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Saint-Amand-le-Petit

Saint-Amand-le-Petit (Sent Amand en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Amand-le-Petit
Saint-Amand-le-Petit
L'église Saint-Amand.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Vassivière
Maire
Mandat
Christian Leblanc
2020-2026
Code postal 87120
Code commune 87132
Démographie
Population
municipale
110 hab. (2020 en augmentation de 10 % par rapport à 2014)
Densité 7,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 32″ nord, 1° 45′ 08″ est
Altitude Min. 446 m
Max. 718 m
Superficie 15,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Amand-le-Petit
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Saint-Amand-le-Petit

    Géographie

    Situation de la commune de Saint-Amand-le-Petit en Haute-Vienne.
    Communes limitrophes de Saint-Amand-le-Petit
    Peyrat-le-Château
    Augne Saint-Amand-le-Petit Beaumont-du-Lac
    Eymoutiers Nedde

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 269 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eymoutiers », sur la commune d'Eymoutiers, mise en service en 1998[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 182,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Amand-le-Petit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), prairies (31,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Amand-le-Petit est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Amand-le-Petit.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 24,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Amand-le-Petit est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

    Histoire

    La commune de Saint-Amand-le-Petit est rattachée à Peyrat-le-Château par l'ordonnance du . Elle est rétablie par le décret du . Entretemps elle a perdu deux portions de son territoire d'avant 1829. D'abord la section de Neuvialle, la partie la plus à l'est de la commune, rattachée à Nedde par l'ordonnance du et la section de Serre, la partie la plus à l'ouest, qui elle est rattachée à Augne par la loi du .

    Le hameau de Longechaud (Peyrat-le-Château) était dans la paroisse de Saint-Amand avant la Révolution.

    Périodes plus anciennes :

    La commune de Saint-Amand-le Petit a été distraite de celle de Peyrat-le-Château en 1874, mais elle fut une entité originale bien longtemps auparavant. On la trouve mentionnée en tant que paroisse déjà en 1276, lors d'un don fait à la cure par une famille noble. Il semblerait que la majorité des terroirs médiévaux aient dépendu du prieuré de l'Artige, gros et puissant propriétaire terrien de l'époque. Mais les cens et rentes étaient partagés avec plusieurs autres petits seigneurs : les Boyer au Bosluguet, les Romanet à Charapoux... Pas d'organisation uniforme donc. Parmi les anciens féodaux, on peut ainsi citer les Mariaud de Bonneval, au XVIIIe siècle, en leur château de Langle ou les La Breuille, de Laron. On disait alors «Saint Amand le Petit en Poitou, ces terres de l'est-Haute Vienne relevant alors curieusement de cette province.

    La paroisse était donc le centre vital de toute vie sociale. La très ancienne église paroissiale a fait l'objet récemment d'une belle restauration. Jusqu'à la Révolution, les curés y étaient nommés par le chapitre d'Eymoutiers. La paroisse a pu avoir à son maximum jusqu'à 460 communiants (à partir de l'adolescence), ce qui peut être estimé à environ 50 % de la population totale (donc, environ 920 habitants). L'église paroissiale a la particularité d'avoir été desservie par les prêtres spécialement attachés, mais plus souvent par un vicaire dépendant des paroisses voisines d'Augne ou Peyrat-le-Château.

    Au fil des registres paroissiaux de baptêmes, mariages et enterrements, tenus par les curés, on peut retrouver quasiment toute la population jusqu'en 1645. Avec quelques noms remarquables, notamment une véritable « dynastie » de notables, les Voysin : Gabriel, curé (1645), autre Gabriel « chirurgien » (1656), Charles « apothicaire » (1697), ou encore Léonard « bourgeois » (1753), ce dernier terme pouvant être ici synonyme de rentier. Parmi ces bourgeois, une sorte d'élite (économique et sociale), on trouve aussi les Vitet (1704).

    Les débuts de la Troisième République amenèrent sur le devant de la scène des personnages moins (ou pas) liés à l’Église. Les premiers maires élus furent ainsi : La Bachellerie (1874), Tavernier (1876), Fontaine (1883), puis Pataud (1892)...

    La première école communale – mais elle était privée – fut ouverte en 1867, en continuité de la mairie, avec M. Paufique. Première école publique créée en 1881 (mixte), l'école de filles apparaissant trois ans plus tard.

    Pour l'évolution de la population, on peut se fier aux recensements (voir plus loin). L'exode rural y fut ici le plus précoce du secteur puisque le maximum de population fut en 1793 (680 hab / dont 200 hors commune actuelle). Avec sous le règne de Napoléon, la répartition suivante : Bosluguet : 23 hab., Bourdeleix : 23 (98 en 1836), Charapoux : 64 hab (y compris le moulin), Lafaye : 36 / Lésillade ? / Mas-de-Sazy : 15 hab / Mas-la-Guerre : 36 / Reveillère : ? / Sazy : 20 (35 en 1836), Trasrieux : 30 hab. Soit environ 200 hab dans le bourg. [Chiffres Dubois]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1951
    (démission)
    Pierre Baratout PCF Agriculteur
    1951 1966 Pierre Gourinet
    1966 ? Gaston Baratout
    (fils du précédent)
    PCF
    puis SE
    Ancien résistant
    mars 2001 2008 Fernand Bouby
    mars 2008 mai 2020 Chantal Perigaud[26] PCF
    2020 En cours Christian Leblanc Ancien employé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Les deux colonnes de 1793 et 1821 s'expliquent par le fait que la commune d'alors comprenait plusieurs villages appartenant aujourd'hui à celles d'Augne, Nedde et Peyrat-le-Château (soit environ 200 habitants de plus).

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 110 habitants[Note 8], en augmentation de 10 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1821 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    680554447435513524507487483
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    430341357337304289302280250
    1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020
    206167150126114110102112110
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Eymoutiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Amand-le-Petit et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Eymoutiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Amand-le-Petit et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Amand-le-Petit », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    25. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    26. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Église paroissiale Saint-Amand-le-Petit », notice no IA00031280, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le=6 mai 2011.
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