusqu'au , lors de la canicule de juin 2019, où 46 °C furent relevés à Vérargues dans l’Hérault.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[3] : la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[4].
Urbanisme
Typologie
Saint-Christol-lez-Alès est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [I 1] - [6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), zones urbanisées (25,1 %), forêts (21,1 %), terres arables (7,8 %), cultures permanentes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), prairies (3,8 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Les différentes appellations de la commune
- 1264 : Sancti-Christofori
- 1345 : Sancto-Christoforo
- 1346 : Saint-Christofle près d'Alest
- 1435 : Saint-Christofle
- 1598 : Saint-Christol
- (Période révolutionnaire) : Auxon
- (Période révolutionnaire) : Pont-d'Auzon
Groupé autour de son église du XIe siècle et de son château qui forment un seul ensemble, mis à mal par les modifications architecturales du XIXe siècle, le petit bourg viticole de Saint Christol lez Alès conserve peu de traces de sa puissance et de son prestige passés.
Créé en 1263 par Martinus Thomas qui posa la première pierre, le nom de Sancti Christofori fut donné par son maître Rafaelo di Cuesto qui, après lui avoir enseigné l'art de la construction des obélisques, lui demanda de gérer le village. La seigneurie de Saint-Christol est passée successivement entre les mains des de Sérinhac, de Maubuisson, du Puy de Cendras, de Trémolet de Robiac puis Destremx.
Les Hospitaliers
Le village dont le patron est saint Christophe — dont la statue veille encore au fronton de la cave coopérative, réputée pour ses vins de coteau — naquit au XIIe siècle de l’une des premières fondations en bas Languedoc des Hospitaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Cette commanderie devait rayonner pendant près de sept siècles jusqu’à la dissolution de l’Ordre en France par la Révolution.
Guerre des CĂ©vennes
Au début de la Réforme, vers 1560, des destructions eurent lieu dans le quartier de Vermeil de l'église de Saint-Pierre de Vermeil.
Les lieux eurent à souffrir des troubles causées de la Réforme protestante et sa sévère repression par les armées catholiques royales : ainsi, en 1575, la ville de Sommières, protestante, ayant été assiégée par le maréchal de Damville, le duc d’Uzès envoya au secours des Sommiérois le commandeur de Saint-Christol et le baron de Combas. Mais leur intention se solda par un échec et ils se retirèrent. L’édit de Nantes apporta son apaisement, mais lors de la reprise par Louis XIII des places de sûreté pro-protestantes, le feu des troubles se ralluma. Les protestants de Montpellier ayant alors reconnu pour leur chef le duc de Rohan, celui-ci, en 1622, aurait bien voulu atteindre l’évêque Pierre Fenouillet, retiré dans le château de Montferrand. Mais la place était bien défendue et Rohan, souhaitant limiter de telles possibilités de résistance, ordonna la destruction de toutes les fortifications des environs : ainsi à Saint-Christol furent démantelés le château et la commanderie. On ne tarda pas, toutefois, à les reconstruire.
En , mois de la révocation de l’Édit de Nantes, plusieurs protestants Saint-Christolains prononcèrent leur abjuration. Là comme ailleurs, c’est au début qu’elles ont été les plus nombreuses. Le , destruction du temple de Rouret. Il était bâti sur une parcelle de 2 ares et 10 centiares à la section A numéro 1160 du plan cadastral. Avant 1949, ses ruines étaient encore visibles ; ses anciens propriétaires étaient Jean Pierre Gascuel puis monsieur Bouvier époux Cabot.
, bataille du Mas Cauvy (nommée également bataille du mas de Cauvi ; du mas Rouge). Jean Cavalier, protestant natif de Ribaute les Tavernes, avec ses Camisards, mit en fuite la bourgeoisie catholique d'Alès qui trouva refuge, une partie dans le château de Montmoirac, l'autre au château de Saint-Christol.
Époque moderne
- Sur la carte de 1703, le géographe royal Nicolas Fer, relève seulement 3 hameaux : Montèze, Montmoiras et Vermel ; celle de Jean Cavalier Dagde en relève 4 : Montèze, Monmoirac, Vermeil et Saint Cristol.
- La carte de Cassini, la plus complète mentionne :
Astris, Ayroles, Boujac, Constan, Frigoulet, la Maitairie de l'Holm, Le Jardin Nouvel, Le mas Rouge, Les Clauzels, Montagnac, Monteirargues, Montèze, Montmoirac, Roulet, Saijt Christol, Saint Martin d'Arènes, Valés, Vals, Vermeils, Vermillet, Vignal.
Sur cette dernière le Carriol porte le nom de valat de Fontvive, le Féverol se nomme le valat de Jérusalem, l'Alzon est tracé mais ne porte pas de nom.
Époque contemporaine
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Auxon et de Pont-Auzon[8].
HĂ©raldique
Blason de Saint-Christol-lez-Alès | Blason | Parti ondé : au premier d'azur à la tour d'or, au second d'or à la grappe de raisin feuillée d'azur ; à la pyramide de Saint Christol d'argent brochant sur la partition. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[10].
En 2020, la commune comptait 7 106 habitants[Note 4], en augmentation de 2,23 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 091 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 7 229 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 440 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 41 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (43,9 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 10,7 % | 12,9 % | 11,9 % |
DĂ©partement[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 004 personnes, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 29,8 % d'inactifs[Note 7] - [I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 12]. Elle compte 1 789 emplois en 2018, contre 1 888 en 2013 et 1 727 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 360, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,7 %[I 13].
Sur ces 2 360 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 605 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
668 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Christol-lez-Alès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9] - [I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 668 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 55 | 8,2 % | (7,9 %) |
Construction | 147 | 22 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 188 | 28,1 % | (30 %) |
Information et communication | 7 | 1 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 21 | 3,1 % | (3 %) |
Activités immobilières | 14 | 2,1 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 65 | 9,7 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 109 | 16,3 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 62 | 9,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (188 sur les 668 entreprises implantées à Saint-Christol-lès-Alès), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[12] :
- Pyramide, hypermarchés (20 907 k€)
- Pages Agencement, agencement de lieux de vente (13 358 k€)
- Agencement Decoration Interieur - Adi, commerce de détail de meubles (2 072 k€)
- RP Menuiserie, fabrication de meubles de bureau et de magasin (1 914 k€)
- Prodecran, fabrication de peintures, vernis, encres et mastics (1 654 k€)
Agriculture
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 25 lors du recensement agricole de 2020[Note 10] et la surface agricole utilisée de 534 ha[Carte 3] - [Carte 4].
Culture locale et patrimoine
Bâtiments et lieux publics remarquables
La Pyramide : monument, érigé en 1777 à l'initiative de Monseigneur de Beauteville, évêque d'Alès. Cet obélisque de pierre commémore la modification des voies abruptes reliant Montpellier (voir RN 110 actuelle), Alès et Anduze en chemins carrossables. Il aurait remplacé une borne indicatrice gallo-romaine.
Bâtiments religieux
- L'église Saint-Christophe de Saint-Christol-lès-Alès : reconstruite en 1842 sur les ruines d'une église incendiée en 1702 par les Camisards.
- Le temple protestant de Saint-Christol-lès-Alès : inauguré le .
- Le prieuré de Saint-Pierre de Vermeil, construit au XVIIIe siècle, fut utilisé comme église avant d'être partiellement détruit par les protestants à la fin du XVIIe siècle. À l'heure actuelle, le bâtiment n'a plus de destination religieuse.
Monuments civils
- Le château de Montmoirac : château fort du XIIe siècle.
- Le château d'Arènes : possédé au XIIIe siècle par les Barral d'Arènes, reconstruit au XIVe siècle, il faisait partie de la paroisse de Saint-Martin d'Arènes dont le seigneur, François de Soussan, fut l'un des gouverneurs de la ville d'Alès. Il devint la propriété de François de Cambis (de la famille du Baron d'Alais) le .
- Le château de Saint-Christol : le , il abrita une partie de la bourgeoisie d'Alès, mise en fuite par Jean Cavalier et ses Camisards, au mas Cauvy.
- Le pont d'Arènes : construit au XIVe siècle.
Musée
- Musée du Scribe. Un univers sur l'écriture à découvrir. Tous les supports d'écriture utilisés depuis 3000 ans av. J.-C., des collections uniques d'encriers, de plumes et de porte-plume. Reconstitution d'une salle de classe des années 1920[14].
Personnalités liées à la commune
- LĂ©once Destremx
- Henriette Bosquier, agricultrice originaire de Saint-Christol, fut députée du Gard (1946-1951).
- Constantin Vago, directeur du laboratoire de pathologie comparée de Saint-Christol, fut membre de l'Académie des sciences.
- Jean Guimier (1913-1975), professeur de sport qui participa au développement de l'éducation du sport en France, y est mort.
Enseignement supérieur et recherche
- Station de recherche INRA / CNRS : Laboratoire de pathologie comparée du département santé des plantes et environnement. Implanté depuis 1966 sur Saint-Christol-lez-Alès et Montpellier, ce laboratoire concentre aujourd'hui ses activités de recherche sur la thématique « insecte », notamment les « interactions avec les agents pathogènes » et les applications biotechnologiques qui en découlent.
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[13].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Alès » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Graphie fautive utilisée par le code officiel géographique entre 1943 et le .
- « Retour sur la canicule d'août 2003 », sur le site de Météo France
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Christol-lez-Alès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée moyenne des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Saint-Christol-lez-Alès », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- Site web du musée.